Tous les jours, je quitte le camp à cinq heures pour courir dans les bois alentours. En ce début d'été, alors que l'aube éclaire déjà l'horizon, je profite d'une douceur relative et m'autorise à faire mon jogging en short, sans plus. La tenue n'est certes pas réglementaire, mais j'aime sentir le souffle frais sur ma peau nue.
Mes tétons durcissent dès que je m’aventure à l’extérieur. Je les touche en entamant mes petites foulées. L’effet ne se fait pas attendre. Si je continue, ma trique risque de devenir handicapante. Du running avec la gaule, c'est assez gênant ! Pourtant, je ne m'en prive pas la plupart du temps. Il m'est même arrivé de m'adonner à mes courses matinales la queue à l'air, bien raide devant moi. Ces bois sont tellement peu fréquentés…
Mais aujourd'hui, je me l'interdis ! Il sera là et je ne veux surtout pas l'effaroucher.
Plusieurs jours de suite, je suis passé devant lui. Assis au pied d'un arbre, il lit à la fraîche. Seul le pépiement des oiseaux vient déranger son esprit rêveur – quel paisible dérangement !
Tous les matins, il feuillette avec nonchalance son bouquin. Les ondulations de ses cheveux châtains prennent des reflets blonds à l'heure où le soleil dévoile ses premiers rayons. Ses lunettes carrées contrastent avec un visage fin et délicat. Une chemise cintrée épouse sa silhouette et laisse deviner un corps aussi fin qu'athlétique. Quant à son pantalon, il moule avec indécence les courbes d'un cul rond à souhait, sur lequel mes yeux glissent malgré eux à chaque fois que je le croise.
Hier soir, dans mon lit, après la branlette avec les potes du régiment, j'ai pris ma résolution : il faut que je lui parle - et plus si affinité...
Je l'aperçois de loin. Plus je m'approche, plus la tension monte du côté de mon entrejambe. Je devine sa chemise ouverte ; elle lui couvre simplement les bras, mais dévoile un torse légèrement bombé, ainsi qu'un ventre où se découpe une belle tablette. Ce minet a clairement de la ressource, sans pour autant concurrencer ma carrure de militaire.
Je m'arrête à moins d'un mètre de lui et choisis un arbre voisin pour effectuer une série d'étirements bidons, histoire de me rincer l'œil sur le petit gars. Inutile de préciser qu'à cet instant, je bande comme un cheval. Une bosse proéminente déforme mon short. Ce détail n'échappe pas au regard du jeune lecteur, qui me jette des œillades intéressées.
À force de lui exhiber ma musculature, il se décide enfin à poser son livre sur une racine pour s'approcher. Il me sourit - un sourire en coin, coquin comme je les aime. Il ne prend pas la peine de me saluer : j'ai ostensiblement la trique devant lui, mes intentions sont claires. Il m'expose les siennes en refermant sa paume sur mon paquet. En moins de deux, le voilà qui me masse la bite tout en posant ses lèvres contre les miennes. Ma langue plonge dans sa bouche, pendant que lui tâte mes pecs et joue avec mes tétons. Il caresse les poils noirs et drus qui recouvrent mon torse, descend sa main libre sur mon ventre musclé, puis me baisse le froc d'un coup sec.
J'appuie sur ses épaules. Mon minet s'agenouille, toujours en me fixant dans les yeux. Ses iris noisette respirent le vice tandis qu'il empoigne ma bite, certes courte mais très épaisse. Il approche sa bouche de mon gland et l'aspire au chaud.
Merde, mais il suce bien le petit con !
Il lèche mon gros gland, l'avale comme une dragée, salive dessus, va et vient sur ma bite avec une facilité déconcertante. Sa langue joue avec ma mouille. Lorsqu'il recrache ma queue, je l’attrape par les cheveux. Quelques bifles sur ses joues roses et je remets ma bite au chaud en lui donnant une cadence plus rapide.
Le petit gars m'arrête parfois pour descendre sur mes couilles ; il les gobe ou les masse avec tellement d'attention que j'ai presque envie de lui arroser la gueule avec mon jus, là, au milieu des bois. C'est écrit dans ses yeux qu'il adore se retrouver à genoux devant un colosse de presque deux mètres ; je le domine de toute ma carrure. Lui en réclame encore.
Il a sorti sa bite, de bonne taille, plus longue que la mienne, mais plus uniforme aussi - le gland rose et la hampe claire. Même s'il est circoncis, il s'astique bien fort, en bavant dans sa main pour lubrifier. Il chatouille parfois ses tétons, larges et beiges, puis se caresse les abdos en gémissant.
Après plusieurs minutes à me sucer, ce beau minet me demande de le saisir par la nuque. J'obéis et guide le mouvement avec mon bassin. J'avance et je recule jusqu'à ce que mon dard n'y tienne plus, chauffé à blanc par cette pipe. Le traitement que m'offre le petit gars m'excite trop ; j'ai à peine le temps de lui retirer sa friandise des lèvres que je jouis. Je lui décharge une dose généreuse de jus en pleine gueule. Mon sperme dégouline sur ses lèvres, son menton, et coule en filets blancs jusque sur son torse athlétique.
Satisfait, j'enfonce son nez dans mon pubis ; il respire mon odeur de mâle à pleines bouffées, lèche mon organe déjà ramolli et finit par gicler à son tour sur les racines du grand arbre. Sa semence, plus claire que la mienne, forme de longues lignes visqueuses sur la terre sombre.
Je m'empresse de chopper mon short et je le renfile. Je roule un ultime patin à mon minet, qui regrette que son joli petit cul n'ait pas eu le droit à ma visite. Je le rassure vite ; je repasserai demain matin, même heure, et je prendrai soin de sa rondelle à ce moment-là.
Pour l'instant, l'appel risque de commencer sans moi à la caserne, or le vidage de couilles n'est pas un motif de retard valable.
F I N
Et encore une nouvelle histoire ! C’est la troisième déjà ! Merci pour vos retours par mails ou sur insta ;) N'hésitez pas à venir me dire si vous avez aimé et n’hésitez pas à passer directement sur mon insta, @Plume_gay, j’y réponds plus vite ;)
Plume Gay
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