Premier épisode
Chapitre-1
Bonjour à tous, merci pour vos messages pour la première partie de cette histoire !
J’ai 44 ans, je suis brun aux yeux verts, 173 69 et je suis un daddy lope, plutôt mignon. Dans la première partie, j’ai rencontré Tom, un jeune alpha qui a commencé à me loper en attendant ses potes, potes qui sont arrivés à la fin de la première partie. Voici la suite…
Je suis toujours sur le dos allongé sur la méridienne. Ma face est souillée de salive mêlée de mouille de mes lèvres à mes cheveux. Des filets coulent doucement de mon front et mes mèches, formant une petite flaque au sol tellement j’ai bavé, la gorge défoncée par Tom. Dans ce rideau trempé et humide qui couvre mon visage rougi, je ne vois rien distinctement. J’entends juste les 5 alphas rire et parler autour de moi de leur voix grave.
Max se penche et je sens son souffle chaud dans mon oreille et les mots glissent doucement : « toi tu vas être mon urinoir toute la nuit ma pute. Je vais boire des litres juste pour toi. Mais j’ai le temps de voir ta jolie face toute mignonne boire ma pisse. Là je vais juste te remplir, bois bien ! »
Ses cuisses entourent ma face, elles sont plus poilues que celles de Tom. Son gland se posent sur mes lèvres et pousse, coulissant sur ma langue. Sa bite est demi molle. « Putain salope, ouvre ta gueule en grand ! »
Max serre ses cuisses sur mes joues et pousse sa bite dans mon gosier, je la sens durcir de plus en plus. Je sens sa main saisir mon cou. Ses couilles poilues se posent sur mon nez, la touffe de poils drus me remplis les narines à ras bord. Et d’un coup alors qu’il bande dur à présent, un jet chaud rempli ma bouche, le jet et puissant et abondant, chaud. Aussitôt le jet cogne ma luette, il enfonce son gland dur en pissant dans mon œsophage, je me sens rempli de pisse chaude. « GLOU GLOU GLOUUUUU » J’avale à grosse gorgée, déglutis aussi vite que je peux, mais le jet est puissant et Max ne retient rien, au contraire, il se lâche totalement : « Putain de chiotte ! Je le remplis à fond là, ouahhh ! Le kiff total d’avoir une belle outre à pisse à gaver à fond !!! » il pousse encore sa bite dure, putain il pisse en bandant. Le jet est si fort que ca cogne en moi « GLOU GLOU GLOUgghghghghghgh » trop de pisse, tout mon corps se crispe et je vois un flot de pisse
par le nez et la bouche, cela explose, Max sort sa queue deux secondes et l’enfonce à fond, le jet reprend et me remplit à nouveau sans pitié « GLOU GLOU GLOU ». Les 4 autres mâles gueulent autour, je ne comprends pas toutes les phrases, j’entends juste des mots : « Chienne assoiffée ! Urinoir à souiller ! Sac à pisse ! Gave-le à fond ! Putain il déborde de pisse ! Grosse pute ! » Max se lâche totalement, je me contracte et commence à me tortille du manque d’air ‘GLOU GLOU GLOU ». Aussitôt je sens des mains immenses et chaudes plaquer mon corps sur le canapé. « Reste calme salope et bois ! » Ils sont 3 à me tenir fermement plaqué, je ne peux plus bouger « GLOU GLOU GLOU » ma tête tourne, mon petit ventre s’arrondit de la quantité de pisse qui me remplit. Puis le jet tarit doucement. Max soupire et retire sa queue bien bandée. « Putain il est ouf ce batard ! Tout ce qu’il a bu !
- En même temps, il n’a pas eu le choix, se marre Tom.
- C’est clair ! ajoute Max. Et vous me connaissez bien : je suis le pisseur du groupe. File-moi une bouteille d’eau Tom, je m’occupe de le faire déborder de pisse par tous les trous jusqu’à demain matin ! » Il rit.
