Il y a une dizaine de jours, j'avais pris une décision, celle de ne pas me faire remettre en vrac après la séance avec 2 mecs qui m'avait quand même bien secoué, d'autant qu'un plan (touze) est prévue et organisé pour le 02/01/2019.
Une sage résolution, vous me direz, mais comme chacun le sait les résolutions ne sont que très rarement suivies d'effets.
C'était sans compter sur le hasard, et surtout sur une opportunité inattendue qui s'est présentée inopinément
Comme quoi il ne faut jurer de rien.
Il m'est déjà arrivé une rencontre provoquée dans les mêmes circonstances.
À savoir d'être reconnu par un mec qui comme moi traine et est abonné sur un site spécialisé pour les hommes gays murs.
Ce coup-ci, ce fut avec un banquier que je démarchais pour l'un de mes clients
Après avoir fait allusion de façon à la fois intelligente et perfide qu'il pensait m'avoir reconnu et que même nous avions tchatté ensemble voilà peu, force m'a été d'acquiescer, d'autant que le personnage correspond plutôt au genre de mec que je convoite.
Les 50 berges bien tassées un gabarit hors norme : 190 pour au moins 90 Kgs très, très masculin et viril.
Le monsieur s'appelle Christian.
Nous avons traité le dossier pour lequel j'étais venu puis fort de mon assentiment, il a la fin de notre entretien, coupé la caméra de son bureau, fermé la porte à clé, et m'a tout bonnement déballé sa queue et mise dans la main, une belle queue bien lourde et prometteuse, puis l'a remballée en me disant je bosse demain matin, mais suis dispo demain après-midi si vous voulez on déjeune ensemble à l'Ibis et j'y prendrais une chambre.
Je sais ce que vous aimez, j'ai lu votre fiche, ça me parle assez, c'est aussi ce que je recherche, on déjeune et vous pourriez faire le dessert en intimité après.
On conviendra que la manière est peu banale, mais courtoise, en plus ce grand gaillard avec cette queue lourde me fait un effet boeuf, c'est donc, avec enthousiasme, certes dissimulé que j'acceptais
Ça, c'était vendredi dernier
Donc comme convenu j'étais à 12 h 30 eu bar de l'Ibis hôtel de Bayonne (mi-chemin pour chacun et discret)
12 h 45 je vois le Christian descendre par l'ascenseur il a troqué le costard cravate pour un, jean et un pull en en cachemire et des converse.
Il est encore plus impressionnant comme ça, bon sang il est sacrément costaud quand même !
Bref il s'installe, me dit super que tu sois là (le vouvoiement n'est apparemment plus de rigueur) j'ai douté un moment que tu viennes, je ne te dis pas la nuit que j'ai passée.
J'ai pris déjà la chambre j'en descends (ça, j'avais cru comprendre)
On se boit un demi, et on passe au resto de l'hôtel
On commande, il nous fait servir une bonne bouteille de vin rouge et on déjeune.
Au cours de repas on discute un peu de tout, de boulot, un peu aussi, puis immanquablement ça dérape vers le cul
Il m'explique qu'il est marié depuis 30 ans qu'avec sa femme c'est cool dans la vie, mais que les plans cul, c'est plus ça depuis un moment.
Il a essayé de varier, mais elle pas branchée franchement baise, et alors quant à la sodomie, ce n'est même pas la peine d'en parler il a bien essayé 2 fois, mais elle l'a jeté carrément avec elle pas question de passer par là, en plus déjà normalement vu comme il est monté, elle du mal alors coté cul c'est niet de chez niet !
Il m'avoue avoir essayé avec une pute, mais ça ne l'a pas fait, puis avec 2 mecs lors de déplacements sur Toulouse et Montpellier, mais qu'il était resté sur sa faim que ça n'avait pas été top.
Il s'inquiète de savoir si je vais pouvoir avec lui parce que et il me le dit clairement si nous sommes là, c'est bien parce qu'il a envie de m'enculer réellement et bien à fond sans chichi il en a fantasmé toute le nuit...
Moi, je lui dis que s'il sait y faire on devrait arriver à quelque chose
Il me dit t'es sûr, t'as vu comment je suis monté, s'en est presque un handicap tout du moins pour çà.
Je lui dis écoute si on n'essaye pas on ne saura pas.
D'autant qu'il n'y a pas que lui qui a eu le sommeil agité, moi aussi j'ai passé une partie de la nuit à gamberger et fantasmer sur la manière dont on allait baiser vu ce que j'avais eu dans la main et sous le nez ce qui était déjà impressionnant alors qu'il n'était même pas au top de l'érection.
