A la banque
Pour l'honneur de David.
Il y a quatre ans j'étais en France pour visite chez ma tante. Ma visite était prévue pour deux mois. J'avais 23 ans et je venais de prendre ma licence en gestion. Bien évidemment, la France n'est pas le Liban, mon pays natal. Là-bas, je n'avais point de potes, à peine mon cousin, Jérémie. Donc, je me suis appliqué de faire des amis sur la ligne. Le site de Cyrillo était valable pour faire des amis rapides en France. J'ai posté une photo de ma tête et j'ai attendu. Par nature, je suis timide, donc je ne prends pas la première initiative. Jamais de la vie.
Deux jours plus tard, j'ai reçu un message d'un certain David. Un jeune homme de 26 ans, blond, belge mais qui vit en France. En communicant avec lui, j'ai pu comprendre qu'il travaillait à la banque centrale française. Il était le secrétaire du directeur financier. Le fait d'imaginer David dans son costard cravate, me donnait de l'effet. J'aime énormément les mecs en portant leurs costards. Un de mes plus grands fantasmes sexuel était à l'époque de baiser ou d'être baiser par un mec portant le costard à condition qu'il ne l'enlève pas pendant la baise.
Nous nous échangeâmes nos adresses sur msn et nous avons commencé à parler tous les jours pendant des heures et des heures, surtout la nuit quand il rentrait chez lui. Pendant une semaine on se parlait de tout et de rien jusqu'à un jour où j'ai découvert qu'il attendait impatiemment que je sois en ligne et que je me suis rendu compte que parfois il m'appelle " bébé ", ou " beau gars ", ou bien " sexy boy ", etc.
En fait, je savais qu'il était homosexuel, mais j'ai été surpris de m'apercevoir qu'il me draguait. J'ai joué son jeu.
Après deux semaines de chat, il m'informait qu'il y a un séminaire de recrutement auprès de la banque où il travaille et qu'il serait lui-même la personne responsable d'accepter les nouveaux recrutés ou de les refuser. L'idée m'a secoué mais je n'ai rien dit à David.
J'avais en tête l'intention de lui faire une surprise quand il irait me voir entrer de la porte de la banque.
Pendant trois jours, il était très occupé par la préparation au séminaire. Je ne lui ai pas parlé.
Le lendemain du quatrième, à 8 : 00 le matin, j'étais devant la porte de la banque. Un beau garçon m'a ouvert la porte comme il faisait pour tous les clients. Je suis entré en cherchant David par mes yeux partout dans l'entrée de la banque. Sur le comptoir, une jeune fille s'asseyait. Elle m'a accueilli avec un grand sourire me demandant qui je cherchais. Après avoir compris que je suis venu présenter mes papiers pour essayer ma chance d'être recruté à la banque, elle m'a accompagné vers le bureau de David.
David était assis là-bas, une tonne de papiers l'entourait de toute part et il avait une tasse de lait fraîche en main et était en train de la rapprocher de sa bouche pour en boire quelques goûtes.
Nous sommes entrés et la demoiselle de tout à l'heure m'a présenté à David.
A sa grande surprise, David, me voyant, n'a point bougé. Sa tasse s'est collée à sa bouche, ses yeux verts était grands ouverts, ne croyant pas ce qu'il était en train de voir : Moi en chair et en os. Suite à ce spectacle, j'ai souris.
Ayant accomplit sa tâche, la jeune fille a repris sa place sur le comptoir tout en nous laissant, David et moi, l'un en face de l'autre, les yeux de l'un contemplant ceux de l'autre.
Quelques secondes d'étrangeté, tout est allé bien par la suite. J'ai présenté mes feuilles et nous nous sommes mis à bavarder de tout et de rien, infiniment joyeux d'être ensemble dans une même pièce.
Une heure après, trois autres hommes sont venus pour présenter eux aussi leurs applications. J'étais le seul à demeurer dans le bureau de David tandis que les autres ont été dirigés vers la salle de conférence où ils devaient attendre David pour arriver commence la formation.
Vers midi, David était prêt. Nous avons quitté son bureau et rejoint les autres dans la salle. A la fin de la conférence de David, il y avait un petit test que nous devions faire, lequel serait corrigé par David directement vu que nous n'étions pas nombreux pour le premier jour. Les trois hommes ont fini avant moi et sont partis à la salle commune de la banque pour attendre leurs résultats qu'ils devraient récupérer en une demi heure. Je suis resté avec David. A peine j'ai terminé mon test, il l'a corrigé et........j'ai échoué.
