Bonjour à tous, j’ai 44 ans, je suis brun aux yeux verts, 173 69 et je suis un daddy lope, plutôt mignon.
Je suis VRP et je fais beaucoup de routes et de visite. Ma boite prend des rendez-vous par téléphone et je vais sur place ensuite pour les concrétiser. Ça prend un peu de temps car les prospects doivent compléter un long questionnaire. Mais ils sont gagnants en général sur leurs assurances. Bref, j’ai rendez-vous ce jour là dans une résidence. C’est mon dernier client de la journée, il est presque 19h. Je sonne à sa porte, je suis encore en pantalon noir, petite chemise blanche.
La porte s’ouvre et en face de moi, je ne vois qu’un torse. Je dois lever doucement la tête vers des épaules larges, un long cou, un visage de jeune mec souriant, blond yeux bleus. Je dois lever la tête comme rarement : il fait plus de 2 mètres. Ses cheveux sont mouillés, comme son tshirt. Il est en short et cho7 de sport, un peu essoufflé. Il enlève ses écouteurs. « Vous êtes le gars de l’assurance ? Entrez, je faisais mon sport.)
J’entre et en passant devant lui, je sens son odeur : sueur de male, lourde, salée. Le salon est spacieux et lumineux, je sors mon dossier. « Je ne veux pas vous déranger longtemps, vous avez ce dossier à remplir.
– Super, asseyez-vous, je le fais de suite !
Il me montre le canapé et je m’assois dedans. Il se pose dans le fauteuil en face de moi et commence à remplir le formulaire.
– Dans la partie « profession », j’ai mis « autre » car mon métier n’est pas listé.
Je suis intrigué. « Vous travaillez dans quoi ?
– Je suis sportif professionnel.
– Ah oui en effet, ce n’est pas prévu. Vous pouvez laisser autre. Basketteur, non ?
Il rit. « Ça pourrait avec mes 2,25 mètres. Mais non, je suis volleyeur.
Je siffle, impressionné. « Ah oui quand même. C’est vrai que vous êtes grand.
– Ouais, mais ce n’est pas toujours un avantage, pour les chaussures par exemple c’est un enfer. » il lève un immense pied, sa cho7 est humide. « Avec mon 49, dur de trouver la bonne taille » Il rit et se remet dans le dossier.
Je le détaille. Il doit avoir 25 ans maximum. Il est immense en effet, 225 cm… je suis si petit à côté. Je regarde ses pieds au sol, immenses aussi. En cho7 trempée de sueur, j’ai presque l’impression de sentir son odeur de l’autre côté de la table basse. Ses mollets et ses cuisses sont poilues, poils blonds. Ses cuisses sont écartées, j’entrevois le boxer sous le short, trempé de sueur. Je remonte doucement mon regard, ventre plat, pecs développés. Ses bras aussi sont musclés, légèrement poilus. Mon regard monte encore… et je tombe sur ses yeux bleus qui me dévisagent. Il sourit narquois, me toisant un peu de haut. Je rougis aussitôt jusqu’aux oreilles et baisse aussitôt le regard sur ses pieds à nouveau.
PLOC
Son stylo tombe entre ses deux pieds.
Je le regarde, il sourit toujours. « Vous pouvez me le ramasser s’il vous plait ? »
Je bafouille quelque chose comme : « oui… je… oui bien sûr ! »
Il ne bouge pas, son regard est fixé sur mon visage rougi.
Je me lève et fais le tour de la table, je m’accroupis et prend le stylo alors qu’il se penche en avant au-dessus de moi. Au moment où je le saisis pour me relever, il pose son pied droit sur le stylo et ma main. Sa main droite se pose aussi sur mon épaule droite, elle est vraiment large. Il serre mon épaule et exerce une pression. Bloqué par son pied et sa main je ne peux pas me relever. Je le regarde intrigué en sentant sa cho7 bien humide sur mes doigts.
Son visage se penche vers moi.
« Vous devriez ramasser le stylo avec votre bouche » Sa voix est plus grave, il parle plus doucement, presque dans un souffle.
Le rougissement de mes joues passe au cramoisi.
« Avec ma… ma… ma bouche ?? mais pour…pour…pourquoi ?
