Viol en forêt
Je rentre de ma promenade en forêt, c'est la fin de la journée et je suis sur la route forestière à encore 3 kilomètres du village.
Une camionnette vitres baissées me dépasse.
Je vois trois mecs à l'intérieur, ils ont l'air joyeux car ça chante, ils doivent rentrer d'un chantier dans les environs, le chauffeur jette un coup d'oeil dans le rétroviseur.
Je continue ma route, trois minutes à peine se sont écoulées que la camionnette arrive face à moi cette fois et se gare derrière moi.
Trois diables en jaillissent et viennent à ma rencontre.
Trois beaux ouvriers en bleu de travail, deux mecs du sud et un blond, grands et bien bâtis avec de belles épaules bien larges et des bras musclés.
On voit tout de suite qu'ils travaillent dans le bâtiment.
Que veulent-ils ? Ils semblent avoir bu ! Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit, lls m'attrapent, me soulèvent et m'entrainent dans la forêt.
" Ferme ta gueule, ne crie pas sinon on te pète la gueule.
On va te sauter me dit le blond dans un français moyen.
On a pas baisé depuis un mois et on commence à avoir les couilles bien pleines.
Il est de l'est c'est sûr.
" Holà les mecs restez calmes, vous voulez me sauter ok, je vais pas ameuter le coin si vous faites ça bien ! "Ils sont stupéfaits de ma réaction.
" T'es prêt à te faire baiser par trois inconnus sans gueuler me dit un des bruns dans un français aussi moyen " "Si vous êtes bien montés autant que je profite de l'occasion je m'emmerde un peu pendant mes vacances seul sans ma femme, ici pour quinze jours.
"Ils me lâchent doucement cette fois et en un clin d'oeil ils m'ont foutu à poil au milieu de la forêt.
Heureusement le soleil décline mais il fait encore chaud par cette belle journée d'été.
"tu vas voir si on est bien montés " me dit le deuxième brun qui s'exprime un peu mieux que les deux autres.
" On va quand même faire les présentations : lui c'est Richardz il est Polonais, lui c'est Taras il est Turc et moi c'est Omar je suis Marocain.
" " Bien les mecs moi c'est Paul et je suis Belge.
Qui commence ? Je voudrai voir vos queues pour choisir la plus petite en premier histoire de faire le passage." "On a tous les trois de belles queues tu vas aimer et ont sait s'en servir, n'est-ce pas les gars dit Omar en faisant un clin d'oeil aux deux autres qui passent leurs langues sur leurs lèvres.
Je crois que mon acceptation les a un peu dégrisés.
Et ensemble ils dégrafent le haut des leur combinaison qui me parait bien gonflée au niveau de l'entrejambe.
Les combinaisons tombent à leurs pieds.
Putain ils sont à poil dessous et quel spectacle, je ne regrette pas mon kidnapping rien que pour le spectacle.
Trois beaux mecs nus devant moi avec de superbes épaules, des bras musclés (je m'en étais aperçu), des pectoraux er des abdos incroyables.
Trois vrais apollons et au milieu de leurs cuisses musclées de belles paires de couilles pendantes et bien gonflées (en effet ils n'ont pas du les vider depuis un moment)et leurs chibres c'est pas du petit calibre on voit qu'ils travaillent les tuyaux ! Omar et Taras ont deux gros glands bruns comme le reste de leur corps bronzé et bien poilu sous les bras et à partir des hanches, juste quelques poils rasés courts sur leur torse.
Les couilles et le pubis sont rasés court également.
Richardz est bien bronzé également mais lui il est blond, on distingue à peine ses poils qui brillent dans le soleil couchant.
Lui aussi est bien rasé juste ce qu'il faut pour faire ressortir son côté beau mâle.
Il a une queue plus longue mais plus fine que ses potes et son gros gland est caché dans un prépuce bien long (dicton : A prépuce long, belle queue)je crois que je ne vais pas m'ennuyer.
Je suis là devant eux à les admirer, magnifiques sous les derniers rayons du soleil qui traversent les sapins, dans une bonne odeur de résine ( je crois que la résine ne va pas tarder à couler !) "Alors on commence " s'impatiente Taras.
