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En retournant à table, Toni croisa le regard interrogateur d'une de ses connaissances, mais il ne laissa rien paraître. Le jus avait ouvert l'appétit du gamin : tous deux mangèrent en quantité, et il se confia un peu plus sur sa vie à la maison, sa détresse. Toni crut s'étouffer avec le café quand il lui parla de son pied de lit, sur lequel il se faisait le cul tous les soirs depuis longtemps. Cela fit bien rigoler Tommy, qui demanda cash si bientôt il allait l'enculer, que ça devait être incroyable avec la force et les dimensions du barreau. Toni n'allait pas dire non, mais il parla capote en pensant à Miky et Jaco. Tommy comprit et posa des questions à son tour : il crevait d'envie en entendant quelle vie d'autres pouvaient mener. Il demanda s'il avait droit à un dijo pour le consoler ; Toni allait répondre qu'ils bossaient quand il comprit l'allusion à son sperme. Il rit en demandant encore une heure de répit histoire de remplir les réserves. Et de fait, en quittant le premier chantier, deux heures plus tard, Toni n'eut d'autre choix que de se garer à l'écart et de sortir sa teub, prête, pour céder à une nouvelle vidange, aussi délicieuse et gourmande que la précédente. Régalé comme il faut, Tommy profita de cet arrêt pour soulever le pull, lécher un téton, une aisselle et galocher Toni en le remerciant pour le bien qu'il lui faisait. Toni lui rendant volontiers son baiser : ses lèvres pulpeuses étaient une merveille.
A 16h, Pedro et Jérém, les couilles légères, raccompagnaient Miky, le ventre plein, à l'arrêt de bus. Soudain, au bout du chemin qui sortait du campus, Miky le vit ! la silhouette, oui, c'était le colosse roux ! Il lâcha un cri d'étonnement, et dut s'expliquer. Il demanda à ses potes de bien regarder le mec qui arrivait à leur rencontre.
- Beau bébé, dis donc ! tu veux te le faire au moins ? tu viens de manger !
- Ah, tu vois, tu lui suffis plus, t'aurais pas dû te branler hier soir !
- Pfff, vous êtes cons ! mais il est vachement bien foutu, non ?
- Belle bête, c'est clair ; si l'engin est proportionné tu vas te péter les mâchoires !
Tout en riant, tous trois détaillèrent le géant. Pedro et Jérém s'engagèrent à se renseigner : ça sentait le sportif, ça, et l'anglais, donc un échange peut-être. Mais Miky continuerait à les purger ? Bien évidemment, répondit-il, il n'allait pas s'en passer. Dans le bus, Miky se sentit comme la semaine dernière sombrer dans un état de soumission terrible, et en plus du roux, le géant à peau noire Momo se superposait dans ses fantasmes de larvage : tous deux le portaient, se le refilaient pour lui défoncer les trous... Il lui tardait de rentrer se préparer et que Gabin le trouve dans la salle de bain et le démonte comme la dernière fois. C'est là que le Hasard, qui est parfois un dieu du sexe, intervint, et donna à la fin de journée un tour imprévu, et l'attente de Miky, adossé à la baignoire et jouant avec son plug, allait être récompensée par une folle soirée...
Gabin tardait à rentrer car avec Nico et Matt ils discutaient de la soirée à venir, et surtout du lieu. Nico pensait avoir la maison pour lui seul dans 10 jours. Gabin eut beau expliquer que Ben et Rodrigue se moquaient de savoir qui était qui et qui allait tirer son premier coup avec un mec, Nico voulait une forme d'anonymat ; il se proposa pour acheter des masques ou des cagoules (c'était le plus friqué du lycée). L'idée fit son chemin, et tous trois bandèrent en imaginant Miky offert à 7 gars à poil et masqués, et quand Gabin précisa que Miky voulait d'abord que tous viennent dégorger leur jus dans sa bouche, les images, l'ambiance, la testostérone, tout était sur le point de leur faire péter le boxer. Aux détails rajoutés par Gabin (le fait que Miky adore lécher le cul par exemple), les idées et les envies s'ajoutèrent les unes aux autres. Il était presque 18h30 quand ils se séparèrent, et Gabin monta dans le bus, en textotant les dernières nouvelles à Seb, qui avait été obligé de rentrer tôt.
A la même heure, Jaco et Daniel discutaient aussi, et se disaient que ça commençait à suffire de se démoraliser, et qu'ils devraient moins se prendre la tête à cause du " connard ", et de fil en aiguille, parlant de la salle de bain bientôt achevée, du coup de main que pouvait donner Daniel, du repas qu'ils feraient alors, et de la baise qui s'ensuivrait, Daniel demanda pourquoi attendre samedi en adressant un clin d'oeil à Jaco : sa bite venait de se rappeler violemment les délices du cul de Miky. Une fois le coup de fil passé à " la bourgeoise ", les deux hommes partirent du taf avant l'heure, le chef étant lui-même parti, et se suivirent en voiture. A 200m de la maison, Jaco vit son fils finir le trajet à pied depuis l'arrêt de bus, et le prit en bagnole.
Quant à Tony, il perdait toute notion du temps et du lieu, tandis que la langue magique de Tommy lui bouffait le cul depuis un quart d'heure. Le cul posé à la turque sur la bouche de Tommy, qui était allongé à l'arrière du fourgon, il planait et planait, et se disait qu'il ne voulait pas se séparer de ce ptit. Une heure plus tôt, comme ils quittaient le deuxième chantier et que Tommy réclamait un arrêt pipe, Tony avait proposé de passer vite au boulot pour être en avance à la gare et profiter le plus possible sur le parking à l'arrière du fourgon. Ce qui fut fait : à peine montés à l'arrière, le froc aux genoux, ils se dévorèrent les lèvres en se branlant mutuellement la bite, et à peine Tony eut-il effleuré la rondelle de Tommy, trempée !, que deux doigts s'y enfoncèrent aussitôt :
- Oh putain ! t'es chaud !
