Aujourd’hui, Walid est sur une route de campagne qui le ramène à la capitale. Il est au volant de son bolide, une belle voiture de sport rouge, cabriolée. Un regard sur le compteur de vitesse : 150 km/h. Il accélère. Il profite du week-end pour pouvoir pousser son « bébé » aussi loin que possible. Il est certes en retard mais il aime le bruit du moteur. Le regard médusé des passants galvanise aussi son égo et le font accélérer encore plus. Il savoure la brise chaude de cette chaude journée d’été. Deux belles filles le regardent filer devant elles, les yeux remplis d’envie. Il klaxonne et il leur fait salut de la main. Il se serait bien arrêté mais il doit rentrer sur Paris.
Walid a 25 ans. Il a un visage fin et imberbe, des cheveux épais. Il a des lunettes de soleil. Il porte une petite chemisette qui laissent apparents des bras fins et poilus. Il a toujours été passionné de belles bagnoles, depuis sa tendre enfance. Il a tout fait pour pouvoir gagner assez d’argent pour se payer ce beau bolide. Il sourit quand il repense au chemin qu’il a parcouru... quand soudain, un flash le tire de ses pensées. A cause de la vitesse, il ne sait pas s’il vient de s’imaginer un truc ou si... Tout à coup, la sirène d’un gyrophare se fait entendre. Il regarde dans son rétroviseur, tout en freinant : c’est un gendarme sur une moto.
Dégoûté, le conducteur ralentit et il finit par s’arrêter sur le bas-côté. Le gendarme descend de sa bécane et il vient vers lui. Walid l’observe : le gendarme est grand (1,90 m) et baraqué. Il a un visage dur. Il doit avoir dans les 40 ans. Il a le crâne rasé et une grosse moustache épaisse, noire. Il porte un polo bleu foncé de la gendarmerie qui laisse voir deux gros bras dont les avant-bras sont recouverts de tatouages. Son polo est déformé par un gros ventre. Il a un pantalon moulant qui laisse deviner une grosse bosse entre ses jambes.
Une fois arrivé à sa hauteur, le gendarme demande :
- Vous savez pourquoi je vous arrête ?
- Je crois oui...
- 170 km/h ! sur une route limitée à 80 ! Vous savez aussi ce que ça veut dire...
- Amende ?
- Oh, mon petit père, oui une belle amende de 450€... et immobilisation du véhicule !
- Pardon ? Non, vous pouvez pas faire ça !
- Si, c’est la loi, monsieur. Tout le monde doit la respecter, même les personnes pétées de fric !
- Donnez-moi une chance, s’il-vous-plaît ! Cette bagnole est toute ma vie !
- Ça ne servira à rien de pleurer, monsieur ! Papiers du véhicule, permis de conduire !
Walid a en effet les larmes qui coulent le long de ses joues. Il ne veut pas perdre son permis... Il ne peut pas, il en a besoin pour son boulot. Il voyage dans toute la France ! Tremblant, il tend ses papiers au fonctionnaire qui est en train de taper sur son écran. Ce-dernier mate Walid du coin de l’œil. C’est un petit rebeu comme il les aime : il a des airs de macho avec sa chemise, ses lunettes de soleil et sa grosse bagnole... Ce mec fier qui pleure devant la force de la gendarmerie. Il aime bien les arabes comme lui, mince, masculin. Il finit de taper sur son écran et il reprend :
- Descendez du véhicule !
Le rebeu obéit. Le gendarme se met à le fouiller. Il en profite pour passer sur sa queue ainsi que sur ses fesses qu’il masse rapidement. Le représentant de la loi est impressionné par ces deux fesses rebondies et musclés.
- Je vous emmène au poste, on va faire des tests d’alcoolémie et de drogue. Descendez du véhicule.
- Comment ça !?
- On y va avec ma moto, je vous retire le permis, ça a effet immédiat !
