Ma virginité perdue
C'était le 13 Février 2011. Jusqu'à cette date, j'étais vierge encore (bite et cul).... Jamais enculé, jamais sucé, quelques touches exceptées.....
Je me présente un peu : je suis un jeune mec du Liban, vécu jusqu'ici 25 années sur terre, brun, peu poilu, monté 15 * 4, peu musculé, barbu, yeux marrons, j'ai 1m 80 cm de longeur et 72 kg comme poids.
J'étais en deuxième année de gestion quand je l'ai vu pour la première fois. C'était un jeune mec dans ses 19 années, brun, barbu, 1m 80 à peu près, portant des habites un peu large, jamais serré contre le corps. Il était en première année de gestion.
Quatre de mois de suite, je le remarquais aller et venir dans la cafétéria, le regardais de loin pour que personne ne s'en rende compte. Bah oui ! L'homosexualité est encore un tabou dans notre société libanaise. On n'ose pas beaucoup se déclarer comme homosexuel devant le grand public.
Un jour, le 13 Février, mes amis et moi étions assis sur le banc dans la salle guidant vers la cafétéria, et lui et ses amis étaient assis juste en face de nous sur le banc de l'autre côté. J'étais comme anesthésié, je fixais mon regard sur lui, ne donnant pas beaucoup d'attention aux sujets dont mes amis se débattaient. Et lui, il était là bas, à quelques mètres loin de moi, silencieux comme toujours (je l'ai jamais entendu dire un mot), écoutant les discussions de ses amis, se penchant en avant, la tête entre ses jambes, cachée par une casquette que je trouvais très sexy quand il la mettait.
Je le regardais toujours quand soudainement il leva sa tête et regarda devant lui, ses yeux tombèrent sur mes yeux qui sentirent l'embarras monter jusqu'aux sourcils. Mais c'était trop tard, je ne pouvais plus regarder ailleurs, et lui, il continua à me regarder sans cesse. A ce moment, j'ai senti ma bite gonfler dans mon jeans. Je me suis dit qu'il ne faut plus tarder, je dois faire le premier pas et arrive qu'il arrive. Ainsi, j'ai souri, je lui ai souri. Un tout petit sourire capable de lui dire que je l'avais remarqué et que je n'avais pas peur de le lui dire. C'était un sourire qui dura 2 secondes mais qui était capable de transmettre le message. A ma grande surprise, Hassan, c'est son prénom, me jeta un timide sourire de son côté. J'ai compris que c'était mon opportunité que je ne devais pas la rater : " ou bien maintenant ou bien jamais ", me dis-je.
J'étais un élève très populaire dans la faculté de gestion, tout le monde me connaissait et m'aimait, j'ai dû profiter de cette notoriété et j'ai demandé de quelqu'un des amis de Hassan s'il pouvait me donner son numéro de téléphone en faisant semblant qu'une fille de ma classe voulait lui parler et n'osait pas le faire publiquement à cause des barrières religieuses. Cet ami a été convaincu et me livra le numéro de cellulaire de Hassan. Je revins à ma place, toujours réservée à moi, j'ai composé son numéro et je lui ai envoyé le message suivant : " 18 : 00, à côté de ma voiture ".
Son téléphone sonna, mon coeur accéléra ses battements de plus en plus. Hassan lu le message, fronça les sourcils et remis sa tête entre ses jambes. J'ai commencé à avoir quelques gouttes de sueur sur mon front malgré les 20 C. Ses pieds ont commencé à trembler. Il a regardé son cellulaire pour une minute sans aucune réaction. Mon coeur battait de plus en plus vite. J'ai dû quitter la scène comme si rien ne s'était passé, mais non, je voulais savoir où est-ce que j'irais parvenir.
Une minute s'est passée. Je l'ai sentie comme un siècle, puis je l'ai vu lever sa tête d'entre ses jambes. Il regarda directement dans mes yeux, les sourcils toujours froncés. Je portais mon cellulaire dans ma main, j'ai commencé ainsi à le balancer d'une main à une autre. A ce moment, je l'ai vu manipuler son cellulaire en y tapant quelques lettres. 3 secondes plus tard, mon cellulaire sonna, c'est son numéro. J'ouvris le message : " Marque ? ".
Ainsi, j'ai compris que je ne lui ai pas dit qu'elle est la marque de ma voiture, j'ai levé les yeux pour le regarder : il était entrain de porter le cellulaire par ses deux mains comme une pierre précieuse attendant qu'il sonna. Rapidement, j'ai composé son numéro et je lui ai envoyé le message : " Nissan Sunny, noire ". C'était 16 :00.
Le cours suivant, je l'ai raté. J'avais peur qu'il sorte de son cours à lui, qu'il me devance et qu'il parte sans que je le voie. Ainsi, j'ai dû attendre toutes les deux heures dans la voiture, bandant à mort, n'osant pas me branler pour ne pas juter et ne rien garder dans mes couilles pour lui.
18 : 00 pile, je sortis de la voiture. Les étudiants sortirent de la classe et se dirigèrent vers leurs taxis, autocars et voitures. J'avais du mal à distinguer Hassan d'entre eux. Je regardai ma montre, c'est 18 : 06. Je commençai à devenir un peu anxieux. J'eus mille et une idées dans la cervelle : " est-ce qu'il m'a menti ? ", " est-ce qu'il ne va pas venir ? ", " j'avais tort à faire ce que j'ai fait ? ", etc.
18 : 10, je me suis aperçu de sa grande silhouette venant de loin, j'ai précipité pour entrer dans la voiture pour ne pas me montrer comme impatient. J'ai allumé le moteur et j'ai attendu. Une minute plus tard, il arriva. Il portait un jean bleu avec des baskets. Une chemise blanche sous une veste noire, et la casquette toujours couronnant sa tête.