J'ai éclaté de rire et répliqué :
Moi : qu'est-ce qui va se passer maintenant ? Est-ce qu'il y a une punition que je dois subir une certaine punition ? Ou bien il y aurait quelque chose que je dois faire pour rehausser ma note ?
David : Mdr.......et il éclata de rire....
Ce rire de David m'a rassuré car il comprenait de quoi je parlais, il a dû sûrement voir un des films X où l'étudiant ayant échoué à l'examen sera pris par son professeur pour qu'il passe l'examen éventuellement.
Je me suis donc approché de lui. Il était assis derrière le bureau. J'ai fait un demi-tour et me voilà directement à sa gauche. Il a fait aussi un demi-tour lui-même avec la chaise et s'est mis directement en face de moi. Ah ! Comme il était beau avec ce costard ! Sa cravate descendait juste à la hauteur de sa bite. Il a écarté ses jambes afin que je voie la cravate cachant sa bite.
J'ai sourit et je me suis approché davantage de lui. Sans rien dire, je me suis mis à genoux devant son siège.
Ses jambes étaient bien écartées à tel point que je ne voyais devant moi que sa cravate et sa bite derrière le pantalon.
David : tu veux vraiment passer cet examen ?
Moi : sûrement.
Et j'ai attaqué sa bite en lui arrachant un " ah " volontaire.
Avec ma salive je n'ai pas tardé à mouiller le tissu de son pantalon bleu qui laissait apparaître sa bite un peu gonflée. J'ai écarté la cravate qui m'empêchait de bien faire mon travail et j'ai ouvert la braguette de son pantalon. A l'intérieur, un joli slip noir enfermait sa bite. J'avais tellement envie de la prendre en bouche. Je l'ai libérée de tout tissu et la voilà devant moi, à mi-bandante, circoncise avec un gland énorme et rouge.
J'avais l'impression d'avoir en main une grande bite quand elle serait tout bandante, j'en étais extrêmement ravi. Je l'ai prise en main et j'ai commencé à la branler. Du coup, la respiration de David est devenue plus rapide qu'avant et il semblait aimer ce que je lui faisais.
Au bout de quelques secondes, ça y est ! Il bandait complètement. J'ai tendit ainsi ma langue pour aller à la rencontre de son gland géant. J'ai pris son sexe en main et j'ai commencé à lécher son gland comme si je l'explorais millimètre par millimètre. Mon travail lui donnait une sensation extraordinaire que je sentais à travers sa respiration qui est devenu saccadée et de plus en plus rapide.
Du coup, David a pris ma tête avec ses mains d'homme, et a poussé afin que sa bite entre dans bouche. Je n'ai pas résisté, j'ai ouvert ma bouche pour la prendre toute entière. Elle a touché ma gorge facilement. Il tenait ma tête si fortement que je ne pouvais pas bouger ni respirer. Je venais d'étouffer lorsqu'il retira ses mains de sur ma tête et sa bite de ma bouche. A peine j'ai repris ma respiration, j'ai remis sa bite dans ma bouche et je l'ai avalée comme si je mangeais une banane délicieuse. Les gémissements de David se sont transformés en hurlements et sa bite gonflait au maximum.
Soudain, la porte de la salle de formation s'ouvrit et trois grandes silhouettes se présentèrent devant la porte. Nous n'avions pas le temps de nous récupérer si bien que les trois hommes s'approchèrent de nous et l'un deux lança :
" Tiens ! Un "orgy' à deux ne peut pas aller "
Quand ils se sont approchés de nous, David et moi avons remarqué que ce sont les trois hommes de tout à l'heure. Ils sont venus récupérer les résultats de leurs tests. Nous voyant dans cette situation, ils ont eu envie de quelques notes de plus sur leurs tests.
Le premier qui s'appelait Ralph s'est approché de David, s'est mit debout derrière lui et lui a lancé une pelle à la bouche. Le deuxième, Marc, avait déjà la bite toute raide et hors son pantalon. Il est venu directement vers moi et me l'a présentée.
Occupé par la bouche et la langue de Ralph, David ne remarquait pas que je ne le suçais plus, si bien que j'ai pris la bite de Marc en main et j'ai commencé à la sucer sauvagement.
