J'ai commencé mon travail de moniteur d'auto-école à trente ans chez un patron trois ans plus jeune, marié, sans enfant, qui venait de créer son entreprise. Nous étions que deux à travailler, ce qui a installé un climat de sympathie et de confiance.
J'avais organisé mes horaires - 12 heures - 20 heures - gardant le matin pour préparer un concours. Conscient de préférer les garçons, j'essayais de ne pas mélanger mes envies au contact de beaux jeunes gens, sauf avec un jeune de vingt ans à qui j'avais proposé d'aller voir un film un soir, et en le raccompagnant devant chez lui, nous nous sommes embrassés. Il m'a demandé d'aller ailleurs. Je connaissais un endroit près d'un bois. Nos bouches se sont retrouvées, ma main explorant son entre jambe, pour en extraire l'objet de mon désire. Je ne fus pas déçu, sa queue était longue, droite, un beau prépuce recouvrant un gland non moins agréable. La sucer était un régal. Nous nous sommes revus quelques fois après l'obtention de son permis. Même si lui n'était pas très intéressant, je garde un excellent souvenir de sa bite. Ce fut la seule aventure, même si je fantasmais grave lorsqu'ils venaient conduire en short et débardeur laissant apparaître des formes prometteuses.
L'entente avec mon patron était toujours au beau fixe. Un vendredi soir d'été, il m'invita à manger chez afin de rencontrer sa femme. C'était une forte femme dans tous les sens du terme. En frappant à la porte, il vint m'ouvrir en s'excusant d'être en caleçon et t-shirt, qu'il venait de prendre sa douche. Après le repas, sa femme, prétextant la fatigue, est allé se coucher. Nous étions tous les deux à discuter dans le salon. Assis sur le canapé, il s'était installé en face de moi sur le tapis, les jambes écartées, comme s'il voulait me tester. C'est vrai que les sexes masculins ont toujours été mon fantasme, je trouve qu'ils sont tous différents. Je jetais des regards furtifs au cas où j'aurai pu apercevoir ses boules ou le bout de sa bite. Il n'en fut rien. De mots en mots, j'ai fini par lui demander s'il préférait les garçons.
- non j'aime bien les femmes !
La soirée étant bien avancée, il voulut que je dorme chez lui. Ayant un chien à la maison, j'ai décliné l'invitation pour rentrer m'en occuper.
Une fois, à la fin d'une journée de travail, mon patron était assis à son bureau, alors que je cherchais une agrafeuse dans le tiroir juste à côté de lui, je sentis sa main s'aventurer entre mes cuisses. J'eus un mouvement de recul.
- cela te dérange ?
- seulement surpris.
Il en est resté là. Rentré chez moi, je me posais la question de savoir si je devais le laisser faire ou non. D'un côté je n'étais pas contre me faire tripoter, d'un autre côté c'était mon patron.
Je l'ai laissé faire pour voir jusqu'où il irait lorsqu'il a recommencé, C'était la même scène, lui assis, moi debout à côté. Sa main ne put se retenir de passer sur mes fesses, moulées dans mon jeans. Voyant que je le laissais faire, il la glissa entre mes cuisses pour me caresser les jambes. Ne bougeant toujours pas, de son autre main il m'écarta les jambes afin de passer sa main entre mes fesses pour arriver à ma braguette tout en me tâtant les boules au passage. Le téléphone a sonné, ce qui a arrêté son investigation. Nous en sommes restés là, se séparant en se serrant la main sans rien se dire.
Le matin, je me levais assez tôt pour travailler mes cours. Ce matin là, la sonnette retentit. Juste le temps d'enfiler ma veste de chambre pour aller regarder au judas qui pouvait sonner à cette heure matinale. C'était mon patron.
Je le fais entrer, il me dit :
- j'ai oublié les clés du bureau à la maison (qui était à 25 km), je dois prendre des dossiers d'examen pour ce matin.
Je l'ai invité à s'installer dans le salon, lui proposant, si il avait le temps, de prendre un nescafé. Il accepta, j'ai mis de l'eau à chauffer, posé les tasses. Alors que je versais l'eau chaude sur la poudre, il passa sa main sous ma veste. Je ne pouvais pas bouger, juste lui dire :
- hé ! attention, je n'ai rien dessous.
- Encore mieux me dit-il !
