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Premier épisode | Épisode précédent

Domination par Stéphane
mon futur mari

Chapitre 08

Dernière mâtinée de travail avant mes vacances sport
et week-end chez Stéphane 1

Vendredi 6h30, mon réveil sonne, putain déjà. J'aurais encore bien dormi deux ou trois heures moi. J'ai mal partout et je suis toujours dans les bras de Stéphane qui dort toujours, je ne sais pas bouger sans le réveiller, sa queue est toujours plantée dans mon cul endolori. Je dois me lever donc je me remue pour me dégager et forcément il se réveille.

Stéphane : Pourquoi tu bouges ? On n'est pas bien là ?

Moi : Je dois me lever pour aller bosser, il 6h30.

Stéphane : Déjà, putain faut qui j'y aille aussi, j'ai du boulot. Il prend le téléphone de la chambre. Rose, pouvez-vous nous faire du café et du jus d'orange, nous descendons dans 20 minutes.

Rose : Le petit déjeuner est presque prêt monsieur.

Stéphane : Vous avez fait à déjeuner Rose ?

Rose : Oui monsieur, comme monsieur Patrick logeait ici, je me suis dit que vous désireriez déjeuner.

Stéphane : Vous êtes parfaite Rose.

Sur le temps qu'il téléphone, je suis sorti du lit pour un besoin naturel et pressant. Il passe devant et entre dans la douche.

Stéphane : Tu viens ?

Moi : Pas tout de suite, je dois me raser.

Stéphane : Moi ça peut attendre demain.

Je me rase en vitesse en essayant de ne pas me couper et je le rejoins sous la douche, il a fini de se laver, moi je me rince un coup et je sors. Nous nous habillons et je me recoiffe correctement. Il ne me reste qu'à mettre mon veston ainsi que ma montre et mes chaussures. Stéphane viens vers moi.

Stéphane : Tu peux faire mon noeud de cravate ?

Moi : je vais essayer mais je ne suis pas un expert en la matière.

En fait, je sais les faire sur moi mais pas sur les autres, enfin, je m'applique et y arrive. Avant de sortir de la chambre je reprends mes affaires, enfin une partie, le reste peut rester ici puisque je vais revenir, et je me regarde dans la glace pour voir si je suis parfait.

Stéphane : Tu es magnifique dans ton nouveau costume. Je n'ai pas bien fait de te faire changer hein ? Tu es mieux ainsi, tu fais plus mon homme.

Moi : Oui, je me trouve mieux, changé même ! Depuis samedi dernier et le fait de t'avoir rencontré, je me sens plus épanouis. Mais il faudrait savoir ... Je suis ton homme, ta petite femme, ta pute, ta chienne, ta salope ou ton esclave sexuel ?

On éclate de rire ensemble ....

Stéphane : Tu es l'homme que j'aime, le reste c'est pour le sexe .... Bon on descend, on déjeune et on fout le camp pour ne pas être en retard.

Nous descendons et prenons le petit déjeuner préparé par Rose qui, au passage, me remercie pour la cuisine et la vaisselle.

Stéphane : Rose, euh, pourriez-vous faire la chambre à fond aujourd'hui et changer le lit, nous avons eu une nuit mouvementée si je puis m'exprimer ainsi. Il faudrait faire la salle de bain aussi.

Rose : Bien monsieur, ce sera fait. Dois-je prévoir le repas du soir ?

Stéphane me regarde.

Stéphane : Tu loges ici ?

Moi : Ben j'ai fini au boulot à midi je passe chez moi prendre mes affaire de sport, je serai au club à 13h00. J'en ai pour deux heures et demi, ensuite je retourne chez moi il faut que je consulte mon compte en banque et mes emails. Ensuite, je passe chez ma mère mais après je n'ai en principe plus rien à faire donc oui, je peux venir loger sans problème. Il faut juste que je me fasse un sac pour venir.

Stéphane : Rose, nous mangerons ici ce soir 19h30. Ça va pour vous ?

Rose : Oui monsieur.

Stéphane : Amènes un peu plus de vêtement ici si tu veux, ou je demande à Christian de te constituer une garde-robe pour ici. De toutes façons, je passe chez lui après avoir quitter le garage à 16h00. Nicole dois me faire mes soins. Je vais lui demander qu'il te fasse une trousse de toilette pour ici comme ça tu ne devras pas toujours tout déplacer. Ce serait plus simple si tu venais t'installer ici, mais tu as le temps.

Moi : Tu fais comme tu le sens, de toute façon, si même je te dis non, tu le feras tout même.

Stéphane : Tu as tout compris mon chéri. Bon on y va ?

Moi : Oui.

Stéphane : Rose nous partons. A ce soir.

Rose : A ce soir messieurs.

