Le Blédard | Saison 1 | 7

7 | Nuit câline 1

Dès la distribution de céfrans faite, Sylvain a pris Sofiane par la main et l'a emmené jusqu'à l'ascenseur où ils sont montés en silence.
Sofiane avait quand même un peu d'appréhension de se retrouver seul avec ce céfran qu'il venait de niquer. Il était souriant et Sofiane l'a observé le temps qu'ils arrivent à l'étage.
Des cheveux mi-longs frisés bruns, des yeux marrons foncés, entourés de longs cils, belles lèvres qu'il avait envie d'embrasser maintenant, visage fin, il voyait bien que la barbe commençait à pousser, le corps il s'en souvenait, bien qu'il ne l'ait pas vu en détail, plutôt le cul et le dos.

Il a l'air content d'avoir été choisi par Sofiane et dès qu'ils sont entrés, il propose de boire un verre.
-on l'a bien mérité dit il en souriant.
Dans la grande pièce, il y a un bar dans un coin avec deux hauts tabourets.
-installe toi, tu veux une bière ou autre chose ?
-non une bière ça ira.
Il sert les verres, en tend un à Sofiane et reste debout près de lui. Ils boivent en silence en se regardant.

Sylvain repose son verre et sa main vient se poser sur la cuisse de Sofiane, juste se poser à plat sans le caresser et le regarde :
-t'as eu l'air surpris quand Azzedine t'a demandé de choisir une personne, tu ne savais pas que ça se terminait comme ça ?
-non dit timidement Sofiane.
-t'es déçu ?
-oh non dit Sofiane en posant sa main sur celle de Sylvain, si je t'ai choisi c'est que vraiment tu me plais, tu sais!
-merci dit Sylvain en posant sa joue sur son épaule, toi aussi tu me plais, t'es pas comme les trois autres on dirait, même dans ta manière de niquer, t'es pas aussi dur et possessif, mais tu as été surpris de voir que ton gros zob entrait facilement.
-oui dit Sofiane.
-tu sais on se tartine le cul pour ne pas avoir mal avec certains rebeux tellement ils sont brutaux, mais toi je suis sûr que tu aimes la tendresse.

Sofiane le regarde sans répondre.
-moi aussi j'aime la tendresse, les caresses et surtout les bisous, les baisers tu sais avec la langue bien humide.
Il l'excite ce brun.
-mais tu ne serais pas en train de m'exciter là ? demande Sofiane en souriant.
Sylvain rigole.
-je suis sûr que si j'me fous à poils j'ai plus besoin de t'exciter!
-c'est vrai que j'ai trouvé que t'avais un cul bien doux, comme ta bouche d'ailleurs dit Sofiane en caressant sa joue.
-d'où le surnom que m'a donné Azzedine et les autres. Tu veux le revérifier ?
-bien sûr dit Sofiane qui sent que son zob cherche la sortie, on est bien venu pour ça non ?

Sylvain sourit de son plus beau sourire, et ses yeux deviennent encore plus coquins, vicieux même :
-et mon rebeu préféré veut quoi maintenant de la salope qu'il a choisi ?
Sofiane prend sa tête entre ses mains et approche sa tête :
-Sylvain c'est pas parce que t'aimes te faire niquer et obéir aux rebeux que t'es une salope pour moi, je te trouve beau et j'ai envie de te connaître plus, de connaître ton corps des pieds à la tête et que tu connaisses le mien aussi.
Il voyait bien dans les yeux du céfran l'étonnement se faire.
-alors tu as bien un lit pour déshabiller ton rebeu et voir tout ce qui t'intéresse sur son corps ?

