Il m’entraîne à l’écart des autres danseurs, loin de la piste endiablée. La musique résonne encore. Mes tympans pulsent tandis que je me laisse conduire un peu plus loin, là où le calme reprend ses droits. Son bras plein de force m’incite à le suivre en direction des camions parfaitement alignés. Je tourne ma tête et regarde un bref instant la caserne transformée en salle des fêtes ; comme chaque 14 juillet, des groupes de jeunes femmes gloussent tandis que de beaux pompiers à moitiés dévêtus se trémoussent en s’aspergeant de mousse.
Moi, je n’ai pas eu peur de m’avancer au milieu de ces beaux mâles. En simple jean, torse nu, j’ai laissé mon corps svelte onduler au son des basses. Mes tempes vibraient, mes cheveux blonds ont vite pris l’humidité, des perles de sueur ont roulé sur mes petits tétons. Je bougeais mon bassin et me frottais aux uns et aux autres, sans trop de pudeur.
C’est là qu’il m’a repéré.
Je dansais au milieu d’un groupe compact lorsqu’il a posé ses mains sur mes fesses. Il les a glissées sous le tissu de mon pantalon et, sans cesser de bouger pour autant, je l’ai senti qui les pétrissait, les palpait, les malaxait avec une excitation évidente – au point qu’il a même descendu son index dans ma raie lisse. Il a touché ma rondelle, a appuyé dessus pendant que je me reposais contre lui, toujours sans le voir – il s’est même permis de rentrer un doigt. De mon côté, j’ai égaré mes mains sur son entrejambe gonflé ; j’ai su à cet instant qu’il fallait qu’on s’éloigne pour s’amuser davantage.
Maintenant que les lumières bariolées et les sons agressifs se dissipent, mon cerveau émerge de cette transe bachique. Je le vois vraiment, dans la demi-clarté qui accompagne la fin du jour.
Il ne porte rien d’autre que son pantalon noir réglementaire - celui avec les bandes réfléchissantes. Dessus, l’écusson des Pompiers de Paris éveille en moi des fantasmes intenses. Deux bretelles rouges se tendent au moindre mouvement ; ses larges épaules roulent à chacun de ses pas, son dos musclé m’attire, j’en bande déjà. Quand il se retournera, je contemplerai enfin son torse de mâle, épais et imposant.
Nous nous glissons discrètement à l’arrière d’un camion, tandis que sur le parking les gens continuent d’affluer. Bientôt, la nuit recouvrira la ville et il fera suffisamment sombre pour tirer le feu d’artifice. Pour une fois, je ne le regarderai peut-être pas.
Mon beau pompier se retourne. D’un geste ferme, il m’attire contre ses pectoraux. Mon nez s’écrase sur la toison noire qui les recouvre. Je respire son odeur et, bien que je fasse une tête de moins que lui, je me mets sur la pointe des pieds pour remonter jusque dans son cou ; j’y passe un discret coup de langue qui lui tire un soupir de satisfaction. Sa main robuste m’attrape sous le menton ; il me lève la tête et écrase ses lèvres contre les miennes.
Avec fougue, sa langue envahit ma bouche. Il me dévore déjà. Sa main libre descend sur mon ventre fin et taillé, puis déboutonne mon jean pour ensuite se glisser plus aisément dedans, là où ma queue bande et mon cul mouille.
De mon côté, je caresse son corps tendu. Je déboutonne son pantalon et, d’un geste empressé, je le lui descends sur les chevilles en même temps que je m’agenouille ; ma langue descend le long de son cou, passe sur ses tétons, suit la ligne entre ses abdos contractés, joue avec son nombril, jusqu’à ce que me le retrouve nez à nez avec la grosse tige raide qui déforme son boxer.
Devant un tel engin, j’écarte grand la bouche et la pose dessus, à travers le tissu. A l’endroit où la proéminence du gland se devine, une tache humide forme déjà une auréole, signe que mon beau pompier est prêt à se faire pomper. Je n’attends donc pas davantage ; je délivre son chibre. Il bondit hors du sous-vêtement et tape contre ma joue. Long et épais, il me régale dès que je me jette dessus ; mes lèvres se referment autour de sa pointe rouge, turgescente et chaude. Le goût salé de la mouille se répand sur mon palais, ma langue joue avec son frein et sa couronne sensible.
