Bonjour, je m'appelle Keiko, je suis petit (1m60), maigre (40 kg) mais un peu musclé. Et pour finir, je suis un métis de l'île de la Réunion. Mon père est corse et ma mère est une métisse indienne/chinoise. Je vous laisse imaginer.
Lors de mon entrée dans ce pensionnat (2007), j'avais 18 ans et positivement attirer par les mecs. Mais une année fut écoulé et rien de spécial. Pour ma 2e année, ce fut le changement total. Coupe en brosse, apparition de certains muscles décorés d'un tatoo tribal sur un des pecs, débardeur et jean slim qui moulait à merveille mes fesses qui ne mérite qu'un 3/10 et une bite raser de prêt. Mon ambition de la rentrée ? " Cette année je baise ".
Le premier jour au dortoir fut interminable. J'étais de corvée de visite pour les premières années en plus d'être leur délégué. Le pire c'est d'avoir une chambre seul donc pas de coloc à toucher et salle de bain en mauvaise état alors bonjour les douches collectif. Douche ou je fus le seul à utiliser. Enfin presque...
Le premiers trimestre fut un désastre .Je devais me contenté de branlettes sous les douches. Quelque temps après, je me surprenais à entendre quelques bruits de fond ce qui pour moi était normal vu l'état des tuyaux. Mais un soir, il y avait plus qu'un bruit. Je voulais avoir le coeur net ! En tournant le regard je vis les miroirs de la salle de bain et leurs angles de vu étaient ma douche. Je ne les avais pas remarqués puisque je ne m'étais jamais retourné en prenant une douche. J'avais tout de suite compris qu'il y avait du voyeurisme par là.
Le lendemain soir, j'étais décidé à surprendre ce ou ces voyeurs. J'ouvrai l'eau et commençai à me laver. Dès le premier bruit que j'entendis, je commençai à me caresser. Je jeta un coup d'oeil et mon voyeur fut présent. Je pris mon cube de savon et je me savonnais tout le corps. Je me caressais tout doucement en commençant par mes pecs, le ventre et je descendais tout doucement. Je m'excitais. Pour faire apprécier mon voyeur, je me retournai en gardant la tête vers le plafond ou le sol. Je m'étais pincer les tétons et commençais à me masturber tout en glissant vers le sol. Une fois au sol, je m'étais écarté les jambes pour glisser un doigt. Un autre coup d'oeil et je constatai qu'il appréciait ce show mais ce coup d'oeil fut trop long ! De peur de se faire pendre, il tenta de s'enfuir mais je fus le plus rapide, jl'ai chopé et le bloqua fortement. Têtes face aux carreaux.
Ce fut un élève de première année, un ti blanc, à ma taille, un peu plus gros que mois, yeux marron et des boucles brunes.
- James ?
- Pardon monsieur pardon
- Alors c'est toi ?!
Je voulais le dénoncer mais une demi-seconde plus tard, j'ai pensé à mon ambition de l'année.
- t'as aimé ?
Je me régalais de cette position de supériorité.
- Je ne le ferais plus ! Promis ! Ne me dénoncez pas msieur j'aurais des problèmes sinon !
- Faut être stupide pour faire ça. T'es mignon.
Ne comprenant plus rien, il s'arrêta de geindre.
- Quoi ?
- T'es comme moi. Tu veux du sexe mais comme t'es ici, ton champ de chasse est limité même nul. Si tu m'as maté pendant 3 mois c'est que je te plais non ?
- Mais...
- Je t'ai posé une question. As-tu aimé ?
Aucune réponse. Je le retournai et je vis un regard incompréhension. Je le fis comprendre en lui donnant un baiser. Je continuais de l'embrassé jusqu'au moment ou il me faisait savoir qu'il était ok pour ma demande.
- Je n'ai pas trop d'expérience vous savez.
- Arrête de dire vous et vient sous l'eau chaude.
Il se déshabilla et me joignit sous l'eau. Je me surprenais moi-même d'avoir autant de rigueur dans mes gestes mais la faim justifie les moyens ! On s'était remit aux caresses et aux bisous.
- James, écarte tes jambes.
Je me penchai et le suçais. Il gémissait et mouillait tellement que cela me donnai une tripe pas possible. Pour une première pipe, ce fut un exploit. Je m'arrêtai.
- À ton tour.
Il le fit goulument. Il était doué. Avant de jouir, je me suis rappelé un passage des douches de certaines prisons (Oui ! c'est un cliché ! Mais dans un internat de mec ; il y a toujours des blague sur nos douches communes. Le savon ! ) : Le savon ! Sachant que ni lui et ni moi avait couché, les risques de maladie est nul (chose à ne pas faire). Je pris ce savon, le demandai de ce levé et frottai le savon à son anus. Un doigt, puis deux doigts et des gémissements de plaisir furent ma récompense. Je le fis tourner sur le mur. Comprenant mes envies, il se cambra le plus possible pour la pénétration.
- Ah !
- Ca te fait mal ? j'arrête ?
- Ah ! nan...nan
- Ok
J'avais continué jusqu'à l'orgasme, je le masturbai et nous fûmes restés pour un moment
câlin.
- James ?
- Oui msieur ?
- Moi c'est Keiko, alors arrête avec les vous et les msieurs. Tu avais dit que t'as pas beaucoup d'expériences mais avec qui t'as commencé ?
- Mon camarade de chambre. Il est un peu curieux donc on s'est fait des bisous et des branlettes. Il te trouve mignon aussi. Ce n'était pas tout le temps moi qui te regardais tu sais ? Mais je ne veux pas que tu lui fasses la même chose qu'a moi. J'en srai jaloux... Sauf si je participe. Ce garnement me vois déjà pour se chose...
Vous aurez la suite plus tard !
Keiko
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