- Et on laisse la voiture ici ? Mon bébé ? Elle va se faire voler à coup sûr ! Vous savez combien ça coûte, une bagnole comme ça ?
- J’en ai une petite idée. Allez, on y va.
Walid s’effondre, il se met à pleurer à chaudes larmes. Il se retrouve à genoux en train de supplier le gendarme d’être clément. Ce-dernier le regarde d’un air amusé. Il réagit quand le rebeu prononce ces mots :
- Il doit bien y avoir une autre solution ! Je ferai tout ce que vous voulez !
- Tout ?, l’interroge le gendarme.
- Oui !
- D’accord ! Je veux te baiser !
- Quoi ? Mais je suis pas PD !
- Je te laisse le choix : te faire baiser ou payer !
Walid se met à réfléchir... puis, il finit par faire un choix, à regret : il choisit de se soumettre.
- Bien ! Je garde tes papiers, Walid ! On va déposer ma moto au poste et après, on ira faire un petit tour !
Walid obéit et il suit le gendarme. Arrivé à la gendarmerie, Walid attend le fonctionnaire. Il a une boule au ventre. Il aurait envie de partir en trombes... mais il a peur des conséquences. Le gendarme finit par sortir et par monter dans le bolide.
- Belle voiture. Allez, roule, je te guide.
Walid démarre et il suit les instructions du policier. Il se retrouve sur la route de campagne, avant de s’enfoncer dans Paris. Au bout de presque une heure, il se gare devant un lieu qui ne paie pas de mine : « Le Comico » indique un écriteau. Il coupe le moteur et il suit le gendarme qui rentre dans le lieu.
Il entraîne le rebeu dans un coin et il le fait assoir tandis qu’il reste debout, face à lui, le dominant de toute sa stature :
- J’ai envie de te posséder, Walid ! Déshabille-toi !
- Vous êtes sûr qu’on peut pas s’arranger autrement... ?
- Fais ce que je dis sinon tu peux dire adieu à tes papiers et à ta bagnole !
Walid retire alors sa chemise : il a la peau mate. Son corps est musclé, il a des pectoraux saillants et des abdos bien dessinés. Son torse est légèrement poilu. Sa toison continue en un filet de poils qui traverse le milieu de son ventre.
Le gendarme est ravi. Le rebeu lui plaît énormément. Il est jeune, mince, il roule des mécaniques. Une odeur de transpiration s’échappe des aisselles du jeune. Le représentant de la loi sourit, puis il indique à Walid d’enlever le reste. Il obéit. Il se retrouve nu. Ses jambes sont aussi bien musclées et très velues. Son pubis est extrêmement velu. Il a de grosses couilles poilues. Sa teub a un gros gland circoncis, rose foncé. Elle est presque noire. Elle pend mollement entre ses jambes.
- Tu as de belles jambes, Walid. Tu fais du sport ?
- Du foot.
- C’est bien ça ! Lève tes bras !
Le rebeu obéit. Il tressaille quand le gendarme s’approche de lui. Il se met alors à renifler les aisselles velues. Elles dégagent une odeur de mâle musquée. Sa langue se met à passer dans les poils. Le gendarme adore le contact des poils sur ses lèvres. Puis, il se retire :
- Retourne-toi !
Il peut alors contempler le magnifique fessier du rebeu : ses fesses sont aussi musclées, rondes, avec une fossette. Elles sont recouvertes d’un fin duvet de poils noirs. Quant à sa raie, elle est extrêmement dense, telle une forêt vierge. Puis, le fonctionnaire le fait se retourner et il se met à caresser la bite circoncise. Elle est magnifique ! Walid tressaille au contact de cette main. C’est la première fois qu’un autre mec que lui touche ses parties intimes. Le gendarme se met à soupeser ses couilles qui se révèlent être lourdes et pleines.
- Déshabille-moi !
