Bien lumineux et chaleureux, l’appartement loué par Mohammed, me donne souvent envie d’y évoluer complètement nu. Par la chaleur ambiante et la décoration exotique choisie par Mohammed. Ce petit air d’Orient en pleine ville. Et ce jour de congé je me prélasse nu dans le divan, devant Chaleurs, un film de Cadinot vu et revu. La scène regardée m’excite et mon phallus en pleine forme témoigne du fait. Qui sait, le voisin d’en face peut-il l’observer aussi, vu que Mohammed n’a pas prévu de rideaux dans son appartement, ni de portes d’ailleurs, sauf celle de l’entrée. Un obstacle qui n’en est pas un pour Mohammed, qui a la clé et qui entre donc à sa guise, de jour comme de nuit. Bien souvent il m’a réveillé en pleine nuit, venu se vider en moi, sa petite femme soumise. Sa vraie femme, bien que très sympa n’a pas le même goût pour le sexe et sait que son mari m’utilise comme femelle docile. Cela la rassure de savoir qu’il ne va pas voir ailleurs.
Tout occupé à visionner mon film, je n’entends pas la porte s’ouvrir et la voix de Mohammed me fait sursauter. Arrivé dans mon dos il a vu que je regardais ce film x oriental, que je lui ai fait découvrir. Comme à son habitude Mohammed a amené un visiteur. C’est d’ailleurs écrit dans le bail, mon corps doit le servir mais aussi ses amis et invités. J’en ai vu des queues depuis mon arrivée en ville. Mohammed a beaucoup d’amis insatisfaits, ou excités par mon corps fin et lisse, ainsi que par ma peau douce et blanche.
« Damien, je t’ai parlé d’un prochain retour au bled pour que tu serves de chèvre, ce que tu fais très bien. Le départ est prévu fin du mois mais prince Ahmed a tenu à te rencontrer avant ton départ. Il est de passage à Bruxelles pour affaires. Médecin il va t’examiner pour s’assurer que tu ne poseras pas de soucis là-bas. Il n’y a pas de dispensaire dans son coin de désert. » Mohammed me dit cela d’un air satisfait, sans doute par le plaisir de fournir à son hôte une telle femelle comme moi. Nu, je suis un peu gêné de tout exposer à cet étranger. Mais l’homme ne semble pas dérangé, que du contraire. Il me mate avec une belle lueur dans les yeux. « Damien, je te présente un prince venu de chez nous et que tu devras le servir quand tu le rejoindras dans le désert pour ces deux semaines de vacances. Viens lui montrer ta soumission et ton obéissance » me dit Mohammed, fébrile. Je m’exécute, à genoux aux pieds du prince arabe que je peux détailler de plus près. De taille moyenne mais bien dessiné avec un corps sec. La petite soixantaine avec une barbe et des cheveux bien soignés. Pendant que je le regarde, lui déboutonne son pantalon, tombé à ses pieds. D’un geste je me permets de lui baisser le slip et de libérer son sexe. Une sacrée bête de concours que ce membre flasque au gland large et luisant. Dessous, ses bourses ressemblent à des kiwis, avec ces poils coupés courts. Le prince a deviné mon envie et d’un geste du menton m’ordonne de le sucer. Ce que je fais avec plaisir. L’odeur virile envahit ma bouche, ma langue s’enroule autour du gland que je suce comme ces sucettes de mon enfance. Par les petits gémissements qu’il produit, je devine que le prince du désert apprécie ma fellation. Ma spécialité, dont beaucoup d’hommes ont pu profiter. Mohammed ne perd rien du spectacle, fier de ma prestation. J’imagine qu’il a vanté ma perversité au prince avant de venir. C’est vrai que je n’ai aucun tabou, j’aime tout. Y compris l’urologie, et heureusement car le prince urine dans ma bouche après avoir joui. Le liquide chaud coule dans ma bouche, ma gorge. Et j’avale, tout. Je ne peux rien refuser aux hôtes de Mohammed. J’ai essayé, une seule fois, et les fessées de Mohammed ont rougi mes fesses durant quelques jours. Je suis esclave sexuel et je ne peux rien faire sans l’accord de Mohammed. Sans me parler, le prince m’invite de la main à rejoindre ma chambre. Pour lui, je ne suis pas digne d’être traité correctement.
Nu, je le devance vers ma chambre et je sens son regard sur ma croupe. Sans attendre ses ordres je me couche sur le dos, jambes relevées et écartées, lui livrant mon orifice anal comme offrande. Geste qu’il a bien compris. Rapidement il se dénude totalement, devant Mohammed qui ne peut s’empêcher d’admirer ce corps nu, bien fait avec ce cul serré, musclé. Le prince bande mais ne me sodomise pas. Pas encore. Il se dirige vers sa trousse et sort des accessoires pour l’examen urologique qu’il souhaite me faire. Mohammed lui a donné les résultats de ma prise de sang, qu’il consulte, satisfait. Puis introduit un spéculuum pour tester l’élasticité de mon anus. La vue sur l’intérieur de mon intimité le satisfait. Il me fait coucher sur le côté, une jambe relevée. Ses mains douces me caressent les bourses, décalottent mon gland. Un doigt entre dans mon œillet. Sans difficulté. Tout lui semble bon pour que je puisse remplir mon rôle de chèvre. « Mohammed, ta petite lope est délicieusement prête à servir. Mes sujets au village vont pouvoir se faire plaisir avec elle » déclare le prince à Mohammed en me montrant du doigt, sans prendre en compte ma personne. Pour lui, je ne suis rien.
En érection, le prince décide ensuite de se vider et se couche sur moi pour une position en missionnaire. D’un doigt il place son gland à l’entrée de mon anus. Rapidement pénétré par ce phallus imposant. Quelques mouvements saccadés le font jouir dans ma croupe. Il décule sans douceur et essuie sa queue avec mes cheveux. Nu, couché sur le dos, l’anus dégoulinant de foutre, j’offre le spectacle d’un slave prêt à tout. « Bon, Mohammed, tout est parfait pour moi. Tu l’enverras comme convenu. J’ai beaucoup de demandes au bled. J’espère que cette petite pute a de l’endurance » déclare le prince à mon proprio, sans me jeter un regard. Tout au plus se borne-t-il à me photographier sous tous les angles pour montrer à son village mon corps nu. Resté seul dans la chambre, j’entends Mohammed raccompagner son hôte. Humm, je devine que mon séjour sera parfait. J’ai hâte de me faire prendre par ces hommes du désert.
Colinot
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