Fessé par l'inconnu du métro

L’ennui dans le métro, c’est que si on ne dégaine pas son téléphone pour scroller jusqu’à sa station, on peut vite se retrouver à fixer un inconnu.
Celui que j’ai repéré ce jour-là était un homme d’âge plutôt mûr, avec une moustache grisonnante, chemise à carreaux et un pantalon côtelé. Je l’imagine aisément prof d’histoire-géo à la retraite … et moi son élève. C’est comme ça, les hommes matures m’excitent terriblement. L’autorité aussi.
Monsieur a bien dû repérer mon petit manège car il me détaille en retour. De haut en bas, il m’évalue avec une certaine froideur, pas l’ombre d’un sourire. Il ne semble pas agacé ou hostile, il n’a pas détourné le regard, il m’examine simplement sans afficher d’émotion. Moi en retour, je prends plaisir à le fixer, c’est comme un jeu.
Cependant, ma station arrive bien vite et je sors de la rame pour me diriger au bar où m’attend mon ami. En sortant de la bouche de métro, un contact m’électrise: une main me touche les fesses subrepticement avant de remonter dans le dos. Je me retourne d’un coup, pensant à une bousculade et voit le “professeur” qui m’avait suivi sans que je ne m’en rende compte.
“Pardon” bredouille-je sans vraiment savoir pourquoi, c’est pourtant lui qui m’est rentré dedans!
“Oh tu fais bien de t’excuser mon gars, c’est très mal poli de soutenir le regard comme tu l’as fait. Maintenant suis-moi”
Et sans ajouter un mot de plus, l’homme commence à me pousser légèrement dans le dos et me mets en marche. Je n’ai même pas le temps de protester, je suis interloqué. Nous avançons côte à côte sur le trottoir, c’est comme si je n’étais qu’une marionnette de ventriloquiste. Mon esprit tourne à mille à l’heure, je me demande où il m’emmène, si je ne devrai pas juste fuir et en même temps, je suis terriblement curieux de ce qui peut arriver. Peut-être a-t-il deviné mes intentions?
Après une centaine de mètres, nous passons devant le troquet où mon pote Maxime m’attend en terrasse: il me fait un signe et lance “salut Lucas! je suis installé là, ça te convient?”. L’inconnu sentant peut-être la fin de son aventure, descend discrètement sa main sur le haut de ma croupe, m’envoyant un signal très clair: je suis encore sous son contrôle.
“Ah salut Max! Heu … écoute je viens de croiser mon oncle dans le métro, et justement je devais passer prendre un truc chez lui, ce sera pas long il habite à côté”
“Oh ok bonjour Monsieur. Pas de soucis je prends un premier verre en t’attendant!”
Mon inconnu ne daigne même pas répondre à mon ami, et se remet à pousser discrètement dans mon dos: il a bien compris que j’étais prêt à le suivre maintenant. Un peu plus loin, il me fait entrer dans un immeuble, et nous montons dans l’ascenseur. Dans la promiscuité de cet espace étroit, je sens son odeur et observe son regard: il est déterminé, il sait ce qu’il fait. Peut-être l’a-t-il déjà fait? Cet homme pourrait avoir un don pour repérer les jeunes chiennes en chaleur et les mener à la baguette, c’est bien ma veine.
Nous entrons dans l’appartement, et il retire son manteau. Je ne sais pas trop où me mettre. De l’entrée j’aperçois le séjour qui semble plutôt spacieux et décoré de façon vieillotte, mais avec goût. Il y a de nombreuses antiquités, manifestement chinées au fil des décennies, et d’épais rideaux brodés.
L’homme se retourne alors et crie “à genoux!”. Ce changement soudain de ton me surprend, je suis déboussolé et m’exécute sans résistance. Il m’inflige alors une énorme claque, le genre que jamais de ma vie je n’ai reçu, et pourtant j’en ai fait des bêtises dans ma jeunesse.
“Ça c’est pour m’avoir manqué de respect tout à l’heure. Ça me démangeait.”
“Je vous demande pardon monsieur…” bredouille-je timidement
“Oh ne t’excuse pas! Après la correction que je vais t’infliger, ce n’est pas mon pardon mais ma pitié que tu demanderas. Tu le sais que tu mérites d’être puni? Et que je suis le seul ici à décider de la punition appropriée pour ton comportement pervers?”
