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Chapitre-19
La dernière fois que j’ai baisé avec Pierre, il a continué à me raconter comment son frère jumeau, lui-même et son père ont commencé des relations sexuelles suivies après la découverte de plaisirs intimes ensemble. Il m’a ensuite raconté comment Gaël et lui ont commencé à baiser tous les deux avec d’autres mecs. Puis, tout ceci s’est un peu tassé, étant donné que Gaël avait une copine. Mais après une soirée où Gaël a pris en flag son père et Pierre en train de baiser, il s’est joint de nouveau à eux et depuis, les deux frères ont repris leur baise commune. Mais l’été de leurs 22 ans, leur cousin Antoine est venu passer quelques temps chez les jumeaux. De fil en aiguille, Pierre et Antoine se sont rapprochés et ils ont commencé à se branler puis à baiser ensemble. Gaël les a pris en flag un soir... et les trois cousins ont baisé ensemble. Le père des jumeaux a tout de suite compris ce qui s’est passé... ce qu’il n’a pas manqué de raconter à son frère...
Pierre continue à me narrer son histoire :
« La saison suivante au rugby, nous avons fait la connaissance de nouveaux coéquipiers, comme Yannick, Samir, Guillaume (Voir la saga « Au club de sport ») ... et de Jo. Il m’a tout de suite fait de l’effet ! Ce beau blond m’a plu dès que je l’ai vu dans son t-shirt et son short moulant. Il avait 39 ans. J’ai tout de suite kiffé quand il s’est promené à poil dans les vestiaires. Je me suis précipité immédiatement sous les douches pour l’admirer, ce qui a fait sourire Claudio, le beau black qui me baisait régulièrement. Et depuis, j’ai pu admirer le beau corps bien dessiné, peu poilu de Jo... et surtout sa queue très belle, très sombre. A chaque fois, il se douchait en passant bien sa main sur son matos. J’avais même l’impression qu’il me regardait en même temps d’un petit sourire narquois...
Au bout de 2 ou 3 semaines, il m’a adressé la parole et on a bien parlé. J’ai appris qu’il vivait avec sa femme sur Toulouse... ce qui a réduit mes chances à néant de vouloir le séduire. Cependant, un jour, après l’entrainement, je suis allé aux toilettes. Quand j’en suis revenu, j’ai parlé vite fait avec Claudio afin qu’on se fixe discrètement notre plan. Après avoir parlé de l’heure et du lieu, mon beau renoi est parti. Je me suis retrouvé dans les vestiaires avec Yannick et Thomas qui parlaient ensemble. Je me suis déshabillé et je les ai vus quitter les lieux. Je me suis retrouvé seul. Je suis ensuite allé sur la douche... où j’ai découvert Jo qui se savonnait en silence.
J’ai maté vite fait son morceau avant de me mettre en face de lui et de commencer à me laver. J’étais face au mur, pour saisir mon gel douche avant de le reposer. Et tout d’un coup, j’ai senti un frôlement sur mon cul. Je me suis retourné et j’ai vu alors Jo, souriant, la main sur mes fesses. Interloqué, je n’ai pas su comment réagir. Je l’ai regardé droit dans les yeux... puis j’ai suivi son autre main qui a commencé à triturer sa teub... qui s’est mise à prendre du volume. Il a regardé autour de nous : on était bien seuls dans les douches. Nos queues se sont dressées tandis qu’il me caressait toujours les fesses. J’admirais sa belle bite marron gonfler. Il a alors murmuré :
- Tes grosses fesses me font trop envie...
- Et moi, c’est ta bite que me fait saliver...
- Je sais bien, tu crois que je l’avais pas remarqué ?
J’ai souri. Sa queue était maintenant bien dure. Elle faisait 19 cm. Il s’est alors mis à m’embrasser dans le cou... puis, il m’a roulé une grosse pelle ! Ses mains me malaxaient pendant ce temps les fesses. Puis, il a commencé à me lécher les tétons, les seins et le ventre... avant de prendre mes 15 cm dans sa bouche ! Il m’a superbement bien sucé. Il m’a été très dur de ne pas gueuler de plaisir. Il a joué avec mon gland à l’aide de sa langue, avant de faire de rapides va-et-vient. Il m’a même fait des gorges profondes. J’en ai presque joui ! Il était vraiment doué. Ensuite, il s’est redressé, il m’a roulé une pelle... avant de me retourner et de se mettre à quatre pattes devant mon gros cul. Il a écarté mes fesses dans lesquelles il a enfoncé sa tête. Il a plongé sa langue dans mon anus qu’il a brouté à fond. Je me suis mis la main devant la bouche pour ne pas gueuler. Il se débrouillait là aussi très bien. J’en bandais à m’en faire péter la bite !
Après quelques minutes, il s’est relevé et il a enfoncé lentement sa queue en moi. Il s’est collé contre moi et il m’a pris dans ses bras. Ce faisant, il me pénétrait toujours plus profondément. Je sentais son souffle chaud dans mon cou ou contre mon oreille. J’en frémissais. J’ai soupiré quand il s’est retrouvé au fond de mon anus. Je sentais les poils de son pubis me chatouiller le trou. Je me suis fait à ses 19 cm et il a commencé à me baiser doucement, sans capote. Très vite, il a donné des grands coups de butoirs. Sa grosse bite en moi me faisait bien gémir... et elle me massait la prostate à merveille ! Ses cuisses claquaient contre mon cul ce qui semblait lui donner encore plus de fougue : il m’a alors pilonné sans retenir ses coups. Son pubis frappait brutalement et rapidement mon cul. Sa bite rentrait et sortait à une vitesse et une violence incroyable. Je gémissais sans retenue pendant que mon baiseur accélérait le mouvement, me défonçant en faisant claquer ses couilles sur mon cul.
Pendant bien 5 minutes, Jo s’est défoulé en moi. Il m’a bien pilonné jusqu’à ce que je sente sa grosse queue se contracter et me balancer sa purée chaude dans mon trou. Sa bite a expulsé d’énormes jets de sperme tout au fond de mes entrailles. C’étaient au moins 10 giclées. Au même moment, son gland, qui avait pris du volume, m’a fait jouir sans que je me touche. Ma queue a libéré 5 gros jets qui ont giclé contre le mur carrelé des douches. Jo s’est retiré et sa semence est tombée dans un gros bruit flasque sur le sol. Il m’a ensuite retourné et il m’a roulé une grosse avant de me faire me baisser et de me mettre sa queue devant la bouche. J’ai compris le message et je lui ai nettoyé sa bite. Je me suis ensuite relevé et après m’avoir embrassé, on s’est rendu dans les vestiaires où on s’est rhabillé.
Il m’a déposé un baiser furtif avant de partir et il m’a dit :
- Viens chez moi samedi, ma femme est absente, j’organise une petite soirée avec les potes du rugby...
J’ai senti alors mon corps parcouru de frissons, impatient de voir ce qu’il me réservait... »
A suivre...
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Meetmemz
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