Premier épisode
Chapitre-2
Comme je l’ai mentionné dans mon récit précédent, je suis John, je suis noir, 24 ans, 1,90m, musclé, bien monté 21cm/8, je fais beaucoup le footing avec mon ami. Franck est mon ami, métisse, 25 ans est mon camarade, 1,82m, musclé, bite 16cm. Après avoir été sucé par mon ami Franck, je lui ai défoncé le cul et nous n’avons plus parle pendant un moment. Le lendemain nous ne nous sommes pas adressé un mot. Et cela a duré deux jours. Je passais mon temps à travailler avec les écouteurs aux oreilles et la musique à fond. Le troisième jour je suis assis au salon en train de décompresser, il se met à genou devant moi et pause ses mains sur ma bite…
John (J) : qu’est-ce que tu fais ?
Il ne parle pas et commence à baisser mon short et caresser ma bite. Je regarde Franck dans les yeux et je ne vois que du désir en lui. Il se met à me sucer frénétiquement avec dévotion comme une chienne qui a été privé de son repas pendant un long moment. J’étais surexcité et dépassé. Je n’arrivais toujours à croire ce qui été en train d’arriver. Franck s’appliquait comme un chef d’orchestre qui joue la musique pour la première fois devant un grand publique.
Il alternait entre gorge profonde et pipe magistrale. Il magnait sa langue comme un chirurgien au sommet de son art maniant son bistouri. Ses mains caressaient mon ventre et mes pectoraux comme un pianiste caressant les touches d’un piano. En ce moment précis, je ne savais pas exactement ce que je ressentais. Si j’essaie de vous décrire ce que je ressentais, je dirais que la sensation est comparable à ce souffle qu’on ressent à la nuque de la personne qu’on désir depuis une éternité.
La sensation était nouvelle, si agréable que je n’ai pas pu tenir longtemps. En ce moment j’ai eu l’impression que ma peau pouvait détecter les particules qui étaient en mouvement dans la pièce. Je n’arrêtais pas de jouir, et mon ami avala tout mon nectaire.
Franck (F) : j’ai tellement attendu ce moment.
J : et tu crois pouvoir arranger les choses en faisant ça ?
F : je crois que oui… Tu essaies de faire genre tu n’aimes pas mais ta bite dit le contraire.
Effectivement j’étais déjà en érection et ma bite ma bite se dressait majestueusement avec une fière allure devant Franck. On aurait dit une épée n’attendant qu’à entrer dans son fourreau.
Je me suis levé rapidement, j’ai pris Franck, et je l’ai retourné brusquement sur le canapé. J’ai légèrement soulevé son short et je suis entré en lui sans crier garde.
Le fils de pute avait déjà mis le lubrifiant dans le cul.
Je me suis mis à le pilonner sans ménagement.
J : Tiens, voici ton fantasme…
F : OUI… s’il te plait continue, c’est bonnnnnnnnnnnn…
Les mots prononcés par Franck étaient comme un chant de guerre que l’on chante dans un champ de de bataille pour galvaniser les troupes.
Je ne voulais ni changer de position, ni arrêter mon pilonnage.
Après environ 8 minutes, je me rendis compte que Franck serait son sphincter anal… le fils de pute était en train de jouir sans se toucher.
Je continue à faire mon boulot et défoncer la prostate de Franck. Puis dans un son a peine audible j’entendis…
F : bb je t’aime, baise-moi, je suis tout à toi.
Les paroles de Franck sonnaient comme la fin du match, ne pouvant plus tenir je me bloque dans le cul de mon ami et je n’arrête pas de jouir et mon ami a jouit pour la deuxième fois sans ce toucher. Je transpirais comme si je jouais une finale de tennis à Rolland-Garros.
J : T’as dit quoi ?
F : Je t’aime…
J : Putain mec tu sais que j’ai une copine, pourquoi tu fais ça ?
F : Je suis conscient de la position dans laquelle tu te trouves et crois-moi je vais prendre la place que tu vas me donner.
Je regarde le cul de mon pote, il est ouvert on aurait dit qu’il a accouché.
Je me mets à côté de lui. Je suis en train de cogiter sur ce qui vient de se passer. Il se retourne et pose sa tête sur mes cuisses.
J’entends Franck murmurer quelque chose et cela commence à m’exciter…
J : Qu’est-ce que tu dis ?
F : J’ai tellement rêvé de toi et de cette bite que j’ai seulement envie que tu sois en moi.
Après la déclaration de Franck, ma bite était fièrement dressée. Je regarde mon ami dans les yeux, je retrouve ce même regard de désir et de soumission.
J : suis-moi…
A suivre…
One Prime
oneplusseven684@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :
