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L'initiation
A l'âge de 19 ans, j'ai rencontré Jacques, un peu par hasard, à la piscine municipale.
A cette époque je fréquentais beaucoup cette piscine dans la ville où je venais d'arriver avec mes parents. Inutile de dire que j'étais encore puceau, même si j'avais déjà un peu jouer avec des copains..
Jacques est un homme d'une trentaine d'années, plutôt bien foutu : 1M80 comme moi, brun commençant à se dégarnir, plutôt musclé et pas trop poilu. Moi j'étais aussi un peu musclé mais moins que lui, châtain avec les cheveux courts et poilu normalement si je peux dire
La première fois que Jacques m'a abordé, c'était dans les vestiaires. Le vestiaires était un assemblage de casiers avec devant des bancs et au fond de la pièce pas très grande finalement, 2 cabines. J'utilisais régulièrement une cabine pour me changer, mais cette fois, elles étaient toutes deux occupées et je me changeais devant mon casier.
C'est là que Jacques m'a abordé, en remarquant que nous nous rencontrions souvent à la même heure. Effectivement, depuis plusieurs semaines, j'avais vu cet homme qui sortait très peu de temps après moi. Il me demanda si je voulais prendre un verre. J'acceptais
Très vite la conversation dérapa sur la sexualité. Il vivait seul mais avait été marié quelques temps. Il se disait bi mais affirmait que moi j'étais homo. Comment pouvait-il le voir ? Après un temps d'hésitation, je lui confirmais ces dires. Il m'invita à passer chez lui un soir... "je m'arrangerai" lui ai-je dit. Et c'est à partir de ce moment que Jacques est devenu mon amant, puis mon maître
La première fois, il m'a invité à diner puis nous sommes allés dans un hôtel aux abords de la ville. On y entre sans que personne ne nous regarde, avec juste une carte de crédit. Il a payé, a pris le code de la chambre et nous sommes montés. Très vite, il s'est occupé de moi : il m'a embrassé doucement, m'a caressé tout en me déshabillant lentement. Je bandais très fort et j'avais peur de lâcher toute ma semence trop vite. Il l'a sans doute remarqué puis qu'il m'a proposé de prendre une douche, ensemble. La douche se trouvait à l'extérieur, dans un couloir où n'importe qui aurait pu nous croiser. Il m'a demandé de le suivre tel que j'étais : je n'avais plus qu'un caleçon sur moi. "Heu... pas comme ça... Je peux pas me balader en caleçon !" d'autant plus que je bandais...
"T'inquiètes ! il n'y a personne... et puis, on va se laver ! Tiens, voilà une serviette"
Très inquiet, je le suis, rapidement... Heureusement, la douche est disponible. On entre dans la pièce et il m'enlève le caleçon, un peu brutalement. Je me retrouve nu, entièrement à sa merci, pour la première fois... Lui est toujours habillé, il a juste retiré ses chaussures. Il a toujours un tee shirt et son pantalon. Il me met sous la douche et me demande de bien me laver. Pendant ce temps, il prépare un rasoir et de la mousse.
"Viens, je voudrai te voir vraiment nu !"
"Hein ? mais qu'est-ce que ça veut dire ?"
"je vais te raser le sexe et le cul... ça te dérange ?"
"Ben oui, un peu... pourquoi ?"
et là il me badigeonne de mousse et devant mon manque de réaction, il empoigne mon sexe et me rase la bite, les couilles et le pubis.
"Retournes toi, et penches toi bien en avant"
Et sans réagir, je lui obéis. Je sens le rasoir me passer le long de la raie. Quand il a fini, il m'embrasse le cul et me demande de me rincer et de le rejoindre à la chambre...
Il quitte la douche avec mon caleçon. Je n'ai plus que la serviette trop petite pour fare le tour de ma taille. Je le suis donc de très près ne connaissant pas le code de la chambre, me cachant tant bien que mal avec la serviette. Heureusement, personne n'est sorti de sa chambre pendant que je passais. Jacques était maintenant très excité, il m'allongea sur le lit et commença à me sucer délicatement puis à me lécher le cul. C'était la première fois que quelqu'un s'occupait comme ça de moi et c'était très bon. J'ai joui sur mon ventre, les jambes en l'air, pendant qu'il m'introduisait sa langue dans la raie des fesses. Il m'a dit que j'étais un rapide et qu'il fallait que je me contrôle ! J'étais rouge de honte. Il prit mon sperme avec un doigt et l'amena à ma bouche. Dans un premier temps, je faisais la grimace mais très vite, il força ma bouche et je dus lécher son doigt jusqu'à la dernière goutte. Il me nettoya le ventre ainsi pendant près d'un quart d'heure.
"Tu vois comme tu es beau sans tous ces poils ! La prochaine fois, je veux que tu viennes déjà rasé, sinon, tu auras une fessée ! Allez... C'est bon pour aujourd'hui ! Je te laisse rentrer seul :"
"Mais ce n'est pas la porte à côté ! Tu pourrais me déposer en ville, s'il te plait !"
"Non, tu vas te débrouiller..."
et il est sorti, me laissant un papier et m'embrassant goulument sur la bouche
Je me posais alors beaucoup de questions en me rhabillant : est-ce que je voulais poursuivre cette relation ? allais-je retourner à la piscine ?
J'ai pris alors connaissance du mot :
"je m'appelle Jacques, je veux te voir dans trois jours à la piscine, à la même heure que d'habitude... sans poils ! sinon, je dis tout à tes parents."
