Abdel-Aziz
L'histoire se déroule il y a 10 ans, mais je m'en souviens plutôt bien. Je venais d'arriver dans ce lycée du Val de Marne suite a mon déménagement pendant l'été. Les premières semaines m'ont été difficile, j'avais du mal a m'adapter a cette nouvelle vie en une banlieue populaire, moi qui avais toujours vécue dans une petite ville chic de la grande couronne.
A cet âge là, bien que puceau avec 0 expériences au compteur, je savais déjà au fond de moi que j'étais différent des autres garçons. Je me masturbais en penser a des bites. Il n'y avais que ça qui m'intéressait !
Un jour en cours d'S.V.T j'étais au fond de cette grande salle avec Abdel-Aziz, un grand brun assez balèze qui jouait au caïd dans notre classe. On s'entendait plutôt bien avec lui, sans pour autant être ami. Avec le recul, je pense qu'il avais saisis, je ne sais pas comment, que j'étais gay. Pendant ce cours, il m'a demander si j'avais déjà été sucer. Je lui répondis que non. Lui, me faisait part de ses expérience, me racontant a voix basse quel point c'était bon d'être sucer. il n'omettais pas le moindre détails, allant jusqu'à me décrire l'effet qu'une langue lui faisait sur son gland. Je commençais a être excité par ses paroles. En toute discrétion il commençait a se caresser. En effet, étant dans une salle de sciences, nos étions relativement bien caché derrière un grand bureau carler, et au fond de cette pièce, personne ne pouvais nous voir. Je pouvais voir la forme de sa bite se dessiner sous son jogging. J'étais excité mais je ne voulais surtout pas le montrer. Il libéra sa queue bandé au maximum et commença à se branler. Elle était magnifique, grosse, circoncisse avec un gros gland. Moi j'étais fou et je bandais a fond dans mon caleçon. il me proposa de la toucher mais j'ai refusé de peur d'être vue, ou qu'il le raconte à quelqu'un. La prof m'appela au tableau et quand je suis revenu à ma place, Abdel avais rangé son matériel, et je regrettais de ne pas avoir pris en main ce bel engin.
Je me suis branlé un tas de fois en repensant a cette grosse bite, plusieurs jours passèrent, mais Abdel n'y refit pas allusion. Je ne perdais pas espoir de revoir la bète un jour.
La relation entre Abdel et moi-même n'évoluait pas. Plusieurs semaines passèrent sans le moindre évenement notable. Et la suite arrivent lorsque notre prof de français décida de nous mettre ensemble pour un exposé sur le théatre. J'étais au anges. Je me disais que si quelque chose devait arriver, c'était cette fois ou jamais !
Ce soir là, nous étions entrain de travailler au CDI du lycée sur notre exposé après les cours. C'étais beaucoup de travail, et le centre de documentation fermait déjà. Nous allions donc en permanence, qui restais ouvert une demi-heure après la fermeture du CDI. Nous étions seul et même la CPE étais en mouvement, et n'étais pas constamment dans la salle avec nous. Abdel commençait a ne plus travailler, et discutais avec moi. Et c'est là qu'enfin, il évoquait pour la première fois cette journée en SVT ou il m'a montré sa bite ! Il me demanda comment je l'avais trouver, si il en avais une grosse. J'étais rouge et sur la retenue, evidemment. il ne fais pas bon être ouvertement gay, jeune. Je lui ai sobrement répondu qu'elle était normal, alors que ça faisait des semaines que je me branlais en y pensant ! Je pense bien qu'il avait lu dans mes pensées, car il me répétais "je suis sûr qu'elle te plaît !". La CPE interrompu ce moment, en débarquant dans la salle, nous disant que la permanence était sur le point de fermé et que nous devions partir. Nous rangeons donc nos affaires et sortons dans la cours nous dirigeant vers la grille du lycée. Enfin, c'est ce que je pensais... Abdel me regarda et me dis "on n'a pas fini, suis moi". Un peu inquiet tout de même, car le lycée fermait, je le suivis dans les escaliers, jusqu'au dernier étage et la fin des escaliers. Nous sommes tout en haut des escaliers faisant face a un mur, et personne ne peux venir nous surprendre ici. Je me demande bien ce qu'il veut, mais notre discussion quelques minutes auparavant me laisse bien présager de la suite !
C'est alors qu'il recommença son manège...
- "Je suis sûr qu'elle te plaît ma grosse bite de rebeu"
Il sorti sa bite en érection, assis à coté de moi, et se branlait à vive allure. Je bandais comme un fou mais encore une fois, la peur m'empêchais d'agir. Je profitais néanmoins du spectacle.
- "Touche-là ! "
Après un peu d'hésitation, j'ai accepter son invitation. Je pris sa queue en main et commença à le branler. C'était la première fois que je touchais une autre bite que la mienne. Elle était bien plus grosse que la mienne, chaude, et douce. Il gémissait et me disais que c'étais bon.
- "Lèche-là !"
Je lui dis que je voulais pas, qu'il allait le répéter à tout le monde, mais d'un air menaçant, il me retorqua que si je ne faisais pas ce qu'il disait, il raconterai a tout le monde que je suis un pédé.
Avec cette menace, c'était comme si il me donnais l'autorisation d'aller enfin plus loin. C'est tout ce que je voulais et je ne me fit pas prier...
Je m'approchais timidement de l'objet de mes fantasmes et commençait a mettre des coup de langue sur son énorme gland, puis très vite, à le sucer. Il mis sa main derrière ma nuque et me poussais, timidement, a aller plus loin. J'aimais qu'il fasse ça. Je me sentais salope et j'aimais cette domination. C'était fantastique, je prenais mon pied. J'étais dans mon lycée, entrain de tailler une pipe a un mec qui me faisait fantasmer depuis des semaines. Lui aussi prenait son pied et remarqua mon érection sous mon jogging. Il me traita de pédé et se leva. Il s'installa debout devant moi, qui était assis et commença a me limer la bouche. Il sent que j'aime ça et je suis sûr que ça lui plaît.
Deux ou trois minutes plus tard ses va et vient s'accélèrent et il m'a dit qu'il allais "spermer" dans ma gueule. Je ne dis rien. Je suis complètement absorber par cette bite dans ma bouche que je goûte pour la première fois. J'adore ce que je suis entrain de faire. Je senti sa bite se contracter et il jouis une petite quantité de sperme dans ma bouche avant de se retirer et de gicler les dernière goûtes sur mes lèvres. Il rangea sa bite et sans un mot, nous sommes partis vers la cours, puis vers la sortie du lycée. On s'est dit à demain, et nous sommes partis chacun de notre côté chez nous, comme si rien ne s'était passé.
NS77