Walid s’exécute et il retire la chemise du gendarme qui se retrouve torse nu : il a un torse puissant, de larges épaules et de gros tétons roses, le tout recouvert de poils qui descendent sur son ventre qui est énorme, rond et dur. Ses poils forment un triangle dessus. Ils sont plus épais autour de son nombril. Puis, Walid lui retire son pantalon ainsi que ses chaussettes. Finalement, c’est au tour de son caleçon. Le pubis du fonctionnaire est extrêmement velu (des poils épais, frisés, noirs). Il a une queue épaisse, avec un gland recouvert d’un long prépuce. Il a aussi de grosses couilles de taureau, poilues, pendantes.
Le jeune semble apeuré par le morceau qui se trouve à quelques centimètres de son visage. Le représentant de la loi toise le jeune homme de sa hauteur.
- Redresse-toi !
Le rebeu se redresse. L’autre se met de nouveau à triturer ses boules et sa bite. Ensuite, le gendarme se met à genoux et il approche sa bouche de la queue de Walid. Il se met alors à lui lécher les boules. Walid laisse alors échapper un gémissement. Le céfran commence à passer sa langue sur les couilles avant de prendre une boule dans sa bouche avant de passer à l’autre. Le rebeu ne peut s’empêcher de couiner doucement.
- Ça te plait ?
- Oui, doit avouer le rebeu.
Sans le vouloir, Walid se met à bander. Le gendarme admire sa bite : elle doit bien faire 19 cm. Elle est bien dure. Le fonctionnaire reprend la lèche des couilles avant que sa langue remonte le long de la bite. Il la lèche plusieurs fois avant de l’avaler en gorge profonde. Le rebeu soupire de plaisir tandis que le gendarme se met à le sucer lentement et profondément. Les soupirs deviennent de longs gémissements.
Finalement, le policier se redresse et Walid reste le regard fixé sur sa teub : la queue est épaisse veinée, marron, elle fait bien 20 cm. Elle est si épaisse que la main de Walid ne peut pas en faire le tour. Le gendarme sort un bandeau de son sac. Il bande les yeux du rebeu et il le fait assoir. Puis, il lui pose sa queue devant sa bouche :
- Ouvre ta bouche !
Walid hésite mais il finit par l’ouvrir avec un air de dégoût. Le céfran pose sa main derrière sa tête et il lui met un peu la pression. Le gland s’enfonce dans la bouche et le gendarme donne quelques coups de reins. Le rebeu ne bouge pas et quand il a pris un tiers de la bite, le gendarme ne bouge plus et il fait comprendre à Walid que c’est à lui de bosser. Le rebeu se met à faire de lents allers-retours sur le morceau et le sucé se rend compte avec satisfaction que déjà la moitié de sa teub a disparu dans la bouche. Walid s’occupe de la bite, il léchouille bien le gland. Toute trace de dégoût a disparu de son visage. Au bout de 2 minutes, le représentant de la loi repose sa main sur la tête et il essaie d’envoyer un peu plus loin le morceau au fond de la bouche. Il donne aussi de légers coups de reins. Walid se met à dégurgiter. Le céfran essaie plusieurs fois. Il finit par lui dire :
- Ouvre bien la bouche en grand et respire à fond.
Le rebeu obéit et il reçoit la queue dans sa bouche. Le gendarme commence à donner des coups de hanches plus puissants qui enfoncent sa teub toujours plus dans la bouche. Il se retire, il tapote le gland sur la langue avant de se renfoncer. Il devient de plus en plus agressif et la bite va toujours plus loin :
- C’est bien, t’as pris deux tiers de ma queue !
Il pose ses deux mains sur la tête du rebeu et il s’enfonce toujours plus. Puis, le gendarme se retire, il enlève le bandeau et il saisit le rebeu qu’il fait coucher sur le lit. Il passe au-dessus de son corps et il s’assoit sur lui. Il se met à le bifler. Ensuite, il pose son gland sur sa langue et de sa main gauche, il oblige le rebeu à le sucer. Le gendarme donne aussi des coups de reins. Puis, il lui donne ses couilles à lécher. Walid essaie de s’appliquer et de faire comme son gendarme lui a fait tout à l’heure. « J’ai bien dit « mon » gendarme !? », pense le rebeu, affolé par ses pensées.