– Ben parce que les chiens n’ont pas de main. »
Sa phrase me tétanise. Je n’ose plus bouger, l’odeur de sueur de ses pieds me monte bien dans le nez.
Il reprend : « enfin les chiens… Les chiennes plutôt. » Il appui bien son pied sur ma main, écrasant doucement mes doigts.
Je n’ose rien dire, j’ai une boule dans le ventre, les joues en feu.
Il reprend : « Putain je le savais. J’ai vu ton regard de pute sur mon corps d’alpha !! Rhaa j’ai gagné le gros lot, j’adore les daddy lope !! » Il passe sa langue sur ses lèvres et sa main passe de mon épaule à ma tête, il la saisit comme une balle, ma tête est si petite dans sa main et il descend fermement son bras d’un coup sec. Etant accroupi, je tombe en avant et il plaque ma face sur le sol. Son pied gauche vient aussitôt s’écraser sur mon visage, je sens son pied lourd, trempé appuyer sur ma joue, collant bien ma face sur le sol. Le pied droit vient se plaquer sur mon visage, ma tête est entièrement sous ses immenses pieds en 48.
« Gaze toi bien avec mes panards de male en sueur salope ! »
L’odeur me pique le nez, puissante, virile, salée. Je gémis. « Ouais gémis ma pute, ça m’excite bien » Il essuie ses pieds humides en les frottant sur mon visage. « Tu vas retirer mes cho7 toute seule et te remettre en position sous mes pieds après t’être dessapée. C’est clair ? » sa voix est ferme, sans appel. Je dis oui, même s’il entend juste « mmmm » sous ses pieds. Il pose ses deux pieds à côté de mon visage. Libéré je le regarde et SPLATCH je prends un énorme mollard dans la face. Sa salive coule sur mon front, mes joues et mes lèvres. « Obéis sale chienne ! » Il sourit.
Je me redresse et saisis les deux cho7. Je les retire, je les sens bien humides sous mes doigts. Je le vois jubiler. Je me lève et défait ma chemise, il me dévore des yeux assis en pacha sans bouger. Je la retire, mon torse est plutôt lisse, quelques poils autour des seins. Je défais mon fut et le retire, mes jambes sont poilues. Je retire mon slip, nu devant lui, rouge de honte.
« Tourne toi salope ». Je me tourne. Mon cul de daddy lope est poilu, viril.
Je l’entends siffler « Putain de cul de grosse pute virile ! A ta place de suite ! »
Je me tourne et me mets sur le dos, tête entre ses pieds, mon regard vert dans ses yeux dominateurs. Il pose son pied gauche sur mes yeux et mon front.
« Ouvre ta bouche de chienne. »
J’ouvre la bouche. SPLATCH. Il crache dedans. SPLATCH. SPLATCH SPLATCH. « N’avale pas, garde ma salive »
Elle est chaude, rempli la moitié de ma bouche. Son pied droit frotte mes lèvres. Il enfonce d’un coup une cho7 humide dans ma bouche et couvre ma bouche de son pied. Les deux pieds écrasent ma gueule, j’avale sa salive et le jus de sueur sa cho7. Il frotte bien ses 48 en soupirant d’aise.
« J’adore les lopes à panards, profite bien ma chienne ! »
Je sens le short et le boxer tomber sur ses chevilles.
Je ne vois plus rien, à moitié étouffé sous ses pieds chauds, odorant. « Crache la cho7 maintenant et bouffe les. »
J’obéis et recrache la cho7, sort ma langue et commence à laper ses panards. Ils sont chauds, moites, larges, virils. Je gémis doucement.
« Putain de décrasseuses de pieds !! C’est bien han ! »
Je commence à lâcher le mental et lèche vraiment ses pieds, bouffe ses 48 de haut en bas, gobe ses gros orteils comme des petits glands. Mon visage est tout rouge.
« Avale bien les orteils ! C’est bien ! Ouah, continue sale chienne, petite lope à panards ! »
Il retire ses pieds au bout d’un long moment de lèche absolue de ses 48 virils. Ma face est trempée de sueur de pieds, de salive. Je reprends mon souffle.
