Parfois, les petits bobos de la vie, amènent quand le hasard s'en mêle à des moments aussi jouissifs qu'inattendus.
Voilà une semaine, un petit bouton, mais un putain de bouton mal placé, sur le haut d'une fesse me gêne pour la position assise, et me fait mal,
D'autant que je conduis pas mal.
J'appelle mon, toubib pour y remédier, la, la secrétaire me dit qu'il est en congé et que c'est son remplaçant qui va me recevoir enfin de journée parce que là, il est au taquet de ses rendez-vous jusqu'à 18 heures.
Moi : OK, un toubib reste un toubib.
Pile poil à 18 h j'y suis, juste une personne devant moi dans la salle d'attente, je patiente, elle passe et 15 minutes après c'est mon tour.
La secrétaire est partie.
Je découvre le remplaçant en même temps qu'il ferme à clé la porte de la salle d'attente en m'expliquant que je suis le dernier, et qu'il part après moi.
C'est un type entre 55 et 60 ans à priori, dans les 1 m80 pour 90 kgs, peut-être, quasi chauve les yeux clairs, avec des lunettes, pas beau, mais pas moche non plus un mec banal, ce qui me surprend c'est sa tenue, mon médecin habituel est toujours genre pantalon de ville chemise blanche classique quoi, lui est en pantalon zoulou, tong aux pieds avec un genre de chemise ample col Mao, en même temps c'est vrai qu'il fait encore bien chaud pour cette mi-septembre.
J'entre dans le cabinet, lui explique, mon problème.
Lui, OK enlevez tout le bas et installez-vous à plat ventre sur la table pendant que je regarde votre dossier, donnez-moi votre carte vital.
Je m'exécute donc.
3 minutes après je l'entends avant de le voir,
Il met des gants et officie, il ne me dit rien de grave, surement gênant et douloureux effectivement, c'est un poil qui s'est enflammé sous la peau, faut nettoyer tout ça et on en parlera plus.
Donc il fait son Taf, coton, désinfectant, etc.
Puis il me dit je vais quand même vérifier qu'il n'y en a pas d'autres en formation, c'est assez commun.
Je le laisse faire. Il m'écarte les fesses et cherche, il me demande de me mettre à genou " j'obtempère, j'ai l'habitude de cette position, mais dans d'autres circonstances...
Il cherche et ne trouve rien, mais me dit, carrément tout à trac comme ça :
Je constate que monsieur est apparemment adepte du plaisir anal,
Implacable constat d'un homme du corps médical,
Manifestement ma rosace m'a trahi, je prends un coup de chaleur et me sens plutôt gêné, et confus.
Vexé, j'assume et lui réponds que je fais ce que je veux de son cul et prends mon plaisir comme je veux.
Il me répond immédiatement, pas de problème me concernant, je suis de la maison si je puis dire.
Pas certain d'avoir bien saisi, je lui dis comment ?
Il me répond je suis divorcé depuis 2 ans BI actif,
Bon allez c'est pas tout on va mettre un joli petit pansement là-dessus, restez comme ça, c'est plus facile.
Dans les deux minutes suivantes effectivement, non seulement j'ai plus mal, et en plus j'ai le cul scotché sur le haut de la fesse, puis je le vois changer de gants, je croyais qu'il en avait fini, apparemment non, il revient, m'écarte de nouveau les fesses, mais là, par contre un de ces doigts se pose sur ma rondelle, surpris je sursaute légèrement, mais il faut avouer que la position que j'ai à ce moment-là plus ses révélations, mon un chouïa émoustillé.
Plus de doute sur ses intentions, je sens le doigt me titiller, la pastille, avec insistance, je sens un produit tiède également, puis il enfonce le bout de son doigt, s'arrête et me demande : c'est OK ? Je continue ?
Je m'entends répondre après tout pourquoi pas..
Alors il se lâche, il est doué, un puis deux doigts, puis à un moment il m'écarte les fesses et je sens sa langue venir me fouiller, j'en lâche des gémissements de plaisir, puis de nouveau ses doigts plus précis, présents profonds en tournant il m'ouvre et moi j'aime ça.
A un moment il fait le tour de la table se met face à moi me demande d'approcher
J'avance à "4pattes sur la table, la il fait passer sa chemise par dessus sa tète et baisse son froc., et m'enlève mon t-shirt.
Alors là, de 2 choses l'une, ou il n'a pas de slip ou caleçon dessous ou il a enlevé le tout en même temps.
Je découvre une magnifique bite en semi-érection, sous laquelle pend une belle paire de couilles bien lourdes et suspendues, l'ensemble plutôt velu, mais taillé et entretenu.
Je soulève cette belle queue, elle est lourde, et, à de la matière, je l'astique un peu, et très vite elle prend une forme très intéressante.
Il appuie sur une pédale et je sens la table descendre, il arrête quand sa queue maintenant bien raide est à hauteur de ma bouche, le message est clair.
Alors j'enfourne son gland d'un coup, il soupire d'aise, d'une main je lui malaxe les boules et les fait rouler dans ma main.
Puis du gland je passe au reste et essai de l'avaler le plus loin possible, pas si simple, il développe maintenant un bon 20 Cms épais d'environ 5, bien dure et droite, sa queue sent bon, il doit se la parfumer.
Lui a passé se mains sous mon torse et de ses doigts me titille, me pince les tétons et les fait rouler entre ses doigts, ça me rend dingue, je le pompe plus fort encore.
Là, il me dit stop arrête tu vas me faire gicler.
Je lui dis : tien on se tutoie maintenant ?
