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Chapitre 14
Comme raconté dans les premiers chapitres, Walid vit depuis 1 an à Toulouse. Il est marocain, il a réussi à avoir un visa pour pouvoir faire ses études en France. Il habite une petite chambre d’étudiant non loin de l’université qu’il peut payer grâce à sa bourse d’études. Il profite de la vie sur Toulouse pour rencontrer des mecs et des nanas, ce qu’il tait à sa famille au bled. Un jour, son cousin Malik, qui habitait dans la région parisienne, vient s’installer chez lui après la perte de son travail. Malik comprend vite que Walid n’a rien contre les hommes et que Malik lui plait bien. Ce-dernier essaie plein de trucs pour faire craquer Walid, sans succès. Mais un jour, après une soirée bien arrosée, Malik embrasse son cousin qui cède à ses pulsions et rend les baisers de son cousin. C’est le début d’une longue histoire car de fil en aiguille, les deux cousins baisent ensemble, constatant qu’ils sont bi. Et finalement, Malik avoue à Walid qu’il est amoureux de lui depuis toujours. Walid lui répond qu’il partage aussi ces sentiments. Ils décident alors d’emménager ensemble dans un petit appartement. Après un plan à trois avec un pote de la fac, Malik reçoit un appel de son oncle Bachir qui lui annonce qu’il vient en France et les deux cousins comprennent qu’ils vont devoir l’accueillir...et cacher bien sûr leur relation spéciale... Bachir couche dans le même lit que Walid et très vite, Walid constate que son oncle est assez ouvert... car ce-dernier baise son neveu ! Après que Walid lui a raconté ça, Malik décide de mettre son oncle à l’épreuve. Ils finissent par faire l’amour tous les trois. A la fin, Bachir leur annonce que le père de Walid va venir passer quelques jours aussi ici. Walid est déçu car ça les prive de sexe avec leur oncle... mais il prend son oncle en flag en train de baiser son père ! Walid est choqué. Bachir le prend plus tard à part et il fait remarquer à Walid qu’il l’a vu les mater en train de s’envoyer en l’air. Mais le jeune, curieux, finit par demande :
- Je dois t’avouer que vous m’avez surpris. Je ne m’en serais jamais douté. Et ça ne semble pas dater d’hier.
- En effet...
- Oncle Bachir... J’aimerais bien savoir comment vous en êtes venus à baiser...
- D’accord... Je vais tout te raconter...
Bachir prend alors une profonde inspiration et il commence son récit :
« Ton père avait à l’époque 19 ans, moi j’en avais 31. Après un incendie dans notre village, notre maison s’est retrouvée complètement cramée. Mes parents, mes frères et sœurs et moi-même n’avions plus rien, on avait tout perdu. Les parents de ton père, donc tes grands-parents, nous ont accueillis à bras ouverts. Mais leur maison n’était pas grande et on était à l’étroit : tes grands-parents avaient 5 enfants et mes parents en avaient 6. Les filles se sont retrouvées ensemble dans une chambre, les parents dans la chambre parentale (tes grands-parents dormaient sur une paillasse pendant que mes parents avaient leur lit). Les garçons étaient dans une chambre et dans le salon. Moi, je dormais dans un petit lit, à côté de Khaled, ton père. Je n’avais pas le droit de dormir avec ma fiancée car nous n’étions pas encore mariés... En effet, mon premier mariage avait été annulé car ma femme ne me donnait pas d’enfants et je fréquentais une jeune fille de 10 ans plus jeune que moi. Dans le lit, Khaled et moi étions très à l’étroit. Les nuits n’étaient pas très reposantes. J’étais tout le temps réveillé par ses coups de pieds ou de coudes quand il changeait de position. Et souvent, ma main atterrissait non loin de son caleçon quand il se retournait.
Par deux ou trois fois, ma main s’est retrouvée sur son paquet quand je me réveillais. J’étais bien sûr mort de honte et je l’enlevais vite. Une fois, je me suis même retrouvé avec son érection matinale entre les doigts... ce qui m’a fait alors bander ! Il avait une grosse massue dans son caleçon... que je trouvais assez impressionnante. Certes, j’avais souvent vu mes frères ou mon père nus ... mais c’était rare quand je voyais ou sentais une autre bite que la mienne bander ! Ça faisait une dizaine d’années à bien y réfléchir ...
Je me suis dit très vite que ça ne pouvait plus durer comme ça. J’ai alors proposé à Khaled de dormir en cuillère, lui devant, moi derrière : pas de possibilité de toucher sa teub... ou de se réveiller à cause de ses coups de genoux et de coude. Il a été d’accord quand il a compris que je ne dormais presque pas.
