J'espère que mes récits vous intéressent car jusqu'à présent je n'ai pas de retour, c'est décevant. Evidemment, je vous épargne mes amours passionnés et passionnels ceux qui ont durés des années. Et qui m'ont vraiment impliqués comptés émotionnellement sexuellement affectivement. Des récits " censurés " par respect pour mes amants. Je ne vous livrerais donc que des récits déjantés qui ont sustentés ma bisexualité débridée non assumée.
Ne vous gênez donc pas pour commenter et /ou me critiquer.
Pour moi écrire, c'est " échanger ", " partager " sinon c'est du monologue. Dommage qu'il n'y ait pas de compteur sur ce portail pour savoir si je suis lu ou pas. Pourquoi pas un côte de popularité !
Pour entrer dans le vif du sujet, j'ai rencontré Pablo à la fac ! Rien que son prénom ça me faisait un effet boeuf ! Rien n'aurait dû favoriser cette rencontre sur ce campus universitaire car nous n'étions pas dans les mêmes filières. Mais j'avais flashé sur son coté latinos. Lui en Droit, moi en philosophie sociologie. Nous nous sommes aperçus à la cafet' pendant la pause café. Il semblait embarrassé avec la caissière, car il lui manquait 2€50. J'ai glissé un billet de 10€ sur son plateau. Son étonnement, puis son sourire m'ont complètement scotché.
-La caissière amusée me tança tout de go, alors Mr le professeur on achète ses élèves.
-Mon regard révolver lui cloua le bec
-Gêné l'élève, comment je peux vous dédommager ? Car je n'ai pas eu droit à une bourse cette année. J'ai échoué ma dernière année de licence trouva t-il à rajouter pour se justifier.
- On partage cette pause si ça te va pour faire connaissance !
- On s'isole trouvais je à rajouter vu que je suis déjà repéré ?
-Vous êtes enseignant ben alors, ça ne se voit pas.
-Compliment ou sarcasme jeune homme ?
-Je ne me permettrais pas monsieur.
-Bon arrête le vouvoyement, et le Mr !
C'est un campus universitaire, ici tout le monde se tutoie. Faisons connaissance : J'apprends qu'il est macqué avec une étudiante d'une autre fac qui l'entretient l'héberge occasionnellement mais en ce moment, il y a de l'huile sur le feu. Ses parents, m'ont mis à la porte en apprenant sa bisexualité. Je suis colombien de Bogota !
Je lui confie être dans la même situation CAD " à voile et à vapeur ". Il est sidéré ! Etonné qu'à 35 ans, marié 5 enfants, je trouve encore le temps d'aller à la Fac.
-T'enseigne quoi ?
- La philo, et étudiant en socio. En fait, j'ai deux casquettes, tient mes cartes d'enseignant et d'étudiant ! J'ai besoin d'échapper à ma famille trouvais-je à répondre lâchement pour me justifier. Je lui demande s'il à des hobbys pour faire diversion. Il se trouve qu'il aime jogger sur le campus, et nager. Je lui confie que je courre tous les soirs après 1 H mais sur un autre terrain d'athlétisme.
-Pourquoi si tard ?
-Simplissime, à cette heure l'éclairage est éteint, ça vaut mieux pour moi, je cours à oilpé.
-Tu n'as jamais eu de problème ?
-Pas en 3 ans !
C'est un stade en friche, j'ai corrompu le gardien pour les clefs du portail. Vient je vais te montrer. Tu vois ce petit sentier coup gorge, il foisonne la journée de masturbateurs et gays mais la nuit, c'est désert.
-J'aurais bien envie d'essayer vous m'intimidez.
-Dis je ne suis un papy !
- Je n'oserais pas !
Prend ton temps, je ne suis pas entrain de te draguer. Prend ce trousseau de clefs, il y a mon N° de téléphone, c'est ma chambre sur le campus au 5B réservée aux enseignants, la 307.
Mais consignes obliges ! Pas de teuf, meuf, drogue, ni vider mon bar, j'ai parfois besoin de me vider la tête !
-Tu dors ou en ce moment ?
-Dans ma caisse, elle est en panne sur le Campus
-C'est finit, ce soir tu auras un lit une douche un frigo si tu veux
-Putain c'est cool ! Je ne pourrais pas te payer tu sais.
-Qui t'a parlé de payer ? Tu peux squatter chez moi mais faut me confirmer avant ce soir que j'informe le gardien. Il ne te posera pas de question mais il saura que ma chambre est occupée.
- Qu'est ce que tu lui diras ?
