Ils sont là, tous les deux allongés sur le lit. Leur boxer moule deux belles bites, aussi longues et larges l'une que l'autre. Je m'étends entre eux et caresse leurs abdos. Une main sur chaque corps, je touche leurs tétons roses, je baise tour à tour leur peau de satin. Ce n'est qu'en arrivant à leurs lèvres que j'hésite. Lesquelles vais-je déguster en premier ?
Rikka et Lewis se ressemblent trait pour trait – des copies conformes. Ils massent leur gros paquet dur en attendant que je fasse mon choix. Les jumeaux s'amusent avec moi, je suis leur jouet – et j'adore ça.
Enfin, après une interminable minute d'hésitation, voyant que je ne parviens pas à me décider, Rikka tranche. Moins timide que son frère, il me saisit par la nuque et m'attire contre lui. Sa langue entre dans ma bouche et taquine la mienne pendant que je palpe son corps d'athlète. Lewis se colle contre mon dos, baise mon cou, et je devine déjà sa bosse proéminente qui se frotte entre mes fesses nues.
Je me retourne pour l'embrasser à son tour, et me voilà avec l'engin de Rikka qui s’emboîte dans mon cul à travers son sous-vêtement. Lewis m'allonge sur le dos d'une main ferme, descend jouer avec mon sexe en érection, puis fait signe à son frère ; ils s'installent de part et d'autre de mon visage. Je n'ai plus qu'à baisser les deux boxers d'un coup pour me régaler.
Un duo de chibres percute mon visage émerveillé. Deux belles queues gorgées et pleines d'envie, lestées de paires de couilles impressionnantes, charnues, dotées de boules bien rondes. Je caresse ces pruneaux lisses et commence à branler maladroitement les braquemarts, trop épais pour que je puisse les empoigner en entier, mais mes deux mâles décident assez vite que mes efforts ne suffisent pas. Queue en main, ils s'attèlent à me bifler avec leurs gros glands turgescents. Ils rigolent tout en promenant leurs chibres sur mes lèvres, jusqu'à ce que la saveur de leurs mouilles mêlées me pousse à ouvrir la bouche.
Je commence par Rikka – je crois – avant de basculer sur Lewis. J'alterne, un coup de langue sur l'un, puis sur l'autre. Un gobage de gland à droite, un à gauche. Je branle celui que je ne suce pas. Je pompe à fond, afin de déterminer lequel des deux gémira le plus fort, mais il est vrai que la concurrence est rude. Leur gémellité est telle qu'ils effectuent le même geste lorsqu'ils prennent du plaisir : ils passent leurs doigts dans leurs cheveux blonds ou vont chercher leurs tétons en même temps. Je profite de leurs corps et me délecte de leurs soupirs. Je n'arrive plus à dire lequel je suce et lequel j'astique ; lorsque je m'occupe trop longtemps de l'un, l'autre me bifle pour réclamer mon attention.
Après plusieurs minutes où seuls retentissent mes bruits de bouche et leurs « oh putain c'est bon », Rikka disparaît de mon champ de vision. Je le devine assez rapidement qui s’affaire sur une autre partie de mon anatomie. Ses bras musclés me retournent d'un geste ; il guide mon bassin en douceur et m'incite à me mettre à quatre pattes.
Tandis que je déguste toujours la bite du beau Lewis, à genoux devant moi, je sens les doigts assurés de Rikka qui jouent avec mes fesses galbées. Il les malaxe et les claque gentiment. Je m'attends à ce qu'il m'introduise des phalanges lubrifiées à tout moment, mais il préfère d’abord y glisser sa langue. J'éprouve la chaleur de son souffle sur ma rondelle, puis la petite pointe humide, chaude et incroyablement agile. Malgré ma bouche pleine, empalé sur le dard de Lewis, je pousse de petits couinements.
Les jumeaux sourient. Je me déhanche sur ce visage qui me fait tant de bien. A force d'en réclamer plus, j'entends le bruit d'un flacon de gel qu'on ouvre. Rikka me prépare consciencieusement avec ses doigts couverts de lubrifiant ; d'abord un, puis deux. Il constate d'ailleurs à voix haute que, lorsque je suis chaud, le conduit est déjà humide et dilaté. Son frère lui répond de ne pas trop traîner, car il sent le jus qui monte.
