Ouverture -1
Comme demandé, j'attends nu sur mon lit, un plug de taille moyenne bien en place et en vue dès la porte de la chambre franchie car si je ne verrai pas qui est avec mon maître, ceux-ci découvriront leur objectif en franchissant la porte
Depuis près d'un an que nous nous sommes rencontrés sur le net puis après quelques séances de "prise en main", je suis maintenant sous son influence car il a trouvé comment satisfaire mes besoins sexuels et m'a révélé mon penchant de soumis. Je sais juste que ce soir, il ne sera pas seul - il m'a annoncé qu'ils seraient plusieurs avec lui - et il m'a donné l'ordre de prendre un RTT lundi car 3 jours pour me remettre ne seraient pas de trop. Cette dernière remarque m'a fait un peu flipper, mais je sais que je peux lui faire confiance
Ça y est, j'entends la serrure de mon appartement, puis des voix. Mon maître entre dans la chambre et me présente comme la "pute à dispo de ce soir" ; aux bruits de pas, ils sont bien nombreux, il me semble entendre des bruits de respiration tout autour de mon lit que j'ai dû tirer au centre de la pièce aujourd'hui
En précisant que toutes les pénétrations, tant anales que buccales, se feront avec capote et que celles-ci se trouvent au quatre coins du lit, tout comme les poubelles pour les éliminer, il commence à jouer avec le plug et me demande si j'ai suivi ses ordres à la lettre: lavement suivi d'une lubrification en profondeur à l'aide d'un gode puis mise en place du plug. Après ma réponse positive, il me retire le plug, quelqu'un se capote puis me pénètre d'un coup jusqu'au fond - heureusement que je suis bien préparé. Mon maître prend la parole et dit que c'est ainsi que l'on pénètre une pute ; la soirée promet d'être longue. Mon maître se retire immédiatement de mon cul et une nouvelle bite me pénètre immédiatement - elle est plus courte mais plus large que la sienne. Mon enculeur précise que je sais bien recevoir une queue même si je suis encore un peu étroit et précise avec un rire sadique que ce ne sera plus le cas à la fin de la soirée
Au moment où je tente de protester, une autre queue me rempli instantanément la bouche, je suis comblé. Il semble que mon maître n'a choisi que des queues volumineuses... car ces deux là ainsi que celles qui suivent, elles sont nombreuses et changent si souvent d'orifice que j'en perds le compte, sont soit épaisses, soit longues soit les deux
On sonne à ma porte, mon maître quitte la chambre et une nouvelle personne entre, salue les présents puis une queue plus fine m'est donnée à sucer et cela me paraît étrange, mais pas pour longtemps car après que l'un d'entre eux se soit glissé sous moi et m'ait pénétré, mon maître précise que nous changeons d'étape et que je vais vivre ma première double pénétration anale et que pour se faire, je ne devais pas avoir de queue en bouche afin de laisser libre cours à mon corps
Après quelques mouvements du lit, je sens qu'une deuxième queue, celle plus fine qui vient de quitter ma bouche, se glisse sur celle déjà en moi. Au bout de quelques tentatives, le gland passe mon sphincter en m'arrachant un cri. Après quelques secondes d'arrêt, la queue poursuit sa pénétration ; une fois au fond, mes enculeurs s'immobilisent et mon maître me demande de décrire mes sensations. Le fait de sentir deux verges est bien plus intrigant que ne l'est la douleur de la pénétration, je ne suis pas sûr que les deux queues ensemble aient forcément un diamètre supérieur au plus gros des godes que j'ai dû accepter dans mon cul depuis que je connais mon maître. Le peu d'air qui glisse entre la forme des deux queues et mon sphincter crée une sensation de "chaud-froid" qui est loin d'être désagréable
