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Chapitre 7
La dernière fois que j’ai baisé avec Pierre, il a continué à me raconter comment son frère jumeau, lui-même et son père ont commencé des relations sexuelles suivies après la découverte de plaisirs intimes ensemble. Il m’a ensuite dit qu’il me raconterait la fois suivante comment Gaël et lui ont commencé à baiser ensemble avec d’autres mecs.
« Un an après les évènements que je t’ai racontés la dernière fois, je suis entré dans une période où j’ai pris conscience qu’il fallait que je fasse plus de sport. Je me trouvais laid, gras, je voulais enfin me plaire à moi-même. Je prenais bien sûr mon frère jumeau comme modèle. En quelques mois, j’ai pris de la masse musculaire. J’étais content du résultat, je n’étais plus une boule de graisse.
Fini le lycée, je suis entré à l’université. J’ai débuté des études de lettres modernes. J’avais beaucoup de temps de libre... où j’étais censé bosser, me cultiver, etc. Mais je passais une grande partie de mon temps à baiser. Je ne pensais qu’à ça, sans arrêt ! Et cette période a débuté ainsi :
Un samedi soir, mon père et moi étions seuls à la maison alors que mon frère était à un match de rugby. J’étais dans ma chambre en train de bouquiner quand une envie soudaine m’a prise et je suis allé dans la chambre de mon père. Il était déjà au lit, en train de regarder la télé. J’ai repoussé ses couvertures, j’ai baissé son caleçon et je me suis approché de sa queue molle. Je l’ai humée : elle sentait bon le savon. Je l’ai immédiatement enfoncée dans ma bouche et elle s’est mise à gonfler. Je l’ai regardé droit dans les yeux. Mon père savourait le moment, les yeux fermés.
Il avait les cheveux très courts, coupés à la militaire, grisonnants et une barbe. Il était baraqué, avec un gros ventre rebondi et des « seins » bien marqués… mais tout était ferme. Il était poilu d’un peu partout (sur les avant-bras, les jambes, le torse et le ventre, sur le sexe et le cul) avec des poils grisonnants. Il avait le tatouage d’un dragon sur le bras gauche et un autre sur le bras droit d’un ours. Sa bite faisait 16 cm… et elle était super large.
Sa queue était maintenant bien dressée. Je lui faisais des gorges profondes. Très vite, il m’a fait remonter vers lui et il m’a roulé une grosse pelle. Il s’est mis à me peloter les fesses. Il a ouvert mon pantalon, il l’a fait glisser le long de mes genoux et il a pris ma bite en main, toujours en m’embrassant. Il s’est reculé et il m’a dit :
- Pierre, tu es magnifique. Ton corps est superbe.
J’avais 20 ans, j’étais grand, poilu et baraqué, avec des épaules très carrées, des biceps bien épais, un torse énorme et des cuisses tout en muscles. Mon ventre était bien dur, un mélange de muscles et de graisse.
Ses mains se sont mises à me caresser sur tout le corps. Il s’est ensuite mis à genoux et il a pris ma queue en bouche. Il m’a bien sucé, comme d’habitude, tandis que ses mains me malaxaient le cul. Puis, il s’est redressé, il m’a retourné et il m’a fait un bon anulingus. Sa langue me titillait ma rosette avant de rentrer dans mon anus en faisant des cercles. Je gémissais fort. Sa main droite branlait doucement ma queue tendue.
Ensuite, il s’est posé sur le lit et je suis resté à quatre pattes. J’ai repris sa bite en bouche et j’ai repris mes gorges profondes. Après 5 minutes, il s’est levé, il a pris un tube de gel et il en a mis sur sa teub. Il s’est posé derrière moi et il m’a enfoncé lentement sa queue dans le trou. Elle m’ouvrait bien. Il s’est mis à me baiser lentement tout en déposant des baisers dans mon cou. Ses mouvements de reins étaient sensuels. Son gland me massait bien la prostate.
Puis, il s’est mis sur le dos et j’ai chevauché sa queue. Je montais et descendais sur sa teub qui me faisait vraiment du bien. Ses mains me caressaient le corps et jouaient avec mes poils. Ma queue tendue se balançaient d’avant en arrière contre mon ventre. Il s’est ensuite mis à agripper mes hanches et il m’a aidé à monter et descendre sur sa bite. Je sentais son gros gland me labourer le conduit. Mes couilles cognaient et rebondissaient contre les siennes.
Epuisé, au bout de 20 minutes, je me suis levé. Il m’a alors mis sur le dos. J’ai levé mes jambes et il a introduit sa queue en moi. Il était debout. Il a commencé à donner des coups de reins puissants. Mes jambes étaient posées contre son corps, ses poils me chatouillaient. Je sentais bien son gros gland aller et venir dans mon anus. Il m’a baisé pendant une dizaine de minutes avant de me féconder. J’ai bien senti son sperme chaud envahir mon conduit.