Lui : Au point ou en est....
Mets-toi sur le dos, j'obéis, il refait le tour de la table, attrape par les chevilles et me fait glisser jusqu'à ce que j'ai le cul au bord de la table
Il ajuste la hauteur de la table, me soulève les jambes et me les fait poser sur ces épaules, il me glisse un doigt puis deux puis 3, joue un peu avec ma rondelle, puis les retire et place son gland brulant sur mon anus.
Je lui dis hé le préservatif,
il me répond, pas de souci, je suis clean et toi aussi, oublie pas j'ai eu accès à ton dossier
Effectivement c'est le cas.
Laisse-moi faire, et j'ai même pas le temps de répondre qu'il pousse d'un coup sec et bref, mais suffisamment pour que son gland entre entier et passe ma barrière, même s'il m'a ouvert j'ai quand même un coup de chaud, il fait une pose, et me demande :
T'aimes la baise comment toi ? Parce que là on va finir ce qu'on a commencé, en plus ça fait un bail que je n'ai pas baisé.
Moi de lui répondre : j'aime sentir un mâle puissant se servir,
En tout cas là pour le moment c'est de quoi j'ai envie, et c'est vrai je ne pense qu'à, sentir cette queue dure, me remplir et me secoueur.
Il me répond OK,
Le patient est roi, et s'enfonce en moi d'un coup lent ininterrompu sur plus de la moitié de sa queue, je couine, il stop, me demande t'as mal ?
Moi : un peu
Lui c'est ça qu'est bon, et de recommencer de s'enfoncer en moi de la même manière jusqu'au max de ses possibilités.
Moi j'ai le souffle coupé je sens son engin calé au fond de moi, et mon ventre rempli à ra bord, et je suis écartelé de l'intérieur.
Il reste planté au fond de moi comme ça et donne aussi des coups de reins secs sans trop se reculer, c'est un peu douloureux, mais putain que j'aime ça.
Il me tient par les plis de l'aine bien collé a lui.
Me regarde dans les yeux et me dit :
Là, mon petit pote t'es bien enculé maintenant, et je vais te fourrer, et te perforer la pastille,
Arrange-toi pour pas trop gueuler, les cloisons sont minces et ils n'ont pas fini de bosser dans l'agence immobilière d'à côté...
Alors il commence ses va et viens, d'abord lent sur toute sa longueur, puis il dé-cule complètement plusieurs fois, me fore l'anus à coups de glands uniquement au moins 5 ou 6 fois, et à un moment s'enfonce de nouveau en moi sur toute la longueur d'un puissant coup de reins,
il avait prévu sa manoeuvre juste au même moment il plaque une de ses mains sur ma bouche, et il a bien fait, je crois qu'ils m'auraient entendu à côté, c'est presque du viol ça me fait partir en vrille d'un coup, j'ai les reins et le ventre en feu j'en veux plus encore, et plus vite, plus fort, je lui dis,
Alors il exécute et me pilonne à grands coups de reins, et ça ne dure pas vraiment longtemps, mais suffisamment, pour, nous amener les deux au plaisir, mes reins se cambrent, mon ventre va exploser, je sens sa queue se tendre grossir enfler d'un coup, en même temps de mon côté mon anus se contacte et se relâche par contractions sur sa queue, je jouis du cul, et éjacule en même temps, j'ai des spasmes abdominaux qui me font me redresser.
lui me suit et finit par se planter au fond de moi et je sens des jets brulants m'envahir, il se recule un peu pour tout balancer en poussant un grognement de bête.
Je suis tétanisé mes jambes glissent le long de ses épaules, je suis toujours secoué de spasmes, lui s'affale sur moi toujours un bout de sa queue planté en moi.
On reste comme ça 3 bonnes minutes puis je sens que son érection est un souvenir qui s'amoindrit, mais bel et bien encore présente, il débande doucement et sort lentement de moi.
Je reste un peu comme ça, il revient avec du Sopalin dans les mains, m'écarte à nouveau les cuisses et fesses et entreprend de me nettoyer, et il fait bien je dégouline de partout.
Je m'assois sur la table les jambes pendantes pour récupérer un peu quand même, j'ai les guiboles en flanelle,
Il me regarde, et me dit le pansement à bien tenu, je suis content de mon travail, au fait moi c'est XAVIER,
Et toi t'es content ?
Moi : plus que content et pas que du pansement, bon sang u sais y faire et te servir de ta queue, en plus elle est bonne.
Lui : Et toi tu suces comme un dieu et, t'as un cul d'enfer, bien accueillant faut bien l'avouer,
tu me fais une bonne salope toi là, y a aucun doute là-dessus,
Le, pire, c'est que quand on te voit comme ça, hé bien ça à pas l'air, t'as tout du vrai mec hétéro jusqu'au bout des ongles à te regarder.
C'est d'autant plus existant.
Sur ces belles paroles je me suis rhabillé, j'ai récupéré ma carte vital et au moment de partir il me dit en sortant prend direct à droite, passe pas devant l'agence à côté je crois qu'on a quand même fait un peu de bruit, d'ailleurs je vais attendre ici qu'ils ferment, pour partir vu l'heure ça ne devrait pas tarder.
Et puis aussi, ne dis rien à Pierre (Pierre c'est le prénom de mon médecin qu'il remplace) il est pas au courant de mes tendances ;
Comme si j'allais lui dire que son remplaçant m'avait troué le cul...
J'ai fait comme il a dit, quand je suis sorti, et quand je me suis assis dans la voiture j'avais un peu mal au cul,
Mais plus au même endroit.
James
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