Je m’installe dans le canapé, en face du sapin illuminé. Une fois avachi entre les coussins, j’attrape la boîte de Kleenex et déballe tranquillement mes boules.
Je sors de la douche. Il y a encore quelques secondes, je ne portais rien d’autre qu’un boxer ; il tombe sur mes chevilles et, en un rien de temps, me voilà la main sur le paquet, en train de jouer avec ma queue à moitié molle. J’active mon imagination et me retrouve vite à pignoler un engin bien raide. Pas difficile d’avoir la gaule avec une bande de purs beaux gosses dans les parages.
Cette année, mes parents ont décidé que nous fêterions Noël en famille. Or, « en famille », dans le jargon de mon père, ça veut dire avec toute la clique : cousins, neveux, oncles, tantes, grands-parents, etc. Et après des années éloignés d’eux, je redoutais les retrouvailles. Puis, en descendant de la voiture, j’ai été chaleureusement accueilli par trois de mes cousins - une brochette de mecs châtains, aussi grands que moi, larges d’épaules, sûrement adeptes de la muscu et gaulés comme des demi-dieux. Autant dire que, depuis, je me retiens de bander en leur présence.
Mais puisque la troupe au complet est partie faire des courses de dernière minute, je bénéficie enfin du calme nécessaire pour me branler. Et je n’ai pas à chercher bien loin pour fantasmer…
Pas plus tard que ce matin, j’ai surpris Zach – l’un de mes fameux cousins, de deux ans mon aîné – qui sortait de la douche. Il finissait d’enrouler une serviette autour de sa taille lorsque je suis accidentellement entré en collision avec ses abdos. Je les aurais léchés si j’avais pu. Sa peau caramélisée me faisait un effet, autant que son odeur de miel, ses yeux noisette et ses tétons durs, semblables à de petites pointes chocolatées. Une vraie friandise de Noël, ce mec ! Il m’aurait sorti sa bûche, je la dégustais sur le champ.
A la place, je joue avec la mienne. J’étale du lubrifiant sur ma pointe rouge, la prend dans ma paume et la frotte. Sa chaleur et les sensations me tirent un petit gémissement. D’une main, je tiens ma queue par la base ; de l’autre, je commence à monter et descendre sur toute sa longueur, pour bien étaler le gel. En quelques minutes, mon chibre glisse parfaitement entre mes doigts et me procure un plaisir salvateur.
Sans me vanter, j’estime avoir une bonne queue : proche des dix-huit centimètres, assez large à la base, avec un gland pointu, elle a fait ses preuves sur le campus. Elle mouille facilement lorsque je suis excité – il existe même une manœuvre précise qui fonctionne à chaque fois ! Je relève les jambes et descends un doigt sous mes couilles. Je le glisse jusqu’à mon anus ; là, je caresse ma rosette et commence à l’ouvrir en poussant de petits cris. D’un côté, je m’astique le dard et me le chauffe à fond, tandis que de l’autre, je m’ouvre le cul en prévision de la suite.
Mes abdos se contractent. Heureusement que je suis souple, après plus de dix ans de gymnastique. Les cuisses écartées sur le canapé, j’entre désormais deux doigts lubrifiés dans mon fion, pendant que mon gland déverse de grosses perles humides sur mon ventre. Je n’ose même plus toucher ma bite, de peur qu’elle gicle avant la fin.
Mes pensées sont tournées vers mes cousins – surtout Zach, je l’avoue. Je me refais la scène : et si je lui avais retiré sa serviette, à ce bel étalon, il m’aurait pris contre le carrelage de la salle de bain et m’aurait enfoncé son gros chibre au fond du cul ! Pour sûr que ma rondelle aurait adoré ce ramonage en famille ! Ses muscles, son corps… C’en est déjà trop, mon trou devient tout moite.
Presque à l’aveugle, j’attrape le gode qui traine à côté de moi. Je le lubrifie un peu en trempant généreusement sa pointe dans la flaque de mouille épaisse, sur mes abdos. J’imagine le beau Zach en train de me pénétrer, tout en introduisant cette queue en silicone dans mon cul humide. Le jouet y entre comme dans du beurre tendre, malgré sa vingtaine de centimètres. Il glisse dans mon conduit jusqu’à la base et m’écrase la prostate.
Le nom de mes cousins m’échappe entre deux couinements. Je les visualise chacun leur tour pendant que je me gode. A un moment, mon cerveau délire tellement que je crois voir les trois, nus autour de moi, occupés à se partager mon corps.
