Premier épisode
Chapitre-2
Salut à tous,
Je m’appelle Esteban. J’ai 43 ans. Je suis célibataire depuis maintenant 2 ans. Je suis bisexuel et depuis mon divorce, mon entourage sait que je couche aussi bien avec des meufs qu’avec des mecs. J’ai de gros besoins sexuels. Je me branle au moins 2 fois par jour. Alors qu’un jour, je mate un porno, je tombe sur un acteur, Max LaGrossePine, qui se retrouve être un ancien pote d’école, Benjamin. Je le mets devant le fait accompli et on se met à baiser ensemble. Sa grosse queue de 24 cm m’ouvre bien.
Je fais 1,80m, je suis blond, avec une barbe de trois jours, mon corps est imberbe. J’ai des poils sous les aisselles et sur le pubis, qui est assez velu. Mes couilles sont aussi poilues tout comme mes jambes. Je suis musclé sec, avec des biceps et des pecs bien dessinés. Au repos, ma teub est plutôt petite mais elle est très épaisse et mon gland est proéminent. J’ai de grosses couilles pendantes, lourdes, velues. Quand je bande, j’ai 18 ou 19 cm entre les jambes.
Depuis que Benjamin et moi avons baisé ensemble, nous nous sommes rapprochés. Nous nous voyons plus souvent, nous allons boire des verres ensemble et nous adorons faire du jogging tous les deux.
Aujourd’hui, il fait super beau par ce soleil d’avril et nous décidons d’aller courir ensemble. Benjamin passe me chercher et on se dirige à petites foulées vers le parc voisin. C’est un grand parc où on rencontre beaucoup de monde. Benjamin porte un t-débardeur et un petit short qui révèlent ses bras et ses cuisses musclés. On se met en route et on trottine. Très vite, je remarque qu’il y a du mouvement dans son short. En effet, je distingue son sexe se balancer au rythme de ses foulées de droite à gauche. Je suis alors persuadé que mon pote ne porte pas de caleçon ! J’essaie de regarder ailleurs... mais difficile, surtout quand je repense aux moments chauds que j’ai vécu avec lui. De plus, désormais, je ne regarde uniquement ses pornos où, en tant que Max LaGrossePine, il défonçait les petits trous de minets. Je m’imagine très souvent à leur place.
Je suis tellement chaud qu’à la fin du footing, je propose à Benjamin de prendre une douche chez moi pour ensuite boire une bière. Il accepte. Quand il sort de la salle de bains, vêtu seulement d’une serviette autour des hanches, je mate son corps qui est musclé sec. Il a quelques poils sur son torse. Il se pose à côté de moi, on trinque, et Benjamin propose alors :
- On se mate un porno ?
- Oui, d’accord.
Je vais chercher mon ordi portable, je le connecte à la télé et je laisse mon pote chercher un truc qui lui plait. Il sourit quand il voit l’historique de mes recherches qui ne contient pratiquement que le nom « Max LaGrossePine » dans le titre. Il met en route un porno bi. Je souris à mon tour. Il fait vraiment mine de ne pas avoir la ferme intention de baiser avec moi. Mais son jeu ne me dérange pas. Ça m’excite d’ailleurs un peu !
Benjamin met le film X en route et on le mate. Très vite, il ouvre sa serviette et sa bite apparait. Quel morceau ! Sa queue est longue, marron, épaisse, veinée, avec un gros gland. Elle fait 24 cm. Ses boules sont pendantes, ovales et grosses, à peine poilues. Je ne regarde pas le porno, je louche avidement sur l’anaconda de mon pote.
Benjamin me regarde et il se rend compte que je fixe sa teub. Il finit par me demander :
- T’as envie de me sucer ?
- J’en meurs d’envie !
- Viens me sucer alors !
Sans demander mon reste, je me penche sur la bite de mon ami et je m’apprête à prendre le morceau dans ma bouche quand Benjamin m’arrête :
- Mets-toi par terre, entre mes jambes, à ta place de soumis !
