Je m'appelle Guillaume. J'ai 19 ans et je suis le fils unique d'une famille catholique et assez conservatrice. Mes parents ne savent pas que j'ai un penchant particulier pour les hommes, et c'est très bien comme ca.
Ils sont donc croyants et vont à l'église tous les dimanches. Depuis l'été 2015, la crise des migrants s'est accentuée, et les prêtres dans les églises ont été invités à proposer aux fidèles d'accueillir des migrants syriens chez eux. C'est ce que mes parents ont fait. Pour le meilleur et pour le pire visiblement.
Le 23 octobre, nous voilà donc en route mes parents et moi pour l'église afin de chercher les deux réfugiés syriens qui doivent venir habiter chez nous. A notre arrivée, le prêtre nous présente deux hommes, je dirais la quarantaine, typés orientaux. Ils ne se ressemblent pas plus que ca.
"-Ah bonjour. Voici donc Ahmed et Tarek. Ils ne parlent pas français, uniquement arabe et anglais. Je vous les confie. Que Dieu vous garde."
Sympa le prêtre, pas tres bavard. Enfin bon je réfléchis pendant que mon père leur montre la voiture et charge les maigres bagages dans le coffre. Mes parents ne parlent pas anglais, je suis donc le seul à pouvoir faire l'intermédiaire. Ca va être l'éclate totale ... En voiture je me retrouve donc derrière entre ces deux hommes virils. Le contraste est assez grand, entre les deux mâles barbus et moi, petit minet maigre sans un poils de barbe avec encore une peau de bébé. Ils sentent assez forts, visiblement le prêtre ne leur a pas proposé de douche depuis un bout de temps. J'avoue que c'est pas du tout mon genre d'homme, donc je ne fantasme pas sur eux.
Ma mère dit alors :
"- tu sais Guillaume, ils vont dormir dans la chambre d'amis, mais tu vas devoir partager ta salle de bain avec eux."
Et merde, j'y avais pas pensé à ça.
Les jours ont passé, ils logeaient à la maison sans vraiment être présent aux activités familiales. En fait, on ne les voyait pa beaucoup, ils passaient leur temps dans leur chambre ou dehors à sortir en ville.
Un jour, je me suis retrouvé seul dans l'appartement. Je n'avais pas baisé depuis longtemps et je bandais pour un rien. J'ai eu une envie de me branler assez forte. Je suis entré dans la chambre des syriens. Et ce que j'ai vu m'a excité au plus haut point. Des affaires sales partout sur le sol, et notamment des slips sales par terre. Je me suis assis sur leur lit et j'ai reniflé un slip qui avait été blanc. Il était plutôt jaunâtre maintenant, et il sentait très fort. Des traces de pisses, des poils noirs, et une odeur de jus et de pisse. Il ne m'en fallu pas plus pour me filer une gaule d'enfer. Ma bite de 14 cm en érection était dur comme jamais tandis que je reniflais. L'idée de poser mon nez et ma langue là où ces hommes avaient mis leur bite était tout bonnement jouissive. Je me branlais énergiquement jusqu'à cracher mon jus dans ma main. Evidement je le léchais pour ne pas en perdre une goutte. J'adore le gout du sperme, le mien particulièrement.
Souvent j'ai refais cette expérience tandis que j'étais seul à la maison. Tout du moins je pensais être seul. Un jour, Tarek est entré discrètement dans l'appartement et a passé sa tête par la porte. Il m'a vu avec son slip sur le nez et ma bite dans ma main.
La conversation qui suit a eu lieu en anglais, mais je vous la traduit.
"-qu'est ce que tu fais là ? T'es sérieux à renfiler mon slip ? Ah mais en fait t'es un petit pd ? Je le savais en te voyant marcher comme une meuf dans ton jean hyper serré !
J'essayais de me justifier.
- Non mais je voulais voir si ton slip était sale pour le mettre à la machine.
- C'est ça prend moi pour un con. Je t'ai vu, et j'ai pris une photo avec mon portable. Tu veux que tes parents soient au courant de ce que tu fais ?
- Non s'il vous plait, pas ça. Je ferai tout mais pas ça. Dis-je en sanglotant.
- Putain et tu pleures comme une meuf. Tu sais, j'ai pas baisé depuis longtemps, alors tu vas commencer par me sucer la bite."
Je tentais de refuser, mais il s'est approché et m'a forcé. Je ne faisais pas le poids, je pèse 50 kilos, lui beaucoup plus. Il m'a colé ma tête contre son paquet, et même à travers son jean je pouvais sentir une odeur particulièrement excitante. Il a baissé son jean et son slip en même temps et sa lourde et grosse bite est venu taper contre ma joue. Je me suis pris une espèce de biffle sans que ca soit vraiment volontaire.
Sa bite était grosse, circoncise, et beaucoup plus imposante que mon petit zizi. J'ai alors ouvert la bouche sans trop savoir pourquoi j'obéissais, et j'ai sucé. C'était pas ma première fois loin de là, je suis gay donc j'ai déjà couché mais quand même. Ce mec me répugnait, mais sa bite m'excitait.
J'ai sucé docilement, jusqu'à ce qu'il éjacule partout sur mon visage et sur mes cheveux blonds. Je l'ai vu prendre une photo de mon visage souillé.
"- Ca c'est la preuve que t'es une salope. Si tu m'obéis tes parents ne verront rien. Mais Ahmed doit être au courant maintenant.
J'étais trop sonné pour répliquer quoi que ce soit.
-Aller dégage de ma chambre."
Plus les jours passaient, plus j'étais excité en repensant à ce qui venait de se passer.
Mes parents partirent pour une semaine en Italie. J'étais donc seul avec mes deux syriens dans l'appartement. A peine mes parents eurent-ils fermé la porte d'entrée, que Tarek gueula dans tout l'appartement :
"- Guillaume ! Viens ici !
Je me dépêchais de le rejoindre.
Il était là avec Ahmed. Ils parlaient en arabe, je comprenais rien du tout.
-Deshabille toi ! me lança Ahmed.
J'obéis jusqu'à me retrouver nu comme un ver.
- Putain regarde sa petite bite ! Il est ridicule, on dirait même pas un garçon.
- T'as raison, il est comme tous les européens.
Et ils rigolaient entre eux, j'été humilié et rouge de honte.
Ce jour là j'ai du les sucer, mais également me faire enculer et boire beaucoup de jus.
Mais ce n'était pas terminé. J'ai du leur préparer à manger, leur lecher les pieds, les aisselles transpirantes et devenir leur boniche.
Au fond j'aimais ça, être un larbin. Le lendemain, ce fut la même chose, si ce n'est que maintenant je n'avais plus le droit de m'habiller dans l'appartement. Je devais être nu tout le temps. Et puis Tarek a fouillé dans ma chambre et il a trouvé de l'argent. Il l'a pris, volé en quelque sorte. Mais je n'ai pas bronché. Le Lendemain il m'ont demandé d'aller à la banque pour retirer de l'argent. Je l'ai fais, et j'ai du leur donner.
Cette semaine fut éprouvante, je n'ai presque pas dormi, ils ne se lavaient plus, ils étaient sales et moi j'obéissais. Je faisais le ménage, la lessive, le repas, les courses, et je devais leur donner 50 euros par jour à chacun. Ils avaient des photos et des vidéos de moi, je n'avais pas le choix.
Ils m'ont même rasé entièrement, m'ont craché dessus, et une fois même pissé dessus.
J'étais humilié, mais à ma place de pute à migrants.
J'espere que vous avez apprécié.
C'est en partie une histoire vraie.
GuillaumeLyon
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