Au point où j'en étais avec lui, j'ai laissé faire. Sa main droite caressait mes fesses, de l'autre il dénouait ma ceinture pour écarter ma veste et découvrir mon anatomie. Je voyais ses yeux brillants de désir. Il fit tomber ma veste. Nu devant lui, je ne bougeais pas. Etonnement, je ne bandais pas, ma verge reposant sur mes testicules pendants qu'il soupesait de sa main. Il caressait mon ventre, mes fesses, jouant avec mon prépuce, saisir ma verge pour tirer sur la peau, faisant reculer le prépuce, dégageant mon gland au maximum, la soulevant pour un examen en détaillé. Le temps passant, il bu son café en me regardant comme s'il voyait une statue. Il s'est levé pour prendre congé avec un sourire de satisfaction, en me disant :
- tu es bien foutu
Pendant la matinée, je me suis posé la question, pourquoi je ne bandais pas, pourquoi je laissais faire cet homme qui ne m'attirait pas plus que ça, étais-je sous son emprise ? Voulais-je avoir des sensations ? La suite m'apportera peut-être une réponse.
L'entreprise grossissant, il avait embauché une monitrice, ce qui rendait plus difficile ses attouchements. Pourtant, un jour où la monitrice ne travaillait pas, à la fin de la journée, la nuit étant venue, après avoir éteint l'enseigne lumineuse, il se rassit à son bureau. Je regardais mon planning pour le lendemain, lorsque je sentis sa main pénétrer dans la ceinture de mon pantalon pour atteindre mes fesses. Je sentais ses doigts arriver vers la raie pour passer entre mes jambes. N'y parvenant pas, il défit les deux premiers boutons de ma braguette, pour faciliter le passage de sa main. En sentant ses doigts toucher mes boules, je me dis qu'il avait réussi. Il éteignit la lumière du bureau. Personne ne pouvait voir ce qui se passait à l'intérieur, alors que nous distinguions les éventuels passants. J'en avais profité pour me reboutonner. Il reprit sa place, me mit face à lui, et un à un déboutonna ma braguette pour faire descendre mon pantalon jusqu'aux chevilles, ôta mes chaussures pour enlever complètement mon pantalon. J'étais en slip, chemise et chaussettes. Il me fit asseoir sur le bureau, caressant mes cuisses en remontant pour passer sa main sur la bosse de mon slip. De ses deux mains il écarta mes cuisses pour atteindre l'élastique du slip, y passer les doigts pour caresser mes boules. Il finit le travail en m'enlevant ma chemise. Il ne me restait plus que mon slip et mes chaussettes. Avec tous ses préliminaires et le lieu, je bandais. Dès qu'il écarta la ceinture, le bout de mon sexe dépassa. En le descendant doucement il me décalottait petit à petit, si bien qu'une fois le slip sur mes cuisses, mon gland luisant surmontait ma verge raide. Il me retourna pour finir de me déshabiller.
Allongé sur le bureau, je pouvais voir le parking éclairé. Un passant s'approcha de la vitrine pour lire les informations. J'étais à la fois inquiet qu'il me voit. Pendant ce temps, mon patron s'occupait de mes fesses sans se soucier du curieux. Il les écarta pour découvrir mon anus. Je sentis une coulée de salive tiède. Son doigt le massait doucement comme s'il voulait le préparer à s'ouvrir. J'avais déjà mis mon doigt, mais celui d'un autre pas encore. Je me détendis en découvrant le plaisir de se faire tripoter au point de lui obéir lorsqu'il me demanda de me retourner. Sur le dos, la tête penchée en arrière, je ne pouvais pas voir ce qu'il faisait, seulement sentir ces gestes. Lui, voyait ma queue raide, mes boules rétractées. Cela ne lui suffisait pas, il releva mes jambes pour soulever mon bassin en me demandant de les tenir écartées. Il avait une vision panoramique sur mon intimité. Je dois dire que j'y prenais du plaisir que mon patron apprécie cette partie cachée.
Il saliva mon anus en y enfonçant doucement un doigt. Me voyant me raidir il dit :
- ça va ?
- doucement lui répondis-je
il repris son travail plus doucement jusqu'à l'enfoncer complètement. Ses mouvements de va et vient augmentaient mon plaisir, surtout que l'autre main me masturbait. Avec un tel traitement, je giclais rapidement sur mon ventre. Il continua à me branler le sexe et le cul jusqu'à ce que ma bite retombe.