Voyant ce spectacle à quatre, le troisième mec, Gab, a voulu s'y introduire. Voyant que David déjà occupé avec Ralph, et moi avec Marc, il s'est dirigé vers la bite de David toujours raide et s'y est attaqué. La salle de conférence fut remplie alors des gémissements de Marc qui était le seul à avoir la bouche vide. Bien qu'étrange, la situation nous plaisait, à David et moi. Tout le monde était toujours habillé et personne ne disait rien. Prenant l'initiative, je me levai et je me suis ôté la jaquette, les autres m'ont imité. Nous étions alors tous en chemise, pantalon et bien sûr cravate : c'était plus confortable. Nous étions ainsi cinq mecs les uns en face des autres, deux d'entre nous avaient déjà la bite dehors. Pour ne pas perdre le temps, j'ai libéré la mienne, Gab et Ralph ont fait de même. Nos yeux furent directement attirés vers Gab. Bien évidemment, il avait la plus grande bite d'entre nous. Elle mesurait environ 22 cm. Marc avait déjà la salive aux lèvres et se branlait comme un fou.
Moi : vas-y Marc, prends soin de lui.
Et Marc exécuta directement. Débout à côté du bureau, Gab se plaisait à être sucé si vigoureusement par Marc qui était désormais à genoux. Ne pouvant plus, David se lança par terre et s'allongea au-dessus de Marc tout en prenant sa bite dans la bouche. Il ne resta que Ralph et moi. La bite de David était toujours raide et prête à être sucée et je voyais les yeux de Ralph ne la quitter point. D'un geste de tête, je lui ai poussé à la travailler. Tout le monde occupé, moi excepté, je me suis mis à me branler.
Gab, s'est aperçu que j'étais sans copain, m'a sourit et m'a fait signe de venir me mettre debout sur le bureau à son côté. Ainsi, il pourrait s'occuper de moi.
J'ai exécuté directement et nous faisions ainsi une chaîne de suce formidable. Chacun s'occupait de la bite d'un autre lui causant un plaisir incontrôlable. Pris par l'excitation de la situation, j'étais prêt à juter le plut tôt possible. J'ai dit à Gab de ralentir sa suce mais il l'accéléra davantage. Je sentais sa langue aller et venir sur ma bite, la léchant et la suçant de toute part. Le feu me monta jusqu'au gland et j'émis des cris de plaisir continus. Au bout de quelques secondes, je ne pouvais plus, Gab suçait ma bite tellement bien que j'ai dû lâcher toute ma purée dans bouche bien chaude. Il avala tout, tout en continuant de me la nettoyer aussi gentiment que possible.
En fait, je n'étais pas le seul à être pris par l'excitation, Marc l'a fait aussi. Quand il a senti le sperme envahir son gland, il a laissé la bite de Gab et commencé à pousser des cris comme une chienne en disant : " aah aah ! je viens, je vieeeeeeeeeennnnnnnnnns ! " et il a tout jeté sur les lèvres de David.
Sur mes cris et ceux de Marc, tout le monde arrêta son travail.
David se leva et lança : " le jeu est fini, passons au sérieux ".
A ces mots, il prit Marc par la taille et le dirigea vers le bureau. Il lui fit poser les mains sur le bureau tout en laissant son cul libre à l'air. Toujours dans son pantalon, Marc exécuta. David lui déboutonna la ceinture et lui fit perdre le pantalon et le boxer aussi. Son cul fut tout nu et bien exposé.
A genoux, Gab et David profitèrent de l'occasion et se mirent à lécher la rondelle de Marc qui poussait des cris et des cris de plaisir intense.
Jaloux de la situation, Ralph me tendit la main et me fit descendre du bureau. Il me serra contre lui et me lança une pelle à la bouche. Ses mains caressaient mes fesses tandis qu'il m'embrassait très sauvagement. Puis, il commença à délier ma ceinture, mon pantalon et puis il baissa mon slip tout en me donnant une fessée sur le cul. Et, d'un coup brutal, il me tourner et me posa juste à côté de Marc, pour ensuite s'attaquer à mon cul. Sa langue travaillait ma rondelle tandis que son doigt me la défonçait. J'étais puceau à l'époque et à fur et à mesure que Ralph me léchait le cul, je sentais des sensations inexprimables. Les gémissements de Marc me donnaient envie et je fis comme lui. Ne pouvant plus tenir à cette sensation j'ai commencé à crier : " prends moi, prends moi ".
Ralph n'attendait que cette demande. Du coup, il se leva et posa sa bite raide sur mon cul. Heureusement qu'il n'avait pas la plus grande bite du groupe, elle était de l'ordre de 17 cm. Il commença à pousser sur ma rondelle. Mon cul était encore peu ouvert car je venais de juter. Il a dû pousser plus fort pour faire entrer son gland en m'arrachant un cri de douleur. Il a attendu quelques secondes avant de recommencer son travail. Plus il poussait plus je criais. Enfin, il a pu la faire entrer toute entière en moi. Ensuite, il commença ses va et vient très gentiment en moi.