« A genoux »
Je me redresse et me mets à genoux entre ses cuisses. Il a enlevé son tshirt, il se débarrasse d’un coup de pieds de son short et boxer. Il est nu devant moi. Son torse est musclé, poilu. Et surtout devant moi, j’ai un steak de 22 cm sur 5 qui est archi dur, le gland trempé de mouille, avec dessous, deux couilles velues et énormes qui pendent. L’odeur de bite et de couilles moites me pique le nez. Il sourit, triomphant.
« Passe ta langue de mon pied droit à mes couilles »
Docile, je pose ma langue sur son pied chaud et remonte doucement sur son mollet et sa cuisse poilus, j’ai des poils plein la langue, il n’en perd pas une miette. J’arrive à ses couilles et passe ma langue dessus. Elles sont chaudes, lourdes, j’ai des poils plein le nez.
« Gaze toi avec ! »
J’enfonce mon nez dedans et inspire à fond, elles sont chaudes, bien moites. Ma tête tourne.
Il commence à taper mon front avec ses 22 cm, tartinant mes cheveux et mon front de mouille.
« Tu sais que tu vas bouffer de la grosse bite de jeune alpha toi. Hein ! Dis-le !! »
Je déglutis, gazé à ses couilles moites, elles doivent être remplie de foutre.
« Je… je vais bouffer de la grosse bite de jeune alpha. »
Il sourit carnassier. « Et ben vas-y ! »
Je saisis la base de sa queue, elle est ultra dure, chaude. J’avale son gland chaud qui inonde aussitôt ma langue de mouille. Il gémit et j’avale un tiers de sa grosse bite. Mes joues sont déformées.
« Suce salope ! »
Je commence à sucer le tiers de sa grosse bite, « sluurp sluuuurp » bavant dessus, avalant sa mouille. Il se penche et saisit les deux cho7 qui sont longues. Il prend mes deux bras, les tort dans mon dos. Je gémis « mmmmmmmmm » mais ne peux pas parler. Il attache mes poignets ensemble avec ses cho7 moites.
« Tu ne pourras pas les mettre au milieu comme ça, pute ! » Il se remet bien en pacha et me regarde dans les yeux.
Je tire en vain, mes poignets sont bien attachés,
Il pose alors une grande main sur ma tête, saisissant mes cheveux. L’autre saisit mon menton fermement.
« Comme tu l’as bien dit, tu vas bouffer de la grosse bite maintenant » et il appuie sur ma tête, jusqu’à ce que son gland cogne ma luette en fond de bouche. Il sourit en sentant que ça coince. Et d’un coup ferme, il appuie à fond, son gland défonce ma luette et pénètre ma gorge, toute sa grosse queue coulisse d’un coup « GGGAHHHHHHHHHHH » mon nez bien s’enfoncer dans son pubis poilu et trempé de sueur, mon menton sur ses couilles velues. Mes yeux ouverts en grand se remplissent de larme. Ma gorge et mon cou sont déformés.
Il met son pied gauche sur sa cuisse droite. Ainsi sa cuisse gauche vient derrière ma tête m’empêchant de la retirer. Ma gorge se contracte. Il lâche ma tête et se met dans le canapé à fond, me regardant m’étouffer sur sa queue empalée à fond dans mon gosier, les larmes roulent sur mes joues « GGGAHHHHHHHHghghghghghghghghghg » un flot de salive jaillit de mes narines. Je commence à me débattre du manque d’air, tire les liens dans mon dos.
« GAHHHHHHHH » ma salive coule de mon nez.
Il sourit carnassier et relâche la pression légèrement, pour me permettre de recracher la moitié de sa queue, mais je reste empalé à moitié dessus. L’air passe à nouveau et mes narines palpitent pour prendre de l’air. Mes yeux sont rouges.
Il s’immobilise ainsi et se met sur ton tel. Le temps se suspend. Ma bouche empalée, se met à saliver, baver de plus en plus. Ça me coule du nez et de la bouche. Ma gorge se serre par moment. J’ai le sentiment d’être un vide couille là, sans pouvoir bouger, la gueule empalée par ce jeune alpha.
D’un coup, j’entends une sonnerie sur le tel. Et d’un coup il parle à son écran.
« Alors Tom, on t’attend pour l’entrainement ! Tu es où ??
– Je ne peux pas venir aujourd’hui les mecs !
– Tu déconnes !! Le coach va te tuer ! Tu es malade ?
– Non non, tout va bien.