Son ordre me fait immédiatement de l’effet, je sens ma queue se durcir. J’obéis et je me place entre ses jambes. Je mate son énorme morceau. Je suis hypnotisé par sa bête... Elle est énorme... gonflée à bloc, avec les veines saillantes. Je m’approche de sa teub, je me mets à genoux devant lui. Je la prends en main et la sens. Elle a une forte odeur de mâle. Je masse ses énormes couilles et je me mets à les renifler. Elles sentent fort ! Surpris, je lève mes yeux vers Benjamin qui sourit :
- Je me suis lavé intentionnellement le trou, la queue et les couilles uniquement à l'eau. Sans savon. Pour que ce soit propre mais que ça sente malgré tout le mâle
Je sors ma langue et les lèche. Je le regarde : il me sourit et apprécie ma soumission. Je saisis sa teub et je la lèche d’abord, sur tout son long, tout en regardant mon pote qui ne mate plus le porno. Il n’a d’yeux que pour moi. Je mouille bien sa grosse teub, je monte et descends, essayant de prendre sa queue au maximum dans ma bouche. Ce faisant, je le regarde droit dans les yeux, montrant bien ma soumission à ses 24 cm !
Au bout d’un moment, je sors sa teub de ma bouche et je me mets à lécher ses grosses boules. Je les lèche, je les gobe puis je reprends ma suce tout en les massant. J’avale la moitié de son morceau et j’essaie de le faire aller toujours plus loin dans ma gorge. Benjamin me félicite en me caressant la tête quand il voit sa bite disparaitre toujours un peu plus dans ma cavité buccale. Je prends les deux tiers de son monstre. Je ressors, fier de moi, tout en branlant son anaconda... et je reprends la descente. Je sens son gland qui est au fond de ma bouche. Je le fais descendre toujours plus loin dans ma gorge. Et cette fois, j’arrive à engloutir la totalité de sa grosse teub ! Je me retrouve avec le nez dans ses poils pubiens... Sa bonne odeur de mâle envahit mes narines. Je kiffe trop. Ses grosses couilles cognent contre mon menton. Je m’active sur sa bite que je suce avec frénésie. Benjamin se laisse faire, émettant de temps en temps quelques gémissements.
Puis, finalement, il se lève et il se met debout. D’un air dominateur, il ricane et il dit :
- Si j’ai lavé mon trou à l'eau uniquement et si ça sent aussi fort le mâle au niveau de mes couilles et de ma queue, alors tu vas voir ce que ça va être de me renifler le trou !
L’actif saisit alors ma tête entre ses mains. Il pose son gland sur ma langue et il commence à donner des mouvements de hanches, faisant progressivement descendre sa queue dans mon gosier. Je contrôle mon réflexe vomitif et sa queue descend titiller le fond de ma gorge. Il pose ses mains derrière ma tête et il se met alors à me défoncer la gueule. Ses couilles claquent contre mon cou avec force et bruit. Il se donne à fond dans ma bouche, l’utilisant comme une chatte de substitution. Je le regarde droit dans les yeux, dociles. Putain ! Ma place est vraiment là, à servir son anaconda !
Sa bite coulisse le long de ma gorge. J’ai la mâchoire, la bouche et la gorge ouvertes à fond par ces 24 cm de chair enfoncés au travers de ma bouche. Je sens ma gorge gonflée. Elle se soulève sous le passage de ce monstre. Il saisit mes cheveux et il se met à me bourriner violemment la gueule. Ses grosses couilles me frappent le menton.
Puis, il ressort son morceau ce qui me permet de reprendre mon souffle. Benjamin secoue sa teub et me bifle avec. Il me donne ensuite ses couilles à lécher. Il me fait ensuite mettre sur le canapé, la tête dans le vide et il me rebaise la gueule. Quand il ressort, il semble bien reconnaissant d’avoir encaissé son gros morceau sans broncher. Comme pour me remercier, Benjamin passe ses mains derrière ses genoux et il relève ses jambes sous mon regard éberlué et affamé. La vision du cul très rond, musclé et un peu poilu de mon pote me met dans tous mes états. Il reprend la parole :
- Si je me souviens bien, Esteban, la dernière fois qu’on a baisé, tu m’as avoué que ta chatte de passif s'était mise à transpirer et à dilater à fond quand tu m’as reniflé le trou de balle comme une chienne, littéralement. Tu confirmes ?