La première nuit s’est super bien passée, j’ai dormi comme un bébé. Mais la deuxième nuit, je me suis réveillé, mes 26 cm tendus, entre les fesses de Khaled... qui dormait encore heureusement. J’ai essayé de m’éloigner de son cul... mais difficile vu que le mur était derrière moi. J’ai tenté de calmer mes ardeurs et mon érection est vite retombée. La troisième nuit, j’ai dormi comme un loir. Par contre, j’ai été réveillé par des rires. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu les 2 frères de Khaled qui dormaient avec nous dans la chambre : ils étaient en train de se marrer. Khaled était rouge de honte et j’ai très vite compris par les allusions de mes cousins ce qui venait de se passer : durant notre sommeil, j’ai pris Khaled dans mes bras et j’ai dû me frotter contre lui. Ça lui a donné une bonne gaule et il bougeait même en cadence, frottant ainsi ma queue bandée dans sa raie. Les frères nous ont surpris comme ça, ce qui a réveillé Khaled, puis moi. Ils se moquaient de leur frère... mais de moi aussi, qui avais le barreau... Je bandais tellement que mon caleçon était tendu et il était tiré vers le bas. On voyait mes poils de pubis.
- Khaled, Bachir t’excite ??
- Vous êtes trop cons !
- Peut-être que Bachir veut faire de toi sa nouvelle femme ?
- Ta gueule !
Khaled a alors attrapé son frère, il l’a poussé contre le mur et il lui a donné un coup dans le ventre, ce qui avait l’air douloureux ! Ma mère est alors rentrée dans la chambre et elle s’est mise à nous engueuler. Elle nous a dit de nous lever et d’aider le père de Khaled. Mon érection, que je cachais, est vite retombée.
Aucun des frères de Khaled a refait une allusion à cet accident. Mais Khaled lui-même m’a pris à part durant la journée pour me dire :
- Je suis désolé pour ce matin.
- Y a pas de soucis. Tu es jeune, c’est les hormones !
- Oui, dit-il en rigolant. Et toi alors ?
- Je ne suis pas jeune ?!
- Si, si... Mais tu as raison, c’est les hormones... et en plus, avec une maison si pleine...
- Pas facile de se soulager ?
- Exact.
- Je connais le problème...
- Ah oui ?
- Oh oui... Normalement, j’ai de gros besoins...
- Ah... je me doutais pas. Dis... et si on se faisait plaisir ensemble ?
- Tu veux dire... se branler ensemble ?
- Oui.
Je me suis s’est mis à rire. Khaled avait de l’audace... ou peut-être que mes 26 cm l’intriguaient. Il les avait observés intensément au moment où on s’est réveillé. Il a repris :
- Ça fait longtemps que j’ai pas fait ça !
- Ah oui, avec qui c’était ?
- Avec Mohammed, mon grand frère. Mais ça fait un moment.
- Ok
- Par contre, j’ai bien envie de me vider... Viens, je connais un endroit où on sera tranquille.
Khaled m’a emmené dans une minuscule maison en pierre qui tombait en ruine, à un quart d’heure de marche de la maison familiale. Moi, je me suis installé sur un pierre et j’ai sorti mon morceau qui, même au repos, avait l’air d’impressionné mon cousin. Il m’a ensuite regardé dans les yeux :
- C’est pas mal ce qu’on fait, hein, Bachir ? Entre cousins...
- Non, Khaled. Tu t’es bien branlé avec ton frère, non ? Alors ?
- Oui mais c’était il y a longtemps. Je suis un homme maintenant... je devrais baiser des meufs...
- Non, tu ne pourras baiser qu’une meuf, ta femme. Ce sont les règles ici ! Mais tu sais, chez nous, avant le mariage, pour se soulager, on peut passer par un autre trou !
- Comment ça ? Par le cul ? C’est pas défendu ?
- En théorie... mais dans la pratique, beaucoup le font.
- Dans un cul de meuf ! Putain !
- De meuf ... ou de mec !
- Quoi ? C’est pas vrai !?
- Si ! Tant que ça reste dans le non-dit.
- Et toi, tu l’as déjà fait ?
- Oui.
- Raconte.
Khaled a alors inconsciemment porté sa main à son entre-jambe qui s’était mise à grossir. Je lui ai alors raconté comment j’ai enculé pour la première fois un camarade de classe ... qui est ensuite devenu un pote régulier de baise. En reparlant de ça, je me suis mis à bander. Je me suis alors déshabillé et Khaled m’a imité.