Les bras de Sylvain se referment sur le corps de Sofiane qui lâche sa tête et vient coller sa joue à la sienne. Il pique un peu le brun, mais l'odeur du mâle arrive au nez de Sofiane, il sent les lèvres de Sylvain lui faire un bisou sous l'oreille, alors il en fait autant et à chaque bisou qu'il reçoit il le rend jusqu'à ce que les belles lèvres du céfran viennent en face des siennes, presque à se toucher, les yeux sont vitreux de désirs et c'est Sylvain qui ferme les siens en épousant les lèvres du rebeu.
Sofiane serre Sylvain dans ses bras, il est comme Cédric pense t-il, et sa langue entre dans la bouche de Sylvain et quand les langues se mélangent c'est pour gémir tous les deux ensemble en se serrant encore plus, faisant relever Sofiane qui plaque son pubis à celui du céfran. Ils bandent tous les deux.

Les tee-shirt sont virés, les bouches se retrouvent, les gémissements continuent, les mains ne peuvent plus rester en place et caressent les corps, pendant que les salives changent de camps et que les langues sont essorées.
Quand Sylvain revient mettre sa tête dans le cou de Sofiane c'est pour dire :
-j'adore embrasser un rebeu, j'adore ta langue Sofiane, ta salive, tes lèvres, ta douceur, t'es beau Sofiane, t'es le plus beau des rebeux qui est entré chez moi!
Il sourit Sofiane, fier de s'entendre dire cela, et caresse sa joue :
-mais mon céfran préféré ne veut vraiment pas me montrer son lit ?
Sylvain rigole, se décolle de lui, le prend par la main :
-viens mon rebeu adoré, je vais m'occuper de toi comme tu le mérites.

L'appréhension de Sofiane de se retrouver seul complètement avec un céfran avait disparu transformée en plaisir de pouvoir faire ce qu'il avait envie sans que personne de ses nouveaux potes ne soient au courant, même Ahmed.

Sylvain lui plait de plus en plus, certes il l'a niqué avec force, mais maintenant il aime la façon dont il se comporte. Il s'attendait à se retrouver à poils rapidement et être examiné comme une bête de foire. Là le mec prenait son temps comme si effectivement il allait faire ce qu'il venait de dire, en tout cas lui Sofiane avait envie vraiment de découvrir ce nouveau céfran.
Mais il se laisse faire comme s'il était timide, ce qu'il est un peu effectivement.

Ils sont torses nus tous les deux dans la pénombre, debout devant le lit, il y a juste une petite lampe de chevet qui éclaire la scène.
Sylvain le fixe en s'avançant venant coller son torse au sien, passe ses bras sous les siens et vient coller sa tête dans son cou.
Il l'entend le respirer en même temps que ses mains caressent son dos lentement, doucement transmettant leur chaleur. Machinalement les mains de Sofiane en font autant.

Les torses bougent imperceptiblement l'un contre l'autre, les pubis en font autant et à travers les tissus ils savent qu'ils bandent l'un pour l'autre.
La tête de Sylvain bouge sous son cou, ses lèvres glissent dessus, remontent sur son menton... Sofiane ne bouge plus et le laisse s'accaparer de ses lèvres avant de jeter sa langue sur la sienne.
La bataille des langues est féroce, la salive coule des bouches sur les mentons, les soupirs, les râles se font de plus en plus nombreux, comme les bras serrent les corps à les étouffer.

Sylvain pousse un long soupir en se séparant de sa bouche, le regarde en souriant et le fait reculer vers le lit, ses mollets ne peuvent aller plus loin et d'un coup de hanches Sylvain se dégage de ses bras en le poussant sur le lit où il tombe à la renverse.
Aussitôt Sylvain s'agenouille entre ses jambes et lui enlève ses TN et devant les yeux étonnés de Sofiane, il les sent en fermant les yeux. Puis il enlève les chaussettes, les regarde, les sent également avant de les jeter sur les chaussures et se met à lui caresser les pieds tendrement, les pouces sur la plante vont et viennent en appuyant. C'est doux et très agréable et Sylvain fait comme Cédric, un malin plaisir de lécher ses deux pieds avant de s'attaquer au pantalon de survêt.