Je prends ma voiture et je file au bureau, Stéphane en fait de même. Une fois arrivé, je prends mes dossiers, un café et file dans la salle de réunion. Mon patron y est déjà, pourtant je suis en avance. Nous repassons ensemble tous les dossiers pendant deux heures. Au passage, la secrétaire viens me déposer le courrier et un message " téléphone moi quand tu as deux minutes c'est urgent merci Stéphane ". Je demande une pause à mon boss qui accepte, ça tombe bien, il voulait aller fumer une cloppe et comme moi, je ne fume pas enfin si trois cigarettes par an et encore, il attendait qu'on ait fini. Je vais dans mon bureau et compose le numéro de portable de Stéphane.

Moi : Oui c'est moi, tu as demandé que je te rappelle ....

Stéphane : Oui. J'ai un problème avec le plan qu'on a fait hier pour le showroom du garage.

Moi : Qu'as-tu comme problème ?

Stéphane : J'ai un vendeur qui râle parce que les voitures ne sont plus alignées.

Moi : Ce n'est pas parce que ce sont des voitures d'une marque allemande qu'il faut qu'elles soient alignées façon armée allemande. En plus, pour avoir regardé mardi dernier, les différentes ambiances lumineuses du garage vont faire en sorte que le regard des clients va changer. C'est un bon vendeur ?

Stéphane : Ben, c'est un des plus vieux du garage et il a beaucoup d'expérience.

Moi : Et qui est-ce qui commande au garage ?

Stéphane : Moi.

Moi : Eh bien il fait comme tu dis, un point c'est tout. Ce n'est pas compliqué, tu sais me dominer à la maison et ailleurs ! Sois ferme avec et, s'il n'est pas d'accord, il dégage.

Stéphane : Non, ça je ne veux pas, mais tu as raison, c'est moi le responsable. Bisous je t'aime.

Je retourne dans la salle de réunion et mon boss n'est pas encore revenu. J'aimerais qu'il se dépêche car je voudrais bien être dehors à midi. D'habitude, je ne suis pas sur 5 minutes mais aujourd'hui bien. Ah ... Enfin, il revient.

Mon boss : Bon. On termine.

Nous reprenons et une demi-heure plus tard nous avons fini.

Mon boss : A propos, je voulais vous dire que vous faites un très bon travail avec nous depuis 6 ans, quand vous reviendrez de vacances, il faudra que nous revoyions votre contrat.

Moi : Ah bon ? Il est bien comme ça mon contrat, à moins d'une augmentation ....

Mon boss : Il ne s'agit pas d'une augmentation. Comment vous dire ... Voilà, l'appartement que vous occupez et qui est à moi va être mis en vente. Mes finances personnelles sont dans le rouge et j'ai besoin de le vendre. Vous ne pourrez donc plus l'occuper et de ce fait, les clauses de votre contrat doivent être changées au niveau de vos primes de productivité puisque vous perdez l'avantage de l'appartement.

Moi : Vous avez déjà un acheteur ?

Mon boss : Non, pas encore, et de toute façon je vous laisse 6 mois pour trouvez un autre logement. Vous n'êtes pas fâché ?

Moi : Fâché ? Non. Un peu contrarié car il va falloir que je cherche et, ici en ville, ce n'est pas évident. Mais si vous avez besoin de le vendre, vendez-le. Je ne dois pas rentrer en ligne de compte, je suis votre employé.

Mon : Bon et bien, à votre retour de vacances, on revoie votre contrat. En attendant, bonnes vacances !

On se serre la main et je retourne dans mon bureau. Je finis les quelques trucs que j'ai à faire et je quitte. Je suis officiellement en vacances. Il est tout juste midi, direction mon appartement pour prendre mon sac de sport. Mon téléphone sonne, c'est Christian, qu'est- ce qu'il me veut ?

Moi : Allo ?

Christian : Pat, bonjour. Est-ce qu'il y a des couleurs que tu ne supportes pas porter ? Stéphane veux te faire une garde-robe pour chez lui, si j'ai bien compris. Il en marre que tu trimbales des sacs dans ta voiture.

Moi : Oui, je suis au courant, il me l'a dit ce matin, et comme il ne veut pas que je le contredise... Ecoutes, je n'aime pas le rose et le jaune, en fait, je n'aime pas les couleurs flash. Je suppose qu'il veut que tu me mettes les chaussures qui vont avec et tout le tralala ?

Christian : C'est ça, tu as tout compris !

Moi : Ecoutes Christian, ne charge pas de trop tout de même, n'oublie pas que j'ai déjà pas mal de vêtements qui proviennent de chez toi. Fais en sortes qu'il n'y ait pas de doublon, tu comprends ce que je veux dire ?

