Salut à tous.
Cette fois-ci je vais vous raconter la première partie d'une histoire complètement fictive, mais fortement inspirée par mes fantasmes les plus récurrents. Aucun personnage ici n'est réel... Malheureusement.
Chapitre-1
Salut à tous.
Cette fois-ci je vais vous raconter la première partie d'une histoire complètement fictive, mais fortement inspirée par mes fantasmes les plus récurrents. Aucun personnage ici n'est réel... Malheureusement.
Karim est le genre d’homme qu’on remarque sans qu’il ait besoin de parler. Algérien kabyle, il habite une cité du nord de la banlieue parisienne. 25 ans, 1m85 de virilité pure : des bras solides, des épaules larges, une nuque épaisse. Un corps taillé avec les années, entre boxe, street workout et bagarres. Son style est simple, mais marquant : t-shirts moulants, survêts bien coupés, Nike toujours propres. Cheveux courts, bien stylés. Barbe parfaitement entretenue. Et ce regard… sombre, calme, brûlant de maîtrise. Un regard qui te traverse, te jauge, t’écrase. Il n’a pas besoin de parler : un seul regard suffit.
Il parle peu, mais quand il te regarde, t’as plus rien à dire. Tout en lui est propre, net, carré. Il dégage cette autorité naturelle qu’on ne discute pas. Même assis sur un banc ou marchant dans la cité, tout le monde sent que c’est lui le patron. Il ne cherche pas le respect. Il l’impose. Sans forcer.
Karim n’a pas d’amis, il a des suiveurs. Des gars qui le regardent comme un modèle, des femmes qui le veulent, qui s’excitent en silence en le regardant passer comme une menace attirante, et même des mecs qui baissent les yeux dès qu’il les fixe un peu trop longtemps. Ça ne le dérange pas, il sait qu’il est au-dessus. Et ça lui plaît.
Il vit à sa manière, sans patron, sans horaires. Il n'a pas de taf officiel, mais il a toujours du cash. Certains disent qu’il vend, d’autres qu’il protège des commerçants. Peu importe. Il a toujours ce qu’il lui faut, et plus.
À 17 ans, il a disparu quelques mois. Rumeurs de prison. Vengeance ? Silence ? Personne ne sait. Mais quand il est revenu, il était différent. Plus calme. Plus froid. Depuis, plus personne ne tente de le tester.
Karim n’a besoin de personne. Il observe. Il agit. Sans bruit. Sans pitié. Il impose plus par la maîtrise que par la violence. Il vit la nuit comme il règne le jour. Il connaît chaque cave, chaque coin de la cité. Le jour, il prend ce qu’il veut. Des femmes comme il veut et quand il veut. Rapidement, sans attaches. Il est trop puissant pour se contenir, trop exigeant pour s’attacher. Il est respecté comme une bête qu’on admire sans jamais vouloir réveiller.
La nuit, c’est un autre univers. Il se fond dans les ombres, repère, choisit. Il prend ce qui lui plaît.
Personne ne s’oppose à lui. Ni les mecs, ni les meufs, ni les anciens. Il n’a jamais eu besoin de prouver quoi que ce soit. Il incarne ce qu’il est : un DZ pur, un mâle alpha, une présence brute. Dans la cité, toutes les femmes se l’imaginent dans leur lit, même celles en couple. Certaines y sont passées, mais acune ne parle. Pas mal de mecs ressentent aussi quelque chose : un mélange de peur, de respect… et de désir.
Karim le sent. Il l’accepte. Il en joue.
Il pourrait s’installer, vivre “normalement”, avoir une copine, se poser. Mais c’est pas son délire. Il ne s’attache pas. Pas parce qu’il est froid, mais oarce qu’il sait que personne n’est à sa hauteur. Son corps, son odeur, sa voix grave… tout en lui respire la domination tranquille. Pas besoin d’élever la voix. On sent. On sait. On obéit.
Sa vie sexuelle est fréquente, intense, animale. Mais il reste seul après. Un mur invisible que personne n’a franchi. Aucune relation ne l’a touché. Karim vit comme il veut. Il baise celle qui il veut, où il veut, quand il veut. Pas de patronne. Pas de routine. Pas de contrainte. Les femmes viennent à lui. Il choisit, il trie, ill prend, puis il relâche. Sans attache. Sans drame. Ce qu’il veut, c’est la liberté. Le contrôle. Le pouvoir. L’instant. Il vit dans le présent. Il ne parle pas du passé. Il ne promet rien pour demain. Il agit ici, maintenant.
Il n’a jamais eu besoin de se justifier, il ne cache rien. Il est ce qu’il est, brut, entier. Certains murmurent sur son passage, d’autres fantasment en silence. Mais personne ne se moque, personne ne juge.
Parce que Karim, c’est Karim.
Il ne séduit pas, il attire. Il ne demande pas, il fait comprendre.
Dans la cité, tout le monde sait une chose : Karim n’appartient à personne, mais il peut avoir tout ce qu’il veut.
Et il le sait.
SalopeAJus
tasalope94@gmail.com
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