Le représentant de la loi gémit fort, avant de passer sur le côté et d’enfoncer sa teub dans la bouche offerte. Il se met à lui baiser la gueule. Walid essaie d’encaisser les assauts répétés et il se félicite d’y arriver plus ou moins bien. Finalement, l’actif se pose sur le matelas, les jambes bien écartées et il voit Walid venir vers lui. Il sourit, content de la soumission de ce macho rebeu, et il le voit saisir sa queue pour en lécher le gland. Il se penche en arrière et il se laisse sucer. Le rebeu saisit la bite tendue et il fait des allers-retours, enfonçant la queue toujours plus loin dans son gosier. Il la ressort, il titille le gland de sa langue tout en branlant le gros morceau qu’il renfonce ensuite dans sa gorge. Puis, il retire sa main et il essaie vraiment de prendre les 20 cm entièrement dans sa bouche... et il y arrive presque ! Il ne manque plus que quelques centimètres. Il retire la queue en toussant, il la branle et il suce le gland avant de réessayer... et il y arrive ! il se retrouve avec le nez dans les poils pubiens et le front contre le ventre du gendarme qui lui sourit en gémissant. Walid retire la bite et il regarde son gendarme. Il est ravi quand il l’entend dire :
- Bravo, je te félicite, mon beau !
Walid lèche les couilles puis la queue, il refait une gorge profonde et le gendarme se relève.
- Mets-toi à quatre pattes !
Walid s’exécute.
- Cambre ton cul !
Le rebeu obéit. Le gendarme se met alors à toucher sa bite, son cul, ses boules.
- Ecarte bien tes fesses !
Walid obéit. Il prend ses miches en main et il les écarte. Le gendarme a une belle vue sur la raie poilue du rebeu ainsi que sur son petit trou rose. L’actif avance ses doigts et il touche la rondelle. Walid sursaute. Le gendarme reprend la bite du rebeu qui est bien dressée. Il la branle, tout caressant le trou. Puis, il enfonce son visage entre les deux fesses que le rebeu tient toujours. Sa langue sort et elle se met à virevolter dans l’anus vierge de Walid. Il saisit les couilles et la queue et il s’amuse avec aussi. Le gendarme est enivré par l’odeur de mâle qui se dégagent des poils du rebeu. Une vraie odeur de macho ! Les mouvements de langue s’accélèrent et le gendarme est satisfait quand il entend Walid couiner de plaisir. Ensuite, il ressort et il doigte le rebeu. D’abord un doigt, puis deux et enfin trois. Walid se crispe mais il ne dit rien. Le gendarme lui ordonne de se détendre. Il adore voir les poils mouillés aller et venir sur ses doigts. Il branle en même temps le rebeu.
Finalement, il se lève et il se branle devant le cul offert. Il y enfonce de temps en temps son gland avant de le retirer. Walid se retourne et il fait non de la tête. Mais il sait que c’est vain. L’actif enfonce sa queue dans le trou offert. Il adore voir le contraste de sa bite blanche avec la peau mate du rebeu. Il pousse petit à petit et sa bite s’enfonce lentement. Il a bien préparé l’anus qui gobe la teub.
- Non, pas ça...
Le gendarme se saisit de la bite et il ricane : le rebeu est excité, c’est seulement son amour propre qui en prend un coup ! C’est le macho qui refuse. Le représentant de la loi jubile quand il sait qu’il va li faire découvrir un autre côté, un côté qui kiffe les queues et la soumission !