Je me sens rougir de honte. Je confirme :
- Oui, c’est vrai, dis-je en baissant les yeux de gêne.
Je me sens alors plus chienne que jamais quand mon pote me colle le nez sur son trou, après m’avoir entendu confesser que son odeur musquée de mec m’excite beaucoup.
- Je te préviens, Esteban, j'ai l'intention de te baiser sans retenue. Je vais ouvrir, remplir et défoncer ta rondelle de salope. Alors, tu vas me renifler le trou comme t'aimes le faire, salope, et tu vas laisser ta rondelle s’ouvrir toute seule pour que je puisse facilement te baiser ensuite !
Sans hésiter, je passe ma langue dans la raie poilue qui se présente devant ma bouche. Mais très vite, Benjamin s’assoit sur moi et ma langue sort dans l’intention de lécher sa rondelle. Il me met alors une baffe en m’expliquant :
- Tu dois seulement renifler mon trou ! Si t’encaisses bien ma teub, tu pourras te faire plaisir ! Comme une récompense, quoi !
J’accepte alors cette condition, avec beaucoup d’excitation, car mon pote est TTBM, viril et dominant. Je hume à fond son cul qui sent le mâle. Cette odeur me fait bander à fond. Je me délecte de ce parfum. Je prends de profondes inspirations pour m’imprégner de l’odeur de son trou. Oui, Benjamin me « rabaisse » à me coller le nez sur son trou. L’image de mes narines collées sur le trou bien odorant de mon pote est en fait humiliante, dégradante... mais je m’en fous ! Ca m’excite de me faire dominer par Benjamin, dit Max LaGrossePine. Je me mets à me branler et je sens ma chatte chauffer, pulser et se dilater d'excitation toute seule. Ceci semble plaire à mon amant qui me donne de petites baffes. A un moment, Benjamin s’exclame :
- Putain, tu sais que même pour une grosse somme d'argent, je ne m'abaisserais pas à faire ça ? T'es vraiment une grosse salope, mon pote !
Il profite de mes caresses buccales. Puis, il se relève et il me fait placer à quatre pattes. Quand je peux parler, je sens le besoin de me justifier :
- Si ça peut te rassurer, je n’ai jamais fait ça avant... et je ne me vois pas m’abaisser à renifler le trou de balle d'un autre mec que toi. Il n’y a que toi qui peux me traiter comme ça sans que je me sente méprisé. On n’a qu’à dire que c’est notre truc à nous !, dis-je en rigolant.
Benjamin confirme mes dires en me claquant sur mon cul. Ensuite, il se met à me cracher sur le trou et à me doigter, m’ouvrant bien en grand. Puis, il y enfonce son gland et il me pénètre lentement. Mon anus s’ouvre sur son passage tandis que le reste de sa teub descend en moi. Quel bonheur de sentir de nouveau sa bite m’investir et m’écarter les chairs. Je me sens de nouveau écartelé et sa queue entre en moi sans problème. Il m’empale sur toute la longueur de sa queue. Une fois arrivé au fond de moi, il entame de longs allers-retours, me faisant profiter pleinement de toute la longueur de son anaconda. Je sens ses poils de pubis contre mon cul et ses grosses boules plaquées contre mon périnée. Il augmente toujours plus la cadence. Je gueule fort sous les coups de butoir que je reçois. Ma teub se balance au rythme des coups de rein de Benjamin. Ses couilles claquent. Il me saisit les hanches. Il se met à me défoncer comme jamais. Je me sens secoué comme un pommier. Sa bite m’écartèle vraiment les entrailles.