– Ben alors ?
– Ben alors ça ! » et il tourne l’écran vers moi. Je sursaute de surprise, je vois le visage d’un mec barbu viril qui ouvre les yeux en grand en me voyant les joues déformées par la queue de Tom.
« Putain Tom, c’est une belle pute ça !
– Grave et je suis bien dans sa bouche. Regardez ! »
L’écran se remplit de trois autres visages et ce sont à présent 4 jeunes alphas, tous aussi grand que Tom qui me matent en se léchant les lèvres.
Alors que je les regarde, je sens un jet chaud remplir ma bouche.
« C’est un sac à pisse aussi les gars ! »
Les mecs se déchainent. « Ouah !! remplis la bien Tom ! BOIS SALOPE ! Pute à pisse !!! »
Tom sourit sadiquement en remplissant ma bouche, je commence à avaler, pas trop le choix. « GLOU GLOU GLOU » c’est chaud, il se laisse aller, sans trop retenir, je dois boire à grosse gorgée. Il approche bien le tel pour que ses potes voient mon visage et m’entendent boire sa pisse chaude. Ils sont à fond.
« GLOU GLOU GLOU…
– PUTAIN LA PUTE !!!! ELLE BOIT TOUT LA CHIENNE !!!!! AVALE SALOPE !!! BOIS TOUTE LA PISSE DE MALE »
Quand le flot cesse, Tom rapproche sa cuisse doucement et devant ses potes, ma bouche s’enfonce doucement mais à fond sur sa grosse bite. Ma gorge se contracte « GAHHHHHHHH »
Les mecs hurlent en me voyant avaler les 22 cm de Tom en entier.
Il sourit et reprend : « c’est un daddy lope comme on les kiffe avec une chatte virile et poilue. Vous voulez venir le loper hard avec moi toute la nuit ? »
Devant eux qui hurlent de joie, je m’étouffe, les larmes coulent, mes yeux sont rouges.
« GRAVVVVE !!! IL VA BOUFFER DE LA BITE DE JEUNES ALPHAS PAR TOUS LES TROUS !!! CETTE CHIENNE EST A NOUS TOUTE LA NUIT !!!!!!!!!!!!! GARDE LA PUTE AU CHAUD ON ARRIVE !!!!! SALOOOOOOOOPE !!!!
– Alors dépêchez-vous, je vais la doser une première fois le temps que vous arriviez. Et surtout surtout….
– ON NE PASSE PAS AUX TOILETTES !!!!! »
Les 5 alphas se marrent tous ensemble et Tom raccroche. Il relâche son emprise. Je peux à nouveau respirer, bavant quand même sur la moitié de sa queue, mes narines palpitant pour prendre un peu d’air.
« Et bien petite salope. Tu as de la chance, tu es tombé sur des jeunes alphas qui kiffent les daddy lopes !! Et tu as eu beaucoup de succès. Faut dire que tu as de sacrés beaux yeux et que tu es mignon en vrai. Encore plus avec ma grosse queue dans ta gorge de pute j’avoue ! Les potos sont en feu en tout cas, tu vas prendre cher. »
SPLATCH. Il me crache sur la face en souriant.
« Mais je crois que tu kiffes bien ça petite chienne. Tu sais que tu es né pour servir les alphas comme nous n’est-ce pas ? »
SPLATCH. Ça me coule du front sur les lèvres déformées par sa queue. Je ne peux rien dire, empalé, mains liées dans le dos.
« Demain tu seras tellement plein de pisse et de foutre que quand tu marcheras ca te coulera de ta chatte explosée. Et puis putain tu vas en boire aussi des litres !! »
Il sourit de toutes ses dents.
« Allez, amusons-nous à deux avant que 5 bites de males te défoncent tous tes trous de pute ! »
Il me repousse, sors sa queue, des filets de bave coulent au sol et relient mes lèvres à son gland. « Kuf kuf kuf » je tousse et reprend mon souffle. Il se lève et me lève, m’allonge sur le dos sur la méridienne, tête pendante dans le vide. Il vient placer ses cuisses autour de ma tête, sa bite bien tendue collée à ma face. Son immense corps est penché sur moi, il glisse son gland sur mes lèvres et pousse d’un grand coup de bassin son énorme steak en entier.