Christian : Oui pas de soucis. De toutes façons, j'ai noté dans le carnet que je tiens sur chaque client fidèle, tout qu'il déjà prit chez moi et comme tu es le futur mari de Stéphane, je me devais de le faire.

Moi : Ok pour moi alors. Mais, et surtout ne te vexe pas, je comptais faire du shopping en vacances donc je me fournirais de mon côté également.

Christian : Il n'y a pas de soucis. Tu t'imagines que Stéphane prend tout chez moi ?

Moi : Ben faut croire ! Je connais Stéphane depuis samedi dernier et, depuis lundi, je suis chez toi pratiquement tous les jours.

Christian : Ah ça, oui c'est vrai, mais ça ne me dérange pas de t'avoir dans mon commerce. Ta belle petite gueule et surtout ton petit cul, qui, parait-il, est devenu très accueillant ! " rires "

Moi : Parce qu'en plus, il t'a tout raconté ?

Christian : Il m'a juste dit qu'il t'avait fait l'amour et même baisé tous les jours depuis qu'il t'aime et qu'il s'était surpassé avec toi, à un point qu'il en a mal aux couilles aujourd'hui.

Moi : Et bien au moins je ne serais pas tout seul à avoir mal quelque part !

Christian : Mais tu n'es pas en reste, il m'a aussi dit qu'il t'avait offert sa virginité et qu'il avait adoré mais qu'il ne renouvèlera pas l'expérience tout de suite.

Moi : Oui, bon, bref ! Je suppose que je dois venir tout chercher chez toi ?

Christian : Non. Je vais aller livrer chez vous, ça me permettra de voir Rose et de l'embrasser.

Moi : Ok on fait comme ça.

Christian : Tu regardes ce que je t'ai mis et s'il y a quelque chose qui ne te plait pas tu me le ramènes.

Moi : Ok mais tu es un homme de goût et je suppose que j'aimerais le tout. Bisous.

Sur le temps de la conversation, je suis garé devant chez moi depuis 10 minutes. Faut que je me grouille, je voudrais bien arriver pour 13h00 au sport car après, j'ai du boulot à faire dans mon appart. 13h00 pile, je suis dans la salle de sport et je vois Marc, il est occupé avec un autre client mais viens me saluer et me demande de commencer par la cardio. Il viendra s'occuper de moi pour les abdos et la musculation. Après la séance de musculation, il me travaille les abdos tellement fort que j'en ai mal à en crevé, je serai content quand ce sera terminé.

Marc : Bon, maintenant stretching, douche, sauna, je te masse et te libère le plus vite possible. J'ai d'autres clients qui vont arriver.

Moi : Ok pas de soucis.

Je fais mon stretching et passe ensuite sous la douche et me dirige au sauna. Je m'installe et j'attends Marc qui se fait attendre. Au bout de 15 minutes, je ne tiens plus dans le sauna, je sors, me rince un peu sous la douche froide. Je vais dans la salle de repos attenant au sauna. Il y a des bouquins et je jette un oeil dessus. Marc arrive enfin.

Marc : Désolé de t'avoir fait attendre. Un nouveau client est arrivé plutôt que prévu. Je l'ai mis à la cardio, c'est ma collègue qui s'en occupe pour le moment. Tu as déjà fait un sauna ?

Moi : Oui, en t'attendant ...

Marc : Ok. Bon, direction le hammam.

Nous rentrons dans le hammam, je me couche sur la table de massage et je remarque que Marc porte un short blanc au lieu d'une serviette de bain. Il commence son massage et je me détends.

Marc : Stéphane est venu hier faire son sport sur son temps de midi, il n'a fait que des abdos et de la musculation, on a parlé de toi.

Moi : Je ne savais pas qu'il était venu hier, il ne m'en a pas parlé. Et qu'avez-vous dit ensemble ?

Marc : Je lui ai dit que tu étais bien comme garçon et que tu avais du potentiel pour améliorer ta musculature. Il a l'air de t'apprécier beaucoup.

Moi : Oui, il a l'air.

Marc : Je vois que tu es assez tendu au niveau des cervicales et du dos, je vais arranger ça.

Marc me masse la nuque et la fait craquer ce qui sur le coup me fait mal, mais j'ai l'impression qu'il l'a remis en place. Ensuite je le vois faire le tour de la table et monter sur mon dos. En fait, il est à genoux sur la table, ses jambes de chaque côté des miennes. Il a son short sur mes fesses, ça me gène un peu et je lui fait sentir.

Marc : T'inquiètes pas ! Je ne vais pas te violer " rire "

Moi : Non, ce n'est pas ça, mais j'ai mal aux abdominaux et ton poids, même léger sur mes fesses n'aide pas.

Marc : Attends, je vais changer de position.

Il bouge mais reste presque assis sur mes fesses.

Marc : C'est mieux ainsi ?

