Le mystérieux infirmier

Le mystérieux infirmier | 2

48 heures après mon bilan de santé, je reçois un texto de la clinique pour me dire que les résultats sont disponibles. J’appelle immédiatement pour savoir s’ils peuvent me les envoyer par e-mail.

- C’est que le médecin voudrait vous les expliquer monsieur.
- Il y a un problème ?
- Je ne peux pas vous dire, mais je vous conseille de venir cet après-midi.

Je raccroche un peu inquiet. J’enfile une veste et monte dans un taxi direction la clinique. Je suis un peu honteux aussi. Je n’ai pas vraiment envie de recroiser l’infirmier qui a fait de moi son vide couille. Je me demande s’il s’est vanté de ses exploits à toute la clinique. Bref je vais faire profil bas.
J’arrive à la réception et comme deux jours plus tôt la réceptionniste m’indique la salle d’attente. Après une dizaine de minutes, l’infirmier de la dernière fois entre dans la salle et s’approche de moi. Le rouge me monte au visage.

- Suivez-moi monsieur.

J’hésite un instant. Je vois toutes les têtes de la salle d’attente se tourner vers moi. Coincé, je me lève et suis ce beau mâle qui ne me laisse pas indifférent. Il me fait entrer dans le même petit bureau sans fenêtre qu’il y a deux jours. Il porte toujours son masque mais j’ai l’impression qu’il cache un petit sourire.

- Installez-vous.

Je m’assieds et lui demande si je dois m’inquiéter.

- Non rien de grave, mais je pense qu’il vous faut un examen complémentaire. Le médecin arrive.

Je suis de plus en plus inquiet. Je n’ai pas le temps de lui répondre que quelqu’un frappe à la porte et entre. Il s’agit d’un homme grand, brun, vêtu d’une blouse blanche de médecin, son visage est caché par un masque. Il a l’air jeune. On devine une fine barbe de trois jours sous le masque. Il a des chaussures médicales aux pieds et ne porte pas de pantalon sous sa longue blouse, j’observe ses mollets musclés et poilus.

- Ah docteur, voici le patient dont je vous ai parlé.
- Bien. Déshabillez-vous et allongez-vous sur la table d’auscultation.

Sous le regard pressant de mes deux interlocuteurs, j’enlève mon t-shirt. Puis mes chaussures et mes chaussettes, je déboutonne mon pantalon que je fais glisser rapidement. Je garde mon petit boxer blanc moulant et m’allonge un peu tremblant sur la table.
A cet instant, l’infirmier remonte les sangles de la table et attache mes jambes, pendant que le médecin tient mes bras.

- Mais qu’est-ce que vous faites ?
- Détendez-vous, tout va bien se passer.

L’infirmier me plaque les bras le long du corps et passe des sangles sur mon torse. Me voilà saucissonné. Soudain le médecin arrache les boutons pression de sa blouse. Son corps nu apparaît. Il est bien bâti, un corps de méditerranéen, poilu, viril. Une bonne queue épaisse et de bonne taille se dresse devant moi.

- Ouvre-lui la bouche.

L’infirmier s’approche de moi et m’écarte la mâchoire, pendant que l’autre m’enfourne sa grosse queue. En un instant j’ai la bouche pleine. Il tente de s’enfoncer plus. J’étouffe. Je bave partout. Les larmes me montent aux yeux. Je sens qu’on enlève mon caleçon, mais je ne peux rien faire, impuissant. Je vois l’infirmier enfiler un gant et l’enduire de vaseline. Aussitôt après je sens comme un gel froid entre mes fesses, puis la main de l’infirmier sur mon trou. Sans autre forme il introduit un doigt dans mon cul. La vaseline lui permet d’entrer assez facilement. C’est surprenant, froid et agréable. Il ressort pour recommencer avec deux doigts. Je tressaille. Ca fait mal. J’ai envie de crier, mais la bite dans ma bouche m’en empêche. Il tente un troisième. Je me tends. Il m’arrache le cul. Il ajoute de la vaseline et fait glisser lentement ses doigts en moi. Il entreprend un massage de ma prostate. L’autre pendant ce temps me baise la bouche de plus en plus violement. Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je n’ai aucune prise. Je suis à leur merci.
L’infirmier sort alors ses doigts de mon cul. Je me détends. Il replie le bout de la table d’auscultation et installe des reposes jambes de gyneco sur lesquels il fixe mes jambes. Mon cul est face à lui. Je sens l’air s’engouffrer dans mon conduit. Il a dû m’ouvrir sérieusement.