-Que je dépanne un étudiant qui a des problèmes de tunes.
Nous nous séparâmes pour rejoindre nos cours respectifs. J'avais flashé sur ce latinos de 26 ans. Une peau basanée des cheveux ébène, le must. Un paquet généreusement pourvu d'après l'état de son jean au bord de l'explosion. Une sensualité à me retourner les hormones. Une suavité qui trahissait ses origines latines. J'eu du mal à me concentrer en socio. Je croisais les doigts pour le retrouver ce soir dans ma chambre s'en trop y croire. J'avais oublié de lui parler de mon PC : Par précaution, j'installais un mot de passe. Je prévenais ma femme que je restais la nuit au campus because trop de travail. Je pris une douche, commandais une pizz chez un pizzaïolo du quartier. Me regardais un film, un triller, pour me préparer à courir. J'étais tout retourné, dans un état second, en rupture avec un Marocain depuis 3 mois, mortel à gérer. Un dealer qui s'était fait serré sur le campus. Ca ne pardonne pas dans une Fac ! Une chance, ils n'ont rien trouvé dans ma piaule.
0H45, je me prépare pour sortir courir quand j'entends une clef dans ma serrure. Incroyable, Pablo ! Lorsqu'il me voit à oilpé gêné il s'excuse, se prépare à repartir. Je le retiens par le bras en le rassurant.
-Faudra t'habituer si tu restes, je suis à poil tout le temps, car je suis naturiste. Là, je pars courir ! Soit tu m'accompagnes, ou t'installe tranquillement, finis ma pizz, dort, te douche, je ne t'embêterais pas. Il y a deux lits superposés. Le mien c'est le canapé.
-Je ne sais pas vraiment, c'est trop rapide pour moi.
-Fait comme chez toi, rien ne presse ! Si tu décides de partir laisse les clefs dans la BAL au RCH.
Je m'éclipse dénudé pour courir en descendant quatre à quatre les 3 étages de l'immeuble dans le noir. J'ai réussi à faire trois fois 400 mètres, pas vraiment un score mais excellent pour me vider la tête de mes contraintes familiales. Pourvu que Pablo soit là à mon retour ! Je tombe sur lui au dernier tour en maillot de bain. Pudique avec ça, mais bien outillé, difficile à cacher ! Je n'y prête pas attention, lui demande combien de tour il veut faire ? Un tour s'il te plais, je n'ai pas trop le moral en ce moment ma copine me lâche, c'est mort nous deux. Pas de problème, vide toi la tête, c'est le but de courir. Nous rentrons en sueurs. Je propose une douche qu'il accepte de bon gré. Putain j'avais raison un corps de rêve, imberbe, une queue épaisse comme j'aime, des bolas démesurés (j comprenais mieux la taille de sa bosse), j'adore. Je lui demande s'il accepte que je le savonne le dos, il acquiesce pas plus loin précise t-il. Je le rassure en ménageant ses parties intimes que j'avais envie de dévorer. Il semble apprécier, moins sur la défensive. Il me demande à son tour s'il peut, j'acquiesce ardemment, il m'embrasse en pleine bouche ce qui me déclanche une gaule difficile à dissimuler.
-Pas mal pour un vioque !
Pour le remercier, je lui donne une fessée qu'il semble apprécier.
Nous avons commandés une pizz pour la soirée finis le whisky, puis je suis parti me coucher. Il m'a rejoint dans la nuit en pleurant, je le cajole affectueusement.
-J'ai plus de meuf, c'est mort !
-Dis donc tu ne va pas me l'a jouer déprime car j'ai aussi perdu un amant depuis trois mois.
-C'est vrai ?
-Je te raconterais mais pas ce soir, trop naze.
- On peut dormir ensemble je ne t'embêterais pas, et sans sexe je ne suis pas prêt, j'ai plutôt envie de me foutre en l'air.
-Pas ce soir s'il te plais de ma fenêtre ça ferait désordre dans un campus.
-Je le laisse me raconter sa vie entre pleurs sanglots spasmes mutisme, lové contre moi, je reprends la gaule et me masturbe en lui tournant le dos. Finis par m'endormir alcoolisé enivré de son odeur. Il avait du aussi se masturber car j'avais l'entrecuisse détrempée.
Le lendemain, il m'avait préparé un breakfast en règle. Avait abandonné le maillot de bain. J'appréciais ! Je m'autorisais un baiser dans le cou pour le remercier qu'il accepta malicieux car j'avais déclanché sa gaule. Putain de gaule, ce qu'il était beau ce membru et ces couillus. J'aurais voulu lui dégorger le poireau mais je sentais que c'était trop tôt.