« GGAHHHHHHHHHHHHHH »
Ses grosses couilles viennent s’écraser sur mon nez et mes yeux, je ne vois plus rien, ma gorge est soulevée, pénétré à fond.
« Mhmmmm bon sac à bite !!! Je vois ta gorge soulevée sale pute !! »
Il pousse bien, écrasant ses sacs à jus sur ma face, m’étouffant, je me tortille, « GGAH GAHHHHH » ses mains larges plaquent mon corps sur le canapé, je sens sa force déployée, m’immobilisant totalement, ma tete se contracte. « GGAHHHGhghghghghghgh » je vomis un flot de salive qui me coule sur le nez et les yeux. Il sort, je respire et tousse. La salive coule le long de ma face rougie. « Attends, doucemGGAHHHHHHHH » Il s’enfonce à nouveau à fond. Mon corps se recrispe et il commence un va et vient profond sans pitié pour ma bouche.
« GAH GAH GAH GAGHHGhghghghghgh » la salive jallit à flot, inonde mon visage à l’envers « GGAH GAH GAH »
Il se déchaine comme un animal en rut. « PUTAIN C’est bon !!! Rahhh prends bien ma queue grosse chienne, sac à foutre, batard, putain de lope à alpha, tiens tiens tiens !!!!!!! »
Ses grosses couilles cognent mon nez et mon front. BAM BAM BAM
Le temps se suspend pour moi, plus rien n’existe que ses énormes couilles qui cognent ma face, je pleure, étouffé, respirant à peine. De temps en temps il sort sa queue, je crache de la salive qui souille ma face, reprends mon souffle en gémissement de pleurs et ça reprend. « GAH GAH GAH GAH » tout le haut de ma face est souillé de salive, mes cheveux trempés, une flaque au sol.
J’ai l’impression que je vais m’évanouir du manque d’air. « GAH GA HGA HGhghghghg »
Il défonce 45 secondes à fond sans pitié, puis sort sa queue pour que je respire un peu sans cesser de m’insulter. « Bien ! Respire sac à foutre !!!! Voilà allez on reprend, tiens tiens tiens sale pute !!! Bouffe-la à fond, régale toi de ma queue de male !!! Souille ta gueule, respire bien ! On recommence ! ALLEZ PUTE !!! BOUFFE ! TIENS TIENS TIENS !! »
Son corps est en sueur, il me coule dessus, ma gorge est en feu, déformée.
D’un coup j’entends une sonnette.
Il sort sa queue en se redressant. Je reprends mon souffle, mais je n’ai plus aucune force, je suis allongé sur le dos, épuisé du manque d’air. Ma face n’est plus qu’une flaque de salive et de mouille depuis ma bouche jusqu’à mes cheveux. On dirait plus un être humain.
« Ils sont déjà là ? » Il remet son short et va ouvrir intrigué.
Avec la salive sur les yeux, je ne vois rien. Mais j’entends des mecs entrer en riant. « On a dit au coach qu’on devait venir te chercher. On a bien insisté et je pense qu’il a compris. Il a dit oui, mais ce weekend, on a double entraînement. On s’en fout ça vaut le coup de OH PUTAIN !!!!!!!! »
Ils viennent de me voir.
« Comme tu as déjà bien souillé cette pute Tom !!! Max a dit que c’est le plus beau daddy lope qu’on a eu.
– Grave, dit Max. Putain ses yeux quand tu le remplissais de pisse. J’ai trempé mon short de mouille. Tellement hâte d’abuser de lui ! »
Les voix m’entourent, je distingue à peine les formes.
Tom reprend la parole. « Je vais lui nettoyer sa gueule alors pour que vous puissiez en profiter.
– Attends, dit Max. J’ai trop envie de pisser et là putain avec une telle vue, je ne peux pas résister ! » Il se penche vers moi. « Toi tu vas être mon urinoir toute la nuit ma pute. Je vais boire des litres juste pour toi. Mais j’ai le temps de voir ta jolie face toute mignonne boire ma pisse. Là je vais juste te remplir, bois bien ! »
Il prend la place de Tom. Je sens son gland se poser sur mes lèvres, sa bite est demi molle.
« Putain salope, ouvre ta gueule en grand ! »
J’ouvre ma bouche…
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