Les portes de l'ascenseur s'ouvrent alors que nos lèvres sont déjà soudées. Je joue avec sa langue et lui avec la mienne. Il me saisit par le col et, tout en dénouant ma cravate, il m'attire dans la cabine.
J'entends encore le bruit de la réception, dans la grande salle de l'entreprise. Personne ne semble avoir remarqué qu’il manque un cadre et son jeune stagiaire fougueux. Son envie d'apprendre le métier est telle qu'il n'a pas hésité à se rapprocher de moi dès le premier jour. Connaissait-il déjà mes préférences ? Ou supposait-il simplement que j'avais la plus grosse queue de la boîte ?
Enfin, ce soir, dans son costume moulant, il obtient de moi ce qu'il désire depuis un moment. Je n'y tiens plus !
Il déboutonne frénétiquement ma chemise pendant que j’attaque la sienne. Le dos plaqué contre le fond de l'ascenseur, il dénude mon torse imposant, lisse et ferme, et pose sa bouche dessus. Partant de mon cou, il descend sur mes larges tétons beiges, les suçote, les mordille, les caresse, tout en posant ses paumes avides sur mon ventre. Mes abdos se contractent. Lui me sourit ; il adore les voir ainsi, épais et durs.
Il redirige ensuite ses mains sur ma ceinture, tandis que les manches de ma chemise bloquent au niveau de mes biceps ; l’excitation me pousse à les contracter, ils gagnent en épaisseur et leurs veines ressortent sous la peau. Voir mon stagiaire s'agenouiller ainsi me chauffe davantage. Il prend soin de ne pas rompre le contact visuel ; ses prunelles plongées dans les miennes, il retire ma ceinture d’un coup, déboutonne mon pantalon et le descend avec quelques difficultés – la bosse déjà raide empêche le tissu de glisser.
Le minet se lèche les babines devant le morceau. Encore coincé dans un boxer moulant, on en distingue la taille et la largeur dans les moindres détails. Trop affamé pour continuer de me provoquer, le petit gars baisse mon sous-vêtement et se jette sur ma grosse trique. D'habitude, les mecs galèrent un peu à l'apprivoiser, mais lui s'en sort comme un chef. Il enveloppe mon nœud turgescent, le met au chaud dans sa bouche, salive bien dessus et, en un rien de temps, le voilà qui coulisse sur mes vingt centimètres sans aucune difficulté.
Mes grosses couilles pendent sous la barre rigide. Il les masse en douceur. Je grogne de plaisir. Je promène mes mains sur mon torse, joue avec et frissonne pendant que je regarde ses lèvres roses qui vont et viennent sur ma barre raide. Ses commissures sont distendues par la largeur de mon chibre. Il le branle parfois d'une main tout en concentrant ses efforts sur la pointe humide. Je lui dépose ma mouille sur la langue, il semble adorer ça. Il la lèche, la savoure et prend mon braquemart pour une grosse sucette. Je le claque contre ses joues, saisis ses longues mèches blondes, puis lui glisse généreusement ma bite en fond de gorge.
Après plusieurs minutes à me pomper goulument, il se redresse, m'offre un baiser vorace et caresse mon corps de trentenaire viril. Il me tient toujours par la queue quand il me souffle à l'oreille :
– Viens, on monte dans ton bureau.
Je plaque alors mon stagiaire contre le panneau des étages. De dix ans son aîné, j'ai installé entre lui et moi une forme d'autorité qui, je le sens, nécessite un bon coup de reins pour être consolidée.
La cabine entame son ascension vers le dernier étage.
Dans ce laps temps, je déballe d'un geste ferme le fessier de mon subalterne. Pour lui, la montée de la cabine s'accompagne d'une montée de plaisir. Recouverts par un peu de salive, mes doigts se posent sur sa rondelle souple et se mettent à lui écarter le trou. Je le branle d'un côté et lui prépare le cul de l'autre. Il gémit et se cambre. Il pousse des soupirs si profonds que je n'entends pas le petit "ding", lorsque l’ascenseur s'immobilise.
Les portes s'ouvrent et, ne me sentant pas la force de lui résister jusqu'à mon bureau, je jette mon stagiaire sur l'une des tables de l'open space ; je vire claviers et dossiers pour l'installer sur le dos.
Il pose ses jambes sur mes épaules tout en astiquant sa petite queue, courte mais épaisse. Elle laisse d'ailleurs s'écouler une quantité de mouille impressionnante. Il porte parfois son index à sa bouche pour la goûter. Dans cette position, avec sa cravate sur son torse nu, finement sculpté, il me fait tellement bander que j'en ai mal au chibre. Je tire sur ses petits tétons sombres et continue de lui doigter le cul, puis je fléchis mes jambes pour me positionner. J'attrape une capote dans sa poche de pantalon et, une fois couvert, j'entre dans le vif du stagiaire.
Aucune grimace, pas la plus petite marque d'inconfort sur son visage lorsque j'enfonce ma tige ardente dans son cul. Pourtant, mon gland proéminent lui ouvre l'anus. Mais il ne bronche pas, bien au contraire ; il se resserre autour de ma barre veineuse pour la masser comme un chef. Son intérieur s'avère déjà bien humide, lui aussi. Je me surprends à y glisser sans encombre. Je ne tarde donc pas à secouer mon stagiaire comme un prunier, quitte à faire trembler tous les ordinateurs de l'îlot. Les tables butent les unes contre les autres à chaque coup de butoir, mais je n'écoute que le son excitant de mes couilles ; elles battent la mesure en claquant contre ses fesses rondes.
Le minet vire au rouge. Ses gémissements deviennent de plus en plus aigus. Mes râles accompagnent le mouvement. Il me dit que je l’encule bien, que je dois lui taper dans le fond. Je sens son cul qui comprime ma bite, ses ongles griffent presque mes pectoraux gonflés. Le pantalon sur les chevilles, je lui trousse le rectum. Lui en réclame toujours plus. Quel plaisir !
Enfin, après de longues minutes d'aller-retour dans ce qui est désormais un tunnel à grosse bite, mon stagiaire se crispe. Il se branlait déjà depuis un moment, mais là, il n'y tient plus : une pluie de gouttelettes claires se répand sur son ventre contracté. Le voyant transporté par l’orgasme, je décide d'apporter ma contribution imminente ; je décule, retire la capote et décharge sur ses abdos six giclées blanches, crémeuses à souhait. C'est un miracle que mon cri de plaisir ne se soit pas entendu jusqu'au rez-de-chaussée.
Après un moment aussi torride, nous reprenons nos souffles, tentons de remettre l’open space en état, puis nous redescendons nous mêler discrètement aux convives, sans oublier pour autant de se jeter de temps à autre des petites œillades complices. Maintenant qu’il connaît l’engin et que j’ai vu son petit cul à l’œuvre, je sens que nous allons souvent travailler en équipe, lui et moi. Ce minet a clairement envie de réussir et ça tombe bien, il a la bouche pour !
A la fin de son séjour parmi nous, je vous laisse imaginer ce que je compte marquer sur sa lettre de recommandation…
F I N
Voilà pour cette nouvelle histoire hot ! Merci à tous pour vos retours par mails ou sur les réseaux ;-) La dernière sur les deux amis semble vous avoir beaucoup plu.e.s ! Si vous souhaitez me faire un retour plus rapide, n’hésitez pas à passer directement sur mon insta, @Plume_gay, j’y suis plus réactif ;-)
Plume Gay
plumegayinsta@gmail.com
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