A un moment, il ressort et il me donne sa bite à sucer. Je m’en occupe et je la prends au fond de ma gorge. Puis, il me fait mettre sur le dos, le cul au bord du canapé, lui debout, et il se renfonce en moi. Il recommence à me limer le cul. Sa queue va encore plus profondément dans cette position. Je la sens fouiller l’intérieur de mon ventre. Il admire son énorme morceau qui ouvre en grand mon petit trou. Il s’exclame :
- Putain, c’est trop bon de voir ma queue entrer et sortir de ta chatte. Tu encaisses trop bien !
Sa teub se met à durcir et son rythme s’accélère. Elle coulisse en moi en faisant de rapides allers-retours. Elle va taper fort au fond de moi. Il entame une baise fougueuse. Il se fait plaisir en moi. Il se sert de ma chatte pour faire plaisir à ses 24 cm. Ses coups de bite amples et réguliers me rendent complètement fous. Benjamin martèle mon trou à grands coups de bite, je savoure la taille et la puissance de son bon gros chibre. Il se déchaîne dans mon antre, la pilonnant à grands coups de bassin. Ses mains se resserrent sur mes hanches et il accélère ses va-et-vient. Ses couilles énormes me fouettent les fesses. Le canapé couine sous ses mouvements rapides et puissants.
Au bout de quelques minutes, il pousse un cri et il s’exclame :
- Je vais te mettre enceinte !
- Oui, Benjamin ! Remplis-moi bien la chatte !
Dans un ultime coup de rein, mon amant tapisse mes entrailles de son sperme. La pression est si forte que je sens son jus gicler en moi tel un geyser. J’ai l’impression qu’il est en train de me pisser dans le cul ! Mes intestins se remplissent sous l’effet d’une douzaine de giclées. Cependant, malgré la jouissance, il continue ses mouvements de bassin. Sa queue toujours en moi, je me branle et je sens la sauce monter. Je sens son jus dégouliner hors de mon trou. Ses couilles plongent dans le jus dégoulinant et un bruit mouillé de baise se fait entendre. Six gros jets sortent de mon gland et vont tapisser mon torse et mon ventre. Benjamin se retire et un tsunami de jus jaillit hors de mon anus et éclate par terre.
Il me fait mettre son cul devant la bouche et je m’abreuve de sa semence tout en reniflant son trou bien mouillé par sa sueur qu’a provoqué sa baise sauvage. Je me délecte du liquide et de l’odeur de mon cul sur sa queue. Puis, j’enfonce ma langue dans son trou que je me mets à bouffer. Je donne des coups de langue pour qu’elle rentre aussi loin que possible dans son antre. Comme un affamé, je lui dévore son trou, ce qui le fait gémir bien fort. Je le broute pendant bien 5 minutes.
Finalement, il se retire et il me biffle quelques instants. Il se rhabille et il me dit :
- Si t’es d'accord, Esteban, j’aimerais bien plus souvent te défoncer. J’ai rarement baisé des mecs ou des meufs capables d’aussi bien encaisser ma queue. Et le fait que tu sois mon pote rend le fait de te baiser encore plus excitant.
- Avec plaisir, dis-je, les yeux remplis d’envie.
- J’aimerais bien te formater à ma queue !, ajoute-t-il en rigolant.
Je mate sa queue au repos. Elle pend lourdement entre ses jambes. Elle reste massive, plutôt droite, veinée. J’en rebanderais presque ! Sans parler, on se retrouve dans les bras l’un de l’autre. Benjamin me caresse le dos avec la pointe de ses doigts, pendant que je passe ma main sur son magnifique corps. Bien que je lui aie servi de vide-couilles, une tendresse infime se dégage de ce moment très câlin. Maintenant, je suis redevenu son pote qu’il respecte et estime.
On boit une dernière bière, puis Benjamin rentre chez lui. Je touche mon trou béant qui suinte encore de sperme et je me remets à bander. Je me branle tout en repensant à cette magnifique saillit.
Merci à P-E pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :
