Alex rejoint sa mère dans la cuisine pour l'aider à préparer le repas du midi. Il me laisse seul au bord de la piscine. En maillot de bain, allongé sur une chaise longue, je prends tranquillement le soleil lorsqu'un bruit perturbe ma quiétude.
David s'avance, le sourire aux lèvres. De deux ans l'aîné d'Alex, il ne lui ressemble en rien : là où le plus jeune des deux frères est mince et finement musclé, l'autre arbore un corps de dieu grec. Ses larges épaules sont complétées par deux bras aux biceps gonflés ; ses pectoraux parfaitement dessinés trouvent leur prolongement dans la ligne d’une tablette abdominale en béton ; sous son petit maillot de bain, une paire de fesses rebondies et sportives se déhanchent en rythme.
Au bord de la piscine, David contracte ses cuisses d'athlète et plonge, m’éclaboussant au passage. Lorsqu'il ressort la tête de l'eau, ses cheveux, habituellement châtains, sont devenus sombres et collent à son front hâlé. Il me sourit, se recoiffe d'une main et me fait signe de m’approcher. Je l'ignore un temps, avec difficulté. Depuis un moment déjà, il a remarqué mon attirance et s’en amuse.
À la simple force de ses bras, il s'extirpe hors du bassin, me laissant admirer ses muscles épais. Il passe devant moi, disparaît un instant de mon champ de vision et, quand il y revient, je devine à son regard qu'il vient d'aller fermer la porte qui conduit à la maison, histoire d'avoir la tranquillité nécessaire.
David se place ensuite devant moi, de manière à me cacher le soleil. Sans un mot, et toujours avec un sourire désarmant, il descend l'élastique du petit slip ; le tissu mouillé lui colle à la peau et ne cache déjà rien de son anatomie. Il connaît cependant mes goûts et se retourne donc. J'assiste à la découverte progressive de ce fessier dont le galbe a alimenté chez moi des nuits entières de fantasmes. Combien de fois me suis-je branlé en pensant au cul de David ?
Il me le dévoile, lisse, imberbe, rond au possible. J'en bande dans mon maillot. Je commence malgré moi à promener mes doigts sur mon torse fin. Je touche mes tétons et une auréole humide apparaît petit à petit sur le peu de tissu qui couvre mon entrejambe. David se retourne au moment où j'étreins ma bite devenue raide.
– Inutile de la garder enfermée plus longtemps, me souffle-t-il.
Sa voix grave suffit à me faire gémir. Il jette son maillot un peu plus loin et s'étend entre mes cuisses pour jouer avec mon sexe. Ses dents blanches attrapent l'élastique de mon sous-vêtement et tirent dessus. Il libère ma bite tout en tripotant la sienne ; je l'aperçois entre ses cuisses de mâle – moyenne, mais très large et pourvue d'une belle paire de couilles rondes.
Pour le moment, ce sont visiblement les miennes qui intéressent David. Il s'empresse de me débarrasser de mon slip de bain pour découvrir avec plaisir ma belle queue. Plus longue que la sienne, presque aussi épaisse, elle jure avec mon physique de minet. Le frère d’Alex l’enferme dans sa poigne ferme et, juste avant de la prendre en bouche, il me lance :
– J'étais sûr que t'en avais une grosse ! Tu caches bien ton jeu, mon salaud !
S'il savait… Je pourrais lui en raconter, mais pour le moment, je suis bien trop occupé à me retenir de gémir haut et fort. Ce beau gosse referme ses lèvres douces autour de mon gland turgescent. Sa langue récolte les perles claires qui suintent de mon méat. Ses doigts repoussent mon prépuce afin d’aller et venir à sa guise sur ma grosse lance. Elle s'élargit à mesure qu'il progresse vers sa base ; c'est donc lorsque David prend ma queue en gorge profonde que ses commissures sont le plus distendues. Cette vision d’un mâle qui me suce ! J’en jouirai presque tout de suite si mes pensées n’allaient pas en direction de son cul…
De sa main libre, ce beau gosse se branle et tire sur ses tétons cuivrés. Il fait rouler ses muscles sous sa peau et m'excite tellement que ma queue gonfle encore dans sa bouche. Il palpe parfois mes couilles, particulièrement lourdes ; j'apprécie son contact ferme sur mes boules. Par moments, j'appuie sur sa tête pour qu'il descende les lécher. Quel plaisir d'avoir entre ses cuisses ce mec viril, imposant, soumis à mon chibre en dépit de ses vingt-quatre ans.