“Oui monsieur”
Les mots sortent de la bouche sans prendre le temps de réfléchir, l’instinct parle à ma place. J’ai tellement envie de vivre ce moment, et si peur en même temps, le cocktail parfait pour une excitation intense. Il ne réagit pas à ma réponse, gardant la même froideur. “Ok, maintenant retire tes chaussures, ton polo et relève toi”.
Une fois debout, il me saisit d’un coup par la ceinture, sa lourde main entrant dans le creux de mes reins pour empoigner fermement pantalon et slip. Il me soulève presque et me traîne vers le salon, mon entrejambe est toute compressée. Il s’asseoit alors sur le canapé et m’allonge sur ses genoux, les fesses bien en évidence. Je me doute bien alors de la tournure que va prendre la “punition”.
Sans prévenir, ses mains s’abattent sur mes fesses avec force. Il tape et tape et tape à un rythme très soutenu, si bien que je commence vite à sentir la chaleur monter, et avec elle la douleur. Mon pantalon en chino fait à peine écran, ça brûle. Et ça dure, dure, dure…
Quand il s’arrête enfin, j’ai les larmes qui me montent aux yeux et me crois délivré. Je suis bien loin de me douter de ce qui m’attend ensuite. “Debout.” Je me rélève péniblement.
“Alors, ça fait réfléchir hein?”
“Oui monsieur”
“Tu as quelque chose à me dire maintenant?”
“Pardon monsieur, je n’aurai jamais dû vous manquer de respect”
“Mauvaise réponse. Baisse ton pantalon et remets-toi en position”
“Non s’il vous plait j’ai déjà assez mal et…”
“Je ne répéterai pas”
Fin de non-recevoir, je ne peux prendre le risque de le contrarier. Alors j’obéis et je me soumets: je déboutonne, tire la braguette et baisse mon chino jusqu’aux chevilles.
“Ohhh mais je vois que tu portes des slips! Ou vu la quantité de tissu je dirai presque une culotte…C’est peu commun chez les jeunes gens de ton âge, normalement vous êtes plutôt boxer ou caleçon”. Il se relève alors et baisse lui aussi son pantalon, laissant apparaitre un slip bien plus généreux en tissu que le mien, un modèle classique moulant bien son paquet. “Moi aussi je suis amateur, j’aurai même une petite surprise pour toi tout à l’heure si tu es sage... mais avant, en place” dit-il en tapotant ses cuisses nues.
Je m’allonge à nouveau et sens le contact chaud de sa peau. Je me demande ce qu’il entend par « surprise », mais une chose est sûre, le voir en slip a relancé mon excitation, je m’imagine déjà un dénouement heureux au cours duquel je lui baisse sur les chevilles.
J’ai à peine le temps de savourer cet instant que les fessées reprennent. Si la pause a apaisée ma peau endolorie, il faut beaucoup moins de coups pour que je recommence à souffrir. Ses mains sont trop grandes, les doigts dépassent sur le haut de mes cuisses, et je dois bien le reconnaître: le slip ne couvre pas assez bien la surface de mes fesses. Aïe, aïe, je prends mon mal en patience, je l’ai mérité je sais.
Quand il commence à fatiguer et ralentir le rythme, j’entrevois ma libération. Encore quelques coups, et il s’arrête enfin, m’intimant l’ordre de me relever. En m’exécutant, je me touche les fesses: elles sont bien chaudes, je n’ose pas imaginer la rougeur.
“Touche pas! Mets tes mains sur la tête”
Une fois de plus j’obéis. Il s’avance alors pour baisser mon slip. J’ai un réflexe, je tends les mains pour me cacher le sexe. “Sur la tête j’ai dit!” C’est vrai que c’est bête, je pense que nous avons largement dépassé le stade de la pudeur avec mon inconnu. La vue de mon sexe ne le fait pas réagir, il n’y touche même pas. Dommage.
Il me fait alors rallonger, mon sexe dégonflé est compressé sur ses cuisses, mais si il ne reprend pas rapidement, il risque de durcir.
