Une histoire que les moins de 20 ans parisiens ne peuvent pas connaître.
C'est mon vieil ami Gilles (voir La première séance, La dernière séance) qui est venu me la raconter. Je pense qu'il prend un malin plaisir de venir me dire ce qu'il a fait ou vu lors de sa jeunesse, de son entrée dans la vie comme il dit. L'œil vif, à défaut de ses jambes, il parle doucement en me regardant et son regard est vraiment coquin. J'espère connaître plus de secrets de ce Monsieur qui entre dans le 3ème âge. Mais laissons le raconter.
Cela se passe en 79/80, j'habitais rue du Chevaleret dans le 13ème arrondissement de Paris et je descendais au métro du même nom. Si vous connaissez ce métro, il est aérien et un jour que je regardais le paysage, j'ai aperçu des ruines le long du boulevard Vincent Auriol. Comme je suis curieux je suis allé voir ce que c'était et j'ai vu que c'était l'arrière de l'hôpital Pitié Salpêtrière laissé à l'abandon, tellement à l'abandon que c'était un champ de ruines. Pourquoi je me suis avancé dans la ruelle encore visible?
La nuit commençait à tomber et j'avoue que je n'avais aucune crainte de me trouver là, jeune et beau (il rigole) j'avançais en regardant, trouvant dommage de l'état des lieux.
Les bâtiments étaient en ruines, ouverts aux quatre vents et j'ai eu l'impression de voir quelqu'un déambuler à travers le carré de fenêtre où il n'y avait plus de vitres.
Je me suis dit, tiens un curieux comme moi et je suis allé vers le bâtiment.
Je ne voyais plus personne, la nuit s'était installée et heureusement il y avait un beau clair de Lune. Je suis entré dans le bâtiment pour constater qu'il n'y avait plus de toit. J'ai entendu du bruit comme quelqu'un qui marchait sans prendre de précautions et là je me suis demandé ce qu'il pouvait y avoir pour qu'il y ait du monde à cet endroit.
J'ai vu passer plusieurs mecs qui se toisaient en se souriants les mains dans les poches et là j'ai failli éclater de rire. J'étais tombé sur un lieu de dragues!
Ce soir là il y avait bien une dizaine de personnes qui déambulaient dans le bâtiment et le bâtiment étant assez grand j'ai vu que dans pratiquement toutes les pièces il y avait deux mecs, serrés l'un contre l'autre, s'embrasser, d'autres se sucer, d'autres s'enculer dans l'indifférence générale.
Il y avait les mateurs, la queue à la main qui se branlaient en regardant le spectacle qui leur plaisait.
J'ai repéré un petit mec qui me semblait timide, il passait devant les pièces et regardait furtivement avant de s'éloigner pour aller s'appuyer sur un mur, le pied replié et la main dans son survêtement. Il devait être excité le garçon.
J'ai été attiré comme un aimant par le beau mec et plus je m'approchais, plus je le trouvais à mon goût. Il m'a fait un beau sourire quand je me suis arrêté devant lui.
Ben oui Fabrice, j'avais au moins 45 ans de moins, déjà que je suis encore beau, imagine à cette époque!
Il rigole ce coquin.
J'ai toujours aimé ces lieux de dragues où tout le monde savait pourquoi il était là et tout c'est toujours bien déroulé.
Son sourire m'a fait devenir pressent et j'ai tendu la main pour lui toucher la queue par dessus son survêtement. Il a bien ouvert ses jambes et baissé le devant, une belle queue de jeune mec en pleine forme est tombée devant lui, bien raide, bien droite.
J'étais très gourmand à cette époque et je me suis mis à genoux pour ausculter ce que l'on me proposait. Sa main est venue se poser sur ma tête et sa voix douce m'a dit "suce"!
Je me suis appliqué bien sûr et je me souviens encore de cette première pipe là-bas. Il poussait de petits cris en s'appuyant sur ma tête, ses couilles pendaient, je les tenais en mains, je les serrais et je l'ai pipé comme un fou. Il a déchargé je ne sais plus combien de giclées, mais comme j'adorais ça, j'ai tout avalé avant de me relever et on s'est embrassé comme des fous.