L’actif gémit fort quand sa bite est entièrement entrée dans le trou et que ses couilles reposent contre son périnée. Il porte ses mains contre le ventre du gendarme qui les saisit et qui les utilise pour donner une bonne cadence à sa baise. Il prend en main aussi la queue du passif et il l’actionne. Elle est bien dure, preuve de l’excitation du passif. Très vite, Walid se met à gémir de plaisir. Le gendarme le fait mettre à plat ventre et il le défonce bien maintenant, rapidement. Les grosses couilles claquent contre le périnée. Le représentant de la loi se défoule dans le petit trou serré.
Ensuite, il le fait se remettre à quatre pattes et il le pilonne tel un marteau-piqueur, sur toute la longueur de sa bite. Il agrippe bien les hanches tandis que le rebeu se branle frénétiquement. Le gros ventre du gendarme tape contre le dos du petit passif qui adore le sentir.
L’actif finit par ressortir du cul et il va se poser sur une chaise. D’un geste autoritaire, il fait comprendre au passif de venir s’empaler sur sa queue. Le rebeu regarde le gendarme d’un air méfiant. Mais il voit que sa propre bite est tendue au max... Elle lui fait mal tellement, elle bande dur... Il s’avance alors vers le représentant de l’ordre. Il entend encore dans sa tête la voix du macho qui lui crie de fuir... mais elle se fait de plus en plus petite. Finalement, il se retrouve devant ce mec qui le fait vraiment bander. Il n’aurait d’ailleurs jamais cru ça possible ! Il enjambe le corps du gendarme et il saisit sa teub d’un geste décidé. Il pose le gland contre son trou... et il s’enfonce de lui-même sur la queue... Le gendarme ne dit rien, il sourit sentant l’anus serré du rebeu happer son anaconda sans sourciller. Au bout d’une minute, les 20 cm se retrouvent entièrement dans le cul du passif. Il prend appui sur les épaules puissantes de son amant et il entame de lents va-et-vient... avant de rapidement accélérer la cadence. L’actif pose ses mains puissantes sur les hanches de Walid et il le regarde avec envie... et un air de victoire. Il a réussi à faire désirer à ce macho rebeu son énorme bite ! Walid ne se sent plus et il se donne à fond. Il est comme dans une transe. Il chevauche cette queue à un rythme endiablé. Puis, le passif met ses pieds sur la chaise, le gendarme le maintient sous ses fesses et le passif s’empale sur la grosse teub avant de reprendre un long va-et-vient sur toute la longueur de la bite, toujours aussi rapidement. Son petit cul cogne contre les grosses boules de taureau tandis que les siennes rebondissent contre le gros ventre et atterrissent dans le pubis velu.
- Walid ! Je vais maintenant t’ensemencer ! Et après ça, tu m’appartiendras ! Pour toujours !
Le rebeu se met à gémir plus fort tout en regardant d’un air désespéré le gendarme qui le pilonne de plus bel jusqu’à ce qu’il le féconde. Une véritable éruption sort de sa queue et ensemence le petit anus. Walid sent que l’anaconda a pris du volume. Le gendarme jouit longuement, sa bite plantée au fond du cul du rebeu, les couilles contre ses fesses. C’est comme une explosion dans les entrailles de Walid qui se fait juter dans son trou de puceau. Il a l’impression que l’actif ne va jamais s’arrêter d’éjaculer. Ce sont presque une vingtaine de jets qui le remplissent. Le rebeu se branle à mort et il jouit rapidement dans un cri bestial. Son jus gicle un peu partout dans la pièce. Ce sont 9 jets qui éclaboussent tout. Walid se lève, son cul se met à dégouliner, telle une fontaine du sperme, du gendarme. Il se penche sur la queue de l’actif et il la nettoie bien. Puis, il se redresse, il regarde son amant dans les yeux... et ils baissent les siens, admirant sa bite encore dure comme de la pierre... Walid sait qu’il vient de trouver son maître.
Merci à Walid pour ses idées.
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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