La pression monte. Je reprends ma bite et recommence à m’astiquer. Mon manche raide dégouline de pré-sperme. Les nerfs de mon rectum m’envoient des décharges dans la colonne vertébrale. Dès que le jouet tape dans ma prostate, je gémis. Je finis même par ventouser le gode sur le sol pour pouvoir monter et descendre dessus en me touchant plus à mon aise. Je continue de me frotter la pine, raide comme jamais ; de ma main libre, je remonte sur mes pectoraux imberbes, les caresses, joue avec mes tétons, puis redescends masser mes boules glabres.
Au moment où le plaisir atteint son apogée, je bascule le torse en arrière, toujours empalé sur cette grosse bite artificielle. J’ouvre la bouche. Mon bassin remonte. Ma queue lâche plusieurs giclées de sperme, qui éclaboussent mes abdos. Soulagé, je gueule malgré moi le prénom de Zach, avant de m’écrouler contre le canapé, foudroyé par l’orgasme.
Je peine encore à me remettre de cette déferlante de plaisir quand des bruits de pas se font soudain entendre dans l’escalier. Avant même que j’ai le temps de réagir, Zach débarque dans la pièce, paniqué, en me demandant pourquoi je l’ai appelé de la sorte.
Son air inquiet se transforme d’un seul coup lorsqu’il me surprend couvert de foutre, la bite en demi-molle, avec un godemichet à peine sorti de mon anus.
Nous nous regardons, aussi étonnés l’un que l’autre. Mon cœur tambourine dans ma poitrine. Je mets un instant à remarquer l’étrange accoutrement de mon cousin ; des bottes, un pantalon beaucoup trop large pour lui et une veste ample bordée de peluches blanches, l’ensemble écarlate au possible. Sur sa tête, un bonnet de Noël complète ce déguisement ridicule.
– Je suis pas parti avec les autres, je voulais préparer une surprise et débarquer ce soir en Père Noël, m’explique-t-il. Je pensais pas que t’étais resté pour te… Enfin, tu vois, pour faire ça quoi…
Sa peau dorée rougit légèrement. Je fonds devant son air gêné ; mignon et sexy, je rebande malgré moi. Presque d’instinct, je lui lance :
– Il est pas mal ton costume, mais quand même un peu trop habillé. Tu ferais mieux d’enlever le haut.
Après un long instant, Zach sourit. Contre toute attente, il déboutonne sa veste synthétique devant moi, dévoilant ses abdominaux en béton et ses larges pectoraux. Il fait glisser le vêtement sur ses biceps vallonnés, puis la jette sur le canapé. Devant ce torse d’Hercules, je craque. Inconsciemment, je pose une main sur ma queue, de nouveau raide, et recommence à me masturber.
Mon cousin ne semble plus si mal à l’aise. Il s’avance, attrape mon poignet et le pose sur son entrejambe. Il me dévoile ses dents d’ivoire dans un irrésistible sourire et me dit d’une voix douce :
– Tiens, le Père Noël a pensé à toi cette année, voilà un gros paquet.
Je ne me fais pas prier pour le déballer. Je tire sur les bords du pantalon, qui tombe de lui-même sur le sol. Je malaxe ensuite l’énorme barre qui tend le boxer du beau gosse. A en juger par la forme sous le tissu moulant, sa bûche doit être énorme. J’en distingue le gland, à l’endroit où une tache de mouille forme déjà une auréole. A genoux devant ce mâle, je baise son ventre musclé, lèche ses tétons, et enfin déballe son gros organe pour m’y attaquer.
La poutre de Zach rebondit contre mon menton. Je n’en reviens pas ! Elle mesure au moins vingt-deux centimètres, si ce n’est plus. Mes doigts peinent à en faire le tour. Ne sachant pas forcément par où commencer, je lèche d’abord la grosse pointe turgescente, au bout de laquelle d’épaisses gouttes de pré-sperme salé perlent déjà. Sous cette trique d’étalon, une paire de boules massives et charnues attend que je lui accorde un peu d’attention. Je baise donc la pointe de la matraque, puis balade ma langue sur toute sa longueur, avant d’arriver au pubis et de descendre sur les noix lourdes de Zach. Il gémit, me laisse jouer avec ses noix pendant quelques minutes, puis attrape ma nuque et m’invite à attaquer le plat de résistance.