- Tiens, mon fils, je te mets enceinte ! Tu sens bien le jus de ton paternel ?
- Oh oui ! C’est trop bon !
Il s’est retiré de mes entrailles et le jus bouillonnant est sorti par vagues hors de mon cul. Mon père s’est posé contre moi et il m’a embrassé. Je me suis branlé et j’ai éjaculé sur mon ventre. Je suis allé dans la salle de bain. Je ressentais malgré ma jouissance un sentiment en moi qui n’était pas passé : je me sentais toujours en rut. Je me suis alors décidé de faire chercher un plan demain aux aurores.
Après une brève toilette, je suis retourné dans son lit et mon père et moi nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. J’ai entendu mon frère rentrer vers 2h du matin. Mais je me suis vite rendormi, la tête posée sur la poitrine imposante de mon géniteur.
Le lendemain, je me suis levé vers 7h et j’ai laissé mon père dormir tranquillement. Il en avait besoin. J’ai pris mon ordi portable et je suis descendu pour prendre un café avant de commencer à chatter. J’ai retrouvé Gaël qui était déjà en train de prendre son petit-déjeuner. On s’est salués. Je me suis fait un café et je me suis assis à table. Gael a commencé à faire la conversation.
- Alors, c’était bien hier ? Tu as fait quoi ?
- Rien. J’ai un peu bossé pour la fac... et j’ai baisé avec papa.
- Ah cool !
Après un petit silence, il a repris la parole :
- Tu ne me demandes pas ce que j’ai fait ?
Je l’ai regardé, mystérieusement. Il avait un sourire coquin.
- Tu as fait quoi, toi ?
- Ah rien. On a gagné notre match...
- Ah super !
- ... et j’ai sucé un mec après le match.
- Quoi ? C’est vrai ?
- Oui !
- Raconte !
- Avec plaisir, a dit Gaël, avec un sourire espiègle. Dans mon équipe, il y a un mec qui s’appelle Youness. Il m’a toujours fait de l’effet. Il est vraiment mignon. Et je peux te dire qu’il a une bonne queue qui pendouille entre ses jambes. J’ai toujours adoré le mater discrètement. Il est super bien foutu ! Un rêve. Mais hier donc, on a gagné. C’était vraiment la fête. Notre entraineur a même sorti le champagne. On s’est ensuite tous douchés et une fois habillés, on s’est donnés rendez-vous au bar du coin. Mais au moment de quitter le stade, une fois dehors, un pote déjà bien éméché m’a plaqué et je suis tombé dans une flaque. J’étais recouvert de boue. Je suis donc allé reprendre une douche après avoir dit aux autres que je les rejoignais. Surprise, dans le vestiaire, j’ai remarqué qu’il restait encore un sac. L’eau coulait dans les douches. J’y suis aussi rentré et j’ai vu alors que Youness était en train de se doucher. Il m’a regardé et il m’a demandé ce qui m’était arrivé... ce que je lui ai raconté. Il m’a ensuite confié qu’il n’aimait pas ces beuveries et qu’il avait préféré attendre que tout le monde soit parti pour prendre sa douche en paix. Un silence s’est ensuite installé. Moi aussi, un peu alcoolisé, je n’ai sûrement pas dû être aussi discret que d’habitude. Je matais sa bite avec insistance. Il est vrai qu’elle était longue, elle pendouillait bien et elle me donnait envie. Youness s’est rincé et il est sorti des douches, nu. Quelques minutes plus tard, une fois décrassé, je l’ai rejoint. Je l’ai trouvé assis, toujours à poil, sur le banc. Je me suis assis à côté de lui et je me suis séché les cheveux tout en matant sa bite. J’avais le regard fixé dessus. Elle me faisait tellement envie ! C’était un morceau énorme, circoncis, encore mou qui me troublait vraiment. Puis j’ai repris mes esprits et j’ai regardé Youness qui ne bougeait pas. Je lui ai demandé ce qui lui arrivait. Il a répondu, le regard fixé sur le carrelage : « Tu es PD ? ». J’ai tout de suite nié. « Sûr ? Car je t’ai souvent vu en train de mater ma queue. Elle te fait envie ? » « Quoi ? Mais non, c’est ... non... j’ai une... » « Tu peux la toucher si tu veux... Je le dirai à personne ». Je l’ai alors regardé, complètement déboussolé. Youness fixait toujours le sol. Et aidé par l’alcool, j’ai tendu lentement ma main vers la grosse queue. Je l’ai frôlée. Puis je l’ai soupesée. Elle était bien lourde. J’ai alors saisi sa tige et j’ai commencé à le branler. Il se laissait faire, les yeux fermés. Puis il a dit : « Vas-y, suce-moi. ». J’ai pris alors sa bite en bouche et elle s’est immédiatement mise à grossir ! Il a un putain de morceau entre les jambes. Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il jute dans ma bouche. Il avait une grosse pression dans les couilles car j’ai eu du mal à tout avaler tellement il y avait de sperme !
