Pour ceux qui me connaissent, il ne fait aucun doute que j'en suis ! Certains diraient " A voile et à vapeur ". D'autres LGPT ou " transpédégouine " ! Le fait est, j'assume une vie de couple tout ce qu'il y a de normal, avec mes enfants, mes amants hommes clandestinement depuis plus de 20 ans. Enfin, quand je dit j'assume, c'est façon de parler car ça me complique la vie vous pouvez pas imaginer. Je ne drague pas, ni n'ait de profil particulier. C'est comme une seconde nature chez moi dont le dicton pourrait être " Pour vivre heureux vivons caché ". Je suis radicalement opposé au " coming-out " au motif que ma sexualité ne regarde que moi. Pourquoi en faire un scoop ? Mes amant me trouvent me cherchent pour le fric une évidence, pour se vider les couilles avec un mature. Mais alors pourquoi en avoir plusieurs vu comme c'est compliqué à gérer au quotidien ? Je ne le cherche pas vraiment, je suis comme qui dirait un " coeur d'artichaut " ! L'occasion fait le larron sans avoir à fréquenter le milieu sectaire gay ! C'est complètement opportuniste ! Ni annonce ni flirte, aller comprendre pourquoi je les attire, question de feeling. Une rencontre, un regard, les phéromones qui s'en mêlent font le reste. Et mon homosexualité refoulée prend le dessus. Finalement si finalement faire l'amour " comme des bêtes " nous permettais de découvrir nos limites nos limites nos tabous ?
Intervenant dans un campus universitaire beaucoup d'étudiants fréquentent les lieux, faut croire que je les attire et compte tenu de la concentration je n'ai que le choix. D'un sex appeal surdéveloppé. Que mon comportement induit du magnétisme concernant une seconde nature libertine. Alors que je déploie un trésor d'imagination pour avoir une vie familiale dès plus clandestine. C'est dire que je travail d'invisibilité en sous marin. Il y a Maxime étudiant en droit qui le fait pour le flouze, c'est clair. Sa copine lui pompe tout, et pas seulement les burnes mais sa bourse d'étude. Nous passons une deux heures ensemble à oilpé, discutons de droit, buvons du vin, prenons une douche. Il me masse avec une musique relaxante, puis me sodomise, et je lui patine son sexe baveur jusqu'à la dernière goutte. Je le paie, c'est un peux frustrant de retrouver ma femme le cul chaud brûlant. Je me dis que me faire doser par un mec de 25 ans de moins, c'est toujours ça. Je trouve mon équilibre comme ça ne cherchez pas je dois être dépravé derrière une normalité hors de soupçons ! Je ne tiens pas à fréquenter les milieux gays trop glauques à mon goût. Ni ne tiens pas à des aventures sans lendemain. Encore moins à des aventures pissotière dans des chiottes publiques, même les chiens n'y vont pas. Au bout d'un an et demi, max à disparu, ou changer de copine, je n'ai plus de nouvelle. J'ai fais des recherches en vain, il a quitté la FAC dans adresse ni diplôme.
Il y a Julien qui me voit entrer dans un club échangiste, et m'apostrophe " On peux entrer ensemble " ? Je le toise, vrai qu'il est mignon, mais ne cadre pas du tout avec la clientèle de l'endroit. " Tu fais beaucoup trop jeune, on te donnerait 18 ans ". " Ils ne te laisserons pas entrer ". " T'inquiet, j'ai une carte trafiquée plus vraie que nature " qu'il me plante sous le nez ! " Alors rassuré " ? Je lui propose de prendre un verre juste à coté pour faire connaissance, tenter d'en savoir plus sur ses motivations, lui présenter les lieux. " Il s'impatiente, alors on y va ", " C'est combien l'entrée " " ? " 80€ " ! " Tu peux payer pour moi, et je te suis partout ou tu ira " ? Il sent que j'hésite ! " Je te suce si tu veux ". " A 80€ la sucette, tu es plus cher qu'une pute " ! " Oui, mais j'avale " !" Et si je te vide les burnes plusieurs fois dans la soirée, ça va le faire " ? Vu sous cet angle, la perspective est séduisante alléchante. Comment refuser ? Je n'étais pas vraiment chaud connaissant le maître des lieux qui m'avait vu en présence de ma femme, certaines étudiantes même. Allez lui dis-je entre, je te suis, son audace me scotchait. Il se débrouille avec un tel aplomb avec un gérant soupçonneux sur son age que j'en suis baba. Du coup, je paie le tarif couple, moins cher. Nous allons directement au bar : " Tu préfères commencer par le coins hétéro mixte gay, ou partouze dans les étages ". " Le jacuzzi mixe là, qu'il me montre du doigt " ! Il prend place entre deux femmes couguars avec la crampe bien évidente. Je suis en face de lui. Il semble aussi à l'aise que s'il était un habitué. Il n'attire pas particulièrement l'attention malgré ses traits juvéniles son sexe rasé ce qui me rassure. La lumière tamisée caractéristique de l'établissement accentue la sensualité de l'endroit. Il ne cache pas sa satisfaction à voir autant de minous à portée de main. Les deux femmes le branlent à tout de rôle, il exulte un large sourire en masturbant leur minou sous l'eau. Les deux couguars finissent par lui demander