Je dois écarter la mâchoire au possible pour parvenir à entrer le gros nœud de mon cousin. Dans un premier temps, il n’introduit que les premiers centimètres de sa queue, ce qui manque d’ores et déjà de m’étouffer. Je décide de ralentir et prendre mon temps, exerçant ma bouche jusqu’à pouvoir avaler sans souci une partie du morceau. Pour ce faire, je salive abondamment sur cette trique ; elle étire les commissures de mes lèvres, mais je suis désormais capable de la sucer plus à mon aise. J’arrive à faire des va-et-vient fluides. Zach pousse de petits râles de plaisir et joue avec son torse de mâle. Je n’oublie pas de m’amuser un peu avec ses boules de Noël au passage, et mon Sexy Santa n’en soupire que davantage.
A tâtons, je retrouve le gode qui m’a servi un instant plus tôt. Je le lubrifie avec les restes de ma précédente éjaculation, puis je me le réintroduis dans le cul pour me branler, me goder et sucer un étalon viril tout à la fois. Zach passe ses doigts dans ses cheveux châtains et me fixe avec ses beaux yeux de biche ; je distingue une idée lubrique au fond de ses prunelles et l’y autorise d’un signe de tête.
Il me prive alors de son gros sucre d’orge, laissant ma bouche orpheline. D’une poussée sur mon torse, il me renverse et m’allonge sur le tapis, au pied du sapin. Ses biceps encadrent ma tête, il loge son bassin entre mes cuisses. D’un geste habile, il m’ôte le godemichet et appuie son gland épais contre mon anus dilaté. En dépit du degré d’ouverture de ma rondelle, la pénétration tire un peu sur les bords. Pourtant, entre ma salive, mon sperme et ma mouille naturelle, la bite de mon cousin est bien lubrifiée – mais cette épaisseur ! Il m’enfile en douceur, son dard entre petit à petit. Ses iris me fixent, à l'affût du moindre signe de douleur. Moi-même, je n’en reviens pas quand son pubis tape contre mes fesses.
Je baise ses pectoraux, mordille ses tétons et embrasse la peau douce de son cou, tandis qu’il entame de lentes ondulations du bassin. Une chance pour nous que la maison soit vide, car je me mets à pousser des cris incontrôlables – sans parler du chapelet de vulgarités que je lâche. Les coups de bite de Zach me transportent. Il me stimule la prostate, pour ne pas dire qu’il la compresse totalement. Son énorme chibre semble bien serré dans mon petit cul ; il ne se prive pas de dire qu’il apprécie la sensation.
Peu à peu, le beau mâle accélère la cadence et me trousse en missionnaire, à moins d’un mètre de la crèche. Les santons nous observent, choqués mais impassibles, pendant que Zach me tringle avec sa queue d’étalon viril. C’est tellement bon que j’en réclame encore, sans modération.
Comme une bonne salope en chaleur, je finis même par l’allonger sur le dos pour m’installer à califourchon sur lui et m’empaler sur cette poutre digne d’un bûcheron canadien. Dans cette position, Zach écarquille les yeux lorsqu’il voit son membre disparaître d’une traite entre mes fesses. Il râle, attrape mon érection et la branle pendant que je monte et descends sur la sienne.
Après plusieurs minutes à me démolir la prostate avec ce chibre de poney, je sens l’orgasme monter de nouveau. Mes abdos contractent, je prends appui sur les pectoraux de Zach et expulse plusieurs giclées de sperme sur son corps de demi-dieu grec. Il sourit, se retire, se relève, pose son gland sur mes lèvres et, à peine quelques secondes plus tard, il remplit ma bouche de foutre frais. Son jus épais et fourni éclabousse mon palais, durant un instant qui me paraît interminable. Je savoure ce bon lait de Noël, puis me relève et embrasse son propriétaire, afin de partager cette semence prolifique.
Essoufflés, nous reprenons nos esprits côte à côte dans le canapé. Avec son bonnet de Noël de travers, Zach est plus mignon que jamais. Il s’empare d’un petit nœud doré qui traîne au pied du sapin, le pose sur son entrejambe à peine ramollie et me dit avec un air malicieux :
– Regarde, ça fera un joli paquet pour toi ce soir. Tu vas avoir le droit à un réveillon dont tu te souviendras longtemps, je te le garantis.
J’ai comme l’impression que le Père Noël compte bien repasser par ma cheminée.
F I N
Plume Gay
plumegayinsta@gmail.com
Et voilà, même si Noël est passé, je voulais vous offrir ce petit moment sympa ! Comme toujours, si vous voulez me faire un petit retour, n’hésitez pas, par mail ou via mon compte insta @Plume_gay, où vous trouverez plein d’histoires similaires. N’hésitez pas à aller y faire un petit tour pour me donner votre avis en message privé ou en commentaire.
Autres histoires de l'auteur :