Ce mec, je l'ai rencontré au moment où je ne m'y attendais pas. Celui où, tu te demandes : est ce que tu vas finir par trouver un mec normal, simplement normal. Pas un efféminé, pas un parano, pas un narcissique, pas un bodybuildé, non juste un gars normal, un mec quoi...
J'étais en vacances au bord de la mer, vers le grand ouest, je ne vais pas dire le nom de l'endroit, il faut bien que je garde des secrets.
Je travaille en région parisienne et honnêtement je déteste ça. Ma famille m'héberge quand je descends en province. Pour l'occasion j'avais loué une voiture, un vrai pot de yaourt.
Un après-midi, j'ai décidé d'aller dans mon endroit préféré. C'est une réserve d'oiseau et à côté, il y a un petit port. Un truc tout mimi, quand j'y vais je respire je me vide la tête.
Après avoir marché sur la plage, je me suis décidé à aller dans un bar histoire de me désaltérer et de flâner. Pas grand monde au port, vraiment pas grand monde. Je suis rentré dans un bar qui avait une vue sur l'océan. Je me suis installé près de la grande baie vitrée, il y avait du vent et le temps n'était pas au beau fixe.
" Bonjour, qu'est ce que vous prenez ? "
" Heu, un chocolat chaud, svp "
Je n'ai même pas regardé le serveur, tellement j'étais perdu dans mes pensées.
" Et voilà. "
" Attendez, je vous dois combien ? " Je me suis baissé pour récupérer mon porte-monnaie dans ma veste, en me relevant j'ai vu un jeans devant moi puis suis arrivé à hauteur d'une grosse ceinture en cuir marron. Après il y avait un sweat rayé blanc et noir, une marinière. J'ai continué de regarder plus haut. Et là j'ai capté ses yeux. Nom de dieu, il avait un de ces regards. Je ne parlais plus. Il avait du chien le mec ! Un charme pas possible. Pas forcément un dieu grec, mais un dieu qui m'allait très bien. Barbe de quelques jours, des cheveux court en vrac, des avant-bras poilus. Il était trapu, petit gabarit mais costaud. Un physique de rugbyman.
" Celui-là, faut que je me le fasse " me suis-je dis dans ma tête.
Je lui ai payé le chochoc. Il est retourné derrière son comptoir.
Et là, a commencé le jeu, j'ai senti que j'ai rougi comme pas possible en le regardant. Je regardais son reflet dans la baie vitrée. Aie Aie.
" Mais qu'est ce que j'ai ? " et ma petite voix intérieure m'a dit " tu as envie de cul ".
" Vous êtes en vacances ? ", m'a-t-il demandé, me coupant ainsi dans mes rêveries.
Il était à nouveau à côté de ma table.
- Heu oui.
- Vous êtes d'où ?
- Bah je suis de xxxxx mais je travaille à Paris et j'en ai ma claque.
- Ha je vous comprends, j'y ai travaillé un moment.
- Vous êtes revenu dans votre pays donc ?
- C'est pas mon pays ici, je suis basque ?.
Nom de dieu un basque en plus.
- Bah pourquoi vous êtes ici alors ?
- C'est l'ami d'un ami qui m'a proposé ce taf .
La discussion a duré un moment, un délicieux moment.
Ayé je suis tombé sous le charme. Mon côté fleur bleue à encore frappé.
Moi, 35 ans, brun, les yeux bleus, plutôt trapu aussi, 1m75. Mignon, mais j'ai un manque de confiance en moi énorme qui me fait douter de mes charmes.
Lui, j'ai appris qu'il s'appelait Vincent.
Nom de dieu encore un vincent, généralement, les vincent ne me réussissent pas. Le dernier m'a jeté comme une merde, si je le recroise un jour, je lui collerai mon poing dans la gueule. Mais je m'égare.
Donc après avoir passé 2 heures à parler, mon téléphone a sonné. Une tante à la con est tombée en panne avec sa voiture, elle me demande de l'aide. Je la maudis cette tante.
Donc j'ai quitté Vincent, il m'a dit " tu repasses demain ". Vous noterez le " tu ". En plus, il sentait un peu la transpiration, et ça je ne sais pas pourquoi mais je kiffe un max, l'odeur de mec whaou.
" Oui pourquoi pas ". Et j'ai dégagé mon plus beau sourire, celui dont je me sers pour attendrir mes patients.
La nuit qui a suivi, j'ai défoncé mon coussin tellement j'ai fantasmé sur Vincent, j'en ai mis partout. ;)
Le lendemain, je suis retourné dans le bar, pas grand monde en cette basse saison.
" Ha ça fait plaisir de te revoir " m'a-t-il lancé.
Mamamia, je rêve que je lui saute au cou et je lui roule une pelle comme pas possible. Non restons digne. Restons sobre...
" Oui, j'avais envie de te .. Enfin de te revenir, enfin de... " Oui j'ai cafouillé grave, une vraie truffe.
- De me revoir, quoi ? a-t-il dit sur un ton tranquillou et diablement sexy avec sa voix.
- heu, oui. Je me suis trouvé con.
- Tu viens, je ferme le bar, j'ai pas eu un client aujourd'hui et j'ai envie de te montrer un endroit.
Ohla la la, j'ai chaud dans le boxer.
Et là on a marché, on a parlé de tout et de rien, il m'a emmené sur une plage dans un endroit enchanté, mouettes, bruits des vagues, vent.
On s'est assis sur le sable. Il m'a regardé droit dans les yeux, je l'ai regardé droit dans les yeux. Et là mon côté timide s'est évaporé. J'ai rapproché mon visage du sien.
- Enfin tu te décides. m'a-t-il dit en souriant.
- T'es vraiment un comique !