"Vu l'épaisseur de vos braquemards et vos gros glands je crois que c'est Richardz qui est en tête de gondole, après ce sera ton tour Taras puisque tu es pressé et Omar fera la fermeture, d'ailleurs c'est lui le plus gros.
"Taras n'est pas convaincu mais il ne dit rien et attend son tour le regard noir.
Je leur demande de se retourner histoire de mater le verso et je ne suis pas déçu bien sûr.
Ils sont taillés en V et ont de beaux culs bien poilus comme j'aime.
Le cul de Richardz brille sous le soleil.
C'est bon on y va râle Taras " Tu nous a bien maté sous toutes les coutures tu vas déguster maintenant.
(Ils ne savent pas encore que j'ai une petite idée derrière la tête).
Ils se retournent tous les trois et Richardz s'approche de moi la queue bien raide, ils ont profité d'être retournés pour se palucher et les salauds pas leur morceau mais celui du voisin.
Richardz au milieu branlait Taras et Omar et les deux autres le branlaient lui histoire de bien le préparer.
Pas étonnant qu'il est une gaule pareille.
Il me retourne crache dans sa main et commence à me mouiller le cul.
Il faut dire que mon cul est déjà bien humide après toutes ces émotions ! il rentre un doigt qu'il manoeuvre bien.
Un deuxième doigt puis un pour me faire plier et ainsi m'embrocher le cul bien en l'air.
Je veux profiter du spectacle.
J'appelle les deux autres : "Changement de règle vous êtes costaud vous allez me tenir par les bras et les épaules fermement pendant que Richardz m'encule comme ça vous profiterez des vibrations " Ils ne s'attendaient pas à ça ! (vous non plus !) Richardz est vite d'accord et les deux autres sont heureux de participer.
Omar et Taras me soulèvent de terre et me mettent en position un tronc de sapin couché par l'orage fait office de support et il me dépose chacun sur un de leur genoux bras et surtout cuisse bien écartées et relevées vers leur torse bien chaud.
Ils sont prêts pour la démonstration et le Richardz toute pine devant vient titiller ma rosette qui n'attend que ça.
Un dernier crachat et il vient s'introduire dans ma grotte humide (que j'ai bien travaillé déjà depuis le début de mes vacances avec un beau concombre acheté au marché en arrivant.
Le vendeur était surpris de me voir comparer les tailles, tu parles pour lui un concombre c'est un concombre à quelques millimètres près.
S il avait su le salaud il aurait peut-être été partant pour me l'introduire et sa queue après! Surtout qu'il était mignon le paysan et bien gaulé) C'est la fin de la journée mais le Richardz à encore du ressort l'enfoiré et il me lime bien à fond, je sens ses grosses couilles taper contre mes fesses et j'ai le cul bien rempli et tout ça sous les encouragements de ses potes qui profitent bien du spectacle.
Ils commencent d'ailleurs à avoir chaud car je sens de plus en plus leur bonne odeur de mâle en rut et le contact de leur peau bronzée me fait bander un maximum.
Ils veulent m'astiquer mais je les stoppe : " arrêtez sinon je vais jouir trop vite et ça va gâcher la suite " Ils comprennent vite et stoppent tout de suite.
Ils me tiennent fermement et leur copain me fait vibrer un max.
Soudain il se raidit et je sens mon cul se remplir d'un agréable liquide chaud.
Effectivement il avait les couilles bien pleines.
Il va falloir m'aspirer ça sinon au troisième je vais déborder ! Il se retire la bite encore bien raide et hésite.
Il regarde ses potes et envoie une super giclée en leur direction qui atterrit sur la bouche de Taras qui ne se fait pas prier pour lécher le jus de son copain (à mon avis il en connait déjà le goût) Putain quel mec ce Richardz il a de la pression dans les couilles, on voit qu'il s'occupe des compresseurs il a du se les gonfler comme les nageurs de l'Europe de l'Est ! "A ton tour Taras je t'ai fais le chemin t'as plus qu'à te laisser glisser comme quand tu t'occupes des tuyaux dans les canalisations.
" Ok pour le tour de Taras mais ne me lâchez pas.