Moins d'une minute plus tard, la poutre de Rikka pousse contre mon anus. Je recrache le chibre de Lewis et pousse un cri de plaisir intense. Le mâle derrière moi prend son temps et m'introduit peu à peu le double décimètre qui lui sert de pénis. L'érection de Lewis me rappelle à l'ordre ; je reprends ma fellation, tandis que son jumeau entame un limage de cul plein d’entrain. Je me retrouve bientôt ballotté entre les deux frères. Une queue devant, une derrière, je suis mouillé de partout et ne contrôle plus les sons qui sortent de ma gorge.
Ma prostate subit un traitement intense. Le dard de Rikka l'écrase à chaque passage, les nerfs de mon rectum se retrouvent à vif et me procurent des sensations uniques. Ses couilles claquent contre mon cul. Il me tient tantôt par les hanches, tantôt par les épaules, lorsque je ne viens pas m'empaler de moi-même sur sa grosse bite.
Vient ensuite le tour de Lewis. Il m’ôte sa friandise de la bouche et, bien décidé à ne pas jouir sans avoir visité mon cul, il réclame son tour. Une fois capoté, il change de place avec Rikka. Pour ma part, je ne vois pas une grande différence entre ces deux sexes raides.
Lewis entre en moi d'une traite, sans problème. Son jumeau lui a préparé le passage, alors ce beau mâle met plus de fougue dans ses coups de reins. Il me prend d'abord en levrette ; ses couilles claquent contre mon cul, pendant que celles de son frère percutent mon menton. Je m’avance parfois pour mieux reculer, choisissant ainsi l’organe qui me pénètre le plus. L’odeur de sexe m’enivre autant que la sueur qui coule le long de nos torses. Mes gémissements étouffés sont couverts par le bruit bestial des deux frères en pleine action.
Avant de me retourner en missionnaire, Lewis s’en donne une dernière fois à cœur joie ; une cuisse relevée, il me tient par les épaules et pilonne mon trou comme un fou furieux. Mes sphincters se resserre pour le ralentir, en vain. Il pulvérise ma prostate et électrise mon anus. Je recrache le chibre de son frère, hurle mon plaisir et, la seconde suivante, je me retrouve sur le dos, les cuisses en l’air. Lewis se renfile en moi sans tarder. Rikka, quant à lui, profite de cette position pour m'introduire sa matraque en fond de gorge ; avec ma tête au bord du lit, je suis dans la position idéale.
Je chauffe des deux côtés, ouaté dans un monde de muscles sulfureux et de râles torrides. Où que je pose mon regard, j’aperçois l’anatomie d’un mâle viril. Ils me possèdent tous les deux, je m’abandonne à leurs mains tantôt dominatrices, tantôt tendres et pleines d’attention. Je suis tout à la fois leur jouet et leur trésor – leur pute à jus et leur amant le plus précieux.
Ils m’entraînent si loin que je remarque à peine le sperme qui gicle sur mon torse. Je me jouis dessus comme jamais, sans pourtant m’en rendre compte. Mon corps balance la sauce par réflexe. Les garçons s'en soucient à peine, entraînés dans leurs va-et-vient mutuels. Quand l'un entre, l'autre sort en parfaite synchronie. Je pressens qu'ils pourraient me prendre en double à tout moment. Je le souhaite même…
Cependant, la chaleur monte aussi dans leur bas-ventre. Ils se retirent en même temps et m’installent à genoux par terre ; là, ils serrent les dents, contractent leurs abdos et m'arrosent la face avec leur jus épais. Leurs jets chauds percutent mon visage de partout ; je branle leurs queues et admire leur torse d’athlète pendant qu’ils m’offrent un final jouissif. Je me retrouve couvert de sperme visqueux, du front jusqu'au menton. L’odeur musquée et la sensation poisseuse me tournent la tête. Je menace de m’évanouir…
Le souffle court, les deux Apollons me relèvent pour m'embrasser. Leur semence ne les gêne pas le moins du monde ; durant ces baisers torrides, ils lèchent même les restes de leur orgasme pour ensuite déposer ce jus salé dans ma bouche.
Je m'allonge entre les deux, épuisé. Ils me caressent, jouent avec mon corps et me laissent les toucher de partout. Je constate d'ailleurs que mes doigts agiles menacent de faire repartir leur virilité. Je les regarde donc tour à tour et je lâche :
– Cette fois, vous me la rentrez tous les deux en même temps ?
Ils hochent la tête avec un sourire complice. Rikka – ou Lewis peut-être – me souffle même à l'oreille un « qu'est-ce que tu vas prendre, p’tit gars » si excitant que j'en rebande. Heureusement qu’il est encore tôt, car la nuit va être longue avec ces deux étalons.
Plume Gay
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