Il me dit OK voilà le programme :
On se prend une douche pour se rincer un peu quand même
Tu me suces j'aime ça.
J'ai aussi envie de te bouffer le cul vraiment c'est un putain de trip que j'ai, surtout que tu m'as dit que tu étais épilé.
Et je t'encule vraiment j'en ai très envie, je ferais attention c'est promis, en plus suis passé au sexe center (c'est une boutique du coin qui vend tout ce qui est en rapport avec le sexe) j'y ai acheter du gel super lubrifiant, et je me suis procuré du Poppers par le biais d'un ami.
Je n'en reviens pas, je reconnais plus le banquier que je connais, c'est plus le même homme une fois hors de son bureau,
il a à priori grave envie de se lâcher.
Donc direct la chambre !
Comme voulu on se désape, direct sous la douche à tour de rôle j'y passe après lui quand j'en ressors il est allongé sur le dos entrain de se caresser la queue qui ma foi, prend une belle ampleur.
Je m'agenouille sur le lit et lui prends la queue en main, le décalotte et enfourne son gland d'un coup sans prévenir.
Il est surpris et du coup se tend je sans sa queue gonfler rapidement il est super excité.
Son gland est énorme bien marqué je lui tète, puis lui lèche la queue sur toute sa longueur je m'aperçois aussi qu'il a une belle paire de couilles bien lourdes et suspendues je les prends à pleines mains, je les malaxe, leur tire dessus puis je le reprends en bouche et le suce lentement en essayant d'en enfourner le plus possible, mais tout n'y passe pas.
Il gémit de plaisir en secouant la tête de gauche à droite, ce petit jeu a dû durer maxi 10 minutes.
Il me dit : arrête tu vas me faire jouir, et moi, je veux jouir au fond de toi.
Je cesse donc
il se relève me met à 4 pattes les genoux écartés et se jette sur mon trou m'écarte les fesses et vient poser sa langue sur ma rosace.
Il me la lèche, la titille, puis l'enfonce dans mon trou, le plus profond qu'il peut, il se délecte, et commente entre deux 2 pénétrations linguales : putain ce cul, qu'est-ce qu'il est bon à bouffer.
Moi, franchement je commence aussi à avoir mes vapeurs, ça c'est du bouffage de cul
en règle, j'ai rarement subi un truc pareil, manifestement il aime ça, je vais m'en plaindre.
Il cesse puis je sens un doigt me perforer, sur toute sa longueur, son bouffage de cul à fait son effet je commence à m'ouvrir, il rentre sans difficulté.
Il le retire, attrape un gros tube de gel qui est posé sur le chevet à côté du poppers.
J'en profite pour caresser sa queue en même temps, elle est devenue énorme, turgescente, très noueuse et tendue, avec ce gland hyper proéminent que ça m'en fait baver d'avance.
Il se glisse derrière moi m'envoie 3 belles claques bien appuyées sur les fesses, ce qui me fait sursauter et gémir de surprise un peu de douleur, mais aussi de plaisir.
Puis il me tartine les fesses de gel, y remet un doigt d'un coup le plus loin qu'il peut le fait aller et venir puis il y installe un 2 -ème doigt et pratique de même en tournant en plus à l'intérieur de moi.
Je sens mon trou s'ouvrir sous se caresses profondes là il me tend du poppers.
J'en inhale 2 bonnes rasades, et là il me dit on en met un 3 ème, aussitôt dit, aussitôt fait un 3ème doigt vient rejoindre les 2 premiers, mais pas à fond ce coup-ci, il se concentre sur mon ouverture principalement.
Moi, je respire de plus en plus vite cette dilatation me rend fou j'ai même tendance à essayer de reculer pour qu'il les enfonce en moi, mais non il veille à ça, son truc là c'est m'ouvrir la corolle, rien d'autre.
J'en peux plus, je veux de la queue, je veux du dur, je veux que ça rentre, je veux sentir son dard me fendre en deux, je lui dis, lui gueule plutôt : mais bon sang va s'y, tu ne vois pas que je suis prêt viens baise moi bordel de merde...
Alors il retire ses doigts, me tire à genoux au bord du lit, en descend, se place debout derrière moi, et je sens enfin son gland se poser sur mon trou, mais je n'ai pas le temps d'appréhender qu'il m'enfonce d'un seul coup sec son gland et au moins 3 ou 4 centimètres de son manche, je crois que c'est un des moments que je préfère dans la baise sentir mon trou céder à la pousser d'une queue) j'avais beau être prêt ça surprend quand même, je pousse un cri, il se bloque, puis pousse un peu plus 3 ou 4 centimètres, puis fait une pose puis repousse encore 4 ou 5 centimètres.
