À l'instant où je l'ai vu sur le sable chaud, j'ai su qu'il se passerait quelque chose entre nous. Cela ne pouvait simplement pas en être autrement. Le paquet qu'il exhibait dans son petit maillot serré me vendait tellement de rêve.
J'ai passé plus d'une heure, non loin de lui, à observer sa peau dorée par le soleil, ses pecs saillants, ses abdos au creux desquels se promenaient encore quelques gouttes d'eau de mer, vestiges de sa dernière baignade. Ses tétons cuivrés pointaient lorsque le vent chargé d'embruns soufflait dessus.
Quand il s'est enfin redressé, il a pris appui sur ses biceps si appétissants, puis a tourné la tête dans ma direction. Il savait que je le matais depuis un moment ; à travers mon short, ma gaule archi-raide en témoignait. Son regard d’un bleu acéré m'indiquait qu'il ressentait la même envie. Il a passé sa main dans ses boucles noires et, d'un signe, m'a invité à le rejoindre derrière un amas de rocher, à quelques mètres de là.
Une fois à l'abri des deux ou trois curieux qui auraient pu nous surprendre, inutile de perdre plus de temps. À quoi bon, quand on sait ce qu'on veut ! Il m'a saisi par les épaules, a plaqué mes lèvres contre son torse et m'a laissé promener ma langue sur ses muscles. Ce corps ! Il frissonnait et se contractait sous mes doigts. Les abdos ressortaient, les biceps gagnaient en volume, et la tablette appétissante devenait plus dure lorsque je la léchais.
Sans attendre, je me suis mis à genoux devant l'énorme bosse de ce mâle en chaleur. J’ai d’abord baladé ma bouche le long de la tige, moulée par le tissu. Les gémissements que j’ai reçus en retour n’ont fait qu’accroître mon désir.
Le beau gosse bandait tellement qu'il a peiné à retirer son maillot, mais une fois qu’il y est parvenu… Cette énorme queue ! Veineuse, épaisse, pourvue d'un gland aussi foncé que le reste du membre. Il l’a tapé contre mes joues ; le claquement humide m’a tellement chauffé que j’ai tiré la langue. Mon bel inconnu a alors collé son chibre dans ma bouche sans attendre. Sa mouille m’a chatouillé les papilles. Il s'est empressé de saisir ma tête, histoire que je déguste au plus vite l'intégralité de son braquemart. J'ai salivé sur cette belle bite, tout en faisant dessus des va-et-vient de rapides ; seconde après seconde, j’ai avalé son sexe en érection jusqu’à réussir à le loger dans ma gorge. Puis je l’ai recraché et en ai suçoté le délicieux gland pour me reposer un peu la mâchoire.
Pendant que je lui pompais le dard, mon beau mâle gémissait sous le soleil. Il touchait ses abdos et jouait avec son torse imberbe ; des tétons aux abdos, il s’amusait à rouler des mécaniques tout en se tripotant. J’aurais voulu égarer aussi mes mains sur son corps de dieu, mais je m'occupais déjà de sa bite et ses couilles – deux belles boules lourdes et fermes, prêtes à me remplir la gorge dès que possible. Le paquet, bien lourd, pesait dans ma paume et m’incitait à donner mon maximum pour vider cet étalon.
Ma langue tournait autour de son gros gland, tantôt sur sa couronne, tantôt sous son frein. Je lâchais parfois son gros chibre pour descendre sur ses belles noix pleines de jus. Il me rappelait parfois à mon devoir en me baladant sa trique sur le visage ; une ou deux bifles, puis je le reprenais en bouche. Il me regardait, les yeux brillant d'excitation, pendant que je léchais la pointe de son braquemart comme une grosse sucette humide à souhait.
Chaud comme la braise, mon inconnu en rut ne s’est pas contenté de ma bouche. Après un rapide regard, afin d’être sûr que personne ne débarquerait, il m’a relevé et m’a retourné contre l’un des rochers. Une fois mon maillot descendu sur mes chevilles, j’ai vite deviné le souffle chaud entre mes cuisses. Il m’a pétri les fesses en lâchant quelques commentaires bandants, avant de glisser sa langue agile dans ma raie. Il m’écartait les miches et, assez vite, la pointe humide est venue titiller mon œillet sensible. Ce mec possédait un rare talent pour bouffer le cul ; il alternait entre des moments de fouille intensive, agrémentée de quelques doigts dans le fion, et des moments où il embrasait mon trou, soufflait dessus et salivait en quantité pour le lubrifier. Autant dire qu’en un rien de temps, mon trou s’est ouvert, avide de recevoir plus.
Le gland chaud s’est promené un instant dans la crevasse entre mes belles miches rondes, avant de s’arrêter sur la rondelle dilatée. Une pression du bassin a suffi pour que l’organe commence à entrer en moi. J’ai serré les dents ; le bel inconnu m’a tâté la trique et les couilles afin de me détendre. Au terme d’une minute à encaisser la pointe de son missile, j’ai pu souffler, le plus gros était passé. La suite, je l’ai encaissé comme un pro ; au coup par coup, mon étalon m’a enfoncé sa queue jusqu’à ce que ses couilles tapent contre mes cuisses.
Là, le festival de la baise sur sable a débuté ! D’abord en levrette, il a achevé de m’ouvrir le cul ; je devinais à présent les moindres veines de son organe, son gland me limait le cul et j’essayais tant bien que mal d’étouffer mes gémissements, histoire de ne pas rameuter les surveillants de plage. Après de longues minutes, sous un soleil de plomb, le beau gosse m’a retourné et m’a allongé entre les grains fins et chauds. Là, mes jambes sur ses épaules, il m’a enculé comme jamais. Son corps me dominait, ses biceps contractés m’excitaient et, au moment où il s’est penché vers moi pour m’offrir ses pecs à dévorer, son chibre a écrasé ma prostate une fois de trop ; sans même me toucher, j’ai joui sur mon torse, éclaboussant aussi le sien au passage.
Cet inconnu torride s’est alors retiré. Je me suis mis à genoux devant lui. Un simple coup de poignet, au moment où sa gaule était aussi dure qu'une barre d'acier, et monsieur m'a déchargé son foutre sur la gueule. Il a poussé un râle puissant et m'a couvert de jus, bien blanc et crémeux. Il s'est ensuite assuré que je lui nettoie l'engin à grands coups de langue, puis a remis son maillot, m'a remercié d’un signe de tête et s'en est retourné bronzer tranquillement sur le sable.
Je suis revenu le lendemain sur la même plage, dans l’espoir de le recroiser, mais malheureusement, il n’était plus là.
F I N
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Plume Gay
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