-Dis tu me prêtes ta chambre pour combien de temps ?
-Je t'ai donné les clefs !
-Sans rien en échange ?
-Non
-Même pas du sexe ?
-Non, sauf si tu me supplies... Tu devines que je kiff pour toi, alors t'as intérêt à bien choisir ton lit.
-Rirrrrrrrrrrrrre, toi aussi, car je te kiff !
- Tu sais, je ne serai pas tous les jours dans cette piaule faudra que je fasse acte de présence chez moi en famille, surtout le week-end.
-Faut que boss de toute façon, ça m'évitera de penser à mon ex.
-Je peux te confier un truc, le savonnage sous la douche c'était excitant, j'avais une trique d'enfer.
- J'ai bien vu, faut reconnaître que tu bandes comme un taureau.
En moins de 12 heures, nous nous sommes douché, avons mangés, dormis ensemble, sans compter nos érections nocturnes, notre nudité offerte, nos baisers enflammés, nos douches frileuses !
-Ca démarre fort entre nous !
-Censured !
Reprenons, je t'héberge gratos si tu boss tes cours, je vais avoir accès à tes notes alors pas d'entourloupe. Tu ne donnes pas le N° de ma chambre ni mon téléphone, pas de teuf meuf sauf consensus préalable, ni drogue, règlement campus oblige... Si tu reçois un pote ou une meuf, tu mets une gommette de couleur différente sur la porte en bas à gche ça se voit moins qu'en haut. La boite gommette est là. Si tu veux te servir de l'ordinateur faut accepter que je te trace car c'est un outil de travail contrôlé par le campus, puis j'ai tous les fichiers de mes élèves et de mes cours. Je vais te créer une session perso ! Donne moi un MDP.
-" Francesca " c'est ma première meuf.
-Je suis ok avec toutes tes règles ! Je n'en reviens pas de la confiance que tu me fais.
-La confiance ça se mérite, n'en abuse pas.
-Je ne sais même plus quoi dire, je vais bosser comme un malade pour ne pas te décevoir. Sans m'y attendre Pablo me suggère un baiser pour me remercier impossible à refuser, nous prenons la gaule tous les deux. Difficile à cacher dénudé !
La suite s'est conjoncture torride, je devinais à sa gaule matin midi soir que j'allais ramasser. J'avais droit à une fellation subliminale. J'étais " en spermé ", et j'avais du mal à tout avaler. C'était systémiquement gorge profonde bestiale endiablée jusqu'au bord de l'asphyxie. Putain que c'était bon, un mec sur hormoné. Quelle virilité ! Il s'amusait avec ma bouche pour en forcer le passage. Puis me dégorgeait le poireau jusqu'à la dernière gouttes. Même " déturgescent ", il continuait à m'astiquer les burnes relustrait ma queue pour la réveiller. Je déclarais forfait, le remerciait de cette complicité en l'embrassant. Il s'excusait de son impétuosité mais en était fier. Sous la douche il adorait me pisser dans la raie, et finir dans ma bouche. J'ai finis par aimer ! Nous nous savonnions de plus belle pour déclancher nos gaules. Il aimait surtout me prendre par surprise pour me déboîter la rondelle sans tenir compte de mes couinements de douleurs.
-S'excusais de sa fièvre.
-T'excuses pas, j'apprécie ton ardeur.
-C'est vrai ?
-Va y mollo quand même car mon fion frise la déchirure.
-C'est mon coté " chaud bouillant" disais-il.
-C'est vrai t'acceptes que j'occupe ta chambre, qu'on soit amant ?
-Ho, ho t'emballes pas, tu n'as pas encore passé de partiel.
-Quel partiel ?
-Celui de tes qualités défauts, et de tes notes puisque nous allons cohabiter.
-Tu me prends de court là : Je peux faire la cuisine la lessive le ménage te savonner, et plein d'autres choses dont t'as eu un aperçu...
-On se calme Pablo, faut choisir : Etre amant on partage les taches, ou alors t'es ma femme de chambre, faut que je te rémunère.
-Gros rires, je ne peux pas être les deux ?
-Pourquoi pas ! Comme ça je te donnerais un pécule tous les mois. Tu vois cette boite de spaghettis, je te mettrais 150€ par semaine. Ça te va ?
-C'et trop, je ne sais plus quoi dire papaya
-Ben dis rien, et boss un max !