A côté de moi, Marc me contemplait pour savoir comment je vais la prendre et voyant que j'y tenais bon, il demanda à ses laboureurs de commencer son dépucelage. Qui va commencer le premier ? David avec ces 20 cm ou Gab avec ces 22 cm ?
Il se disputait le cul de Marc pour enfin se mettre d'accord qu'ils pouvaient le prendre ensemble.
Quoi ? Marc sentit le frisson envahir son corps. Il cambra et cacha sa tête entre ses bras.
Mais ce ne fut point du tout la position demandée. Gab et David le prirent par la taille. David s'est allongé sur la terre et Gab aida Marc à s'asseoir sur la bite de David. Marc s'assit très douloureusement. En fait il n'avait pas grand choix car Gab exerça une énorme pression sur ses épaules l'obligeant à s'y asseoir. Une fois la bite de David dans Marc, ce dernier poussa un cri insoutenable et en s'arrêta pas de crier pour les quelques secondes qui suivirent.
Un peu devenu calme, Marc s'est allongé sur David et ce fut le tour de Gab maintenant d'entrer dans Marc. Prenant sa bite dans sa main, Gab la posa sur le trou de Marc déjà rempli et poussa.
" ah ! arrête, c'est douloureux ! arrête ! ah ! " cria Marc. Mais rien ne fut changé, Gab continua sa pression jusqu'à atteindre l'estomac de Marc. Tandis que Gab dirigeait la baise de Marc, David s'y prenait plaisir et Marc ne s'arrêta de crier.
Aux cris de Marc, Ralph ne prenait plus plaisir à aller gentiment en moi, il colla son torse sur mon dos et m'embrassa sur le cou. Ensuite, il me chuchota à l'oreille : " tiens bon ! je vais aller vite ".
Je ne savais pas comment je pourrais tenir bon, je me laissais faire. Et du coup, les coups de rein de Ralph attaquèrent mes fesses, mon cul et mes couilles. Pendant deux minutes entières Ralph ne ralentissaient point son rythme. Je sentais la douleur dans tout mon corps et je ne m'empêchais pas de crier à l'instar de Marc qui semblait feindre sous les coups de Gab et David. Un coup de dessus et un autre de dessous, Gab et David s'appliquaient à faire Marc sentir chaque centimètre de leurs grandes bites.
Les deux minutes finies, Ralph me chuchota de nouveau : " je viens ! tu veux que je viennes en toi ?? "
Je ne répondis pas, mais je fis un mouvement de " oui " par ma tête.
Ce ne fut pas très longtemps que Ralph commença à me dépuceler extrêmement vite en criant : " aahhh ! aahhhhh ! "
Et je sentis un liquide chaud me remplir le cul. Ralph resta en moi quelques secondes pour y déposer la dernière goutte. Puis il sortit de moi, remis sa bite dans son pantalon, pris sa jaquette et partit me laissant là-bas, le cul ouvert saignant de sperme.
Je n'ai pas bougé pour quelques secondes afin de reprendre mon haleine. A côté de moi les deux mecs actifs prenaient un maximum de plaisir du cul du pauvre Marc. Ce dernier n'a pas arrêté de hurler depuis un temps. A ces hurlements s'ajoutèrent enfin ceux de Gab, il sentit son sperme monter dans sa bite. Vite, il sortit de Marc et vint se soulager dans sa bouche bée de hurlements. Marc avala tout d'un seul coup.
Il n'en restait que David. Ce dernier bouleversa Marc et se mit derrière lui en le baisant violemment. Marc avait des cris ininterrompus et sa respiration devint discontinue. Tant de plaisir et de peine étaient mélangées dans son cul. Mais cela ne dura pas longtemps, David était prêt pour juter son jus. Nous entendirent Marc crier : " en moi ! en moi ! ne sors pas ! ". Et David, pour la première fois, exécuta la demande de Marc et jouit dans son cul en poussant un cri de satisfaction. Puis il sortit de Marc et Gab se mit à genoux afin de nettoyer la bite de David.
La scène finit, David s'exclama : " tout le monde est recruté ".
Gab et David reprirent leurs jaquettes après avoir re-enfermé leurs bites dans leurs pantalons. Marc et moi, ayant essuyé nos et repris nos pantalons et nos jaquettes, suivirent les autres vers le couloir de la banque. Tout le monde est rentré chez soi, y compris moi bien évidemment.
elie
eldi36@hotmail.com