Vite fait Sofiane se retrouve en boxer, il veut bouger son gros zob, mais Sylvain lui fait les gros yeux et lui tape sur la main, le faisant rire.
Ses lèvres repartent sur ses mollets, ses cuisses, tout est léché, respiré et quand le nez arrive aux couilles toujours prisonnières, Sylvain le colle en appuyant dessus et le sniff comme un malade avant de suivre de ses lèvres le gros zob qui a encore pris de l'ampleur.
Sylvain baisse rapidement le boxer, Sofiane soulève ses fesses et le boxer va rejoindre les chaussettes. Il voit Sylvain regarder son zob, le suivre des yeux, le regarder :
-j'ai pris tout ça dans mon petit cul ?
Sofiane rigole.
-ben oui et comme tu l'avais graissé c'est rentré facilement!
-ça je l'ai senti, mais putain quel belle queue tu as. Tu sais que j'ai vachement aimé quand tu m'as baisé Sofiane, j'ai eu mal mais tu as fait ça pas comme un bourrin de rebeu, tiens comme Azzedine, que j'aime beaucoup, faut toujours qu'il baise avec dureté!

Le corps de Sylvain remonte sur celui de Sofiane et vient pratiquement bouche à bouche :
-mon beau rebeu blédard n'avait il pas dit qu'il voulait me découvrir des pieds à la tête ?
-oui mec, j'ai envie d'essayer quelque chose avec toi, si tu veux bien.
-c'est quoi ?
Il baisse les yeux et hésite à répondre.
-faut pas être gêné avec moi Sofiane, je ferais tout ce que tu désires !
-je voudrais faire ce que tu viens de me faire.
-tu veux finir de me déshabiller ? eh bien alors vas-y le blédard, dessape la salope de céfran qui est à tes ordres et tes désirs.

En même temps qu'il disait cela il avait roulé sur le lit, les bras en croix, les jambes dans le vide.
Sofiane se redresse, descend du lit et vient s'agenouiller entre les jambes du céfran surpris, il lui enlève ses chaussures, les sent également, bon ça sent un peu les pieds, enlève les chaussettes, les sent également, ça sent rien de particulier pense t-il. Et il prend son premier pied entre ses mains.
Il n'a jamais fait attention à l'anatomie d'un pied, et ne saurait dire si un pied est beau ou pas, mais là de passer sa main dessus, dessous, de le prendre entre ses mains et de masser des pouces la plante des pieds, de voir les orteils bouger, s'écarter même et ce gros orteil qui semble le narguer comme une bite bite qui demande à être sucée.

Alors il ose, il ose car il est seul avec Sylvain qui voit son pied s'approcher du visage du rebeu qui le sent, touche son gros orteil avec ses lèvres qu'il passe ensuite sur les autres orteils et pour Sofiane l'envie est là, ses lèvres s'écartent sur le gros orteil et descendent doucement, l'enveloppant, le serrant délicatement pendant que sa langue le touche, l'enveloppe et le noie dans la salive qu'il avale pour ne pas qu'elle coule partout.
C'est vraiment comme un petit zob et il se surprend à le sucer en serrant bien ses lèvres dessus.

Le second pied libre vient se poser sur son torse, le gros orteil sur un téton raide et à chaque fois qu'il suce l'autre orteil, l'autre frotte son téton durement.
Cela devient un jeu excitant apparemment pour les deux.
Quand Sofiane change de pied c'est pour refaire la même chose sur l'autre téton. Il finit par embrasser les pieds avant de s'attaquer au jean qui va exploser.

Il défait les boutons, tire sur le jean, lui retire et comme il venait de lui faire, observe ce qu'il voit, la belle queue prisonnière au fond qui palpite dans le boxer et devant de belles cuisses fermes recouvertes de poils noirs, ses deux mains caressent les cuisses et il vient respirer le céfran... pour voir, pour comprendre pourquoi eux le respirent le comme ça.
Il a la surprise de constater que ce céfran ne sent pas comme Cédric, ni comme Justin les blonds et encore moins comme ses potes rebeux qui pour lui sentent tous la même chose.