Une main sur chacune des cuisses massives du beau gosse, j’avance et recule ma tête. Lui gémit et m’invite à lécher ses grosses couilles pendantes. Tantôt je noie mon nez dans son pubis broussailleux, tantôt je parcours la longueur de sa bite pour descendre jusqu’à ses bourses pleines. Il finit même par poser ses paumes sur mes joues et, par des mouvements de bassins, c’est tout à coup lui qui mène la cadence dans ma bouche. Je salive et laisse coulisser son pieu veineux entre mes lèvres. Il s’aventure parfois dans ma gorge, y demeure un instant, puis ressort pour reprendre ses va-et-vient rapides.
Le voyant aussi chaud, capable de donner de bons coups de reins, j’éprouve soudain le désir de combler un vide brûlant. Je me relève donc après plusieurs minutes de pipe intense. Lui me regarde, comprend mon envie, me dévore à nouveau la bouche, puis me retourne contre la carrosserie du camion.
Je gémis rien qu’à sentir sa force qui prend le contrôle de mon corps. Il pose ses mains sur mon torse, me pince les tétons, m’arrache quelques cris de plaisir, puis descend sur ma taille. Là, il baisse mon pantalon, lentement. Je sais que, dans mon dos, il découvre mes fesses, douces comme une pêche, parfaitement rondes. Je cambre d’ailleurs afin d’accroître leur attractivité. Leur galbe est tellement irrésistible que je ne tarde pas à sentir une petite pointe humide se glisser entre elles.
Ce beau pompier me lèche le cul avec un talent incroyable. Il commence par me titiller l’entrée en douceur, avant d’enfoncer son nez dans ma raie pour me bouffer littéralement la rondelle. Sa langue caresse mon anus, ses doigts appuient dessus ; par instants, il rentre son muscle humide en moi. Je me branle pendant qu’il me dévore par derrière. A l’aveugle, je lui choppe la tête pour appuyer dessus. J’en veux plus ! Il le devine sans peine et passe à la vitesse supérieure.
Il s’installe donc sur le marchepied, à l’arrière du camion. Assis là, il tient sa queue droite et me fait signe en la capotant. Je doigte mon petit cul, y ajoute un peu de salive, puis je m’empresse d’enfourcher ce bel étalon. J’admire son corps musclé sous moi. Je caresse son torse poilu, tire sur ses tétons, lui dévore la bouche pendant que je m’empale peu à peu sur sa lance ; la pointe épaisse et large entre en moi, m’arrachant un gémissement. Puis petit à petit, le reste de cette queue jouissive me pénètre. Je gémis, creuse mes reins et encaisse ce braquemart en me déhanchant sur son propriétaire.
Bien vite, le beau pompier me saisit par la taille et se met à me baiser en donnant de grands coups de butoir. Sa queue entre et sort de mon cul avec de plus en plus de facilité. Professionnel dans l’âme, ce soldat du feu tente d’éteindre l’incendie qu’il devine au fond de mon fion. Je rebondis sur lui, jouet sexuel entre ses biceps gonflés par l’effort. Je m’y accroche en enfonçant mon poing dans ma bouche pour ne pas hurler de plaisir. Son organe m’ouvre, remplit mon rectum et écrase ma prostate à chaque passage. Le point sensible est largement stimulé. Les couilles de ce mâle tapent contre mes fesses rouges. Les miennes rebondissent sur ses abdos.
Entraîné par sa fougue, mon partenaire prend ma queue dans sa poigne ferme. Il la branle moins d’une minute avant que je lâche le jus. Mon sperme gicle sur son torse ; il en reçoit même sur le menton.
Je me contracte si fort autour de son gros chibre qu’il bascule la tête, râle et se retire en urgence. A peine le temps de déculer et d’enlever la capote que je me retrouve à genoux devant son gland, en train de recevoir cinq ou six giclées de son foutre bien blanc en pleine face. Il se vide les couilles sur moi, puis étale sa semence sur mes joues avec son gros chibre.
Mon beau gosse en feu m’embrasse ensuite, me remercie pour mes talents plus qu'appréciables et, voyant que je rebande devant son corps de mâle, il me propose de monter dans le camion. Il me dit d’attendre un instant : il va chercher quelques collègues sur la piste de danse. Il y a apparemment deux ou trois gars de la caserne qui voudraient bien m’enfiler, eux aussi.
F I N
Et encore une nouvelle histoire très chaude ! Merci pour vos retours par mails ou sur les réseaux ;) N'hésitez pas à venir me dire si vous avez aimé et n’hésitez pas à passer directement sur mon insta, @Plume_gay, j’y réponds plus vite ;)
Plume Gay
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