Richardz rapplique tout de suite je vais te nettoyer la queue pendant que tu me tiendras , mon cul est plein mais je voudrais bien goûter ton foutre.
Il remplace Taras et ne se fait pas prier pour te tendre son mât encore raide le salaud.
Il est plein de sa crème et sent mon cul et surprise : " Mais elle sent la vodka ta sauce, c'est délicieux j'en prendrais bien encore une gorgée " L'enfoiré de Taras qui n'en perd pas une bouchée vient se coller à mon cul et aspire un grand coup le roi des tuyaux et se remplit la bouche du foutre du précédent locataire.
Il se relève et vient me rouler une pelle monumental en me lâchant dans la bouche tout la jute recueillie.
Je déguste en me disant que c'est la première fois qu'un turc me lâche du foutre au goût de vodka dans la gueule.
IL revient se placer derrière moi aspire et me lèche le cul une dernière fois (lui aussi aime le foutre de son copain) il avale le tout avec un air satisfait et présente son gros gland à l'entrée.
Ça beau avoir été préparé par le précédent qui est déjà bien monté là je déguste un peu plus vu la grosseur.
Moins longue mais plus grosse.
Il n'a pas eu à se décalotter car vu qu'il est circoncis comme Omar leur gland est toujours prêt, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige.
Il y va doucement quand même ça m'étonne de lui je pensais que c'était un bourrin mais non il est très doux, il cache bien son jeu et il me fait bien jouir (Bienjouir Monsieur, Bienjouir Mademoiselle, Bienjouir Madame) le salaud il sort, il rentre bien à fond et il tient bien la cadence.
Putain il ne dit rien mais il est endurant ça commence à chauffer malgré le lubrifiant laissé par Richardz.
J'ai le cul bien ouvert et bien rempli pas besoin de cales ! J'espère que j'ai encore de la marge car vu le zob d'Omar je vais déguster.
Il commence a avoir chaud le Taras et je crois qu'il va pas tarder à lâcher sa purée je le sens car il se contracte et dans un grand cri à faire fuir les animaux de la forêt il me largue lui aussi une bonne quantité de sperme dans le cul.
Ça pique un peu il a du bouffer trop de piment ! Mais c'est bon quand même et ça me réchauffe bien les entrailles car il commence à faire frisquet.
J'ai hâte qu'il décule car je veux goûter son foutre.
J'aime bien manger épicé (mais pas en même temps !)Il sort enfin sa belle grosse queue bien enrobée de sa crème et me la tend (pour être tendue elle est tendue) Le salaud il ne débande pas.
J'ouvre la bouche malheureusement à part son gros gland il ne rentre que quelques centimètres.
Je lèche un max et me régale après l'apéro à la vodka.
Plus le goût de mon cul mais une bonne mousse épicée.
Je lui lèche bien la colonne et il y a de quoi faire, ça a coulé sur ses grosses couilles, encore bien grosses ( il doit avoir encore des réserves malgré ce qu'il m'a laissé au fond) je les lèche également, il ne faut rien perdre.
Omar se trémousse pendant ce temps là, il va nous faire une danse du ventre si ça continue.
Il est impatient de me fourrer lui aussi bien profond.
" Bon c'est fini tous les deux ? Taras tu prends ma place? Taras râle et vient remplacer Omar en se collant bien contre Richardz (à mon avis ces deux là sont plus que des collègues de chantier.
Le roi du compresseur à du bien le pomper et l'autre lui a fait bouffer son tuyau) La bonne odeur de mâle en rut embaume l'atmosphère.
Les femelles en chaleur vont rappliquer.
Omar se positionne, hésite puis vient m'aspirer le cul un grand coup, j'ai l'impression qu'il va m'aspirer tout l'intérieur, heureusement que c'est bien accroché.
Je crois qu'il a une petite idée de ses capacités à me remplir le fion.
Il a bien aspiré, il a la bouche pleine et va en faire profiter Richardz qui commence à avoir la bouche sèche.
Il n'est pas surpris du goût qu'il semble déjà bien connaître.
Et le salaud d'Omar en profite pour lui rouler une magistrale gamelle, je me demande même s'ils vont se lâcher et s'il va s'occuper de mon trou du cul.
