Épisode précédent
La colonie
4- Le village
Il ouvre la porte et je découvre derrière elle une rue bordée de petits commerces, sur laquelle se promènent un bon nombre de gens. Un petit café avec une terrasse où sont installés quelques clients, et j'entends maintenant de la musique. Quelques voitures sont stationnées le long de la chaussée. Une scène qui aurait été complètement banale, ennuyante même, si ce n'est que j'y suis mené en laisse, à quatre pattes, complètement à poil !
Alors que nous déambulons le long du trottoir, les gens m'observent avec intérêt, certains prennent même le temps de se pencher pour me gratter la tête. Je suis cramoisi de gêne, mais toute cette attention me fait néanmoins bander dur comme fer. Après deux intersections de parade, mon instructeur s'arrête à une voiture dont il ouvre la portière arrière.
- Entre.
Je grimpe tant bien que mal; ce n'est pas évident avec ce machin qui me restreint. Mon instructeur monte derrière moi et referme la portière.
- Tu as été gentil. Tu mérites une récompense avant que je t'amène chez toi.
La voiture est une grosse américaine, et la banquette est large et longue. Je suis affairé à tenter de me contorsionner pour m'y assoir, et il me roule simplement sur le dos sans que je puisse y faire grand-chose. Il s'agenouille entre mes genoux tenus haut par le machin à mes jambes et commence à déboutonner sa chemise en me regardant droit dans les yeux.
Une fois sa chemise ouverte, il déboutonne et ouvre sa braguette et en sort sa queue qui, je pouvais le voir au prix d'un effort à relever ma tête, est bien bandée. Pas très longue, 15cm à peu près elle est quand même d'une largeur impressionnante. Il retire le truc qui bouchait mon cul, ce qui me permet de le voir et de confirmer mon impression; c'est effectivement un plug en latex noir, de diamètre grandissant graduellement, puis redevenant plus petit plus rapidement. Après une courte distance plus ou moins droite, il y avait un renflement qui l'empêchait de glisser complètement à l'intérieur.
Sans avertissement, il soulève mon cul de la banquette, le tire vers lui et l'enfonce d'un coup sur son pieu. Je serre les dents, m'attendant à la douleur d'un déchirement qui n'est pas venu. Le plug avait été efficace : mon cul était déjà bien dilaté et ouvert. Mon instructeur commence presque immédiatement à pousser avec vigueur son bassin, me soulevant de la banquette et me laissant retomber sur ses cuisses, sa queue donnant à chaque fois un coup sur ma prostate.
Je gémis de plaisir à cette vigoureuse stimulation, les yeux fermés. Je sens quelques gouttes de précum glisser le long de ma queue qui est tellement dure que j'en ai mal. J'ouvre les yeux quand je sens mon instructeur se repositionner sans arrêter ses mouvements de bassin, pour le voir se pencher pour atteindre ma queue de sa bouche. Malgré sa longueur (près de 20 cm), il ne réussit qu'à mettre une partie de mon gland entre ses lèvres.
Puis il reprend ses mouvements avec une vigueur renouvelée. À chaque poussée, ma queue glisse presque à moitié dans sa bouche, sa langue chaude et douce la stimulant. Puis, je retombe sur sa queue, celle-ci donnant un coup sur ma prostate. Il lui faut à peine une trentaine de secondes pour que mes gémissements se transforment en hurlements et que je sente ma queue se tendre encore plus, sur le point d'exploser.
Mon instructeur prend encore plus de robustesse à ce point, et tremble perceptiblement sous mes fesses. Un, deux, trois autres coups qu'il pousse tant que j'en ressors complètement sa queue pour retomber dessus, et il pousse lui-même un profond gémissement assourdi par ma queue qui explose maintenant dans sa bouche. Mon foutre tombe sur moi, dans sa bouche, sur son visage alors qu'il continue ses poussées, le rythme complètement brisé.
Finalement, il cesse ses poussées, haletant. Nous restons deux minutes comme ça, à reprendre notre souffle. Il ressort sa queue avec un "plop" audible, et va chercher quelque chose dans le fond de la voiture.
D'un geste plutôt doux, il me réinsère le plug qui me sembla plus gros malgré sa large queue après cet exercice, puis il se reboutonna.
Sans un mot, mon instructeur descend de la voiture et y regrimpe à l'avant. Il démarre. Nous nous éloignons du village, et nous arrivions maintenant à un impressionnant domaine de campagne.
Il fait le tour de l'énorme manoir qui s'y trouve et stationne près d'une dépendance située à l'arrière.
maurleo
maurleo@yahoo.fr