de le suivre au sauna. Il me fait signe de les suivre. Elles me laissent entrer mais je reste en observateur. Curieux de voir comment il va s'en tirer. Finalement en moins d'une demie heure, il aura brouté deux femmes simultanément. Il ne me cache pas son enthousiasme avec une bite qui ne débande pas. Quand elles partent, il me glisse : " Tu vois, j'ai un succès fou auprès des vieilles ! Des couples entrent, il entreprend de me sucer comme si nous étions seuls ". L'un essaie de lui mettre la main dans la raie qu'il repousse en répondant : " Je suis macqué désolé " ? Il avale mon sperme, m'embrasse pour partager sémination ". Je le complimente sous la douche. Il me glisse à l'oreille : " Ca me change des lycéennes, ici elles ont l'age de ma mère ". " Et moi de ton père " ! " C'est vrai ça, tu pourrais être mon père " ! Il part direct sur une femme qui est en couple, lui demande de lui lécher le sexe pendant que son mari la pine derrière. Le mari donne son consentement, voilà julien qui abouche le sexe d'une quinqua, en lui maintenant fermement la tête sur son pubis qui dégouline. Il aimerait aller plus loin mais le mari refuse, se ravise, accepte. Ils nous entraînent au premier étage plus hot ou des couples s'accouplent par dizaine. Je les suis comme un toutou dans un black room sombre, le mari me demande de rester à l'extérieur. " T'es son père me demande-il " ? " Non son mac, il fête ses dix huit ans " ! " Ma femme va le dépuceler, c'est une gourmande de jeunot ". Il me montre une lucarne, en me disant : " D'ici tu verra tout ". Effectivement j'étais aux premières loges. Julien ayant jouit, le mari prends sa place lui maintenant la tête à portée pour lui enfiler la bouche en alternant avec le vagin de sa femme. Julien sort complètement groggy. Je l'emmène récupérer sur une banquette pour observer les couples qui s'accouplent publiquement à la chaîne. Il me glisse : " Putain quand je pense à toutes les meufs que je me fais en me faisant chier au lycée, ici je nique sans prise de tête des matures en présence des maris. " Ca déchire grave " ! " Tu me montres le coin gay " ? Il semble intéressé par une cabine comportant de nombreux orifices " Glory hole ". " Me demande ce que sait " ? " Dans la cabine, il y a des suceurs ou des suceuses, à l'extérieur des sucés qui mettent leur queue dans les trous ". " Putain de délire " ! " Une chance la cabine est libre, il ferme le loquet pour me vidanger les burnes une seconde fois ". Je ne vais pas me plaindre de son insatiabilité et de sa testostérone qui m'emplit la bouche. Petit à petit des queues se présentent bien raides pour gicler à travers le Glory hole. " Pas chiche me susurre t-il que : " j'en fait gicler le plus ". J'ai bien évidemment perdu l'honneur de mon anus ! En sortant, il me montre une autre cabine en me demandant ce que s'est ? La même chose, sauf que femmes hommes présentent leur cul pour se faire sodomiser par le premier venu sans voir sa tronche. " On retourne au bar STP, j'ai soif et faim ". " Putain de délire, j'ai appris plus de choses ce soir qu'en 18 ans d'école ". On continue à faire connaissance, j'apprends qu'il est en apprentissage d'électricien. Il me parle de ses meufs qu'il change souvent parce que ça le gave de ne pas en trouver une qui lui vidange les couilles quand il veut ou il veut. Puis " Chui chez mes parents, ça complique les choses ". J'avance timidement : " Je pourrais essayer d'être ton vide couilles, tu habites à 15 mn en voiture ". " J'y pensais, t'es pas mal pour un vieux ". En redescendant au premier nous retombons sur le canapé lit pouvant recevoir une dizaine de couples. Il me fait signe qu'il veut mater pour récupérer ! Me glisse à l'oreille " Qu'il aimerait bien l'Asiate ou la Black qui se font tourner à la chaîne ". Je lui demande " T'as choisis " ? " L'Asiate qu'il me dit pour ses petits seins ". " Je passe devant pour te montrer comment prendre son tour en s'imposant ". " Là faut mettre kpot, je lui monte le distributeur. " Tu te colles à moi sinon tu va perdre ton tour ". Je me positionne en triquant, lui derrière à ponter mon fion de son sexe. Je la pine, et lui attrapant sa trique pour prendre ma place. Il la saute aussi, il était temps le mari présent lui caressant les seins décide que s'en est assez. " Tu te rend compte me dit-il elle s'est fait plus de dix mecs tu crois qu'elle fait la différence avec tous ces zob ". " Franchement je ne crois pas, elle est dans son trip " ! Ca le laisse perplexe. En sortant : " T'es un mec cool, j'aimerais qu'on fasse le tour de ces clubs ensemble si tu veux bien ". " Qu'elle heure il est " ? " 2 heures du mat " ! " Mes parents vont me tuer, tu peux me ramener " ? Dans la voiture à 100 mètres de chez lui, il me fait une fellation royale. Tu vois, j'ai besoin d'une vraie pompe à jus avant et après le lycée. Pour voir, j'avais vu, ma gorge avait du mal à déglutir sa purée.