Pourvu que je le garde quelque temps ce latinos, il est tellement craquant intrépide. Si bien outillé, que c'est plaisir de le reluquer à oilpé faisant la cuisine pendant son sommeil. Avec des " testículos " renversantes ce Latinos ! Je n'aurais jamais espéré une rencontre aussi déconcertante imprévisible dans ce campus. Reste qu'enseignant faut que je sois sur mes gardes, je risque gros si je me plante. Coeur d'artichaut, je m'emballe souvent trop vite. Difficile de concilier cela avec ma vie familiale. Car souvent plus une liaison démarre trop vite, s'embrasse, plus elle s'éteint rapidement.
Les semaines passent, nous prenons nos marques, notre nudité ne cause plus de problème, Pablo fait la cuisine comme un chef pour éviter les selfs. Nos douches deviennent prétextes à débauche. Je n'avais jamais rencontré autant de fougue à me démonter la rondelle. Il adorait uriner sous la douche et me finir en bouche. J'ai mis du temps à apprécier. Plus je me contractais pour tenter ralentir sa cadence plus il accélérait pour me décharger sa semence généreuse. Et elle l'était ! J'avais droit à nettoyer en règle son pieu poisseux, le cul en feu détrempé. J'adorais au début, être prit bestialement comme de la viande mais je préférais les moments câlinoux que je lui proposais avant de s'endormir. Mes massages aux huiles essentielles où il m'offrait son corps sans retenue. Un vrai régal ! J'appréciais les nuits où il venait se lover contre moi dans mon sommeil la gaule évidente dans mon entrejambe que je découvrais détrempée au réveil. Ou encore après notre jogging la demi heure que nous passions à lutter nus : A l'évidence j'avais le dessus au début mais rapidement l'élève rattrapait le maître, et trouvait toujours un de mes trous à remplir.
J'avais le béguin, et c'était réciproque. Surtout j'adorais m'insinuer dans son entre jambe pour dévorer ses " énormes bolas ". Putain je passerais des heures à lécher ses couilles en l'entendant ronronner d'aise. Recevoir sa purée dans la bouche comme qui c'était une récompense. Torride ce sperme à boire ! J'étais obligé de mettre une musique de fond pour camoufler mes couinements lorsqu'il me limait le fion jusqu'au sang. Je devais surveiller sa gaule car ça voulait dire que j'allais passer à la casserole. Il appréciait mon coté cajoleur, ma sensualité, mes caresses, mes massages sensuels, le pelotage. Mais il démarrait au quart de tour complètement imprévisible pour se vider les couilles. Parfois six fois dans la même journée !
-Professeur j'aimerais apprendre la sensualité.
-Elle est en toi, c'est ton coté féminin que tu n'a pas développé encore, pour le reste t'es champion de la virilité animale.
-Vous m'apprendrez ?
-J'ai déjà commencé, reste qu'avec les meufs, il y a peut être quelque chose à changer.
-Putain vous êtes psycho où quoi, vous touchez là où ça fait mal.
-Non je suis prof de philo, c'est-à-dire enseignant, et un enseignant ça enseigne ! Et un étudiant ça apprends !
-Comment vous remercier ?
-Reste comme tu es, apprend ce qui te semble bon, mais apprend, c'est pour ça qu'on choisit d'être étudiant.
Il a eu se licence. J'étais fier de lui, lui avait donné 1000€ qu'il avait mit dans la boite à spaghettis.
J'entre comme à l'ordinaire, mis je n'avais pas vu les gommettes sur la porte. Oups mon Pablo entrain de faire du rodéo avec une meuf. J'essaie d'être discret mais il m'entends, ne se démonte pas et lui dit en allumant la lumière, je te présente ma coloc. Evidement qu'a oilpé ça fait un put désordre.
-t'en a d'autres des colocs, parce que serait bien que je sois au courant ?
-Non, mais celui là, il est super tu verras.
Je tente bien de regagner en " lousdé " mon canapé mais Pablo n'éteint pas la lampe de chevet. Ce qui fait que j'ai le son et l'image. Encore une idée à lui ça se faire une meuf à deux. En fait, nous l'avons prise de concert qu'une fois sur son insistante. C'étant grandiose de complicité, et une catharsis a grimper aux rideaux. Après c'est telle qui choisissait sa couche. Ce qui ne l'empêchais pas de naviguer de l'un à l'autre simultanément. Elle nous rejoignait parfois sous la douche, c'était double fellation garantie. Et Pablo m'épargnait le fion.