Remarquez que ça fait une pause après ce que je viens déjà de prendre.
Je finis par croire qu'ils se connaissent bien ces trois là et qu'ils doivent bien s'amuser en cas de chômage technique ou quand ils sont aux intempéries (les mecs du bâtiment comprendront).
Il se décide à le lâcher sans lui tirer un bon coup sur la queue au passage.
Le Richardz braille comme un âne (vu sa queue la comparaison est facile)Omar a décidé de soulager un peu ses potes et pour cela il prend mes jambes et les pose sur ses larges épaules.
Le contact est super agréable, il a la peau très douce.
Mais là ou ça va plus c'est qu'il tend son cul en arrière et tel un trait d'arbalète il vient m'enculer d'un coup sec.
En plein dans le mille ! Et là je pousse un hurlement à me décrocher la mâchoire.
Ses deux comparses manquent me lâcher.
" T'es complètement con tu viens de m'exploser le cul ! " Il me sourit l'enfoiré et me répond : " Je pensais pas être si gros je croyais que ça allait rentrer comme dans du beurre, mes potes sont vraiment des petites bites .
"L'enculé moi qui croyait qu'il était le plus gentil le voilà qui m'éclate le cul et qu'il insulte ses copains (avec qui on partage le pain d'habitude mais là tous les trois je suis maintenant convaincu (c'est le cas de le dire) que c'est leur cul qu'il partagent)Et pendant que je me remets de mes émotions, je suis à moitié évanoui il me fouraille au plus profond sans ménagement.
Il sort complètement attend un peu cette fois et rentre lentement tout en douceur.
Il me fait bien jouir maintenant le salaud et il me fait des clins d'oeil en passant sa grosse langue sur ses lèvres pulpeuses (pas étonnant que le Richardz voulait pas lâcher le morceau).
Il est trop beau le salaud.
Et il rentre, il sort, prend son temps et d'un seul coup sans prévenir il sort son énorme chibre et m'inonde de foutre.
Il m'en envoie partout sur le torse, le visage, je ne vois plus clair, les cheveux.
Ses potes en prennent aussi.
Sa queue ressemble à une lance de pompier pendant un incendie.
Et il crache et il crache.
Je me demande où il va chercher tout ça.
C'est vrai qu'il a la plus grosse bite et les plus grosses couilles que j'ai jamais vu mais quand même.
On va passer du temps à éponger.
Je me trompe car à peine a-t-il enfin terminer d'éjaculer qu'il me dit/ " je voulais pas te remplir le cul moi aussi vu la quantité ça te serait ressorti par le nez , ceci dit tu as un cul qui est trop bon je voulais pas l'exploser encore plus" " Merci pour ta délicate attention " lui dis-je avec un sourire pincé.
" Maintenant il va falloir nettoyer et vous ne serez pas assez de trois " "T'occupe beau gosse je m'en charge " Là-dessus il vient se coller bien contre mon cul avec sa bite et ses couilles pendantes et bien chaudes écarte bien mes cuisses pour laisser passer ses larges épaules et commence à me lécher partout sans laisser une goutte de sa liqueur partout où il passe.
Quel effet putain, j'oublie sa percée de tout à l'heure.
Il monte, il descend, il me lèche un peu le zob au passage, s'introduit dans mon nombril qu'il fait bien reluire, me lèche les tétons me les mordille aussi, arrive sous mes aisselles badigeonnées aussi et facilement accessibles car ses potes me tiennent toujours bien par les bras et le contact de leurs corps bien chauds et de son torse maintenant sur le mien me font bander un max (il a rabattu ma tige au passage pour pouvoir bien s'allonger) il me lèche bien les poils et a l'air d'aimer l'odeur de mes dessous de bras.
Il faut dire que je commence à mouiller pas mal de ce côté-là aussi.
Il remonte le long de mon cou, lèche mes oreilles, me nettoie les paupières, le front, les cheveux.
Sa langue ne chôme pas et régulièrement il avale des petites gorgées.
Il me fait briller le nez et bizarrement ne ma nettoie pas la bouche.
Je suis tout propre sauf la bouche quand il quitte mes cuisses.