Moi : Oui merci.

Il reprend son massage. Je dois avouer que ça me fait du bien, mais je sens que tout en me massant, il bande dans son short, mais comme il ne me touche pas, il n'y a pas de problème.

Marc : Bon, maintenant je vais te craquer le dos pour étirer tes muscles.

Il se couche sur moi, je sens sa queue qui m'a l'air aussi énorme que celle de Stéphane sur mon cul, il passe ses bras par-dessous les miens et me redresse en arrière afin de faire cabrer mon dos. Je sens mes vertèbres craquer les unes après les autres. Il est collé dans mon dos, sa queue toujours collée à mon cul.

Marc : Bon, les côtés maintenant.

Et crac à gauche et à droite ! Je ne peux m'empêcher de pousser un petit cri de douleur. Il me recouche sur le ventre, reviens devant moi, tire mes bras en avant juste à la hauteur de son short et se baisse pour me masser le haut du dos. Heureusement que le hammam ne chauffe pas trop fort car son massage est deux fois plus long que la dernière fois. A chaque fois qu'il se baisse, mes mains touchent son short et il bande vraiment comme un taureau.

Marc : Excuses-moi mais quand je te masse, toi ou même Stéphane, je bande. Vous avez aussi bien l'un que l'autre un corps magnifique.

Moi : Il n'y a pas de soucis temps que ça en reste là, surtout qu'il me semble que tu es bien fourni de ce côté-là.

Marc : Même taille que celle de Stéphane mis à part que moi, je suis circoncis. Mais rassures toi, ça en restera là, j'ai un homme dans ma vie je n'en veux pas d'un deuxième. D'ailleurs tu le verras samedi soir.

Moi : Samedi soir ?

Marc : Merde je n'ai pas su me taire ! Euh ... tu vois avec Stéphane mais surtout, tu ne lui dit pas que je l'ai dit.

Moi : Dit quoi ?

Marc : Et bien, Stéphane veux que tu viennes boire un verre dans le bar où mon homme et moi sommes gérants.

Moi : Bien, ça n'a pas l'air si terrible ! Je viendrais avec plaisir.

Marc : Merci, bon tu peux passer sous la douche, je te libère.

Je prends une douche, me fais beau et rentre chez moi. Il est un peu plus de 15h30, j'ai toujours mal partout et le massage de Marc n'a pas arrangé les choses. Mon dos, ma nuque, ok ça va, mais mes abdominaux sont toujours en feu. Il me faut travailler mes abdos certes, mais là c'est trop pour une séance. J'ai vraiment mal. Enfin, je remonte dans mon appart, allume mon PC et vais mettre mes vêtements de sport ainsi que mes deux draps dans la salle de bains. Je vais ensuite dans la cuisine, j'ai soif et me prends un verre d'eau. Je m'installe devant mon PC fait le relever de mes emails et me connecte à mon home banque. Il faut que je transfère de l'argent de mon compte épargne vers mon compte classique qui est un peu en négatif suite au différents achats de cette semaine qui n'étaient pas prévus à la base. Je transfère 5000 € pour être certain de finir le mois et d'avoir assez d'argent pour partir lundi. Mon épargne de ce mois-ci va en prendre un coup, mais de toute façon je me prive de pas mal de choses depuis 6 ans, pour rénover la maison familiale. Ma mère ne va pas se placer en maison de repos demain donc j'ai encore le temps de mettre du pognon de côté. Mais j'ai tout de même de la peine de voir mon compte épargne redescendre en dessous des 600000 € que j'avais réussi à mettre de côté en 6 ans. En fait, toutes mes primes depuis 6 ans plus la moitié de mon salaire. Je referme mon PC et le range dans ma valise ainsi que ma tablette pour être sûr de ne pas les oublier pour partir lundi. De toute façon je n'en n'ai plus besoin. Je donne aussi à boire à mes plantes et sors mes poubelle car le ramassage des immondices se fait le samedi matin. Il est 16h30, je décide de prendre des vêtements pour aller chez Stéphane et, en y réfléchissant, je décide de laisser la moitié de mes costumes ici. Je ramasse pratiquement tous les vêtements que Stéphane m'a offert pour les ramener chez lui car je vais y passer de plus en plus de temps. Je me laisse quelques boxers ici et 3 de mes tenues d'intérieur, comme ça, j'en aurais 4 puisque j'en ai déjà laissé une sur place hier. Je charge le tout dans la voiture et me rends chez Stéphane. Je sonne à la porte et le portail s'ouvre mais personne pour m'accueillir. Tiens, c'est bizarre, mais bon. Je gare ma voiture sur son emplacement et commence à la décharger. Je dépose le tout devant la porte d'entrée, l'ouvres et rentre tous mes paquets. Il y a une bonne odeur de cuisine à l'intérieur, Rose est sûrement dans la cuisine. Je décide de poser tout là et d'aller lui signaler ma présence mais je ne trouve personne. Je monte à l'étage avec mes paquets ou du moins une partie. Je ferai deux voyages car l'escalier est un peu étroit. J'arrive dans la chambre et dépose le tout sur le lit, je fais la deuxième navette et toujours personne en vue, c'est vraiment bizarre. Allez, il faut ranger tout ça dans le dressing. J'entre dans le dressing et tombe sur Rose qui range déjà des vêtements.