Elle s'appelait Bojana 28 ans, et prépare un BTSA en Analyses agricoles, biologiques et biotechnologiques. Il s'avait choisir le Pablo ! Je craignis maintenant d'être repéré à trois dans une chambre d'étudiant. Heureusement elle n'était pas là tous les jours, sa fac était à l'autre bout de la ville.
Nous continuâmes le jogging mais j'avais inauguré un supplément : De la lutte à oilpé trempé dégoulinant de sueur, c'était viril. Il adorait, car si je l'emportais physiquement, il avait le dessus sexuellement pour me remplir un trou. Et nous regagnions la douche pour retrouver un peu de dignité. Comme il adorait que je le masse avec des huiles essentielles avant de dormir. Je profitais de ses ronronnements, sa gaule magistrale sans en souffrir cette fois, en massant ses brunes énormes. Un vrai régal !
Fatalement ça à dérapé, il m'avait caché ne pas être en règle en France, devoir retourner en Colombie pour régulariser. Avais piqué 1500€ dans la boite à spaghettis pour le voyage qu'il me promettait de rembourser. M'avais promit de finir son droit si je lui pardonnais, l'accueillais, l'adoptais... Bien sur que je pardonnais !
- A un détail prêt, il me suppliait d'héberger Bojana en mon absence. Je tiens tellement à elle ! Puis de l'aider financièrement si je pouvais car elle fait la nounou pour se faire du blé. Comment refuser si je veux retrouver mon Pablo ?
J'ai retrouvé mes clefs dans ma boite aux lettres. Sur l'ordinateur " amante del buen Usted es Realmente " = Amant vraiment trop bon ! " Vuelvo Prometo " : = Promesse de retour assurée...
Deux mois près, il m'envoyait un billet d'avion pour que je le rejoigne à Bogota avec Bojana. Sur un post-it :
-T'a intéret à venir me chercher sinon je vais te pourrir la vie sur internet.
Putain de dilemme comment jutifier une abence de 48 heures auprès de ma famille ? Comment renoncer à le revoir ? Lâchement, j'ai pris mes dispositions auprès du campus, ma famille, chui parti le rejoindre en croisant les doigts pour que cela ne soit pas une cabale.
Il m'attendait à l'aéroport trépignant d'impatience, se jetant dans mes bras pour m'embrasser en faisant fis de la foule. Me montrant ses papiers en règles trépignant.
J'étais reçus par ses parents comme hôte privilégiés : Moi rien de moins que son professeur. Pendant trois jours, j'ai goûté au coté " chaud bouillant " des latinos et latinas. Nous sommes rentré ensemble, il tenait à me rendre l'argent emprunté placé dans la boite à spaghettis des dépenses courantes. Nous reprîmes notre cohabitation dès plus en plus torride avec Bojana.
Lui voulait préparer un doctorat de droit ? Car disait-il il y avait trop de corruption dans mon pays. Je veux faire quelque chose.
J'avais fais réparé son épave qu'il a revendue pour mettre de l'argent de coté, pour me rembourser disait-il. Une fois au campus, sa première demande a été, on courre ce soir ? Je confirmais ! Ben, j'ai pris une branlée, il avait un tour d'avance, et question lutte il prenait le dessus, l'élève dépassait le maître ! Mes trous perforés détrempés trempés inondés de sémination. Et Bojana qui avait devinée notre bisexualité, y participait amusée dès que nous allions en douche.
Cette idylle a durée qu'une année scolaire studieuse car il lui fallait retourner en Colombie pour le décès de son père. Le doctorat en poche, putain j'étais fier de lui, Pablo voulait retourner en Colombie exercer. Il me supplia de l'attendre avec Bojana pour les vacances, ne la laisse ps tomber s'il te plaît. Bojana était d'accord pour finir son BTSA, devenir ingénieur.
Malicieuse Bojana me suggère que nous allions le chercher à Bogota quant-il ne s'y attendra pas.
J'esquieste, mais faut remplir la boite à spaguettis.
Tinkiet je vais t'aider ¡
Putain, je ne suis pas prêts de les oublier ces deux là !
Scoubidou38
Autres histoires de l'auteur : Portrait d'un double face ! | Esteban (dit Esté) | Chubby Chub | Vacances déjantées | Destroy le covoiturage au final | Bains Turcs | Petite bite, dit la Biloute | Vide Burnes | Incongru | Casey | Godeminou à trou-ducs | Le colocataire renversant | Un ange Satanique caché : Abdel | Le rouquinoux | Dépave entre adultes consentants | Steffen and co.... | Alfredo & Geoffrey | Pablo Colombien | L'Alpha et l'Oméga | Adrien " masseur " | Déprave au sauna