Je crois que là j'ai pris peur... Mais trois jours après, je me préparais pour aller à la piscine !
Jacques me libéra de mes liens, il me rendit mon boxer et je rentrais chez moi, très excité après cette séance.
Nos rencontres se firent plus rapprochées. A chaque fois, le même rituel : un prétexte pour une fessée à laquelle je prenais goût, puis il me laissait le sucer jusqu'à l'éjaculation. J'aimais le goût de son sperme. Jacques me rendait fou de lui. Je voulais être de plus en plus souvent avec lui. Il était à la fois protecteur, et me corrigeait au moindre manquement. Pour le voir, je devais toujours me raser le sexe et le cul, venir en short sans rien dessous et me présenter chez lui, les mains croisées dans le dos. Il admirait alors ma bite bandée sous le short et avant que je n'entre chez lui, il me baissait le short. Durant plusieurs semaines, ce fut ce rituel, mais l'hiver arrivait et le short n'était vraiment plus de mise. J'eus alors le droit de porter un pantalon de jogging, mais assez large.
Puis un jour, il me reçut sans me déculotter.
- Aujourd'hui, je voudrais que tu sois épilé complètement aux jambes et sur le torse. Je vais t'emmener dans un institut. Tiens mets-çà
me tendit des vêtements à ma taille : un sweat, un jean, un mini slip qui me rentrait dans les fesses. Je gardais mes baskets. Nous nous rendîmes assez
loin, dans une autre ville où il avait pris rendez-vous. Il avait l'air connu dans cet endroit. Une dame me demanda de la suivre. Elle demanda de me déshabiller et me tendit un string pour " les soins ". Je me changeai dans une cabine et je m'allongeai sur le dos sur une table qu'on m'avait indiquée. L'esthéticienne me parla très calmement en m'expliquant ce qu'elle allait faire. Elle me dit que ce serait sans doute douloureux. Elle commença par les jambes. C'était horrible !!!! jamais je n'avais eu mal comme ça. Les larmes me venaient aux yeux mais je m'efforçais de ne pas crier. Juste quelques souffles. Jacques est arrivé dans la pièce en expliquant à l'esthéticienne qu'elle pouvait y allait franchement, que j'étais solide. Après les jambes, ce fut les cuisses puis l'entre jambes : encore plus douloureux. Puis le torse, sans doute le plus supportable. Enfin, quand je fus sur le ventre, la torture continua, côté face...
Avant que je ne me rhabille, Jacques me caressa sans aucune honte devant la dame.
- C'est parfait, comme toujours !
Je ne devais donc pas être le premier qu'il amenait dans ce salon...
De retour chez lui, il me demanda si j'aimerai être circoncis.
- Je n'y ai jamais pensé... C'est religieux non ?
- Non, pas seulement, tu sais, c'est plus hygiénique. Tu seras vraiment clean sans poil et la bite circoncise !
- Mais... Je crois pas que ça se fasse comme ça, ici sur le coin d'une table !
Il se mit à rire
- Mais non idiote, tu feras ça à l'hôpital ! C'est quelques jours sans te tripoter... c'est tout
- Je peux réfléchir ?
- Pas longtemps alors, sinon, on passe à autre chose !
- Qu'est-ce que ça veut dire ?
- Ça veut dire que je t'aime bien mais je peux te laisser pour un autre garçon !
J'étais mitigé. D'un côté le perdre, de l'autre me faire charcuter la zigounette... Et puis comment présenter ça à mes parents ? oui je sais, je suis majeur, mais je vis toujours chez eux ! En rentrant chez moi, ce jour-là, je me posais plein de questions. Le soir, je m'admirais dans la glace, sans poils ! Je ressemblais à un petit garçon mais j'avais une décision à prendre...
La visite suivante chez Jacques se déroula comme à l'habitude, mais après la fessée, un peu plus brutale que les fois précédentes, il me demanda de m'installer à la table, nu. Là il me montra un papier. Il m'expliqua :
- Voilà, Cédric, je veux devenir ton maître. Mais si tu es d'accord, tu dois m'obéir en tous points. Ce contrat précise différentes clauses que tu accepteras sans conditions si tu veux revenir ici. La première est que tu m'appartiendras. Je pourrais faire de toi ce que bon me semble, tout en préservant ta sécurité et ta santé, bien entendu. Je te laisse lire les autres
Ce " contrat " prévoyait différentes choses : je devais me faire circoncire, je devrais répondre à toutes ses demandes quand bon lui semblerait, il pourrait même m'emmener sans préavis dans des endroits qu'il aurait choisis, etc, etc...
Je lui posais quelques questions, du genre " mais mes études ?, mes parents ? je peux pas me libérer comme ça "
- Je te garantis ta liberté durant la semaine, tu pourras suivre tes études, voir tes parents, mais le mieux serait de vivre ici ! Tu pourras avoir des copains mais pas de rencontres le week end. Week end et vacances, c'est pour moi !
En lisant les différents termes du contrat, je bandais ! ça m'excitait drôlement d'appartenir à un homme.
- Je vois que ça te fait de l'effet. Je te laisse réfléchir quelques jours. Si tu reviens ici dans moins de trois jours, c'est avec le contrat signé.
Et sur ce, il me ramène nu à la porte, me met sur le palier en me tendant mes affaires et le contrat.
maurleo