Il voit la queue qui bouge dans le boxer comme si elle cherchait à se sauver, ses lèvres viennent sur les cuisses et prennent les couilles à travers le boxer, faisant sursauter Sylvain.
Il lui retire le boxer, libérant la belle queue humide qui coule sur son ventre.
Il regarde la bête, les couilles remontées le long de la hampe, cette belle tige bien droite allongée sur le ventre légèrement poilue sortant d'une touffe de poils frisés, le gland à moitié découvert et la mouille qui coule.
Il enregistre que ça sent le zob, la pisse, le jus et ses doigts viennent relever la queue qu'il prend dans sa main, la serrant un peu.

Il dégage le gland, regardant le prépuce reculer, le gland se dessiner, le méat grand ouvert déverse la mouille claire en continue. Il trouve le gland beau, plus rouge que le sien, il fait revenir le prépuce et la mouille se sauve sur ses doigts, d'un coup de langue il la récupère et là il ne voit pas le regard de Sylvain plus qu'étonné.

Sofiane s'amuse avec la queue du céfran, le branlant doucement pour voir apparaître le gland, donner des coups de langue jusqu'au moment où il en a vraiment envie de cette queue qu'il la prend entre ses lèvres et aspire toute la mouille, avant que sa langue n'entre en course et que ses lèvres descendent doucement sur la hampe jusqu'à ce qu'elles se perdent dans la toison frisée. Il sent le gland, le prépuce toucher son fond de gorge, les larmes venir dans ses yeux mais il est content d'avoir cette queue et heureux que le céfran ne bouge pas, qu'il le laisse faire.

Tu parles qu'il ne bouge pas Sylvain, il s'attendait à tout mais pas de se faire sucer comme ça, un rebeu qui suce un céfran c'est rare, mais qui prend plaisir à lui avaler sa mouille! Il va aller jusqu'où pense Sylvain qui sent le plaisir arriver à grands pas, peut-être qu'il devrait le prévenir.

Et c'est ce qu'il fait en disant juste :
-je crois que je vais juter Sofiane!
L'intéressé lève les yeux sur lui sans répondre car il ne lâche pas sa queue et au contraire continue de le sucer avec encore plus de véhémence tenant ses couilles d'une main.
Quand le plaisir est arrivé, les fesses de Sylvain se sont soulevées et il a giclé son premier jet en gueulant. Il a bien senti que les lèvres du rebeu ne cédaient rien et que le blédard avalait tout ce qu'il donnait. Car il n'y a pas eu qu'une giclée et Sofiane a tenu le coup.

Quand il a lâché la queue pour regarder Sylvain, il avait des traces de sperme sur les lèvres. Sylvain s'est assis dans le lit et est venu lui lécher. Sofiane avait fermé les yeux en se laissant faire en souriant et c'est lui qui a embrassé le céfran, plongeant sa langue dans sa bouche et l'allongeant sur le lit entre ses jambes.

Le baiser humide s'est poursuivi un long moment, les caresses n'arrêtaient pas comme les soupirs et les petits gémissements jusqu'à ce que Sylvain bloque sa tête entre ses mains, le regarde tout sourire :
-tu sais ce que j'aimerais maintenant le blédard ? eh bien que tu me niques maintenant comme t'as fait à la cave, sans préparer mon cul qui en a vu d'autres, tu sais il le connait ton zob maintenant que tu l'as visité, mais tu vas me faire ça comme tu aimes Sofiane, j'suis sûr que tu as ta façon à toi de niquer et après j'aimerais une autre chose, que tu me lèches bien le cul !
Sofiane le regarde en souriant :
-mais c'est exigeant un céfran et monsieur voudra autre chose ?
-je vais réfléchir dit Sylvain sérieux, mais je veux que tu me niques et que je te regarde dans les yeux en même temps, c'est encore plus bandant de se faire niquer comme ça par un beau rebeu.

Le baiser reprend et Sofiane sent les jambes du céfran l'entourer.