Il m'a laissé me relever pour aller m'essuyer. Au passage il m'a donné une tape sur les fesses.
A mon retour, il tenait mon slip pour me l'enfiler. Au niveau de mes boules détendues, il ne put s'empêcher de les tâter encore une fois. Avant de sortir du bureau, je lui ai dit :
- il y a longtemps que je n'ai pas joui comme ça !
- merci pour le compliment.
Plusieurs semaines se sont écoulées avant qu'un soir, alors que mon patron rentrait les motos dans l'arrière salle, il me demande de venir voir sa dernière acquisition. C'était une grosse cylindrée rouge avec un réservoir énorme. L'ayant posée sur la béquille centrale, il me proposa de m'installer pour tester la position de conduite. Assis sur la selle, il fallait que je me penche pour atteindre les commandes, ce qui comprimait mes couilles sur le réservoir. Cela me fit un effet épidermique, puisque je commençais à sentir une raideur dans mon ben.
Mon patron me dit :
- ton jeans te comprime les couilles, tu serais plus à l'aise sans.
- Pourquoi pas !
Je suis descendu de la moto pour me foutre à poil. Il ne pouvait pas ignorer mon état d'excitation. En soulevant la jambe pour remonter sur la selle, dégageant largement mes fesses, il ne put s'empêcher d'y mettre la main pour me peloter les couilles. Pour ne pas m'écraser les boules, je les ai remontées sur le réservoir. Mon patron s'est installé derrière moi sur le siège passager. Il m'a entouré de ses bras pour me titiller les tétons, les roulants du bout des doigts. Le fait de me pencher pour tenir le guidon, cela décolla mes fesses du siège, ce qui ne lui échappa pas et y glisser la main. Il me dit :
- Je vais te faire faire des exercices d'équilibre.
Une fois seul sur la moto, il me fit mettre debout sur les calles pieds. Avec les jambes écartées, cela lui donnait libre accès à mon entre jambe, qu'il mit à profit pour y mettre un doigt.
- tu vas t'allonger sur le dos.
Tout le devant de mon corps était disponible. Il téta mes tétons, tantôt les mordillait, tantôt les aspirait, tandis que sa main s'occupait de ma queue toujours aussi raide.
Maintenant tu vas te mettre à genou sur la selle. Dans cette position, il avait accès à ma raie. Il écarta mes fesses, pour cette fois y mettre la langue. Je ne bougeais pas tellement cela était bon, surtout qu'il mouillait bien ma rondelle qui se détendait. Il y introduit son pouce, sa main enserrant mes couilles. A mes gémissements, ses doigts dilatèrent mon sphincter, il sentait que j'étais près à tout recevoir dans mes entrailles. Sortit de je ne sais où, il avait à la main un gode de bonne taille qu'il présenta à l'entrée de mon trou. Il l'enfonça petit à petit en le faisant tourner. Bien lubrifié, je n'ai pas souffert lorsqu'il est entré au maximum. Il accéléra son mouvement synchronisé à mes gémissements. De sa main gauche il m'a branlé. Avec autant de plaisir je ne pus retenir plus longtemps plusieurs jets de sperme qui atterrirent sur le réservoir rouge. Il dit :
- la voilà baptisée.
- Pour moi aussi répondais-je
Etonnamment, je ne le sentais pas bander lorsqu'il était collé à moi. En descendant de la moto, j'ai pu toucher sa braguette. Rien de dur.
Il eut un mouvement de recul avec un regard méchant. Cela m'a un peu effrayé.
De retour à la maison, j'avais le cul en feu, mais, jamais je n'avais encore vécu un tel moment.
Il disposait d'une piste privée un peu à l'écart de la route, pour préparer les candidats aux différents exercices au permis moto, une épreuve où il fallait pousser la moto sans le moteur, un slalom avec passager, enfin un slalom à allure rapide. Bien que titulaire de la mention moto pour former les élèves, je donnais rarement de cours. Parfois, j'assistais aux leçons que mon patron dispensait à quelques élèves afin de me tenir près si nécessaire. Voyant ces jeunes apprentis motards dans leur jeans serrés, chevauchant cette belle moto rouge, je les imaginais comme moi un soir, nus, leurs sexes reposants sur le réservoir. Tout en les surveillants, mon patron me dit :
- il faudrait que tu t'entraînes au cas où je ne pourrais pas assurer les cours. Comme il fait jours très tard à cette époque, nous pourrions le faire un soir.