Moi je suis rouge, le corps mou du manque d’air, la face, toujours souillée, le ventre arrondit de pisse qui bouge en moi.
« Allez on va faire les présentations » dis Tom en me redressant. Il défait les cho7 qui liaient mes poignets dans mon dos et de sa serviette de sport m’essuie le visage. D’un coup je me remets à voir et tout s’illumine. Je vois les 5 alphas autour de moi. Seul Tom est nu, son steak de 22*5 bien raide. Max est face à moi, sourire supérieur, il est brun, yeux verts, barbu, un peu plus petit que Tom. Son short est sur ses chevilles et sa queue aussi est raide : un 18*4 bien bandé, sortant d’une énorme touffe poilue, ses couilles pendent, lourdes aussi et archi velues. « Salut petit avaleur de pisse ». Il sourit. « Tu es vraiment mignon toi. » Il se passe la langue sur les lèvres. « Oh putain tu vas rendre cher… »
Tom ajoute : « Tu connais déjà Maxime héhé. Voici Lucas » Il me désigne un autre grand alpha, d’environ 2 mètres, comme Max, brun aussi mais aux yeux noisette. Il semble imberbe lui, sans barbe. Lucas est en train de défaire ses chaussures de sport en me regardant : « Moi je surkiffe les putes à panard. Tu vas bouffer du panard avec moi ! » Je baisse naturellement le regarde et constate qu’il a de grands pieds, plus grand que Tom même, larges et bien trempés de sueur de l’entraînement.
« Voici Enzo, il risque de te faire un peu mal lui » Enzo, un autre géant aux cheveux noirs et aux yeux aussi sombres me toise et approche. D’une main large il tapote ma joue droite fermement. « Je vais te faire couiner avec cette main, tu n’es pas prêt je pense ! » Je déglutis, une boule au ventre. Il reprend : « Ma spécialité, c’est la fessée » et il claque bien fort ses deux mains devant mon visage. Le son résonne et je manque d’air, mes fesses risquent en effet de chauffer de fou !
« Il reste Benji, notre maitre liens !
- Je kiffe attacher ouais et baiser les trous d’une pute bien ficelée ! » Benji est roux, cheveux très courts, yeux verts forêt, profonds.
Tom reprend : « Mais t’inquiète pas, même si on a des petits kiffs, on adore démonter une pute à bites, une petite lope comme toi
- GRAVE ! DE OUF !! ON VA TE NIQUER A FOND !!! TE REMPLIR DE FOUTRE !!! TU VAS BOUFFER DE LA BITE TOI !!!! »
Benji passe dans mon dos et saisis mes bras qu’il positionne dans mon dos, les avants bras collés l’un à l’autre. Alors que je le sens attacher mes bras entre eux avec une corde, Enzo se place face à moi et sourire sadiquement. « Tu sais que tu ne peux pas appeler ce qui va t’arriver un viol collectif car tu es consentant pour tout. N’est-ce pas ? »
Je déglutis, mais il a raison. Je fais oui de la tête, les joues rouges.
SPLATCHHH IL me crache au visage, un énorme mollard qui zèbre ma face de haut en bas. Je sursaute mais suis bien tenu par les liens qui serrent mes bras dans mon dos.
« Alors puisque tu es consentant pour cela, dis le bien distinctement ! »
Je regarde Enzo et les trois autres derrière lui, tous ont un sourire dominant aux lèvres. Ils me regardent avides.
« Je…. J’ai envie que vous… vous... me violez collectivement toute la nuit. Enfin que vous abusiez de mes trous.
- OUAHHHHHH !! PUTAIN ON VA LE DEMONTER !! LE VIOLER, LE SOUILLER !!!
- Tes trous de ?
- Mes trous de pute…
- PUTE !! SALOPE !!!! SAC A FOUTRE !!! BATARD !!! CHIEN !!!!
- Tu es venue pour quoi daddy lope ?