Nous avons fais le tour des clubs échangistes, puis homos jusqu'au jour ou il m'a dit stop : " On reste tout les deux amant, j'en ai assez vu ". Toi, " si tu tiens la cadence, je te garde encore un peu ". " Idem pour toi " ! J'ai accédé à sa demande de triolisme avec une call-girl de luxe pour ses vingt ans : Son fantasme une " Blackoss " d'une cinquante d'année. Cette rencontre a durée 6 ans ! Je crois qu'elle durerait encore si je n'avais pas changé de région.
Corentin enfin ! A l'inverse ça a démarré en douceur, quasiment glamour malgré notre différence d'âge. Puis ça s'est accéléré comme dans un Luna Park ou les manèges vont de plus en plus vites, de plus en plus haut, l'adrénaline à son maximum. Il lui fallait tout essayer ce qu'il avait vu sur internet. Je sponsorisais des jeunes qui faisaient du scooter, du Wheeling interdit sur la voie publique alors restait des endroits tenus secrets jusqu'au derniers moments avec guetteurs. J'avais repéré un mec qui se démarquait des autres par son équilibre sur une roue les pieds sur le guidon. Un corps juvénile typé métissé coiffé Rasta comme j'aime ! Il tombe en panne d'essence sur le parcours improvisé juste à ma hauteur. Je lui propose de garder son scoot le temps d'aller chercher un bison d'essence. Comme il me voyait souvent, avec ma moto cross, " il me dit " tu me gardes mon scooter STP " ? Au retour, " Il me demande, si je sponsorise une jeune " ? " Mon fils dis-je en le montrant du doigt ". " Tonio, un gros naze qui débute, ça saute au yeux " ! " Et si tu me sponsoriserais j'ai déjà gagné des trophées " ? " C'est chérot l'entretien d'un scoot qu'il me dit, comme pour se justifier ". " J'en savais quelque chose, en comptant le prix de revient des gamelles de mon fils ". " Faut voir tes talents " ! " En privé ou en public " ? " Les deux de préférence, je n'ai pas de principe ". " Mais le gros naze comme tu dits, tu pourrais en échange le former ". " Ça pourrait le faire si tu paie bien " ! " Une formation accélérée car il me revient cher en gamelles ".
Je trouvais toujours une excuse pour retrouver Corentin avant l'arrivée de Tonio. Au quart de tour, dans une zone industrielle déserte il me donne RDV. Il m'a demandé de me dépoiler, en a fait de même, et nous faisions des courses de vitesse, moi en moto lui en scoot sur roue arrière. Très vite, nous avons trouvé un cabanon abandonné que nous avons squatté. Et que nous nous sommes approprié en y mettant un cadenas, une fausse caméra, un détecteur de présence. Bref la totale ! Autant il pouvait être affectueux et me remplir les orifices de sa sauce abondante. Autant son coté sauvage prenait toujours le dessus. Cette libido qu'il avait, je kiffais grave ! Quand sa semence était moins généreuse, j'étais déçu, et il s'excusait : " Je me suis tiré une fille avant de venir pas eu le temps de recharger " ! Tout sourire rajoutait : " Sois pas fâché, t'en profite aussi, car il n'y a pas de douche ". " Alors quand tu me suces, tu suces la chatte que je viens de tirer, tu devrais être contant ". Je lui suggère de mettre une Webcam que j'en profite à distance. " Je ne suis pas contre vieux vicieux ". Je me suis pris au jeu, suis venu plusieurs fois à l'improviste en dehors des entraînement de scoot, effectivement le cabanon ne désemplissait pas. Dès fois avant de partir au lycée, souvent au retour du lycée. Jamais les mêmes filles dont il attribuait une note ! Il me donnait le signal quand c'était libre. Une fois pour rigoler, je lui ai demandé : " S'il comptait se faire toute les filles de sa commune ". " Sans se démonter, il me répond : " Je marque mon territoire au lycée pour commencer, il y en a 98 en enlevant les moches et grosses les pucelles ". Je n'en suis qu'à 29 en cinq mois !
