Trois mois que Bertrand me pine régulièrement. Pas facile de trouver un mec en osmose totale sur le plan sexuel. Il habite à 30 minutes de voiture de chez moi, mais ça ne l'empêche pas de venir tirer son coup quand il a un trop plein dans les couilles. Il connait mes horaires d'embauche et ce n'est pas rare que je le vois cloper devant ma porte quand je me gare le soir. Toujours le même rituel. Je passe devant lui comme si de rien n'était et à peine rentrer chez moi je vais lui chercher une bière pendant qu'il s'installe sur le canapé. Pas de banalités. Il allume la télé, vire pantalon et boxer et commence à se branler pour que quand je le rejoigne en jock ou string elle soit déjà prête à l'utilisation. Je lui gobe aussitôt la queue et commence à avaler le maximum. Pas facile avec ses 20cms assez larges. Il se laisse faire sauf les rares fois où il pose sa main sur ma tête pour me l'enfoncer jusqu'au gosier ou me piner la bouche. J'adore cette sensation de n'être qu'un trou. Bien que souvent à ses genoux, j'aime aussi me foutre à 4 pattes près de lui pour qu'il puisse jouer avec mon anus en même temps. Deux doigts dans le cul, je salive bien mieux sur sa queue. Il le sait et j'ai le droit à un " vas-y salope, elle est à toi " à chaque fois. Quand sa bière est vide et qu'il a besoin de s'occuper la bouche, il me soulève la jambe de ses bras musclés et vient me mettre en 69 au-dessus de lui pour jouer de la langue dans mon fion pendant que je continue à téter. Je suis tellement ouvert dans ces moment-là qu'il rentre facilement un bout de langue dans mon trou. Je suis totalement à sa merci et il le sait. Quand il me sent prêt à l'accueillir il m'avance les cuisses. C'est le signal pour que je vienne m'empaler sur sa queue, mains sur ses cuisses, genoux relevés, je m'asseye d'un coup sur sa tige jusqu'à toucher son pubis, ce qui le fait pousser un cri de contentement. Je commence à me limer sur toute sa longueur, à gémir comme la pute que je suis. " oui, défonces toi, fais toi du bien, écartes tes fesses que je vois ma queue dans ton petit trou de salope ". Je n'en peux déjà plus de ces mots qui m'excitent au plus haut point. J'accélère la cadence, serrant mes sphincters sur sa tige, je vais et viens en haletant de tout mon saoul. Quand mes jambes ne me soutiennent plus tellement je jouis, il prend la relève, attrapant mes hanches et me pistonnant le fion. Je gueule de plaisir tellement il tape fort. A son tour il s'épuise dans cette position, relève son torse pour m'attraper par les aisselles et sans sortir de moi, me soulève et me place à genoux sur le canapé pour cette fois ci me baiser debout derrière moi. " C'est ça que tu veux hein, te faire baiser comme une vraie chienne " C'est à peine si je peux répondre tellement j'en prends plein le fion. Je ne suis plus qu'un corps soumis à son plaisir, qu'un long gémissement qu'il fait taire en mettant sa main sur ma bouche et profiter ainsi de me l'enfoncer encore plus loin. Il touche le fond de mon rectum à chaque coup, un mal qui me fait pourtant gémir, que je recherche en me cambrant encore plus. Et puis ses coups commencent à devenir plus irréguliers, moins droits, moins profonds. " Oh putain, je vais jouir, je vais te remplir la chatte ". Sa queue tressaute en moi, je sens des giclées de sperme me tapisser l'intérieur du cul. Ca ne semble pas s'arrêter. Il reste en moi le temps de reprendre le contrôle de son corps puis se retire doucement jusqu'à laisser un grand vide en moi. Mais déjà il me remet des doigts. " Vas-y chies mon sperme que je te le fasse bouffer ". Ce que je fais aussitôt. Je pousse son sperme hors de moi. Il coule sur ses doigts et il me les donne à lécher. J'aime ce mélange de sperme, de salive, de fluides de dilatation. On recommence cette dégustation deux trois fois encore. " Allez, viens me laver la queue maintenant ". Je me retourne et me mets à genoux devant lui, attrape sa queue et la décalotte pour faire sortir les dernières gouttes de son nectar. C'est quand elle est bien nettoyée que je me rends compte généralement que mon sous-vêtement est tout poisseux de sperme. Je suis tellement concentré sur mon plaisir anal que je suis incapable de dire quand j'ai juté.
D'habitude, il se rhabille et s'en va, mais pas ce soir-là...
Pigsuit
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