- Bouffer de la bite par tous les trous…
- RHOOO ON VA LE GAVER COMME IL A JAMAIS ETE GAVE !!! »
Les t-shirts et les shorts encore portés volent partout autour de la pièce, les corps en sueur se libèrent. Je vois les corps perlés de sueur, odorants, une odeur musquée, lourde de panards, de couilles moites, d’aisselles trempées. Les bites sont toutes dures et baveuses de mouille.
« Attendez j’ai une idée ! » Intervient Lucas alors que la horde s’approche de moi. « Je vous propose un guess my feet !
- Bonne idée ! » surenchérit Enzo. « Et à chaque erreur, il a droit à une fessée !! »
Je ne connais pas ce jeu mais il semble plaire à tout le monde. Les mâles me soulèvent et me jettent au sol, s’assoient tout autour de moi, panards en avant. Des pieds entre les 48 de Tom et les 51 de Lucas, tous trempés, moites, bien chauds.
« Voilà les règles petite pute : tu vas t’allonger sur le dos et à tour de rôle on va s’essuyer les panards sur ta gueule de lope. Tu as intérêt à bien retenir nos odeurs car après, on te bande les yeux et on te gaze avec des pompes de sport. Tu dois reconnaître les propriétaires de chaque paire. Si tu as raison, tu les bouffes 5 minutes, si tu as tort…
- Tu prends une fessée ! » exulte Enzo en faisant craquer ses doigts.
Maxime continue de boire de l’eau en grande quantité alors qu’on me couche sur le dos. Je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle que Tom écrase ses pieds sur ma face, frottant bien, je gémis, je reconnais son odeur, je les ai bien bouffés tout à l’heure. « Putain il gémit de bonheur sous des panards de male, il est vraiment né pour ça lui ! »
Je vois d’un coup le plafond et aussitôt deux autres pieds très larges et bien lourds prennent le relais. C’est Lucas et ses énormes 51 ultra moites qui s’essuie sur ma gueule, mes narines en prennent plein le nez, ma tête tourne sous l’odeur ultra puissante. Mes joues collent de sueur, et prennent l’odeur de pieds mêlées de Tom et Lucas. Les odeurs se mélangent déjà alors que Lucas appuie bien fort, m’arrachant un couinement. Puis vient le tour de Benji, puis Enzo, des pieds chauds aussi, bien moites. Toutes les odeurs se mélangent, je suis incapable de reconnaitre quoi que ce soit tellement mes parois nasales saturent de l’odeur de male en rut et en sueur. Quand vient le tour de Max, ses pieds sont trempés d’un liquide chaud. Il essuie ses pieds à son tour et l’odeur de pisse couvre ma face. Il vient d’aller pisser et de s’arroser les pieds. Il rit, tartinant mon visage, finissant de saturer mes récepteurs olfactifs. Je toussote plusieurs fois ava
nt de me sentir redressé et mis à genoux. Avant que je ne puisse réagir, un bandeau se pose sur mes yeux, et je ne vois plus rien, cela amplifie aussitôt les autres perceptions. Des doigts ouvrent ma bouche et je sens un tissu trempé s’enfoncer dans ma bouche. Le gout est bien puissant, une cho7 vraisemblablement. Ca rigole autour de moi. Mes narines se mettent à palpiter pour prendre de l’air, entre le bandeau et le bâillon de cho7 de sport. Aussitôt la tête me tourne violemment. Je reconnais l’odeur du poppers. Je tente de reculer la tête mais mon crâne bute contre un corps dans mon dos. Une queue lourde se pose sur mon épaule gauche, les cuisses bloquant mon dos. Deux immenses mains tiennent ma tête droite et le flacon est remis sous mon nez, j’inspire à nouveau et la tête me tourne.
« Vas-y gaze le bien ! »
Je suis maintenu à genoux, collé aux cuisses viriles d’un des alpha, la tête tenue, gazé de force au poppers. Je commence à gémir, la bite mouille sur mon épaule, je la sens lourde, large, trempée de mouille qui me coule sur le torse, putain, je me cambre, je commence à gémir, je bave, de plus en plus en rut. Ca tourne de plus en plus, j’essaye de me débattre, mais je suis tenu, une inspiration encore… Je gémis plus fort dans la cho7 qui dégorge son jus de sueur de panards dans ma bouche. Et d’un coup, toute ma face s’enfonce dans une basket chaude. Me voici à présent gazé à une sket de male. Elle est large, ma face entre sans mal dedans.
