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Chapitre-6
Je suis réveillé par des gémissements, je me redresse lentement et en silence et je vois Romaric en train de pénétrer mon Maître avec un mélange de tendresse et de force.
J’ai toujours été en admiration devant un Mâle dominant qui sait aussi se faire prendre ; sans doute parce qu’il fait ce choix, j’admire en silence cette superbe scène puis Romaric tourne la tête vers moi.
- Vide les couilles de ma pute, m’ordonne-t-il, je le regarde l’air interloqué.
- Si Romaric te donne un ordre, c’est comme si je t’en donnais un enculé, tu lui obéis sans moufter sauf si je m’y oppose mais ça n’arrive jamais. S’il veut te baiser, il te baise, tu lui appartiens à 49%, je te possède à 51% et tu es mon mec. Vide les couilles de son bâtard, c’est ton petit dej salope !
Les ordres de mon Maître ne doivent pas être discutés alors je dirige ma gueule vers la queue de Marc qui émerge lentement, sa queue gonfle lentement dans ma gueule et je pompe, j’ai faim… Plus j’entends les gémissements des 2 Mâles dans le lit, plus je sens mon excitation monter et je m’active sur la bite de Marc qui se laisse faire sans un bruit et sans me toucher. Lorsque je sens son sperme tapisser mon palais, j’essaie de ne pas gémir et je me régale de la semence jusqu’à la dernière goutte. Marc se retire lorsque j’ai fini et bien nettoyé, il se met à genoux et regarde son Maître.
- Prépare la pute Marc, déclare Romaric qui s’active toujours dans mon Maître.
Marc se lève et me choppe par les cheveux, je suis le mouvement sans résister, il m’emmène dans ma geôle en m’ordonnant de me laver intégralement devant lui, ce que je fais. Une fois lavé, sans que je puisse me sécher, il me ramène dans la chambre de mon Maître.
Il vient me positionner devant le lit, me positionne les mains sur les barres verticales et les y attache fermement. Mon torse est parfaitement perpendiculaire aux barres verticales du lit, j’ai la vue sur mon Maître, allongé sur le ventre et Romaric, qui s’est enfoncé au plus profond de mon Maître et lui prodigue un massage des épaules et du dos. Pendant ce temps, Marc me pose une barre d’écartement aux chevilles et il m’enchaîne de manière à ce que mon corps ne puisse plus du tout bouger, je me laisse faire en regardant mon Maître prendre du plaisir. Je me surprends à sentir ma bite inutile palpiter dans sa cage.
Marc me pose un bâillon avec plug intégré puis vient se mettre à genoux aux pieds du lit. Mon Maître redresse un peu la tête, je le regarde amoureusement, j’ai l’impression que lui aussi. Je me perds dans mon admiration et ma dévotion pendant un temps que je ne peux définir, je suis tiré de cet état de transe par le bruit de la sonnette de la porte d’entrée.
Marc se lève et va, je pense, ouvrir. Quand il revient, il n’est bien évidemment pas seul et mon Maître prend la parole, toujours allongé sur le ventre, les mains sous le menton.
- Je t’avais dit que je te mettrai à l’abattage salope, ben c’est le jour J, y a 10 mecs qui vont venir te défoncer non-stop ce matin et y a du très gros calibre dans le lot. Encaisse et tu seras récompensé, échoue et tu en paieras le prix… Vas-y Mehdi, défonce ma lope, je te l’offre, montre-lui comment un vrai mâle se sert de sa bite et montre-lui qu’il est juste là pour que tu prennes ton plaisir.
Je n’ose tenter de regarder derrière moi et je préfère fixer mon Maître avec vénération comme pour lui dire que je vais lui faire honneur. Je le vois sourire lorsque j’écarquille les yeux alors que je sens 2 doigts s’enfoncer dans mon trou du cul sans ménagement. Apparemment le mec teste la souplesse de ma chatte et comme mon Maître a su me démonter sans concession chaque jour que j’ai passé à ses pieds, je suis prêt à servir de trou dilaté pour donner du plaisir aux hommes à qui mon Maître m’offre. Je ne suis plus un homme, je suis un esclave et j’ai volontairement choisi cette voie, je dois l’assumer, le plaisir de mon Maître passe avant tout et si je dois en donner à un autre pour voir les yeux de mon Maître pétiller de joie alors je ne me pose pas de question.
