Assis sur un banc en bois, je le fixe depuis plusieurs minutes. Il le sait et joue avec mes nerfs. Il commence par retirer lentement son t-shirt trempé de sueur, me dévoilant ainsi son torse épais et musclé : ses abdos se contractent lorsqu'il passe une main dessus. Une fine ligne de poils clairs remonte depuis son nombril, suit la découpe symétrique de son ventre, puis se disperse ensuite pour recouvrir ses pectoraux gonflés par de récents efforts. J'humecte mes lèvres ; ses tétons roses m'attirent ! Parfaitement ronds, avec leurs petites pointes sexys, ils me rappellent ces macarons qu'on déguste parfois.
Il me sourit de loin, ce beau gosse aux dents blanches. Il continue de toucher son abdomen, gonfle ses biceps et m'exhibe leurs veines bleues. D'un geste, il recoiffe ses mèches blondes, s'empare de sa serviette et fait mine de chercher quelque chose dans son sac. Quelle torture ! À l'instant où je l'ai repéré dans la salle de muscu, nos regards se sont accrochés ; depuis il n'a de cesse de me lancer des signaux de plus en plus explicites.
Enfin il se retourne, gel douche en main. Il attend deux ou trois secondes que le dernier trainard dégage. Dès que la porte se referme, il saisit l'élastique de son jogging et, à l'instant où il passe devant moi, il le retire pour me dévoiler le reste de son anatomie. Ce petit coquin porte un jockstrap ! Le peu de tissu lui moule une belle queue, déjà en demi-molle et légèrement humide à cause de nos petits jeux. Mais il a deviné que ce n'est pas forcément ce qui m'attire chez lui. Il s'arrête à l'entrée des douches collectives et agite son irrésistible cul – rond, ferme et lisse.
– Tu me rejoins ? me lance-t-il avec un clin d'œil.
Il me provoque ! Il voit la barre raide qui déforme mon short et la réclame à sa manière.
Je me lève, vire mon haut, prends du savon et rejoins mon bel insolent sous les jets brûlants. Ses cheveux blonds collent sur son visage mutin. Ses yeux verts me fixent, pleins de désir. Adossé au carrelage blanc, il se touche à travers son sous-vêtement, tandis qu'il dissimule sa main libre dans son dos. L'eau ruisselle sur son corps d’Apollon.
Je n'attache d'abord de l'importance qu'à ce beau paquet qu’il masse devant moi, avant de réaliser que, par-dessus le marché, il se doigte discrètement en prévision de la suite.
Cette fois, c'en est trop ! Je baisse mon short. Je ne porte jamais rien dessous, justement pour des cas comme celui-ci.
Dès que je la libère, ma trique frappe mes abdominaux. Il ne faut pas deux secondes pour que mon blond sexy me prenne par les poignets et me place à mon tour sous l'eau, contre le mur. Il finit à genoux avant que je ne le lui demande ; sa bouche enveloppe mon gros gland rose ; sa langue savoure ma mouille et joue avec mon frein pendant qu'il masse mes couilles, lourdes, pleines, prêtes à le satisfaire.
Je glisse mes doigts dans sa chevelure trempée et l'invite à plus. Il avance et recule sa tête sur mon piquet, en suivant le rythme que je lui propose. L'avoir à mes pieds me procure une montée de plaisir ; la vision de ce type en train de me pomper me ferait presque lâcher la crème. Il est tellement doué avec sa bouche, le con ! Entre deux soupirs rauques, je lui fais la remarque ; il sourit et redouble d'ardeur. S'il continue, je vais lui gicler directement dans la gorge !
Je l'oblige à ralentir et le relève. Les paumes sur le carrelage, il s’installe alors dans une position extrêmement suggestive ; les reins cambrés, les fesses plus rondes que jamais, il me jette un regard de braise par-dessus son épaule musclée. Avec deux doigts, je vérifie qu'il s'est bien préparé. Le temps de me capoter et me voilà à l'entrée de son cul, lubrifié et prêt à m'enfoncer en lui.
J'appuie mon gland contre sa rondelle ; elle s'écarte facilement et je glisse les premiers centimètres de mon gros dard dans son boyau. Ce mec est aussi souple qu'étroit. Il me serre la queue, mais s'ouvre sans trop de peine.
Bientôt mes couilles claquent contre son fessier. Il gémit, couine et se cambre. Son plaisir résonne dans les vestiaires. Le mien aussi. Je caresse sa peau de pêche tout en l'enculant avec ardeur. Ses biceps se contractent, son dos attire ma bouche. Je pose une main sur sa nuque et donne de longs coups de reins ; ma queue entre et ressort entièrement, lui écrasant au passage la prostate.
Assez vite, mon beau gosse en rut vient s'empaler de lui-même. Il bouge son bassin, avance et recule sur mon braquemart. Putain, mais c'est qu'il va me tirer le jus à force de faire sa salope !
Lui sort sa queue et se branle rapidement. En moins de deux minutes, je le sens se contracter autour de ma bite. Il expulse trois ou quatre giclées de sperme blanc ; son jus se mêle à l'eau et disparaît dans la bouche d'évacuation. C’est si bon de le sentir venir ! L’instant suivant, je plaque mon beau gosse contre le carrelage pour lui doser mon foutre au fond du cul ; je remplis la capote en poussant un râle de reconnaissance, puis je me retire et reprends mon souffle.
Après une telle débauche, nous nous lavons en silence, chacun occupé à observer le corps de l'autre. Nous risquons parfois un geste pour caresser nos sexes mous, avec une timidité nouvelle, voire étonnante.
Alors qu'une bande d'amis entre dans les vestiaires pour se changer, mon camarade de jeu me regarde, m'adresse un sourire lumineux et me lance un :
– On va se prendre un verre ? Je t'attends dehors.
Il s’éloigne ensuite, me laissant sous la douche avec un puissant désir de le suivre.
F I N
Voilà pour une deuxième histoire ! J’espère que vous l’avez autant kiffé que la première ;) N'hésitez pas à venir me dire par mail sur vous avez aimé, ou passez directement sur mon insta, @Plume_gay, j’y réponds plus vite ;)
Plume Gay
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