« Guess my feet ! »
Je suis incapable de dire à qui est cette pompe : les odeurs de pieds se sont mélangées quand ils se sont essuyés sur mon visage comme sur un paillasson. Et le poppers me tourne encore trop la tête, je suis cambré, croupe en feu, gémissant, inspirant un air vicié d’odeur de skets.
« Putain elle bande la pute !! Elle aime son traitement ! ELLE KIFFE CA !!! »
La sket est enlevée et je reprends de l’air frais, la cho7 est retirée.
« C’est la pompe de qui salope ? »
- Je… je… je ne sais pas…. Je dirai… » J’ai aucune idée, je sais à peine comme je m’appelle, sentant ma propre salive couler de ma bouche entrouverte, les joues rouges, le sang tapant fort mes tempes. « Lucas ?
- AHHHH PERDUUUUUU !!!! C’était Benji !!!!!! »
Une main large saisit ma tête et me penche en avant, je me plie en deux et sent que ma face est à nouveau enfoncée dans la sket de Benji. Aussitôt : BAMMMMMM Une main ferme s’abat sur ma fesse droite. De surprise, j’hurle dans la sket « MMMMMMMMM » mon cri est étouffé. Ouah j’ai la fesse en feu.
BAMMMMM
La main bien large d’Enzo s’abat sur ma fesse gauche. Je pousse un nouveau cri et me tortille pour tenter de m’avancer, les deux fesses en feu, rougies.
« Tu vas où sale pute, reste là ! » des mains puissantes me tirent en arrière. Je tremble, un peu et BAM BAMMMMM.
Je pousse un long cri mais je suis tenu par de nombreuses mains larges et chaudes. Les rires pleuvent autour de moi, mes fesses sont brulantes. Je gémis, pleurniche un peu. On me tire par les cheveux pour redresser ma tête hors de la pompe. Mes joues sont rouges, mes yeux verts plein de larmes. « Douc… doucement pitié…
- Faut pas te tromper aussi p’tit bâtard ! C’est ta faute, tu n’es pas concentré. » Dis Enzo en me souriant.
Il passe sa main presque tendrement sur mon cul rond et rougit et palpe ma petite chatte. Je me cambre sous la caresse de ses doigts sur mes lèvres anales. Mes bras sont ficelés dans mon dos mais la caresse d’Enzo m’excite à mort. J’oublie la chaleur de mes fesses, je suis la proie volontaire de ces 5 alphas déchainés et en rut. J’entends encore la voie d’Enzo tout à l’heure : « Tu sais que tu ne peux pas appeler ce qui va t’arriver un viol collectif car tu es consentant pour tout. N’est-ce pas ? » Je gémis alors que ma tête à nouveau penchée en avant et enfoncée dans une autre sket. L’odeur est plus acide, elle saisit ma gorge. Je sais déjà que ce n’est pas Benji. Je ne me rappelle pas qui avait l’odeur de sueur la plus acide. Ma voix s’élève du fond de la sket : « je…. Enzo ? » J’ai aucune idée, je dis un nom au hasard. Rien ne se passe, je respire de soulagement mais aussitôt : BAMM BAMM BAMM BAMMMMMM
J’hurle à nouveau et me tortille pour échapper aux mains larges d’Enzo. Des pieds me repoussent vers Enzo. Mes fesses me font mal, en feu, rougie par la fessée ferme qui s’abat sans pitié. « Perdu salope, c’était Lucas ! »
Putain je m’en veux, je me rends compte à présent de la largeur de la sket, bien plus grande que celle de Benji. Je suis tiré par les cheveux, exhibant mon visage rouge, zébré de quelques larmes et de filets qui coulent de mon nez.