Me voyant dans la voiture, c'était la dernière voiture dans le parking, il passa de l'autre côté, ouvrit la porte, s'assit à côté de moi, ferma la porte, me regarda un moment, puis il tourna son regard vers la fenêtre de son côté tout le trajet.
Ebloui, surpris et un peu vexé, je ne savais quoi faire ni quoi dire, j'ai préféré me taire. 10 minutes plus tard, nous sommes arrivés au foyer où je loge. J'ai garé la voiture au sous sol et nous avons pris l'ascenseur. Arrivant à ma chambre que j'occupais seul, j'ai ouvert la porte, suis entré et ai déposé mon cartable sur le bureau juste à côté du lit. Je me suis arrêté là-bas, je ne pouvais plus bouger. Hassan est entré derrière moi et j'ai entendu la porte se fermer. Mon coeur battait comme il n'a jamais fait dans tous mes 25 ans. Je bandais toujours depuis deux heures, la sueur couvrait mon front et mes pieds tremblaient d'excitation et de peur. J'entendais ses pas s'approcher de moi de derrière, je ne voyais pas son visage, il faisait nuit et il n'y avait pas d'électricité. J'entendais sa respiration. Il était jute derrière moi. Une grande main, bien viril me caressa les jambes, je frisonne. Une autre main attaqua mes couilles de dessus le jean, je mordis la lèvre. Je sentis sa bouche m'embrassant sur le cou, il me poussa brutalement contre lui, je sentais sa bite gonfler contre mes fesses. Il ne fut pas longtemps quand j'ai senti sa main me libérant de ma ceinture, me déboutonnant le jean qui tomba sur terre, m'enlevant le slip cachant ma bite qui bandait à mort. J'ai senti, d'autre part, l'autre main entre son ventre et mon dos. Il essayait de se libérer de sa ceinture, déboutonner son jean et libérer sa bite qui bandait complètement maintenant.
Je n'ai pas pu la voir pour savoir combien elle fait de cm, mais de ce que j'ai senti, je dirais que c'est entre 17 et 18 cm de longueur. Ayant fait cela, il me serra fermement contre lui, mes fesses embrassèrent sa bite bandante. Il commença à marcher, j'ai dû me déplacer à son rythme jusqu'au lit où il me jeta violemment, ventre contre le matelas, en faisait paraître mon cul.
Son gland chaud ressemblait à une balle de "ping pong' sur la porte de mon anus. J'ai caché ma tête entre mes mains sachant que je vais avoir mal au cul. Avec ces deux mains d'homme, il éloigna mes fesses l'une de l'autre pour faire paraître mon trou plus clairement, et d'un coup de rein, il enfonça son gland. N'attendant pas à une telle sensation, j'ai crié fort. Il me caressa le dos et s'arrêta un peu pour que mon cul s'habitue à cette dilatation. Je gémissais comme un petit chien sous les coups de son maître, j'aimais être dominé par ce mec viril. J'aimais être dominé par Hassan.
Ceci étant, il continua à pousser de plus en plus fort pour faire enfoncer son sexe dans mon trou. J'ai mis le coussin entre mes dents pour ne pas trop crier. Mais la peine était trop grande pour la retenir. Quand il a réussi à faire entrer toute sa bite, j'ai hurlé comme un lion au milieu du désert : " ahhhhhhhhhhhh, aahhhhhhhh ", tout en frappant le coussin de coups de main. La peine fut énorme mais le plaisir qui l'a suivie me l'a fait oublier.
Il avait toujours sa veste et sa chemise, j'en ai senti le frottement contre mes fesses quand il faisait ses va et vient lentement d'abord mais de plus en plus rapidement. Je gémissais comme une salope. Plus je gémissais, plus il enfonce sa bite dans mon cul. Je gémissais de plaisir, de peine et de peur. J'avais énormément des sentiments que je n'arrivais pas à branler, mes mains étaient chargées de cacher ma tête et à essuyer mes larmes.
Hassan était bien brutal avec moi, très fort, mais il ne savait pas que j'étais puceau encore. Sa bite ressemblait à un bâton bien épais qui entrait et sortait dans mon trou, mais qui me donnait une sensation extraordinaire. Soudain, sa main lâcha mes fesses, et vint s'appliquer à ma bite, tandis que mon cul recevait les coups de reins de Hassan plus fort que jamais.
Il me masturba. J'étais tellement excité que j'avais joui directement. J'ai vidé toute ma semence sur le drap de mon matelas. Lui aussi, il ne tarda pas à jouir. J'ai senti sa semence chaude à l'intérieure de moi et je l'ai entendu gémir calmement quand il a joui
Quand la dernière goutte sortit de sa bite, il se prépara à la faire sortir de mon cul. J'ai gémis mon dernier gémissement et je suis resté à ma première position : Ventre contre matelas, cul nu, bien ouvert et bien vu.
Hassan remis son slip et son jean, me donna une petite fessée et me dit : " Allons, amène moi à la maison ".
A ma grande surprise, je me suis relevé, j'ai mis mon slip et mon jean. Hassan était là, s'appuyant au bureau, se croisant les mains et fixant ses yeux sur moi en train de me récapituler. J'ai pris les clefs de la voiture, nous sommes sortis de la pièce, chacun a pris sa place dans la voiture et j'ai démarré. Hassan regardait son côté du chemin à travers la fenêtre sans rien dire, tout au long du trajet.
Une fois arrivés à son village, il m'a fait signe d'arrêter et il est descendu, son cartable à la main. J'entendis la porte se fermer et je retournai à mon foyer.
eldi
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