Khaled avait des cheveux mi-longs, frisés, noirs et mal coiffés. Il avait l’ombre d’une petite moustache. Il avait une peau sombre et un corps mince, un peu musclé. Son torse ainsi que son ventre étaient recouverts de poils épais et frisés qui formaient un tapis. Ses bras et ses jambes étaient aussi bien poilus. Son pubis était extrêmement étendu, velu, avec des poils noirs, drus et longs, formant un vrai buisson de poils noirs. Il avait une bite épaisse marron foncée de bien 22 cm. Elle était recourbée vers l’avant avec un gland rosâtre. Il avait de grosses boules bien remplies, presque noires, extrêmement poilues.
Quant à moi, j’avais des cheveux sauvages et touffus, noirs, une moustache fournie, j’étais mince, sans être vraiment musclé. J’avais énorme morceau de 26 cm avec d’énormes couilles noires et poilues ! Mon pubis surplombait ma queue, il était extrêmement velu avec des poils longs, noirs et frisés.
J’ai alors vu Khaled saisir sa queue et la branler doucement. Son gland était gonflé à bloc et sa bite presque noire était dure. Je l’ai imité. Khaled fixait ma bite pendant que je racontais l’histoire. Puis à la fin, il a dit :
- Eh ben ! J’aurais jamais cru ça possible.
- Je sais. Mais tu le dis à personne !
- T’inquiète ! (Après un silence, il reprend) : Ta bite est vraiment énorme ! Ça a dû faire mal au mec !
- Au début oui. Puis, j’ai fait attention et lui, il s’est fait à la taille de mon engin !
- Elle fait combien ?
- 26 cm.
- Elle est énorme !
Fier de mon morceau, je le branlais tout en tirant sur mes couilles. On se masturbait avec des mouvements réguliers et plutôt lents. J’admirais ton père qui avaient écarté les jambes. Ses couilles étaient vraiment énormes et elles pendaient lourdement entre ses jambes. On se branlait tout en matant la queue de l’autre.
- Raconte-moi une autre histoire.
- Avec un mec ?
- Oui !
Je lui ai alors raconté ma baise avec un mec rencontré dans un bar, mec qui était très efféminé. Pendant mon récit, Khaled se branlait tout en dévorant ma bite des yeux.
- Tu peux la toucher, si tu veux, proposais-je.
Sans rien dire, Khaled s’est approché et, impressionné, il a actionné mon manche.
- Elle est énorme, ne cessait-il pas de répéter.
- La tienne est pas mal non plus !
J’ai saisi sa bite et on s’est retrouvé à branler la queue de l’autre pendant que je continuais de raconter mon histoire. Au bout de quelques minutes, Khaled a été le premier à jouir. Il a giclé 5 grosses giclées qui ont formé un arc-de-cercle au-dessus de sa tête et qui sont retombées sur le sol devant nous. J’ai gardé sa bite en main pendant qu’il continuait de me branler. Excité par cet instant de mon cousin qui masturbait ma grosse queue, j’ai éjaculé une dizaine de giclées qui ont éclaboussé le sol et les murs de la petite pièce.
Sur le chemin du retour, on a gardé le silence. Quelques jours plus tard, Khaled m’a dit :
- C’était bien de se branler ensemble.
- Oui, c’était génial. On refait ça un de ces jours ?
- Avec plaisir. Mais ... tu sais... tes histoires me traversent sans arrêt la tête.
- Ah oui ? Les histoires avec les mecs ?
- Oui. Tu diras à personne ce que je vais te dire ?
- Bien sûr !
- C’est peut-être bête... mais ça m’a donné envie d’essayer.
Un silence gêné s’est alors installé.
- Tu aurais envie d’être à la place de mes mecs ?
- Oui...
- Si tu as vraiment envie, essaie d’abord de te doigter... pour agrandir ton trou... Je ne veux pas te faire mal.
- Ok !
On n’a plus reparlé de ça pendant les semaines qui ont suivi. On se branlait de temps en temps ensemble. Les nuits étaient plus tranquilles et on dormait toujours en cuillère. Ses frères avaient arrêté leurs allusions. Et une nuit, alors que je dormais, je me suis senti tiré de mon sommeil. Je bandais comme un fou... et j’ai remarqué que Khaled était en train de se frotter à ma tige. Alors, je me suis remémoré son cul bien bombé et poilu. Je l’avais bien maté quand il s’était mis à poil. J’ai alors entendu que Khaled se crachait de la bave dans la main avant de la passer dans son trou. Je me suis demandé s’il allait vraiment faire ça, ici, alors que ces frères dormaient à côté. Ma grosse queue frôlait ses fesses... nues. Il avait baissé son caleçon ! Il est revenu au bout de quelques minutes et il a plaqué ma queue contre sa raie velue et il a fait des va-et-vient dessus. Ma bite durcissait toujours plus.