SPLATCH SPLATCH
Je reçois quelques mollards pour agrémenter le tout. Avec le bandeau je ne vois pas qui se fait plaisir. J’entends rire. SPLATCH SPLATCH.
Et le bandeau est enlevé, je vois les alphas autour de moi, nus, puissants, bites tendues.
Benji m’ouvre la gueule et place un bâillon anneau qui me garde la bouche grande ouverte. Il ajoute un crochet dans chaque narine reliée à un bandeau en cuir qui part du nez et monte sur mon front jusqu’à l’arrière du crâne où il est attaché au bâillon. Cela tire mon nez vers le haut, chaque crochet relevant la narine dans laquelle il est enfoncé. « GGAHHHHHH »
J’ai le sentiment d’offrir le spectacle d’une face à la bouche grande ouverte, commençant déjà à baver et des narines de petit porc, tirée vers le haut par les crochets, les mains liées dans le dos, assis à genoux. Le spectacle plait aux males. Tom et Max commence à tenter de viser ma bouche ouverte en me crachant dessus : SPLATCH. « Raté ! » En effet, je l’ai pris dans les yeux.
SPLATCH. Dans la bouche lui…
SPLATCH SPLATCH. Dans les cheveux, le torse. Souillé de plus en plus.
« Allez on reprend ! » dis Benji en plaçant un truc froid sur ma rondelle. Je sens une grosse boule en acier, ronde, pousser sur ma chatte, mes lèvres anales commencent à s’ouvrir et d’un coup, alors qu’il continue de pousser, elle entre en moi ! C’est un crochet en métal recourbé qui se termine par cette boule anale large en moi, je sens le crochet sur mes reins. Benji attache ensuite le bout du crochet au cordon qui relie les crochets de mon nez à la base de mon cou. Et il commence à serrer les deux, cela tire ma tête en arrière et remonte le crochet bien serré, la boule remontant en moi, je gémis, cambré en arrière à genoux. Ma bouche est ouverte en grand, à l’horizontal, mon nez très tiré en arrière, la tête bien penchée. Je vois 5 visages se pencher sur moi et commencer à faire couler à tour de rôle de la salive dans ce trou ouvert qu’est ma bouche… A 5, elle se rempli assez vite jusqu’à ras bord, réellement, je sens tout ce liquide cha
ud remplir ma bouche, je n’avale pas. Ils adorent et me remplissent bien. Puis Lucas se met au-dessus de moi, ses jambes de part et d’autre, ses cuisses autour de ma tête. Il penche sa queue et positionne son gland devant l’anneau ouvert et ma bouche prête à couler de salive. Il sourit et enfonce sa queue à fond d’un coup en s’asseyant presque sur ma face. Toute la salive de ma bouche explose tout autour de moi dans une gerbe gluante. « GGGAHHHHHH »
« PUTAIN LA PUTE !!!!!! »
Lucas ressort sa queue et enfonce une nouvelle sket sur ma face. Je n’ai pas eu le temps de voir la couleur. Gazé à nouveau, je ne sais pas à qui elle est. J’inspire à fond mais ne sais pas… et je ne peux pas parler avec l’anneau. J’avale le reste de salive et quand la sket quitte ma face, Lucas dit : « Rampe vers celui dont tu penses que c’est le propriétaire et lèche sa mouille pour le désigner. » Je regarde les 5 mecs assis tout autour de moi, cuisses écartées. Les bites sont dressées. Celle de Tom est la plus grosse avec son 22*5, dégoulinante de mouille. Ensuite c’est Lucas (19*4), Max (18*4), Enzo (17*3) et Benji. Mais si Benji a la plus courte (16 cm), il a et de très loin la plus large : 6.5 cm de diamètre. Un morceau ultra large circoncise, au gland énorme et baveux. Les odeurs de bite me tourne la tête, je gémis, me bavant dessus à cause de l’anneau. Je me sens chienne de ouf. Réfléchis, me dis je. Cela ne peut pas être Benji ni Lucas.