Il me tripotait la queue, ouvrant ma braguette et m'a demandé :
-tu veux que je te suce ou tu veux m'enculer ? J'adore me faire enculer!
Et avant que je réponde, il se retourne dans mes bras, baisse l'arrière du survêt et je sens ses fesses dures venir caresser ma belle queue bien raide et coulante.
Il tourne la tête pour me regarder :
-tu peux me baiser direct j'me suis graissé le cul.
Il s'est penché en avant s'appuyant sur le mur avec l'épaule et ses mains sont venues ouvrir les belles fesses. Je ne voyais pas grand chose dans la pénombre, j'ai tâté de la main, des doigts et c'est vrai qu'il était graissé le garçon, alors avec ma queue j'ai cherché l'entrée... eh eh et je l'ai trouvé, j'ai senti son cul s'ouvrir avant que je le prenne aux hanches.
Je n'avais qu'à donner un coup de reins et ma queue est entrée. Il m'a surpris quand il a gueulé. J'ai arrêté et il a dit :
-non continue c'est bon!
Fallait pas me dire ça, et je l'ai baisé longuement le redressant contre moi pour que ma queue aille au plus profond de son bon petit cul. Je l'ai branlé en même temps, il bandait encore bien dur le garçon et nous avons joui tous les deux ensemble avant de souffler comme des asthmatiques!
J'ai juste eu le temps de sortir de son cul que deux mecs sont arrivés, l'un s'est mis devant et l'autre derrière presqu'en me bousculant et le jeune mec s'est fait embroché en grognant.
Deux mecs d'une quarantaine d'années qui ont besogné le petit mec et apparemment l'ont bien rempli.
Ce lui qui se faisait sucer m'a dit "t'inquiète il vient là pour se faire baiser".
J'ai regardé le spectacle, j'ai attendu car j'avais envie de parler avec ce jeune mec.
Les mecs ont changé de place et l'ont baisé encore puis se sont cassés sans rien lui dire.
Il m'avait ému ce petit mec, alors je suis revenu le prendre dans mes bras, le caresser tendrement et on s'est embrassé comme si on était des amants. J'ai aimé ses caresses, ses baisers, sa langue. Sa façon de me branler, de me caresser les fesses et plus tard de me baiser car il aimait ça également.
On a parlé un long moment dehors, assis sur banc de pierre qui traînait là. Il faisait son tendre, son câlin et m'a raconté ce qui se passait ici, qu'il était devenu addicte à cet endroit, qu'il fallait qu'il vienne le plus souvent possible pour faire des rencontres, se prendre des queues et se faire enculer sauvagement comme ce soir.
-et encore ils ne sont venus qu'à 2, dès fois je m'en prends une dizaine dans la soirée mais c'est surtout les vendredis et les samedis soir où ça tourne toute la nuit!
Quand je lui ai expliqué que c'était ma première fois, il m'a souri, m'a pris dans ses bras.
-toi t'as plus l'habitude de baiser dans un lit!
-oui c'est vrai.
-j'habite à côté et tu me plais, j'aimerais bien goûter à ton cul et te baiser si tu veux!
Tu parles que je voulais.
On s'est revu plusieurs fois et c'était vraiment un bonheur d'être dans son lit.
Mais je suis revenu les jours qu'il m'avait dit et j'ai observé les manèges. C'est vrai que le week-end il y avait foule, comme un jour de solde dans un grand magasin et des salopes qui venaient se faire sauter, y'en avait une par pièce et les mecs faisaient la queue pour les baiser.
J'ai débuté ma vie de salope à cet endroit, certes j'aimais baiser des mecs, mais ce que je préférais c'était bien m'en prendre et le week-end c'était vraiment la partouze.
C'est là que j'ai connu mon premier black qui m'a fait peur quand je l'ai vu dans le noir de la pièce qui attendait. Mais c'était un tendre, on n'était que tous les deux il m'a rempli la gorge que j'ai cru que j'allais mourir. C'était vraiment ma première grosse queue surdimensionnée. T'imagines, tu mets tes deux mains et la queue, le bangala comme ils disaient, dépassait encore.