Je ne comprends pas et le voit me contourner pour aller nettoyer la queue de ses potes et leur ventre qui a aussi bien été éclaboussé, alors qu'ils me tiennent encore.
Et là alors que je désespère il vient me lécher la bouche et me rouler une extraordinaire pelle me remplissant la bouche de sa semence au goût de mon corps et au goût de la bite de ses potes.
Le salaud il savait ce qu'il faisait et il me ramone la bouche enfonçant sa langue au plus profond.
Je lui chope au passage et la mord bien dans le but de me venger et de ne pas lâcher cette bouche merveilleuse.
Les deux autres s'impatientent même s'ils ont aimé que leur pote les astique bien.
Ils font mine de me lâcher et je comprends que la séance touche à sa fin.
Remarquez que je commence à être légèrement courbatu.
" Allez c'est fini disent-ils en coeur on a bien baisé maintenant il faut rentrer.
Ils me reposent sur le sol.
Ça me fait tout bizarre de me retrouver debout le cul en fleur.
Qu'est-ce qu'ils m'ont mis.
Et tous les trois de me dire : " c'était super tu es un super coup et on regrette pas de t'avoir sauté dessus avant de te sauter.
" "Pareil pour moi les gars.
Vous êtes des super coups, ça on a du vous le dire souvent et j'ai bien apprécié du cul mais la fête est pas tout à fait terminée.
" Là ils me regardent interrogatifs " Qu'est-ce que tu veux de plus, on a terminé.
T'as une réclamation ? Tu étais d'accord pour tout et tu en as bien profité.
" " Bien sûr les mecs mais moi j'ai pas tiré mon coup et j'ai bien envie de sauter l'un de vous trois ! " Là les mecs sont sur le cul, c'était pas prévu au programme.
"Dis-donc tu récupères vite et qui de nous trois tu comptes sauter ? " " Si y a pas de volontaire on va tirer au sort, c'est le cas de le dire " Ils se regardent tous les trois.
Ils sont toujours à poil devant moi et n'ont pas pensé à renfiler leur salopette.
" Ok il faut que tu dégorges aussi, on est pas salauds et tu nous a bien laissé te baiser.
On fait comment ? " "Bah on va tirer à la courte paille " " Et c'est celui qui à la plus grande ou la plus petite tige qui passe à la casserole ? " "Ben, vous choisissez chacun une tige et je décide après" Je choisis trois brindilles par terre de longueur différente et chacun choisi la sienne et le plus étonnant c'est qu'ils se prennent au jeu.
Je ne pensais pas que mon petit jeu allait les intéresser à ce point.
Décidemment baiseurs ou baisés, comme moi ils sont auto-reverse.
" Bon les mecs vous avez choisi votre morceau ? On y va ? Tendez le bras à défaut de tendre autre chose.
" Leurs belles bites pendent maintenant devant leurs belles couilles bien vidées.
Ils sont attendrissant ces trois jeunes branleurs.
Une lueur d'inquiétude et de soumission se lit dans leurs yeux.
Qui va passer à la casserole ? Après tout on l'a déjà fait entre nous dans les périodes de pénurie.
Au moment ou je vais annoncer mon choix leur visage s'éclaire d'un seul coup on dirait presque des anges sur le point d'être introduits (Hi, hi, je pèse mes mots !) auprès de leur Dieu respectif.
" La plus longue bien sûr.
Qui est l'heureux gagnant ? " Dis-je avec un large sourire.
Richardz et Taras renfilent leur salopette pendant qu'Omar lance sa tige et se retourne en courbant son torse.
Bingo j'ai celui que je voulais.
Bien sûr les deux autres m'auraient bien plu aussi Richardz avec son beau cul aux poils dorés ou Taras au beau cul parfumé.
C'est Omar qui va déguster.
" Allez les mecs la fête est finie pour vous, retournez à la camionnette en attendant.
Il faudrait pas qu'on nous la pique dit-il d'un air pas très rassuré " "Salaud on voulait te voir te faire sauter, mais ok on remonte ... tu nous raconteras " " c'est ça, c'est ça allez dégagez " Je me retrouve seul avec mon bel apollon qui maintenant me montre son super cul hâlé et bien poilu comme j'aime.