A la fin de son récit, Gaël a ajouté :
- Je l’ai invité mardi après les cours...
Il me disait ça avec un grand sourire. Mais Gaël ne m’en dira pas plus, malgré mes questions pressantes.
Le jour J, après les cours, vers 17h, je me suis assuré que notre père était absent. Je me suis préparé. J’étais tout excité à l’idée que mon frère m’ait organisé un plan suce avec un mec. Ils sont arrivés vers 17h30 et j’ai alors fait la connaissance de Youness. Il était encore plus beau que Gaël l’avait décrit ! Il avait un sourire charmeur qui me faisait fondre. Il était grand et mince.
On est resté dans le salon, sur le canapé. Gaël nous a servi des boissons et on s’est mis à l’aise, on a un peu discuté. Je remarquais que notre invité trépignait d’impatience. Gaël a dû s’en rendre compte aussi car il a vite dit :
- Et si on commençait ?
Youness s’est alors levé et il a enlevé ses vêtements. Nous aussi, nous avons gardé seulement notre caleçon. Le rebeu s’est rassis et nous nous sommes mis à genoux devant le mec. En effet, il avait un beau morceau !
Youness avait un visage très avec des lèvres charnues, des yeux verts perçants. Ses cheveux étaient noirs, touffus et crépus. Il avait un joli corps aux muscles bien dessinés, imberbe (à part au niveau du pubis). Sa peau était légèrement bronzée. Entre ses jambes, il y avait une grosse queue posée sur deux grosses boules épilées.
Ne pouvant pas y résister, je m’en suis approché et j’ai caressé sa belle bite. Elle était toute douce. Je sentais ma queue s’allonger. J’ai alors passé la langue le long de sa bite qui s’est mise à bander. Le mec avait bien 21 cm entre les jambes ! Gaël m’a imité, s’occupant du côté gauche et moi du côté droit. Puis, je me suis mis à lécher son gland comment si c’était une glace. Puis, j’ai fait passer la bite (devenue dure comme du bois) à Gaël qui a fait de même. Youness savourait notre traitement, la tête en arrière, les yeux fermés, les jambes allongées. Il murmurait de temps en temps :
- Oh, c’est trop bon les mecs ! Vous faites ça trop bien !
Ceci m’encourageait à faire plus. J’ai d’abord suçoté son gland puis j’ai enfoncé son morceau dans ma bouche. Sa queue était grosse mais j’arrivais à la prendre entièrement. Je faisais de lents allers et retours sur la bite. Je lui ai aussi fait des gorges profondes. Je montais et descendais de plus en plus rapidement sur sa queue, ce qui le faisait gémir. Puis, c’est Gaël qui s’est occupé de le sucer. On a alterné sa bite pendant 15 minutes. Pendant que mon jumeau s’occupait de lui, moi je léchais son corps ou je titillais ses tétons. Parfois, quand nos regards se croisaient, Gaël et moi nous embrassions ce qui avait l’air de faire de l’effet à Youness : sa queue frétillait et durcissait.
Quand on a senti sa queue se contracter, Gaël et moi avons mis notre langue sous son gland, prêts à recevoir sa semence. Je l’ai branlé pendant que Gaël lui léchait le frein.
- Putain, je vais pas tarder à cracher !
- Oui, vas-y, donne-nous ton jus !, s’est exclamé Gael
Le gland de Youness s’est raidi et alors, c’était comme si sa bite explosait : le sperme a giclé hors de sa queue et il a alors éjaculé de gros jets qui sont allés tapisser le sol et le mur derrière nous. Mais une bonne partie a atterri sur notre langue. Son sperme avait inondé le séjour.
Gaël et moi nous sommes relevés et nous nous sommes embrassés. Nos langues se sont chevauchées, mélangeant le jus du rebeu. Nous nous branlions en même temps et nous avons joui de gros jets qui ont giclé sur le corps de l’autre. Nos lèvres se sont quittées et on a tout avalé.
- Putain, vous êtes de sacrés jumeaux ! C’était trop bon les mecs !
Crois-moi, Nico, nous avons souvent vidé ce mec ! Et c’est cet épisode qui m’a donné envie de m’inscrire sur un site de rencontre ... et c’est là que j’ai commencé à profiter de mon temps libre. Mais ceci est une autre histoire... »
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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