J'ai jamais eu une telle quantité de sperme cette première fois à avaler. Il embrassait bien mon jeune black avec une langue agile et plein de salive, j'ai aimé ses grandes mains qui me caressaient, qui fouinaient mon petit cul en enfonçant ses doigts sans vraiment de ménagements.
Il m'a dit doucement :
-j'vais te niquer jeune blanc et tu vas gueuler!
-va doucement quand même, j'ai jamais eu de si belle queue dans mon cul j'ai répondu.
Il a rigolé en me retournant et m'a fait appuyer contre le mur. Il m'a quand même doigté avec deux doigts et peut-être même trois et si j'ai gueulé, c'est pas tellement quand sa queue est entrée dans mon cul, mais c'est de sentir cette queue remonter dans mon cul et je me souviens que j'ai eu cette pensée "il va aller jusqu'où" je la voyais déjà ressortir par la gorge!
Il m'a niqué comme promis mais pas sauvagement comme je le pensais.
T'as jamais eu ça une belle queue de black te ramoner ton petit cul de blond Fabrice ? Mais si tu savais quand c'est bien fait le plaisir que tu prends!
Et quand il jute ? les giclées énormes, fortes se répandent en toi, te chauffant le conduit, remontant dans ton ventre...
Il me mordait la nuque, s'est saisi de ma queue et m'a branlé en prenant son temps. Je serrais son gros bangala avec mon petit cul et il continuait de se déverser.
J'ai joui comme jamais, si t'avais vu le mur en face...
Il s'est rhabillé et est parti me laissant souffler le cul à l'air, rempli mais avec le sentiment d'un grand vide.
Le vide n'est pas resté longtemps ce soir là. J'ai vu défilé 5 mecs, 5 mecs qui m'ont baisé et que j'ai sucé. Je n'en pouvais plus, j'étais pratiquement écœuré de tout ce jus que j'avais avalé. J'avais vu défilé 2 arabes, deux vieux qui bandaient bien mais qui ont joui rapidement.
J'en ai passé des soirées dans les ruines de l'hôpital jusqu'au jour, je ne sais plus exactement quand, cet l'endroit a été muré et on ne pouvait plus entrer.
Fallait voir les ombres tournées sous le métro aérien à Chevaleret. La drague était plus discrète car il y avait quand même des passants, et c'est là que j'ai rencontré mon premier asiatique. C'est lui qui m'a dragué et qui m'a emmené dans une cave des bâtiments le long du boulevard pour qu'on se baise tous les deux.
Je l'ai dégusté mon premier asiatique, un jeune chinois qui parlait français avec un sacré accent. J'ai aimé son visage doux, ses yeux étirés, son sourire avec ses petites lèvres et je n'avais qu'une hâte c'est de savoir comment était sa queue avec ce que l'on disait sur les asiatiques!
Je n'en ai pas connu beaucoup d'asiatiques, mais je peux te dire que celui-là ben il était pas mal monté et quand il baisait tu sentais sa queue passer.
J'ai aimé ses petits couinements quand il jouissait ou qu'il se faisait baiser. Il était imberbe complètement mais n'avait du poils qu'autour de la queue, un poil en broussaille qui partait dans tous les coins.
J'ai passé de bons moments avec ce jeune mec. On n'avait pas de portables pour s'appeler alors les rencontres étaient toujours fortuites, fallait venir tout le temps au même endroit.
Puis la drague sous le métro s'est vite arrêtée, le soir il n'y avait plus personne.
Il fallait trouver d'autres endroits.
-oh je suis certains que tu en avais d'autres des endroits de la manière dont tu le dis!
-bien sûr dit il en riant.
-alors c'est où ?
-tu ne veux pas qu'on se revoit pour que je te raconte ?
Son œil était coquin à Gilles en disant cela.
-je te dis le premier, les quais d'Austerlitz.
-dans la gare ?
-mais non dit il en riant, le long de la Seine, près du Port. Là où a été tourné un film d'ailleurs, un très bon film pour moi!
-ça serait pas les Nuits Fauves ?
-oui dit Gilles en souriant.
-t'as dragué là-bas ?
-bah oui pas toi quand tu étais à Paris ?
-j'ai voulu y aller un soir mais j'ai trouvé ça tellement glauque, et c'était comment alors ?
-je te raconterais la prochaine fois!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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