Rose : Ah ! Vous m'avez surprise. Je ne vous avais pas entendu arriver.

Moi : Bonjour Rose, je vous cherchais pour signaler ma présence, j'ai sonné et le portail s'est ouvert mais je n'ai pas vu votre mari.

Rose : Il est à la maison. Il savait que vous deviez arriver, il vous a ouvert de là-bas. Mais vous aviez des paquets à ce que je vois, il aurait pu venir les prendre. Je lui ferai la remarque.

Moi : Non laissez, ça ne me pose pas de problème. De toute façon, je vous ai ramené pratiquement tous mes vêtements. Stéphane veux que je passe plus en plus de temps ici, je vais vous donner un coup de main pour les ranger.

Rose : Non, c'est mon boulot de le faire.

Moi : J'insiste ! J'avais prévu de les ranger moi-même. Tout ça, ce sont les vêtements que Christian a apporté ?

Rose : Oui, il vient juste de partir, vous l'avez raté de peu. Ce sont de beaux vêtements n'est-ce pas ?

Moi : Oui, mais je lui avais demandé de ne pas charger, apparemment il ne comprend pas le français. Voyez-vous, ce qui m'ennuie, c'est que c'est Stéphane qui paie tout ça, Christian n'est pas donné au niveau de ses prix, la facture va être salée. Stéphane gagne bien sa vie mais je vais le ruiner à la vitesse où il me gâte.

Rose : Je vais te dire une chose Patrick, monsieur Stéphane a hérité tout ceci de ses parents et grands-parents tous décédés. C'est ce que moi j'appelle une famille à galette, c'est-à-dire bourré d'argent. Si monsieur Stéphane le voulais il n'aurait même pas besoin de travailler. Pour preuve, viens avec moi je vais te montrer les derniers extrait de compte.

Moi : Vous avez accès à ses extraits de compte ?

Rose : Oui, ils sont sur son bureau et j'y ai accès pour vérifier que, lorsqu'on fait une course mon mari ou moi et qu'on paye avec une carte de banque que monsieur nous a fait faire, le montant correct a bien été débité. J'ai déjà eu un problème et c'est pour cela que monsieur me les laisse voir. Tiens, regardes ...

J'ouvre le carnet et regarde le solde du compte en banque et là je tombe sur mon cul : 1.734.563.67 € !

Rose : Sans compter les actions que monsieur possède et les différents placements juteux, sociétés et biens immobiliers que son banquier lui a fait faire. Donc monsieur n'est pas près d'être à la rue.

 Moi : Je suis d'accord mais tout de même, je passe pour quoi, moi ?

Rose : Pour le grand amour de monsieur. Tu sais, je ne l'avais plus vu heureux comme ça depuis très longtemps. Tu es la meilleure chose qui pouvait lui arriver.

Moi : Arrêtez, vous aller me faire rougir.

Et maladroit, je laisse tomber le carnet par terre. En me baissant pour le ramasser, je me refais mal au dos et Rose s'en aperçoit.

Rose : Oh je sais ce qu'il te faut : un bon jacuzzi. Vas mettre un maillot, je vais ranger les vêtements et t'apporter un jus de fruit, ça va te faire du bien.

Moi : Non ça va aller, je vais vous donner un coup de main.

Rose : On ne discute pas avec moi, c'est un ordre ! Faut pas se fâcher avec moi.

Moi : Ok je m'exécute, pourriez-vous me sortir une tenue de soirée dans les affaires que Christian a amené, histoire de voir si Stéphane va remarquer quelque chose.

Rose : Pas de soucis, ce sera sur un cintre ici dans la penderie.

Me voilà parti avec mon maillot de bain et un peignoir dans le jacuzzi. Il m'a fallu 5 bonnes minutes pour savoir comment il fonctionnait, mais bon, maintenant relax. Au bout de 5 minutes, Rose m'apporte un jus de fruits frais et mon téléphone portable.

Rose : Le dos va mieux ?

Moi : Oui merci, ça fait du bien.

Rose : Il m'arrive de l'utiliser aussi lorsque monsieur est absent, il m'en donne l'autorisation.

Moi : Vous avez bien raison.