Que je m’en pose ou non ne changera rien car je suis totalement immobilisé et offert. 2 ou 3 minutes après m’avoir enfoncé ses 2 doigts, je sens Mehdi les retirer et présenter sa bite qu’il enfonce avec force et détermination à fond. Mon bâillon étouffe un petit cri de lope et je vois mon Maître et Romaric admirer le spectacle d’un bâtard qui se fait limer le fion par un arabe semble-t-il bien monté car je le sens bien s’activer dans mon cul. Il entre à fond puis ressort complètement un bon nombre de fois avant de commencer un pilonnage en règle et sans se soucier de savoir si j’encaisse bien ou pas. Il me baise comme une poupée gonflable, Romaric s’est allongé sur le dos de mon Maître, je vois son fessier onduler et mon Maître gémit de plaisir en regardant son esclave se faire enculer. Au plus profond de moi, j’espère que ses gémissements sont dus au fait qu’il me regarde, immobilisé, à subir les assauts d’un mâle qui prend son pied. Et il le prend son pied, je l’entends m’insulter de tous les noms et je sens ses coups de bite de plus en plus puissants, je sens même un crachat s’éclater sur mon dos et couler lentement le long de ma colonne vertébrale. Au bout d’un temps indéterminé, je le sens se raidir et s’enfoncer en moi, il jouit dans la lope, intérieurement, j’espère qu’il a mis une capote. Je vois mon Maître et Romaric sourire et me fixer, mon Maître me regarde et murmure un « trou à jus… » j’acquiesce de la tête, le mec s’est retiré, il me claque les fesses et Marc se lève, sans doute pour le raccompagner alors même que j’entends la sonnette de la porte d’entrée retentir de nouveau.
Romaric se redresse, il est toujours dans mon Maître, j’admire ces 2 Mâles qui copulent sans pudeur et se font plaisir, je prends encore plus la mesure de la chance que j’ai d’être cet esclave à domicile.
J’entends Marc revenir et dire : « le trou de l’esclave est à votre disposition Monsieur », je sens rapidement un pouce explorer ma rondelle et rentrer, vite remplacé par une bite qui me besogne sans pitié. Les 2 Mâles sur le lit se délectent à nouveau à regarder la scène d’une salope enchaînée, immobilisée se faire tringler par un inconnu, à voir leurs yeux brillants d’excitation, ils ont du plaisir. Je remplis mon rôle, je suis là pour donner du plaisir ou, du moins, pour permettre aux hommes d’en prendre en m’utilisant.
J’aimerais pouvoir dire à mon Maître combien je le remercie de m’avoir enculé, plugué, godé tous les jours depuis mon arrivée car cela me permet aujourd’hui d’encaisser les coups de queue et de le rendre fier de sa lope. Mais je suis bâillonné. Tant mieux au final, je crois que je couinerais comme un taré si ma bouche était libre.
Le temps passe sans que je m’en rende compte lorsque j’entends de nouveau la sonnette. Le second mâle à me défoncer n’a pas fini mais il ne s’arrête pas. Je le sens accélérer la cadence et jouir, lorsqu’il se retire, je sens le 3ème investir immédiatement mon fion et le pilonner.
Puis le quatrième et le cinquième…
Lorsque le cinquième se termine, la sonnette n’a pas encore retentie et Romaric s’active dans le cul de mon Maître, clairement il y jouit, lorsqu’il se retire, un filet de sperme s’échappe de sa bite, il claque des doigts et Marc vient le nettoyer puis lèche le cul de mon Maître. Intérieurement, je suis jaloux, ça devrait être à moi de nettoyer. Le bruit de la sonnette, Marc cesse et part ouvrir pendant que Romaric et mon Maître intervertissent les positions. Cette fois, mon Maître entre dans Romaric, je le vois dressé derrière son meilleur ami et s’enfoncer en lui, fort, fier, masculin, dominant, le Mâle que je vénère depuis 7 ans, le Mâle auquel j’appartiens. Hypnotisé, je n’entends même pas le 6ème entrer mais je sens sa queue me perforer, le calibre est plus imposant et j’étouffe un cri dans mon bâillon. Mon Maître affiche un rictus carnassier et sadique qui le rend terriblement sexy, il défonce alors Romaric au même rythme que celui qui m’empale.
- Voilà ce que je t’avais promis ma lope, les gros calibres vont t’achever dans ton abattage, rends-moi fier de t’offrir à ces queues hors normes, souffre pour mon plaisir !
Et j’ai encaissé les assauts des 5 autres mecs en le sentant passer cette fois, un vrai abattage sans concession pendant que mon Maître s’activait dans le cul de son meilleur ami. Lorsque le dernier s’est terminé, je n’en pouvais plus et mon Maître s’est vidé dans Romaric.
Marc m’a alors détaché, enlevé mon bâillon et je me suis laissé tomber par terre. Mon Maître est descendu du lit, m’a présenté sa bite que j’ai nettoyée pendant que Marc nettoyait le cul du sien.
- Tu as bien bossé salope, je suis fier de toi, me dit-il pendant que je nettoie sa bite, ton repas t’attend.
Alors qu’il se retire de ma gueule, je tourne la tête pour voir au sol un bol dans lequel des capotes pleines de sperme sont entassées.
Tel un affamé, je me rue sur le bol sous les rires amusés de mon Maître.
Je commence à percer la première capote et regarde mon Maître avec vénération, heureux de le servir et de le voir satisfait. Avant de sortir de la chambre, il vient me chuchoter à l’oreille : « puisque tu as bien bossé, ce soir je te fais l’amour » puis il m’embrasse à pleine langue me faisant couiner de bonheur. A cet instant précis, j’ai senti ma bite inutile d’inférieur expulser une quantité incroyable de foutre.
- Tu penseras à lécher le sol aussi salope, déclare mon Maître à voix haute en sortant de la chambre.
Stephdub
stephdubsex@gmail.com
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