" On fait comment ?" me lance t-il.
" Et bien tout d'abord retourne toi et regarde moi bien dans les yeux au lieu de regarder ton zob.
Il est trop beau mais tes yeux verts sont beaux aussi.
Tiens tu te remets à bander est-ce que c'est à la pensée de te faire enculer ? Tu voulais pas que tes potes voient ça.
" Là dessus il s'élance vers moi la bite bien raide telle une baïonnette au bout d'un fusil.
" suce moi d'abord " " C'est bien ce que j'avais l'intention de te faire, ta bite est trop bonne, malheureusement trop grosse pour l'avaler entièrement et je reste un peu sur ma faim " "Je sais ils me disent tous ça, j'y peux rien, je vais pas la raccourcir, déjà qu'ils m'en ont coupé un bout.
" Cette fois il rit en me disant ça et j'éclate de rire avec lui.
Il agite sa belle tige sous mon nez et son beau gland sans calotte vient effleurer mes lèvres.
Je ferme les yeux et ouvre grand la bouche pour engloutir ce morceau de choix.
Il commence un va et vient profond pendant que je caresse ses belles fesses rebondies.
Quelle queue, quel cul, quel corps l a vraiment tout pour lui le salaud.
Il est plus doux cette fois il ne veut pas m'étouffer et ne cherche pas à jouir non plus, heureusement car sinon je mourrai asphyxié et même un bouche à bouche ne fera pas revenir à lui le noyer du sperme.
Je lui caresse bien la rosette et il commence à gémir.
" Vas-y maintenant " Il sort son gros zob humide de ma salive et se met à quatre pattes dans les aiguilles de sapin les jambes bien écartées.
" lèche moi bien la rondelle et assoupli-moi bien le trou avant de m'enculer bien profond "Je ne me fais pas prier d'avantage devant ce si beau trésor.
Je me répète mais quel beau cul poilu, j'adore, et j'hésite à m'en occuper tellement je suis en admiration.
" Alors tu y vas ? j'ai hâte maintenant que tu me fasse reluire le cul.
Je t'en prie baise-moi for t " Je ne contrôle plus ma langue qui lèche, lèche et se met en pointe pour s'introduire au plus profond.
J'alterne avec un doigt vengeur (en souvenir de tout à l'heure, serais-je rancunier ?) puis deux puis trois doigts bien humides de l'abondante mouille que je récupère au bout de son gland.
Cette fois les trois doigts entrent bien et ma langue glisse toute seule.
Mon nez est aussi à la fête, quelle bonne odeur de cul de mâle.
Je bande comme un fou, ce cul rien que pour moi.
Il gémit de plus en plus sous mes caresses bien appliquées.
" Vas-y encule moi à fond je n'en peux plus d'attendre tu me fais trop jouir, je vais cracher sans même me toucher.
J'approche mon gland de sa rosette accueillante et je pousse un grand coup (je crois que je suis rancunier)en même temps qu'un grand cri qui couvre son gémissement de plaisir et je rentre au fond de cette grotte que j'aurai cru inaccessible.
Et je vais et je viens et je sors et je rentre.
Je me démène comme un diable.
IL Gémit de plus en plus, il aspire, il souffle.
" C'est trop bon h, encore haa encore, tu me baises trop bien "et moi derrière de prendre un pied d'enfer.
Je n'en peux plus dans un dernier assaut je crache mon venin.
Il ne dit plus rien.
Je sors lentement.
Il se retourne et me roule une grosse pelle.
" Merci je ne pensais pas que tu serais si doué , c'était trop cool, trop top " Brusquement il se lève prend sa queue en main et éjacule à grand cri en direction du ciel.
" Mais qu'est-ce que vous foutiez, qu'est-ce que vous aviez à gueuler comme ça ? et toi attache bien ta salopette on voit ta grosse pine on a l'impression que tu es sur un nuage " Nous nous regardons droit dans les yeux et esquissons un sourire complice.
" On te dépose quelque part ? "me dit Omar.
Vraiment Omar m'a tué (facile celle-là)
DIEGO