Puis, Khaled a saisi ma queue et il a placé lentement mon gland contre son trou. Il y a alors fait glisser lentement mon gland puis ma teub. Je devais me retenir de gémir... Son trou était si serré ... mais si bon ! Je le sentais se crisper et ressortir ma bite plusieurs fois... avant de la renfoncer en lui. Il lui a fallu bien 15 minutes pour s’empaler entièrement sur mon manche. J’ai poussé un petit soupir de plaisir quand j’ai senti son cul atterrir contre mes poils pubiens. Il s’y est habitué, puis il a commencé à faire des allers-retours sur ma queue. Au bout de quelques minutes, je l’ai pris dans mes bras, ce qui l’a fait tressaillir, je l’ai embrassé dans le cou et j’ai pris la direction des choses. Je lui ai murmuré à l’oreille :
- Tu as trop bien pris ma queue ! Personne n’a jamais réussi comme ça !
- Je me suis entrainé avec un concombre pendant des jours !
Le mec m’impressionnait. Il devait avoir planifié tout ça ! Il avait vraiment envie de ma queue ! Ceci m’a donné un coup de fouet et je me suis mis à le baiser tandis que ses frères dormaient. J’ai saisi sa queue molle et je me suis mis à la branler.
- Ça va ?
- Ça fait mal... mais je crois que je m’y habitue !
J’avais le cul de mon petit cousin empalé sur ma queue ... qui bandait encore plus, rien qu’à l’idée ! Je coulissais lentement en lui, retirant un ou deux centimètres de ma queue avant de les renfoncer. Khaled respirait fort. J’entamais un rythme de baise lent.
- Tu es en train de me baiser, Bachir ! C’est tellement bon !
Mes mouvements sont devenus alors plus rapides et amples. Mes couilles venaient buter contre son cul à chaque pénétration. Très vite, j’ai senti l’orgasme monter en moi. J’avais sa bite en main et je la branlais à fond. J’ai retenu un gémissement quand j’ai senti ma queue se durcir et gicler dans son cul. C’était comme si ma bite ne pouvait plus s’arrêter de juter. J’ai compté près de 20 jets qui sont sortis fort pour mitrailler ses entrailles. Je sentais le sperme envahir son anus et ma bite se retrouvait en train de baigner dans ma semence. Presqu’au même moment, Khaled a aussi joui. Son sperme a fusé en de longs jets dans le lit.
Une fois notre orgasme passé, on est resté pendant un bon moment ainsi. Ma queue a rétréci et elle a quitté son anus qui dégoulinait de sperme. Je lui ai finalement murmuré à l’oreille :
- Je peux pas croire qu’on a fait ça !
- C’était magnifique, Bachir !
Je l’ai alors pris dans mes bras et on s’est câliné. Le lendemain, on a fait comme si de rien n’était. Je suis resté pendant 4 mois dans la maison et Khaled et moi avons baisé ensemble dès qu’on en avait l’occasion. Ce furent des moments magiques pour moi. Mais après, je me suis marié, lui aussi et on a trouvé peu d’occasions pour se revoir et faire l’amour ensemble. »
- C’était une belle histoire, Bachir, dit Walid.
- Oui. Donc ton père n’est pas fermé à tout ceci ! Tu es sûr que tu ne veux pas en profiter ?
- Non, je ne veux pas baiser avec mon père.
- Pas de soucis. Mais moi, par contre, je peux te baiser...
Walid regarde la bosse qui s’est formée dans le pantalon de son oncle... et il la saisit pour s’amuser avec.
Khaled et Bachir restent 5 jours chez Walid et Malik avant de retourner au Maroc. 5 jours où Walid les laisse souvent seuls pour qu’ils s’amusent ensemble... car ils lui rappellent son cousin et lui.
Mais les deux cousins sont soulagés quand ils se retrouvent seuls dans l’appartement. Cependant, trois jours plus tard, Walid reçoit un SMS de son frère, Ibrahim : « Salut, petit frère. Je suis à Paris pour le boulot la semaine prochaine. Je viendrai faire un crochet par chez toi ! »
- Oh putain, s’exclame Walid...
A suivre…
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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