Puis les deux queues se mettent à coulisser en moi et dès que mes partenaires ont cadencé leurs mouvements, je sens monter en moi une jouissance comme je n'ai encore jamais connue. N'ayant rien à faire de ma jouissance, ils continuent à me pilonner jusqu'à ce que l'un puis l'autre s'enfonce jusqu'à la garde en moi puis se retirent lentement. Mon trou ne reste pas longtemps inoccupé, une première bite - bien épaisse celle-là me perfore d'un coup et je sens très rapidement le lit bouger sous moi et une deuxième - tout aussi large - la rejoint. Je ne peux m'empêcher de pousser un hurlement, bientôt étouffé par une autre queue ; cela ne semble ne pas vouloir s'arrêter et je perds le compte des pénétrations. Au bout de ce qui me semble une éternité, mon maître annonce une pause tout en précisant que cela ne me concerne pas : je vais étrenner un nouveau plug permettant de conserver mes "progrès" de ce soir. La mise en place n'est pas exempte de douleur
Ils me laissent seul ; ils doivent avoir pris de quoi se restaurer car je n'ai rien eu à préparer. En leur absence, et malgré la douleur, je m'endors, toujours les fesses en l'air et la tête écrasée sur mon lit
Je me réveille en un hoquet : une queue est au fond de ma gorge et m'étouffe presque. Mon maître demande à celui qui me baise la gueule d'y aller mollo, car c'est de mon cul que l'on s'occupe ce soir
Le plug est retiré délicatement et je sens plusieurs doigts qui testent l'élasticité de ma caverne. L'un des hommes dit que je ne suis pas encore prêt et qu'il faut continuer avec les doubles pénétrations. Mon maître acquiesce et je suis en un instant à nouveau embroché par deux queues
Après quelques pénétrations supplémentaires, la porte sonne à nouveau et mon maître dit que se sont "les jumeaux démolisseurs". Devant mon air interrogatif, l'un des hommes présents m'explique qu'il ne s'agit pas de vrais jumeaux, mais que leurs queues le sont et que je comprends sûrement à quoi la deuxième partie de la dénomination peut faire référence
Il est interrompu par une voix grave qui demande si la pute est prête. Mon maître répond par un simple tout est OK mais que le double risque de "coincer" un peu au début. La voix demande à ce que mon cul soit tiré vers le bord du lit et que l'on me mette un bâillon. Une fois cela fait - et après un bruit de pochette de préservatif - il annonce: "attention, j'arrive!" J'ai à peine le temps d'évaluer la taille du gland, qu'il m'a pénétré d'un coup avec une queue énorme et longue. Sans attendre un instant, il se met à me pilonner brutalement puis se retire complètement et laisse sa place à son "jumeau". Je me pose la question comment je vais pouvoir prendre ces deux queues ensemble en moi
La réponse est donnée par mon maître au bout de quelques instants quand il annonce qu'il va me mettre un peu de pommade anesthésiante sur ma rondelle. Une sensation de froid se diffuse lentement et avant que je puisse m'habituer, je sens le lit bouger, puis suis soulevé par les hanches et enfoncé sur l'une de ces queues monstrueuses. Mon maître propose de faire en premier un test avec lui avant de laisser le deuxième me pénétrer
Malgré la pommade, je pousse un hurlement étouffé par le bâillon. Après quelques va et vient, mon maître décide que je suis prêt et cède sa place. Le deuxième gland force - mon cul résiste - la pression se fait plus intense et d'un coup, tout le gland est en moi. Ils ne bougent pas durant de longs instants puis le deuxième Priape commence sa lente pénétration. Une fois qu'il est tout au fond, il s'immobilise - et c'est mon corps qui réclame, en ondulant, que les deux formidables queues se mettent à bouger, bien que leurs mouvements m'arrachent des cris
Les commentaires fusent ; on parle de l'ouverture de mon cul, de mon obéissance, de ma facilité de progression. Mon maître précise que ce sera tout pour ce soir, que la séance sera terminée après la jouissance des "jumeaux", qui elle tarde me semble-t-il à venir. Puis je sens une première queue me quitter puis la deuxième. Je suis retourné sur le lit puis je sens des flots de sperme me couvrir le torse
Mon maître s'occupe de ma toilette, me passe différentes pommades sur le cul et me félicite une fois que tous les autres sont partis. Une fois qu'il m'a mis au lit, je comprends pourquoi il a exigé que je prenne mon lundi.
Chris Jean