Il en reste trois. Je décide et avance sur les genoux vers Tom qui sourit. C’est très dur avec le crochet dans le cul et la tête en arrière. Ils se marrent de me voir ainsi.
Je me place entre ses cuisses et me penche en tremblant, ma face aux narines tirées, bouche ouverte en grand toute rouge. Je sors ma langue de l’anneau pour laper son gland. Il est chaud, bien dur, sa mouille tartine ma langue. Il gémit et ne peut pas se retenir, il saisit ma tête et l’empale sur sa queue, son gland coulisse à fond, cogne ma luette, la force, sa bite coulisse à fond, mon nez de cochon s’enfonce dans son pubis. « GGAGGHHHHHHHHHHHHHHH » ma bouche déjà plaine de salive accumulée par le bandeau explose dans une gerbe qui éclabousse tout le torse de Tom. Les mecs hurlent d’excitation en voyant cela. Tom commence à faire monter et descendre ma tête, mes yeux sont plantés dans les siens, il jubile du spectacle offert par ma face souillée, avec les crochets et l’anneau. « GAH GAH GAH GAH GAH GAH »
Et alors que ma tête est prise pour un fleshlight humain : BAM BAM BAMMMMMM, je gueule comme je peux, les fesses encore rougie par Enzo.
« Encore trompé grosse truie !!! C’était la mienne ! »
BAM BAM BAMMMM
« GAH GAH GAHGA GHghghghgh »
SPLATCH SPLATCH, les autres me crachent sur la face défoncée par le steak dur de Tom. Tout mon corps tremble, mes fesses sont brulantes.
Tom me relâche, ma tête me fait mal tirée en arrière, un flot de salive coule de ma bouche toujours ouverte à fond par l’anneau. Avant que je ne puisse réagir, une nouvelle sket s’enfonce sur ma face. Je respire à peine dedans, bavant partout, les yeux pleins de larmes qui roulent sur mes joues.
« Alors la pute ? »
La tête me tourne toujours de ces odeurs viriles. Je me tourne vers Maxime et rampe vers lui. Je lape la mouille qui perle sur son gland en tremblant, mais Enzo soupire. « Putain, c’est correct salope ! Régale-toi de ses panards ! »
Benji défait la tension pour me permettre de remettre ma tête droite mais garde l’anneau dans mon cul. Soulagé, je me mets sur le dos devant Max et sors la langue. Il passe ses panards dessus, enfonce ses orteils dans l’anneau ouvert, manquant m’étouffer.
« Veinard » dit Lucas un peu jaloux de voir les pieds de son pote écarteler mon gosier, étouffé.
Je profite de ce petit moment de répit pour bien lécher les pieds de Max. SLLURRP, SLLUUURPPPPPPP, je bave dessus, ils sont chauds, doux, je me régale, tout le monde le voit.
« Putain c’est vraiment une super lope ! Je crois qu’on ne va jamais la laisser partir !
- T’inquiète, ce n’est que le premier jeu ! La soirée commence juste »
Tout le monde rigole. « Grave !!! Putain j’ai la bite ultra dure n’empêche ! Ca m’a bien excité ! On va pouvoir le défoncer à fond là !!!!
- Grave, on peut arrêter le jeu, il reste que la pompe de Tom de toute façon, donc c’est facile. » dis Max en continuant de boire de l’eau. « Redresse toi tite lope ! »
Je me redresse comme je peux, et me mets à genoux au milieu des 5. Les bites sont tendues à mort, baveuse de mouille, trempée. Les mâles sont en rut total, penchés sur moi, 5 géants avides de mes trous. Je vais prendre cher et être gavé à fond. J’ai hâte et un peu peur. Mais hâte surtout.
Tom me regarde et annonce à ses potes : « Alors, on le commence ce viol collectif ? »
Pour la suite, dites-moi si ça vous a plu et si des jeunes alphas veulent loper un daddy lope mignon dans le 95, contactez moi par mail…
Kha95
khaemperia@gmail.com
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