A présent, tu vas recevoir une nouvelle série de 20 mais après chaque claque, tu vas me supplier de t’en mettre une autre c’est compris?
Oui
Oui qui?, lance-t-il
Oui Monsieur
Très bien, commençons
…
J’attends!
Monsieur, donnez moi une bonne fessée s’il vous plait
Oh tu réclames même une “bonne” fessée? Je n’en attendais pas tant, petit coquin
Sa lourde main s’abat directement sur moi, je gémis de douleur. Mes fesses sont brûlantes. Alors que je prenais quelques instants pour la digérer, une seconde claque arrive sans crier gare “supplie moi j’ai dit! Celle-ci ne compte pas dans les vingt”.
“Monsieur donnez moi une fessée s’il vous plait”.
Le petit manège continue ainsi, mais ma volonté s’épuise au fur et à mesure, j’ai tellement envie que ça cesse et pourtant je continue à demi-sanglot de réclamer la suivante. La peur de sa réaction, l’ego d’aller au bout de ma peine et l’attente de la délivrance se mélangent dans ma tête.
Au bout d’une dizaine, je perds le compte, de toute façon je reçois régulièrement des claques supplémentaires. Je ne sais plus où j’en suis. Et finalement, je craque:
Pitié monsieur, arrêtez, stop, faites-moi tout ce que vous voulez mais pas une autre fessée
Ah tu vois, je t’avais dit que tu finirai par cesser de demander pardon et implorerai ma pitié. Je te l’accord jeune homme, tu as retenu la leçon
Merci monsieur…, murmure-je à demi mots
Je ressens à cet instant un immense soulagement, et paradoxalement une grande gratitude pour la clémence dont cet homme fait preuve à mon égard. Il n’a pas menti, il aura bien réussi à me faire complètement plier. Moi qui me sentait si puissant quand je défiais son regard dans la rame du métro, je me retrouve complètement dominé, abandonné à son pouvoir, y compris celui de me laisser repartir.
Mon maître me repousse alors de ses cuisses, et renfile rapidement son pantalon. Si j’espérais au départ que ces fessées ne soient que des préliminaires, je n’y pense même plus à cet instant, je me sens vidé. L’homme se dirige ensuite vers la cuisine, et semble ouvrir le frigo, me laissant nu au milieu de cette pièce, les fesses en feu.
“Je ne suis pas cruel, je tiens simplement ma parole. Je t’ai promis que tu allais regretter, et il me semble que c’est chose faite maintenant, j’ai vu à ton regard que tu étais sincère. J’avais aussi dit que j’avais une petite surprise pour toi: tiens, c’est pour pas que nous nous séparions fâchés.”
Il me tend alors ce qu’il a en main : un slip de bain encore fumant, tout juste sorti du congélateur. Sans y réfléchir à deux fois, je l’enfile pour soulager mon fessier endolori, bien que cela me gèle aussi les testicules.
“Il te va bien” dit-il en me caressant les fesses, “tu peux le garder jusqu’à la prochaine fois”.
“Quand sera la prochaine fois?”
“Quand tu me manqueras de respect à nouveau. Je sais que ça va arriver, une expérience pareille ne laisse pas indifférent, tu reviendras chercher ta dose comme un drogué. Tu feras probablement quelque chose de vraiment idiot pour attirer mon attention, et ce jour-là, je te le ferai payer très cher.”
Après ces paroles menaçantes, je suis tout confus, je me rhabille en vitesse et quitte l’appartement, ne sachant plus quoi dire. J’ai déjà intuitivement compris ce qui risque de m’arriver si je le provoque, or j’ai déjà mon compte pour aujourd’hui. Mais la promesse reste très séduisante, et il a bien raison, je ne risque pas d’y résister…
Je rejoins fissa mon ami. L’arrière de mon pantalon commençant à mouiller à cause du slip du bain, je m’assois rapidement à la table du bar sans bouger de la soirée. Je garde la main dans la poche, agrippant fermement mon slip en boule c’est maintenant le souvenir d’une première fessée que je ne suis pas près d’oublier. Perdu dans mes pensées, je n’écoute pas un mot de ce qu’il me raconte, car je n’ai déjà qu’une idée en tête: revoir mon inconnu.