Vie rêvée d'un soumis

Chapitre-7

Romaric est resté assis sur le lit, il me regarde bouffer le contenu des capotes en souriant.

- C’est bon hein, le sperme de Mâle, c’est de la bonne bouffe de PD hein ?

- Oui Monsieur, dis-je avec respect. Je dois bien reconnaître que je suis accroc au sperme, j’adore le bouffer, je ne sais pas m’en passer.

- Quand tu auras bien bouffé, tu viendras te désaltérer, poursuit-il en écartant les jambes.

Je finis le contenu de mes capotes et lèche le sol puis me dirige à 4 pattes entre les jambes de Romaric, je gobe sa bite et il pisse dans ma gueule en soupirant de plaisir. J’avale en silence cette urine matinale bien chargée puis, une fois terminé, il se lève et part nu dans le salon. Je rejoins les 3 hommes rapidement. Mon Maître me fait signe de la tête de m’asseoir dans le fauteuil à côté de lui puis me désigne du menton les viennoiseries et le café. Je prends une gorgée de café, immédiatement je sens qu’il est à la pisse et j’en remercie mon Maître qui sourit. Le petit déjeuner se passe en silence. Une fois terminé, ordre est donné à Marc d’aller se laver.

- Toi tu nettoies le salon, je reçois à 14 heures, m’ordonne mon Maître, finalement Romaric et son mec vont nous quitter plus tôt que prévu, mais j’ai trouvé de quoi m’amuser cette aprem.

Les 2 Mâles se lèvent et partent nus dans la chambre en se caressant. Je ne verrai pas Marc passer, une porte de ma geôle donne directement dans la chambre du Maître. J’exécute donc l’ordre donné et je me mets à nettoyer le salon de fond en combles. J’entends rapidement des gémissements provenir de la chambre. J’aimerais assister à la scène, voir ce qu’il se passe mais je ne suis pas convié.

Vers midi, le trio sort de la chambre, ils sont tous habillés, Romaric et Marc prennent congés et saluent mon Maître mais ne m’accordent aucun regard. Je retourne dans la cuisine finir de préparer le repas de midi, je sens mon Maître venir se poster derrière-moi.

- On lui a fait une double pénétration, on l’a fécondé et on lui a mis un plug dans son fion de salope pour qu’il garde notre sperme de Mâles supérieurs. Romaric l’emmène très souvent le dimanche après-midi dans un club privé où il le loue à des mecs sans scrupule. Bientôt tu subiras le même sort ma lope, Romaric et moi on vous regardera vous faire baiser par des mecs qui fourrent votre fion graissé par notre sperme. Ajoute-t-il en me caressant les fesses avant d’y introduire un plug grand format que mon cul avale malgré la douleur de l’abattage de la matinée.

- Comme il te plaira mon Maître, je t’appartiens, je suis ta chose, ton plaisir est ma seule obsession.

- C’est ce que je voulais entendre salope, dit-il avant de me retourner et de me rouler une pelle délicieuse, longue et baveuse, il me viole la gueule et je couine de joie.

Lorsqu’il se retire, il m’intime l’ordre d’aller me laver et m’habiller, m’indiquant qu’il déjeunera seul et que je ne dois sortir de ma prison que lorsqu’on sonnera à la porte d’entrée. Je déteste ces moments où je le sais là mais qu’il m’impose de ne pas être en sa présence. Mais il décide, j’obéis, c’est notre contrat. Je vais donc me laver puis j’enfile mon jean et ma chemise sans bouton et j’attends. Pas très longtemps finalement, lorsque la sonnette retentit, je sors et vais ouvrir et je découvre sur le pas de la porte un jeune homme d’une vingtaine d’année, barbu, apparemment bien foutu et sûr de lui qui me dit avoir rendez-vous avec Maître Sébastien. Je me décale pour le laisser entrer puis l’emmène dans le salon où mon Maître trône nu sur le canapé et la queue déjà dressée, je me mets à genoux, en retrait comme mon Maître me l’a appris si je ne suis pas convié à m’asseoir sur le canapé.

Le jeune homme se présente, il s’appelle Bruno et a 28 ans. Rapidement l’ordre lui est donné de se foutre à poil, ce qu’il fait sans hésiter et il est en effet très bien foutu, on voit parfaitement ses abdos bien dessinés mais il est totalement imberbe en dehors de sa barbe et sa chevelure très fournies. En moins de 5 minutes, il est à genoux entre les jambes de mon Maître et pompe cette queue de Mâle dominant qui débande tellement rarement…

Rapidement mon Maître se penche faisant s’empaler sur sa queue la gueule du jeune pendant que le Mâle que je vénère commence à lui faire rougir les fesses. Les gémissements montent tout comme les couinements, je regarde la scène envieux, mon Maître le voit et sourit en redoublant les coups qu’il assène. Le petit jeune va se faire démonter sans pitié, je suis partagé entre envie d’être à sa place pour servir mon Maître et satisfaction qu’il se prenne une branlée bien méritée car je le trouve impertinent.