- Docteur je peux poursuivre ?

Le doc arrête ses va-et-vient et sort sa bite luisante et violacée de ma bouche. J’ai la mâchoire déformée, je sens un filet de bave couler sur mon menton. Il regarde l’infirmier baisser son pantalon d’hôpital. Sa belle et longue queue veinée de 18 ou 19 cm surgit.

- Vous êtes bien membré, fait-il à l’infirmier. Je pense que si vous le pénétrez bien à fond en restant droit, vous devriez réaliser un bon examen.

Je relève un peu la tête et voit l’infirmier s’enduire la queue de vaseline médicale. Il s’approche de moi. Pose une main sur chacune de mes jambes. Il me regarde.

- Prêt ?

Machinalement je hoche la tête. Immédiatement ensuite il enfonce d’une traite ses 19 cm au plus profond de moi et colle ses grosses couilles rasées contre mon cul. Je me contracte. Je vois des étoiles, un voile noir. Je n’ai pas vraiment mal mais j’ai l’impression d’étouffer par le cul. Ma prostate stimulée par cet énorme chibre m’envoie des décharges. Je respire vite et fort pour reprendre mes esprits. Pas le temps. Il sort sa bite d’un coup et l’enfonce à nouveau à fond. J’hurle. Le médecin pose sa grande main poilue sur ma bouche.

- Du calme. Si c’est douloureux, il faut que je constate par moi-même.

Il enduit alors sa grosse queue poilue de vaseline, pousse l’infirmier qui sort de mon cul et prend sa place sans me laisser le temps de souffler. J’étouffe un cri. Pendant plus de 20 minutes, ils vont échanger leur place dans mon cul, allant en moi doucement puis rapidement. Déculant complètement et me repénétrant violement. Je n’ai plus la force de crier ou de réagir. Je suis leur chose. Mon cul est leur terrain de jeu ou d’examen, je ne sais plus. Je sue. Mon corps est luisant de transpiration, mes muscles tous serrés. Ma bite bande puis débande en fonction de leurs jeux. Jusqu’à ce qu’enfin le doc se tende et pousse un long gémissement en me remplissant le cul de sa semence. Je sens son liquide couler entre mes fesses. Il a dû en produire des litres. L’infirmier prend sa place et d’un coup de queue remet tout le foutre au fond de mon cul. La longueur de sa bite lui permet de faire des mouvements qui n’en finissent pas. Je déguste ! Son gland champignon m’arrache à chaque passage. Il accélère le rythme. Je m’habitue à cette cadence et le voir prendre du plaisir m’excite à nouveau. Voyant cela l’infirmier saisit ma queue et me masturbe tout en me pilonnant. J’ai de plus en plus chaud. Je jouis du cul et du reste de mon corps. Un plaisir insensé monte en moi. Un éclair de jouissance semble pourfendre mon corps, ma bite devient un geyser incontrôlable. A cet instant l’infirmier se met aussi à jouir violement. Je sens la puissance de ses jets dans mon ventre. Il sort sa queue du plus profond de moi tout en continuant à éjaculer. Il couvre mon torse de son jus. Un jet de sperme atteint ma bouche.
Je n’ai jamais vécu ça. Je suis vidé dans tous les sens du terme. C’est alors que le doc se tourne vers moi en remettant sa blouse.
- Je crois qu’on s’est trompé. Vous allez parfaitement bien.