Rose : Votre téléphone portable a sonné, j'ai pris la peine de décrocher. C'était monsieur, il vous fait savoir qu'il sera ici dans 25 minutes.

Moi : Merci Rose.

Elle me laisser et retourne à ses occupations. Moi, je sirote le jus de fruits et me laisse aller, je crois même que je commence à m'endormir tellement l'eau me fait du bien. A un moment, je sens deux mains qui me masse les épaules, j'ouvre les yeux, Stéphane était déjà là et j'étais toujours dans le jacuzzi.

Moi : Excuses-moi, je m'étais assoupi. Je vais sortir et aller m'habiller.

Stéphane : Ne t'excuses pas, tu as le droit de te détendre. Rose vient de me dire que tu avais mal au dos. Le massage de Marc n'a pas fonctionné ?

Moi : Sur ma nuque oui. Il a fait craquer mon dos dans tous les sens et j'ai mal au niveau des abdominaux. Faut dire qu'il n'y va pas de main morte avec moi.

Stéphane : Mais c'est pour ton bien, pour que tu sois en forme comme moi.

Moi : Tu peux me passer le peignoir s'il te plaît ?

Stéphane : Non, moi je trouve que tu es très bien comme ça !

Moi : Non, écoutes, je vais mettre de l'eau partout.

Stéphane me tend le peignoir.

Stéphane : Tu as peut être mal mais je m'aperçois déjà d'une différence.

Et il me palpe le ventre. Il est vrai qu'en deux séances, mon ventre commence déjà à se marquer et mes lombaires se raffermir. Avant, mon corps était droit, maintenant il commence à devenir en V, ce qui ne me déplait pas. De plus, mes pectoraux qui n'étaient déjà pas mal sont plus fermes et mon cul un peu plus ferme aussi. Mais ça, je ne sais pas si c'est le sport ou les multiples passages de la bite de Stéphane dans mon cul.

Moi : Merci mon homme pour le compliment et merci aussi pour les nouveaux vêtements de chez Christian.

Stéphane : Ah oui Christian, avec ma journée au garage, je l'avais oublié.

Moi : Ca n'a pas été au garage ?

Stéphane : Je t'expliquerai mais pour le moment je dois aller dans mon bureau téléphoner à Christian pour savoir combien je lui dois et le payer. Depuis le début de la semaine, il a aussi besoin de vivre le garçon ! Faudrait que je le paie même si je sais qu'il ne me dira rien si je traine car c'est mon meilleur ami.

Moi : Ok. Je file m'habiller et je te rejoins dans le bureau.

Stéphane : Que va tu mettre ?

Moi : Je ne sais pas, c'est Rose qui a choisi pour moi.

Stéphane : Ah bon ! Je vais demander de nous monter un apéritif. Tu veux quoi ?

Moi : Un verre de vin blanc.

Je monte m'habiller. Rose avait choisi pour moi un pantalon en lin noir assez moulant, avec une chemise de la même couleur mais très cintrée, ce qui mettait mon torse en valeur, une paire de bas noir et pantoufles noires. Il y avait un petit foulard blanc crème pour allez avec mais je ne l'ai pas mis, je trouvais que ça faisait tapette. Je me parfumais un peu et me coiffa pour aller rejoindre Stéphane. Il m'avait l'air nerveux ou soucieux quand je suis rentré dans le bureau. Il n'a même pas remarqué ma tenue.

Moi : Qu'est-ce qu'il y a ? Tu as des problèmes au garage ? Toujours ce vendeur ?

Stéphane : Oui, ce type est un con, un véritable con ! Non content de ne pas respecter mes instructions alors que je le sommais de le faire, il est monté voir le grand patron dans son bureau.

Moi : Et quoi ?

Stéphane : Et bien j'ai été convoqué dans son bureau. Il m'a expliqué que j'étais le responsable, qu'il n'avait pas à être dérangé par les vendeurs pour quelque motif que ce soit. Il a remis le vendeur à sa place et moi à la mienne, me stipulant qu'il était satisfait de mon travail depuis de nombreuses années, que si j'avais un problème avec un vendeur je pouvais le licencier ou lui dire que s'il n'était pas content, il pouvait partir. Mais pour le vendeur en question, il est licencié sur le champ, a-t-il rajouté. Il m'a aussi demandé pourquoi je ne prenais jamais de congé.

Moi : Et que lui a tu répondu ?

Stéphane : Je lui ai répondu que j'avais tout ce qui me fallait chez moi pour me reposer. J'aurais bien pris 10 jours de congé mais vu le salon de l'auto, ce n'était pas possible. Et puis, je n'ai pas trouvé de billet d'avion pour t'accompagner.

Moi : Tu te consoleras avec la vidéo d'hier soir " rire "

Stéphane : On va la regarder ce soir, tu verras comme tu es bien soumis " rire "

Rose frappe à la porte, elle vient nous apporter le vin blanc, Stéphane a fait monter une bouteille et quelque amuses bouches.