Puis le démontage en règle commence, il va apprendre à obéir celui-là : baffes, crachats, insultes, il encaisse tout en couinant de plaisir, ça me rend de nouveau jaloux surtout que je vois mon Maître donner quelques caresses et grogner de plaisir.

Soudainement, mon Maître me regarde.

- Débarrasse la table, fais la vaisselle et prépare le repas de ce soir, j’en ai pour un bon moment avec cette salope et j’ai bien l’intention de prendre mon pied…

- A tes ordres Maître, dis-je en appuyant sur le tutoiement, je suis le seul à y être autorisé et je veux que le petit jeune l’entende.

Je suis certes la salope de mon Maître mais aussi son compagnon, je partage ma vie avec lui et j’entends conserver ce privilège même si jusqu’à hier, il n’avait baisé avec personne devant moi mais peut-être le faisait-il sans moi… Je panique intérieurement en débarrassant la table, je me dis que finalement, je ne suis qu’un bâtard dont il dispose H24 mais que je reste remplaçable comme en ce moment même car sur le canapé, ça hurle, ça gémit, ça couine, c’est un véritable film porno sans aucune pudeur. Ce petit con devient un rival dans ma tête et la jalousie m’envahit sans commune mesure. J’essaie de relativiser, ce n’est que pour une après-midi, il va se faire démonter puis va rentrer chez lui et je reprendrai ma vie normale aux pieds de mon Maître que je vénère et que j’aime. Et depuis la cuisine, je continue d’entendre les gémissements, ça finit par me rendre mettre en rogne alors je ferme la porte et n’en ressors que 2 heures plus tard mais rien n’a changé, ils baisent toujours comme des fous, Bruno est enchaîné, mon Maître le démonte, je vois les corps des 2 hommes ruisseler de sueur et ça va continuer tout l’après-midi. Je sais que mon Maître est très mais alors, très endurant. J’ai déjà subi ses assauts pendant plusieurs heures non-stop. Il sait se contrôler pour ne pas jouir car son plaisir réside dans le fait de dominer, de torturer, de montrer que c’est lui le Mâle et il est en totale maîtrise de son corps. Je vais donc dans la chambre changer les draps, lancer une lessive et faire le repassage. Le bon petit larbin mais c’est aussi mon rôle, je le sais, je l’ai accepté. Et pendant que j’effectue les dernières tâches ménagères, je continue de grogner en silence parce que j’entends toujours que ça nique dans le salon…

Lorsque j’entends le hurlement de victoire de mon Maître qui me confirme qu’il a joui, je regarde la pendule, il est 19h15 ; il a niqué Bruno pendant presque 5h, c’est impressionnant. Je le vois entrer nu et en sueur dans la chambre, je l’admire et couine avec mon fer à repasser dans les mains.

- Sers le repas salope, Bruno reste dîner et dormir ici.

Je me décompose intérieurement mais j’obéis, je ne suis rien pour contester un ordre alors je m’exécute et range le linge puis je sers le repas à table.

Mon Maître nous sert à tous les 2 un verre de son urine avant de s’asseoir et de commencer à dévorer son repas. Lorsqu’il est repu, il me regarde.

- Bruno dormira avec toi dans ta geôle, il va rester un moment ici et demain je ne travaille pas, je pourrai l’utiliser également. Tu dormiras avec lui.

Je regarde mon Maître l’air interloqué, il comprend immédiatement.

- Je suis crevé, je te ferai l’amour un autre soir, ce n’est pas comme si tu partais bientôt ma lope, tu vis ici, à mon service H24, tu auras ta récompense mais je la diffère dans le temps, dit-il avec gentillesse en me caressant la joue.

Puis il se lève, toujours nu, fort, fier, puissant et masculin en se dirigeant vers sa chambre où j’aurais dû le rejoindre.

- Débarrassez, faites la vaisselle, regardez la télé si vous voulez moi je vais me pieuter.

Dépité, je me lève et commence à débarrasser, Bruno m’aide, nous finissons rapidement la vaisselle, il me demande si je veux regarder la télé, je réponds que non, je suis également fatigué et je file dans ma geôle où il me rejoint 2 minutes plus tard. Il est déjà nu, je me déshabille et nous nous allongeons sur le lit, je m’apprête à éteindre la lumière mais Bruno engage la conversation.