J'ai bien la moitié de sa queue dans mon ventre je sens que mes parois se distendent, s'ouvre et le laisse passer.
Puis il se recule un peu comme pour prendre de l'élan, et m'enfonce tout le reste d'un coup lent interminable puissant en force, je gueule, c'est à la fois douloureux, mais aussi ce que j'attendais.
Il finit par bloquer au fond de moi bien planté et il commente : mon dieu ce cul ce cul, puis il entame des va-et-vient sur la moitié de sa queue pour commencer puis, sur toute la longueur.
Je resniffe 2 rasades de poppers, il sort sa bite complètement de moi, et la ré enfonce d'un seul coup lent jusqu'à la garde, moi je pars en vrille, je sens mon, ventre l'accueillir sans problème, alors il se met à me limer d'abord lentement, puis de plus en plus vite et finit carrément par me bourriner en force, j'ai le cul qui explose j'essaie de prendre des positions qui l'aident à aller plus loin, plus profond, ce mec est en train de me déglinguer complet.
Pour un débutant, il fait fort, très fort !
Moi ça y est, j'ai le ventre et les reins en feu, la queue raide qui commence à s'agiter, j'ai des spasmes du périnée, mes reins se creusent, ma valve palpite, se contracte sur son pieu, le feu, le plaisir fulgurant arrive, je le gueule, lui aussi vient il a ralenti la cadence comme s'il voulait profiter au maximum du plaisir qui arrive il souffle comme un boeuf puis d'un coup se tend se plante au fond de moi et balance tout ce qu'il a dans les burnes, il m'arrose l'intérieur de jets puissants brulants en me tenant bien arrimé à lui, il dit les banalités en ce cas : ho oui ho oui putain ho oui et quelques insanités à mon intention.
Je jouis de la queue et du cul en même temps c'est puissant presque violent.
Je me laisse tomber à plat ventre l'entrainant avec moi toujours dans cul, il est encore dur, et ça me fait mal ou fond du cul, on reste comme ça 30 secondes, puis il se retire, mais pas d'un coup il en sort la moitié, en re-rentre un peut, puis recommence jusqu'à en fin libérer totalement mon ventre.
Il s'allonge à côté de moi les bras en croix et récupère son souffle, moi je me suis mis en chien de fusil et ai encore des spasmes abdominaux qui me secouent.
Il s'évacue sous la douche, je récupère doucement
Quand il en ressort je le croise en y allant il la queue encore demi-molle, nos yeux se croisent, se plantent les uns dans les autres, pas besoin de parler la messe est dite, les reconnaissances sont mutuelles, on a joui comme des malades tous les deux.
Quand je ressors de la douche, il est habillé, j'en fais autant
Il me dit je ne sais pas quoi dire, juste que c'était génial, merci
Moi merci de quoi ? Tu m'as fait prendre un pied d'enfer.
Lui : on se rafraichit la glotte au bar, une bière sera la bienvenue je crois.
Moi : ho oui
On redescend on s'installe au bar je regarde l'heure, il est à peine 16H00.
Le barman, s'excuse, et nous dit : j'espère que vous n'avez pas été dérangé, par des bruits, parce des clients de l'hôtel ont appelé à la réception en disant qu'il y avait entendu par moments des cris venant d'une chambre de leur étage tout ça avec un petit sourire en coin.
Christian a récupéré son sang-froid et ses attitudes de banquier,
il le douche en le toisant des yeux et d'un ton sec lui dit : pas nous, on était occupés et concentrés sur un dossier, ceci dit il faudrait peut-être prévoir de mieux isoler vos chambres si vos clients se plaignent.
L'autre remballe son sourire à la con part essuyer ses verres à l'autre bout du bar.
On finit notre bière, je lui serre la main, il me dit en me vouvoyant à voix haute (plus à l'intention du barman qu'à moi-même) bien comme convenu on se voit le 3 au bureau à 14 h pour les procurations et signatures données par votre client qu'on finalise le dossier, en attendant passez de bonnes fêtes de fin d'année.
Je le salue aussi en le vouvoyant et me casse en me marrant bien à l'intérieur.
En rentrant chez moi, je me demande bien comment je vais pouvoir aborder les dossiers de mes clients que je dois lui présenter, sans penser à ce qui vient de se passer ça ne va pas être simple cette affaire.
Mais bon nous avons tous les deux le sang froid qui caractérise les négociateurs et hommes d'affaires.
James
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