Il a beau être plus âgé que moi et me dominer physiquement, j'en fais désormais mon jouet. Il se donne entièrement et, lorsque je lui parle brièvement de mon fantasme, il ne se fait pas prier. Avec deux de ses doigts, il s'ouvre l'anus tout en poursuivant sa fellation. Ses bruits de bouche me bercent, ses gémissements me chauffent et, alors que je sens l’imminence de l'orgasme, il abandonne ma bite.
Avec son index, David essuie le petit filet de salive qui coule sur son menton. Il s'en sert comme lubrifiant et s'assure que son trou soit assez dilaté. Puis, posant ses paumes de part et d'autre de ma tête, il se place à califourchon sur moi. Je n'ai qu’à tenir mon chibre droit pour qu'il vienne s'empaler dessus. Il en rentre d'abord la pointe, grimace un peu, puis retente avec prudence. Peu à peu, ma poutre pénètre son rectum étroit.
Pour faciliter le passage, je baise sa peau de miel, chatouille ses mamelons avec ma langue, touche sa queue raide et humide. Je n’ai jamais vu une bite aussi productive en pré-sperme ! Il en mouille tellement que son cul m'encaisse aisément après quelques minutes. Je l'attrape par les épaules et lui rentre l'entièreté de mon chibre dans le cul. Il serre les dents pour ne pas alerter les occupants de la maison, puis entame de lui-même un va-et-vient vertical.
Son boyau chaud enveloppe ma queue complète. David la masse avec ses sphincters, je suis sensible à chacun de ses mouvements. Tantôt il me retient en lui, tantôt de petits spasmes viennent travailler mon organe. Mon gland écarte ses parois et provoque des sensations intenses chez le frère d’Alex : ses abdos ressortent au rythme d’une respiration saccadée, il a tendance à contracté le ventre dès que je m’enfonce d’un coup sec. Parfois, la bite tressaute plus fort entre ses jambes, signe que je passe sur un point sensible. Putain, ce cul tiède et moite, qu’est-ce qu’il me procure comme plaisir !
Les cuisses sportives de David se musclent sur ma bite ; il va-et-vient de haut en bas sans jamais relâcher ses efforts. J'accompagne la pénétration par des mouvements de bassins, parfois rapides, parfois lents. Le frère d’Alex soupire. Il retient à grand-peine ses “putain” et ses « oh oui c'est bon ». Je plaque mes deux mains sur ses pectoraux gonflés et caresse son corps tendu, tandis qu'il s'empale sur mon sexe en érection. J'ai rarement connu un trou aussi confortable, souple et pourtant serré à souhait. Les couilles de David claquent contre mon ventre lorsque je rentre toute ma queue en lui. J’agrippe ses fesses rondes, ses pecs puissants ! A d'autres moments je m'accroche à ses biceps gonflés sous l'effort. Chaque partie de son corps entre au service de notre plaisir.
Après de longues minutes à lui limer le fion et à lui déboiter la prostate – cette boule dure que je sens dans son rectum et que mon gros braquemart écrase sans vergogne – le frère d'Alex n'y tient plus. Ses abdos se contractent et il se vide les couilles ; plusieurs giclées de sperme chaud éclaboussent mon torse. De mon côté, je me retire in extremis et, me relevant d'un coup du transat, je lui colle mon gland sur la figure, pile à temps pour lui arroser la face. Six gros traits de foutre crémeux lui aspergent le visage. Il semble adorer ça. Il sourit, soupèse mes couilles charnues et me dit :
– Ooooh oui, vas-y, arrose-moi la gueule !
Puis, après avoir soupesé mes boules, il sourit et ajoute :
– T'as l'air d'en avoir encore en réserve, p’tit gars. Après le repas, monte dans ma chambre qu'on s'occupe de ça. Mon cul en demande encore, c’est pour tous les jours qu’un minet me démonte avec une queue king size !
Je bifle ce pervers avec ma demi-molle, en signe d'approbation. Il se relève ensuite et m'entraîne d'un coup dans la piscine, au moment où la porte vitrée s'ouvre derrière nous. Nous nous empressons de cacher les traces collantes de notre orgasme pendant que la voix d'Alex nous appelle. Il nous découvre dans l’eau, en train de chahuter l’un sur l’autre, et s’exclame :
– Eh les gars, arrêtez de jouer, c'est l'heure de manger. J’ai la dalle moi !
Ça tombe bien, son frère aussi, à ce que j’ai compris…
F I N
Plume Gay
plumegayinsta@gmail.com
Voilà pour une nouvelle histoire ! J’espère que vous l’avez autant aimée que les autres. Un grand merci à tous ceux qui me font des retours par mail ou sur insta, c’est vraiment adorable. Si vous voulez vous tenir au courant, ou simplement me donner votre avis sur mes textes, n’hésitez pas à passer par mon mail, ou directement sur mon compte insta, @Plume_gay, j’y suis plus réactif !
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