- J'acceptais sa proposition.
Mon cours de mise à niveau se déroula un soir du mois de juin. Il m'emmena comme passager. Arrivés sur la piste, j'ai commencé à m'échauffer dans les différents exercices, pendant qu'il prenait des photos. Au cours d'une pause, il me dit qu'il avait une idée :
- si maintenant tu faisais les exercices à poil ?
L'idée me séduisait, je regardais les alentours voir si quelqu'un pouvait me voir. J'ai commencé par enlever mon blouson, et c'est torse nu que j'ai commencé. La légère brise m'excitait, j'ai ôté mon jeans, c'est en mini slip que j'ai poussé la moto entre les cônes. J'étais de plus en plus excité d'imaginer qu'un oeil étranger pouvait me voir dans cette situation. Après une inspection générale de l'environnement pour s'assurer que le paysage était dégagé, il me retira le petit bout de tissus, pour l'accrocher au guidon de la moto et continuer la manipulation, ma queue à l'horizontal. Pour l'exercice avec passager, mon patron en à bien profiter pour me tripoter, me déconcentrant, au point de rater plusieurs portes.
- si tu rates encore tu auras une punition à la fin du cours !
il continua à me déconcentrer, et bien sur j'ai encore raté l'exercice. Deux heures étaient passées, le jour déclinait, j'arrêtai mon entraînement.
- il me semble que tu n'as pas réussi toutes les épreuves, tu seras donc puni.
Il me fit enfourcher la roue avant, puis m'attacha les poignets au guidon. Les jambes bien ouvertes, comme sur une croix. Il recula pour prendre quelques photos. Il revint vers, moi, prit ma queue pour entamer une fellation. Il commença par tirer sur la peau pour décalotter le gland avant de le suçoter et engouffrer ma queue jusqu'à toucher mes poils avec son nez. Il salivait beaucoup, cela dégoulinait sur mes boules. Puisqu'il m'avait puni, je ne le prévins pas, et, au moment où ma queue était au fond de sa bouche, je lâchais mon sirop. Il ne broncha pas, avalant une bonne quantité de sperme. Il avait dû apprécier le goût pour qu'avec sa langue il me nettoie méticuleusement, gobant mes testicules souillés de dégoulinures. Avec une telle éjaculation, ma verge retomba vite. Je lui dis :
- détache moi, j'ai envie de pisser !
- pas question !
J'ai commencé à pisser, le gland recouvert de son prépuce, ce que je ne faisais jamais. Il saisit ma verge pour la décalotter produisant un jet plus fort. S'en servant comme d'un tuyau d'arrosage, il m'aspergea le ventre, les cuisses. Ce liquide chaud sur mon corps me ravissait.
Le supplice terminé, prenant une bouteille d'eau dans le top case, il en bu une bonne gorgée, avant de me rincer là où il y avait de l'urine. Une fois détaché, j'ai fait quelques pas de course pour me sécher.
Je n'avais pas travaillé pour rien, car j'avais réussi mon concours. Je devais quitter la région et mon patron.
Pour fêter cet évènement, il m'invita dans un bon restaurant. A la fin du repas il remit un paquet cadeau et une enveloppe. Il me dit :
- tu ouvriras tout ça chez toi
Arrivé à la maison, je déchirait le papier cadeau. Une jolie boîte contenait le gode qui m'avait défloré. Dans l'enveloppe, un chèque, mon bulletin de salaire avec une mention supplémentaire : " prime pour travaux exceptionnels ", et des photos prisent le soir sur la piste. Heureusement que je portais un casque qui préservait mon anonymat. Une lettre m'expliquait qu'il était impuissant, qu'a travers les garçons, il pouvait imaginer le plaisir qu'il ne pouvait ressentir physiquement, qu'il n'oublierait jamais tout les fantasmes qu'il avait pu réaliser avec moi, qu'il avait une affection toute particulière pour les motos rouges.
Mon éloignement géographique a fait que nous nous sommes jamais revus.
Aurige
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