Deux Routiers
je m'appelle Pierre, 55 ans et marié depuis près de 30 ans. Cinq enfants ... grands.
Je suis routier et j'ai dû partir 15 jours pour un long transport vers un pays de l'Europe centrale. Nous étions deux conducteurs : Marc, 45 ans, marié et père de deux enfants. Nous logions dans les hôtels réservés par notre société. Nous partagions une chambre chaque nuit. On se connaissait assez bien pour parler de tout très facilement. Les premières nuits ont été " calmes ". Une nuit, cependant, peu après m'être endormi, j'ai été réveillé par des soupirs venant de mon collègue. J'ai regardé dans la direction de son lit. Il avait allumé son téléphone et il regardait l'écran et sous le drap, il se branlait. Cela expliquait ses soupirs plus ou moins étouffés. Je ne bougeais pas. Cela a continué quelques minutes puis il a émis un soupir plus roque, signe qu'il devait surement décharger ... conclusion normale. Le téléphone s'est éteint et le calme est revenu dans la chambre. Au matin, réveillé avant lui, j'ai découvert près de son lit la serviette dans laquelle il avait dû juter, près de son téléphone éteint. Comme je sortais de la douche, je le trouvais éveillé, le visage embrumé. Je lui demandais s'il avait bien dormi il m'a répondu que non, " ma femme me manque ". Je lui ai répondu que j"avais cru comprendre et que l'absence de sa femme m'avait réveillée. " Je suis obligé de me branler sinon ça ne va pas et je suis de mauvaise humeur. Tu vois, là ça a beaucoup mieux, ce matin. "Et il ajouta : " En réalité ma femme était là, j'ai une vidéo d'elle, sur mon téléphone. Tiens regarde ". Il était en slip déjà moulant et moi en serviette autour des hanches. La vidéo démarra. Elle montrait sa femme nue sur un lit. Elle se caressait les seins puis son ventre et enfin son sexe rasé, jambes très écartées. Ses doigts cherchaient en gros plan son clitoris qu'elle pinçait, caressait longuement. Face à Marc, je voyais les déformations de son slip causées par son érection. Je ne suivais plus tellement la vidéo. C'était le sexe caché de Marc qui me fascinait. Je bandais aussi sous ma serviette qui se soulevait. Il a remarqué cette bosse et il a tendu une main vers elle avant de la recouvrir et de serrer ma queue. Je l'ai regardé et il m'a dit : " tu as déjà aimé avec un homme " et j'ai répondu que ça m'étais arrivé deux fois. Il a répondu : " jamais deux sans trois ! " en ouvrant ma serviette et mettant à l'air ma queue plus que tendue. Il s'est levé, a retiré son slip libérant une queue magnifique que j'ai prise dans une main. J'ai baissé les yeux vers sa queue. J'étais un peu déboussolé par ce qui se passait. " Et avec un mec tu as été mâle ou femelle ? Non ne dis rien ! Je le devine. Tu aimes être femelle !! ". Je n'ai rien répondu. Il s'est levé et a avancé sa queue vers moi, vers ma bouche : " vas-y montres moi ce que tu sais faire avant que je devienne ton mâle ! ".
Et il a forcé ma bouche, mes lèvres, en me pénétrant. Ses mains posées sur ma tête il a amorcé quelques va et vient, profonds. J'ai réalisé dans quelle situation j'étais. J'ai voulu me dégager. Il m'a maintenu fermement la tête et a accentué ses coups de reins. " Tu es une bonne suceuse !! Tu seras ma femelle maintenant. Plus besoin de me branler. Tu es là. Il te faudra accepter sinon je dis tout à ta femme. Pour ma femme ce n'est pas un problème. Je lui ramène un mec de temps en temps et on baise à trois. Si tu es docile au retour chez nous, je t'inviterai pour une nuit d'amour à trois. Mais en attendant... " La suite était claire. Je me donnais à lui le soir et le matin. Dans la journée quand c'était son tour de conduire, il me demandait parfois de la sucer. Je le faisais mais il ne voulait pas juter au volant ... Trop risqué disait-il ! La première fois qu'il m'a baisé, ce fut doux et câlin. Il m'a mis à quatre pattes et m'a longuement préparé ma chatte comme il disait. Puis il a enfilé une capote qu'il a bien lubrifiée et je l'ai senti entrer en moi. Sa queue était longue. Je ne bougeais pas. C'était la première fois. Les fois d'avant je m'étais contenté de sucer jusqu'à ce que mon partenaire jute. Le deuxième m'avait obligé à avaler tout. Cette fois je me faisais baiser. Il était debout à m'enculer ; je gémissais de douleur puis de plaisir. Il a été tendre. Il m'a couché puis s'est allongé sur moi, tout en étant en moi. Il m'a couvert et avec des mouvements réguliers mais puissants il a fini par se vider en me serrant très fort. Il a éjaculé fortement, beaucoup de sperme qui a débordé de la capote, sur mes fesses. C'était vraiment doux et délicieux. Cela s'est reproduit matin et soir. Je dormais bien et lui aussi, nous avion rapproché nos lits. De retour en France, nous avons fait étape chez lui, puis j'ai reconduit le camion au dépôt, plus loin.
Il a tenu parole. J'ai passé une nuit chez lui et sa femme. Je raconterai dans un nouveau récit, bientôt.
Pierre
pierre1pierre1.aix@hotmail.fr