- Oui ! vas-y, ouvre-moi le cul ! vas-y !
Tommy était comme une femelle en chaleur, et en vingt secondes, il s'était débarrassé du bas, s'était accroché au cou de Tony, médusé, lui avait ceint la taille de ses cuisses et se frottait, bite contre bite, tout en cambrant ses reins pour se faire doigter. Il ne cessait de gémir, de lécher l'oreille de Tony en lui disant à quel point il avait hâte d'être à demain pour qu'il le défonce comme une brute. Autant dire que Tony l'aurait bien fait dès maintenant : non seulement Tommy ondulait des reins à merveille, mais son trou lui-même donnait des contractions sur ses doigts. Et comme il s'extasiait sur sa souplesse, Tommy voulut lui montrer quelque chose : il se mit par terre, la nuque appuyée contre la tôle et une sacoche, le cul offert, une cuisse relevée et tenue sous le genou, une jambe presque levée et maintenue en coinçant le pied contre des manches de pelles, et là... Tony vit le ptit jeune gober son propre gland et suçoter. Il n'avait vu ça que sur des photos, il y a très longtemps ! Il se jeta aussitôt sur le trou, qu'on ne pouvait mieux offrir et le lui bouffa voracement. Tout en ouvrant ce cul à la langue, il fixait le spectacle ; Tommy l'aurait bien fixé aussi, si le plaisir n'avait pas été aussi grand, démentiel, et son regard se perdait, et il se tétait d'autant plus. Quand Tony commença à vraiment le baiser avec les trois-quarts de sa langue, les couinements furent très intenses, ainsi qu'un coup d'oeil de ce beau visage crispé, et ce fut une première pour Toni : la langue plantée dans ce trou avide, il sentit la rondelle la lui serrer spasmodiquement, il vit les gonflements de la bite remonter jusqu'aux lèvres assoiffées : le gosse s'autodosait ! On ne voyait plus que le blanc de ses yeux tandis qu'il avalait son jus... Le gland de Toni suintait jusqu'au sol...
Quand le jeune se remit, il fallut bien lui avouer qu'il n'avait jamais vu ça, et qu'il avait bien apprécié le show ; mais le gourmand n'avait pas fini : vif comme l'air, il était déjà derrière Toni, s'allongeait, et lui disait de poser son cul sur sa bouche. Lui écartant encore plus les fesses, Tommy se régalait très bruyamment (un ogre !) de cette raie et de ce trou, qu'il ouvrait de plus en plus : aux premières muqueuses, Toni délirait presque ; il se serait touché la bite il aurait juté aussitôt. Au bout de 10mn il voulut se relever pour se vider les couilles, mais Tommy le retenait et le bouffait encore ! Et l'heure ? et le train ? Mais la bouche insatiable ne faisait que des bruits de succion et de lèche, sans répondre. Toni, emporté par les décharges électriques qui se diffusaient partout en lui, avait par flash des idées de garder ce jeune avec lui, de l'emmener à la maison, d'en faire un peu son Miky comme Jaco l'avait fait... Il ne s'était rendu compte de rien (à 10000 pieds, normal), mais un cri l'arracha à ses délires, car Tommy venait de jouir, un quart d'heure après son orgasme nourricier !, et en se tournant pour se remettre à genoux et le voir (pas facile les cuisses endolories), Toni vit en effet le ventre arrosé de foutre, et Tommy rayonnant et suant. " Donne ! " lui dit simplement le jeune, et Toni se pencha au-dessus de lui, lui enfonça sa bite dans la bouche et poussa. Comme Tommy lui offrait bien sa gorge ! il basculait la tête, et Toni passa les amygdales en grognant. Il vit la bosse de son gland, ce qui le rendit fou : il posa sa main sur la gorge et lima à fond, mais peu de temps car c'en était trop : il gueula comme pas possible, arrosa une première fois l'oesophage, et à un mouvement de Tommy, recula sa bite, pour finir de décharger : " ohhhh putinnn ! salooope ! " ; son jus lui brûlait la bite en remontant, et il explosait. Tommy prenait un tel pied qu'il aurait pu se remasturber dans la minute ; mais il se contenta de recevoir ce jus de mâle, encore très abondant, et vraiment délicieux. Alors dès que Tommy redressa le torse, Toni s'agenouilla derrière lui et l'enserra dans ses bras, lui disant comme ça avait été bon. Le train, bien sûr, ne les avait pas attendus... Toni lui proposa alors de dormir à la maison ; il n'y avait pas à réfléchir pour Tommy : il avait tout à y gagner ! Il appela sa mère, et même Toni entendit par derrière la voix tonitruante du père. Mais ça ne pouvait rien changer : victoire ! Aussi, après bien des baisers, après s'être redonné une contenance, les deux regagnèrent la maison, planant de bonheur. Mais Toni dut quand même expliquer que c'était une maison assez particulière... on s'y échangeait beaucoup de plaisir... Tommy avait bien compris, dès le midi au resto, et il ne pouvait rêver mieux.
Ainsi, le Hasard du sexe fit que, au moment où Miky trompait son excitation à force d'attendre en lançant le repas, nu avec son plug dans le cul, Jaco, Daniel et Gabin, Tommy et Toni, arrivaient à la maison... En entendant deux voitures se garer, il se dépêcha d'enfiler un ptit short et un marcel, et redescendit à la cuisine...
mike
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