Nos jeux sont devenus de plus en plus sadiques, il m'obligeait à me désaper la nuit pour traverser un village à oilpé malgré les réverbères, les chats errants, les vieilles qui faisaient sortie pipi chien. Un jour dans un sauna gay, il m'a placé dans une pièce vitrée pour voyeurs, m'a sodomisé comme un sauvage criant t'est ma chienne. Ils y avait bousculade derrière la cabine pour entrer me prendre à la chaîne. Il n'a pas osé, avait tiré le verrou, ouf ! Dans un sens, il n'avait pas tord, je cédais à beaucoup trop de ses fantasmes sexuels dominants possessifs. Je me découvrais complètement soumis à ses désirs, ses fantasmes. J'adorais cette inversion maître élève. L'ascendance qu'il exerçait sur moi. Lui obéir en cédant à ses caprices. Un jour il me donna dans le feu vert dans le cabanon pour que j'entre à oilpé. Trois nymphettes m'attendaient criantes hurlantes déchaînées hystériques de cette présence inconnue dans le noir complet. Julien m'ordonna de brouter leur minou en me guidant entre leurs jambes bien ouvertes jambes pendant qu'il me défonçait l'oignon. Abouchée à leur vagin pubescent trempé mouillé. Pour lui nettoyer le chibre à chaque fois qu'il pinait un autre minou. Complètement grisé par notre complicité séminale immorale.
Une autre fois, il m'emmena sur une nationale au bord d'un pré en pleine nuit, m'ordonna de me désaper, de revêtir une sorte de djellaba capuchonnée. Ne garde que tes baskets ! On n'y voyait queue dalle sur ce chemin de pierres de 20 mètres ou était garées des voitures de chaque coté présageant une présence. Le temps de me glisser à l'oreille " T'es dans un coin majorité gays refoulés, alors déguisé comme ça, t'as intérêt à bramer comme une chamelle ". Il se mit sous moi en 69 mon sexe dans sa bouche, offrant mon fion bien offert bloqué avec ses jambes au premier venu. Me susurra " Tu dois t'en faire une dizaine, si tu tiens à moi ". Ça n'en finissait pas, ma cheminée ne désemplissait pas de va et viens soutenus à m'arracher des couinement de cochon à l'abattoir. Mon fion devenait incendiaire dégoulinant de poisse. Ils n'y allaient pas de mains mortes, j'étais rudoyé malmené secoué comme un cocotier, un vulgaire morceau de viande à remplir. Pour être dosé, je l'étais, ça débordait ! J'avais l'entrejambe détrempé. Corentin décida de mettre fin à cet enculage en chaîne en me retournant, pour me pisser dans et sur la raie. " T'es " dégeu " ne puis-je m'empêcher de protester ". " Pour refroidir ta cheminée qu'il disait " ! Regarde : " Maintenant ils vont se tirer, la pisse ça va les refroidir ". Effectivement c'était la débandade, nous restions seul au milieu de nulle part dans la nuit. " La soutane bien pratique pour m'essuyer, protéger sièges de l'auto ". " T'inquiète j'ai prévu une tenue de rechange " !
Les choses sont devenues plus affectives entre nous moins sadiques, surtout bien rodées autour du cabanon dont il me faisait profiter de ses " pouffiasses" comme il disait. Dans un noir complet alcool aidant pas une n'a devinée que j'aurais pu être leur père. Ça amusait Corentin de me partager ses poufs ! Nous avons gardés le contact 6 ans mais notre relation est devenue beaucoup plus soft, et paternelle ! Mon sponsoring leurs permettaient de faire des rencontres entre clubs, et d'échanger sur le net des vidéo.
Un jour mon fils me dit : " Corentin te tourne autour, parait qu'il est double face "... A bon, je ne savais pas ! " Il est super doué sur un scooter, c'est sur, j'ai plus de technique maintenant qu'il me coache ". " Il se vante de se faire toutes les filles du lycée ".
Dit : " Papa, il organise avec les Scootéristes une soirée Time's up ce soir, je peux y aller, c'est dans un cabanon à ce qu'il parait " ? Je n'ai jamais rien su de cette soirée, mais ils devenaient inséparables avec mon fils qui n'en finissait pas de progresser...
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Scoubidou38
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