- Oui, mais un comique qui craque sur toi.
Il m'a... enfin, on s'est embrassé.
Comme dans les films, un truc sexy chaud.
Sa langue a bon goût. Je lui ai dit " tire la langue ".
Et j'ai sucé sa langue, j'adore. Il a adoré aussi. On s'est caressé comme des fous.
- J'ai envie de toi ! a dit Vincent
- Je couche jamais au premier rencard ".
Il a rigolé, et on s'est embrassé.
Et là des gens sont arrivés sur la plage. P.... de bordel de m.....
" Allez je t'offre un verre ".
Je lui ai répondu " C'est pas d'un verre dont j'ai envie ".
" Je sais, moi non plus ".
Sur le chemin du retour, on s'est frôlé, on s'est palpé l'entre-jambe en rigolant. Un pur moment de bonheur.
Comme la nuit tombait. Il a dit " ce soir, je ferme le bar, et on va baiser ".
J'ai rigolé, j'aime bien ce genre d'humour.
On est monté à l'étage, on a mis 10 minutes à monter l'escalier, je l'ai respiré, on s'est avalé nos bouches goulument. On avait envie de sexe.
" Ya personne ici, je suis seul ".
C'est utile de le savoir car j'ai tendance à être très expressif quand je baise, en clair, y a du bruit.
Arrivé dans l'entrée de son appart, enfin de sa grande chambre, on s'est déshabillé ni une ni deux.
Il est trapu comme il faut, poilu en plus, je craque. Il m'a dit alors " waouh joli petit cul ".
" il n'a pas beaucoup d'heures de vol donc vas y mollo ".
Son odeur de transpiration, m'électrise, c'est dingue.
Niveau queue : nos morceaux sont quasi identiques du 18 cm bien épais.
Il m'a plaqué sur le lit et direct à avaler ma queue. J'ai gueulé.
Une bouche a taillé des pipes, j'ai caressé ses cheveux, j'en pouvais plus.
" Allez à ton tour, suces ! "
J'ai attrapé sa queue, miam, avec des veines saillantes et un bon gros gland. Un régal. J'ai plutôt tendance, au début, à sucer doucement. Il a gémi. " ha c'est bon ! ".
J'ai souri et je l'ai sucé de plus belle.
Vincent a dit " t'es une salope toi ?! " quelque part ça m'excitait qu'il me dise ça mais étant versatile je lui ai dit " Hum, je pense que toi aussi ! " Il a souri et m'a embrassé.
" Tire la langue ", il me l'a sucé. Lol
- Attends faut que je m'occupe de ton q maintenant !
Vulgaire le gars mais j'adoreeee.
Il m'a fait me retourner. Et là, et là les gars ! J'ai eu droit à bouffage de cul comme jamais.
Un truc de fou. Oui j'ai crié. J'ai eu comme une décharge électrique à chaque titillement de mon cul. Mon coeur battait comme pas possible. Il jouait avec ses doigts, sa langue.
- Putain que c'est bon, j'ai dit.
Il m'a embrassé, j'ai senti l'odeur de mon cul dans sa bouche, drôle d'impression mais pas déplaisant. Il m'a regardé dans les yeux et a dit :
- J'ai envie de te baiser.
- J'ai envie que tu me baises, je lui ai fait un clin d'oeil.
Il a saisi une capote dans sa table de nuit.
On s'est embrassé.
- Après c'est à ton tour d'y passer. Lui ai je dis.
- Suis actif moi.
- Avec moi tu seras aussi passif. Je sais être persuasif quand je veux.
- T'as intérêt d'y aller doucement.
- T'es puceau du cul ?
- bah on va dire que oui.
- maintenant que tu m'as dit ça j'ai qu'une envie c'est de te prendre.
- d'abord à moi !
Je me suis allongé sur le ventre, il m'a rebouffé le cul. J'ai encore gueulé, lol.
Et là je l'ai invité, je me suis cambré en arrière, je me suis mis à quatre pattes.
Je l'ai regardé, il m'a souri :
- Ce cul, waouh.
- qu'est ce que t'attends ?
Il a frotté sa queue sur mon trou. Il n'arrêtait pas de cracher dessus, ça glissait tout seul.
Et là, il y a le moment où le gland passe le sphincter et après c'est bonheur total.
J'adore quand il est sur moi. On transpire comme des malades. Il frotte son torse poilu contre mon dos. Et je sens ces couilles taper contre mon cul.
" Putain que c'est bon ! ".
Il m'allonge sur le lit, il est sur moi et dans moi, je gueule de plaisir. Il m'embrasse le cou. Puis on se roule une pelle. Il sort sa queue et le rentre à nouveau.
" Salooooo ", Vincent rigole.
Il lance " je vais pas tarder à venir ! ".
Et là avec mon regard de chienne, je lui dis " tu vas voir ce que tu vas prendre après ".
Il était en train de me tringler. Une tape sur les fesses, une autre. Il me saisi la queue.
- Je vais te faire juter comme ça tu ne pourras pas me prendre.
- Tu peux toujours essayer, je suis long à venir.
Et là, il décule et enlève la capote. J'ai juste le temps de me retourner, qu'il jute sur mon torse.
Le jus vient se mêler à mes poils. Cinq rasades. Il m'embrasse. Il est sur moi et là hop je tape sur son cul. Il a un cul comme j'aime un cul de mec viril et bien charpenté avec du poil en plus. Lol.
On a rit comme des gamins, embrassé puis ri, on collait de partout.
- Je prends des forces, en lui indiquant avec mes yeux ma queue au garde-à-vous.
- T'as trop envie de m'enculer toi ! m'a-t-il dit en rigolant.
J'ai souri et je lui ai " Oui ".
A suivre...
Tomy35
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