Rose : Voici vos apéritifs messieurs, et si je peux, votre tenue vous va à ravir monsieur Patrick.

Je rougis.

Moi : Merci Rose.

Et Rose sort du bureau. J'ouvre la bouteille et nous sers deux verres. Stéphane est toujours à son bureau et n'a toujours rien remarqué. Je lui dépose son verre et essaie de l'embrasser mais il esquive.

Stéphane : Qu'est ce que je disais, j'ai perdu le fil de la conversation.

Moi : On parlait de la vidéo je crois.

Stéphane : Ah oui, ce sera une maigre consolation pendant une semaine.

Moi : Tu va m'avoir pour tout le week-end enfin jusque dimanche soir du moins.

Stéphane : Oui c'est vrai.

Et il replonge sur son ordinateur, je vois bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Je m'installe dans une chaise de bureau et bois mon verre. Rose ne va pas tarder avec le repas.

Moi : Il y a vraiment quelque chose qui ne va pas ! Je le vois à ton regard, tu es contrarié. Ai-je fait quelque chose de mal ?

Stéphane : Non, pas du tout, mais je m'en veux pour le vendeur qui s'est fait viré. Il ne méritait pas ça et en plus il vendait bien. Surtout aux personnes âgées, j'aurais dû trouver un terrain d'entente avec.

Moi : Si c'est un bon vendeur, il retrouvera facilement du boulot.

Stéphane : Oui je sais mais ça met une mauvaise ambiance au garage et ça, je ne veux pas.

Stéphane se lève enfin et vient m'embrasser. Je ne l'attendais plus.

Stéphane : Rose à raison, ça te va très bien cette tenue. Christian a encore fait de beau choix pour toi.

Moi : Oui mais je lui avais demandé de ne pas charger. Viens avec moi je vais te montrer la penderie.

Il me suit dans le dressing room, il y a des vêtements dans toutes les loges et mes vêtements qui viennent de chez moi sont à coté pour bien marquer la différence.

Stéphane : Ah oui tout de même ! Mais c'est pour toi aussi. Je vois que tu as ramené beaucoup de vêtements de chez toi aussi, ça veut dire que tu t'installes ici ?

Moi : Je veux bien faire un essai en rentrant de vacances. De toute façon, tu n'aimes pas chez moi et pour nous deux, mon lit est un peu petit. Comme je passe beaucoup de temps avec toi .... Mais je veux que tu comprennes que j'aime mon indépendance et ça, je ne veux pas que tu y touches, même si je vis ici.

Stéphane : Je t'en fais la promesse.

Moi : Merci mon homme.

Stéphane m'embrasse dans le dressing room et me plaque contre une armoire, Il bande comme hier soir, il me fouille la bouche avec sa langue me tenant le visage avec sa main, c'est divin. Mais nous reprenons nos esprits, je retourne dans le bureau et reprend la bouteille de vin blanc pour la redescendre.

Stéphane : Que fais-tu ?

Moi : Et bien je redescends la bouteille de vin blanc, elle nous servira pour le repas.

Stéphane : Mais Rose doit en avoir ouvert une autre.

Moi : Et celle-ci ?

Stéphane : Et bien poubelle.

Moi : Mais il en reste la moitié, c'est du gâchis.

Stéphane : Prends là avec toi si tu veux !

Il soupire et je vois bien que ça ne lui plait pas. Mais je ne vis pas avec une cuillère en argent dans la bouche, moi. Je connais la valeur d'un euros. Nous passons à table.

Rose : Vous avez repris la bouteille de vin du bureau.

Moi : Oui, elle n'est pas vide Rose.

Rose : Peut-être mais elle n'est plus fraiche et monsieur aime le vin très frais.

Ni une ni deux, elle change la bouteille et je sens bien que j'ai fait une connerie mais j'insiste.

Moi : Madame Rose, ne la jetez pas à l'évier s'il vous plaît.

Rose : Certainement pas. Elle retourne au frigo, elle peut vous resservir ou bien je m'en sers pour mes sauces.

Moi : Ah, je préfère. Je déteste jeter.

Stéphane : Mais mon coeur, ici c'est comme ça, ne te tracasse plus. Voyons ce que tu nous à préparé Rose. J'ai faim.

Et rose revient avec une cocotte en terre cuite et dedans une blanquette de veau qui sent superbement bon. Nous mangeons assez rapidement je dois dire. Rose nous débarrasse, termine la vaisselle et demande si on a encore besoin d'elle.

Stéphane : Non Rose, vous pouvez disposer, nous n'aurons plus besoin de vous ce soir. Par contre, déjeuner à 9h00 pour moi, et toi mon coeur ?

