Voici une histoire vraie. Les faits datent de mars 2025.
Il y a longtemps que je voulais voir Farid, mon très beau gigolo kabyle de 28 ans baiser un vieux micheton qu’il voyait souvent et que je n’avais croisé qu’une fois, par hasard, dans la rue, avec Farid.
Totalement exhibitionniste et fier de son corps magnifique, Farid était d’accord depuis longtemps mais il mit pas mal de temps, je ne sais trop comment, à convaincre le vieux, qui s’appelait Louis.
Un beau soir, nous nous sommes donc retrouvés devant la porte de l’appartement que Farid m’avait dit cossu, habité par le vieux près de la place des Ternes, à Paris.
Louis ouvrit et me salua poliment d’un sourire et d’une bonne poignée de mains. Il prit Farid dans ses bras, l’étreignit, chercha sa bouche et lui roula une pelle. Farid me montra ostensiblement qu’il lui caressait les fesses à travers son pantalon. Ça se présentait bien !
- Va t’asseoir là-bas, me dit Farid, en me désignant le fauteuil Voltaire que, de l’entrée, j’apercevais au fond du salon. Beau fauteuil et beau salon avec des meubles en acajou, de jolis vases, des tableaux de bon goût et des tons marron, rouge et doré. Effectivement, le vieux n’était pas dans la misère.
Le temps que je découvre la pièce et que je m’assois, toujours enlacés, ils étaient venus dans l’entrée du salon, à environ quatre mètres de moi. Louis retirait son blouson à Farid puis il déboutonna sa chemise et fit tomber les vêtements sur le sol. On voyait que le vieux bandait dans son pantalon et Farid lui caressait la bite par-dessus. Farid était maintenant torse nu et bandait aussi dans son jean. Louis le débraguetta rapidement et abaissa d’un coup le jean et le caleçon de Farid. Sa grosse bite, brune et circoncise, que j’aimais tant, jaillit et se dressa. Louis l’empoigna puis s’agenouilla après avoir quitté son pull. Ils étaient tous les deux torses nus. Farid magnifique et le vieux, qui devait friser les soixante-dix ans, beaucoup moins beau, un peu adipeux, des seins un peu développés, une bedaine… Mais cela ne m’importait pas. C’est de voir Louis lécher le gland, la queue, les couilles de Farid qui m’excita. J’ouvris mon pantalon e
t sortis ma queue pour me branler.
Maintenant, Farid s’est mis nu et baise la bouche de Louis, à grands coups de bassin et de bite, mais tout en souplesse, souple, lascif, sans bouger les épaules. Il me regarde parfois en souriant, le visage visiblement troublé et enchanté par le plaisir qu’il ressent. Qu’il est beau mon grand mâle kabyle montrant au vieux, sans doute une fois de plus, ses talents de baiseur.
Louis déglutit la grosse queue tendue à bloc pour finir de se déshabiller. Il bande à peine mais son excitation n’en était pas moins grande. Sauf qu’elle devait se situer ailleurs, autour de son anus. J’en eu la preuve car sitôt nu lui aussi, voilà qu’il s’agenouille sur le beau canapé de velours rouge, dont l’assise est protégée par une grande serviette de bain blanche. Prévoyant le Louis !
- Baise-moi, encule-moi, viens baiser ta salope, dit-il à Farid, qui ne se fait pas davantage prier.
Il saisit Louis aux hanches puis lui écarte les fesses. Pas de léchage de cul ni de lubrifiant. A peine un court doigtage du cul avec deux ou trois doigts, je vois-mal, et Farid embroche l’anus de Louis qui pousse un petit râle de douleur et de jouissance mêlées.
Farid le lime longuement en me regardant de temps en temps, ravi autant que moi qui suis subjugué par le jeu des muscles puissants de son torse que la sueur ne tarde pas à faire luire, comme son front.
A un moment il décule et demanda à Louis de venir s’agenouiller sur le beau tapis, au pied du canapé. Le vieux déplace la table basse qui est là et se met à quatre pattes.
- Viens entre ses cuisses Jean, me dit Farid. Je vais le baiser à cheval sur ton visage et tu vas adorer !
Il connait bien mes goûts Farid et je m’exécute immédiatement. Juste le temps d’enlever mon pantalon et mon slip. Je ne tarde pas à avoir les couilles du vieux, qui bande toujours mou, au-dessus de mon visage avec vue sur son anus que le gros zob de Farid vient pénétrer de nouveau. La baise reprend. Quel merveilleux spectacle que ce cul défoncé et la grosse bite de Farid que je ne peux m’empêcher de toucher, puis ses belles couilles encore pleines que je lèche. Je mets même une main sur ses fesses musclées, me branlant de l’autre. Il varie les rythmes de la baise. Le vieux râle souffle, jouit visiblement du cul au maximum.
- Oui, répète-t-il de temps en temps. Vas-y ! Plus fort ! ou moins fort ! Baise ta salope ! Baise-la bien !
Il dit à un moment, au bout d’environ dix minutes :
- Donne ton jus. Donne le moi sur la gueule. Comme d’habitude.
Farid décule alors. Le vieux se renverse sur le dos. Farid vient se branler à toute vitesse au-dessus du visage de Louis.
- Viens là Jean me dit-il. Viens à côté de lui. Je vais vous arroser tous les deux.
Je glisse immédiatement mon visage à côté de celui de Louis, juste à temps pour recevoir comme lui des longues giclées de sperme chaud sur la gueule et j’éjacule aussi presqu’au même moment avec de longs et forts gémissements. Pas Louis, sans doute impuissant de ce côté-là mais visiblement très heureux quand même.
Chacun rit et se sourit, comblé de plaisir.
Le reste de la soirée est bref mais sympathique entre nous trois. Le temps de se rhabiller peu à peu en parlant de tout et de rien, surtout pour féliciter notre mâle. Un verre de whisky plus tard nous quittons Louis, non sans qu’il glisse à Farid un billet de cinquante euros. Ça doit être le tarif habituel. En redescendant, dans l’escalier, je double la mise. En comblant mon fantasme de vieux pédé voyeur, Farid avait bien mérité une récompense. Il s(y attendait et me remercie.
- Tu sais quoi, me dit-il en me quittant près du métro Ternes, car il devait rejoindre sa femme. La prochaine fois, il faudra que tu me bouffes le cul. J’adore ça…
Il ne me l’avait jamais proposé et j’en rêvais depuis longtemps, sans oser lui demander.
Tout au long de mon voyage de retour et souvent depuis je le revois défoncer Louis et j’imagine, la prochaine fois, ma langue dans son bel œillet brun presqu’imberbe, tout en branlant sa grosse queue ramenée en arrière. Mmmmm !
Contactez-moi si vous voulez me rencontrer avec Farid sur Paris et que je le regarde vous enculer.
Interstices
interstices34@gmail.com
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