Moi : Je déjeunerais avec toi, je ne vais tout de même pas faire deux fois le travail à Rose.

Stéphane : Eh bien, 9h00 pour tous les deux alors !

Moi : Enfin, je ne vois pas où est le problème. De toute façon en te levant, tu me réveilleras et je ne saurai pas me rendormir. Autant que je me lève, je ne vais pas rester au lit sans rien faire.

Et je ne reçois pas de réponse à ma question. Rose nous quitte, je me lève de table pour aller dans le salon.

Stéphane monte à l'étage. Je suppose qu'il va prendre une douche et se mettre à l'aise. Moi je reste dans cette tenue que je trouve très confortable. Lorsqu'il redescend il est en effet en tenue décontractée et il a un DVD à la main, moi je regardais les infos sur Euronews.

Stéphane : Voilà de quoi me contenter pendant que tu seras parti en vacances. On se le regarde ?

Moi : Oui je veux bien. C'est mon premier porno intime !

Et nous éclatons tous les deux de rire.

Moi : Tu veux boire quelque chose ?

Stéphane : Oui prend moi une bière au frigo.

Je vais dans la cuisine lui prendre une bière et je sers un verre de vin blanc d'une des bouteilles entamée dans le frigo. Je m'installe dans le divan et il lance le DVD. Plus je regarde la séquence, plus je me fais honte, je ne pensais pas être aussi salope.

Stéphane : Regardes-toi, comme ça avec ton bâillon, ton masque et ton plug dans le cul. Une vraie petite chienne à son maître ! Tu tortillais du cul en plus, regardes comme il bouge, on voit vraiment que tu apprécies ta soumission. Tu es à moi de toute façon. Regardes ma bite te rentrer dans le cul, comme tu gémis sous mes coups de reins. Tu l'aimes ma bite, hein que tu l'aimes ?

Moi : Oui je l'aime mais là, j'ai honte de moi. Promets-moi de ne jamais la montrer à personne.

Stéphane : Je te le promets. Regardes, là, maintenant sur le banc, je te domine complètement, attaché comme ça, tu es mon esclave. Voilà la scène que je préfère lorsque je te fais prendre ma bite en entier en gorge. Regardes ta tête, tu baves et tu as bu tout mon jus. Avec le poppers, tu t'abandonnes encore plus. Et maintenant ta récompense, je bois ton jus.

Moi : Oui, j'admets que c'était bon, mais si j'avais une aussi grosse queue que toi, tu n'arriverais pas à la prendre totalement non plus.

Stéphane : Mais je n'arrive pas à prendre la tienne en entier non plus.

Moi : Faudra que je te fasse la même chose.

Stéphane : Alors là tu rêves, je suis actif dominateur et pas passif. Ne crois pas que parce que tu m'a dépucelé, tu vas profiter de moi. De toute façon tu n'as pas été sage ce soir donc tu n'auras rien de moi.

Moi : Tu n'aurais pas plutôt autre chose à m'avouer que tu aurais dit à Christian ?

Stéphane : Si. J'ai mal aux boules et à la queue mais c'est quoi ce ton moqueur ? Déjà que tu n'as pas été sage, tu te fous de moi ? Attends un peu !

Il m'attrape et me mets à plat ventre sur ses genoux. Il vire mon pantalon et commence à me mettre des fessées. Je crie de douleur, il n'y va pas de main morte.

Stéphane : Tu n'as pas été sage comme je te l'ai demandé, tu m'as repris de volée devant mon personnel, ça fait une punition et ça, c'est pour t'apprendre à te foutre de moi.

Et il me met une vingtaine de fessées. Je suis en larmes mais j'accepte la punition car comme il l'a dit, je suis dominé et mon côté rebelle le dérange. J'ai les fesses toutes rouges. Il me remet mon pantalon et me lâche. Je me relève en pleurs, je ne suis pas douillet pourtant, mais il a réussi à me faire pleurer.

Stéphane : Voilà ça t'apprendra. Autre chose, demain j'irai t'acheter un beau collier et quelques bijoux. Une femme ça porte des bijoux, surtout pour mettre en valeur ton torse pour moi. Je veux que tous les regards te matent quand tu es avec moi. En attendant, va te coucher, j'arrive.

Moi toujours avec les larmes aux yeux.

Moi : Oui.

Stéphane : Oui qui ???

Moi : Oui mon homme.

Je vais me déshabiller et, après être passé aux toilettes, je vais me coucher. Je suis malheureux mais je m'endors rapidement. A 3h00 du matin, je me réveille et je ne sens pas sa présence contre moi. Ou est-il ? Je vais voir dans son bureau, personne. En bas non plus et je ne vois pas sa voiture. Je décide de lui téléphoner.

Moi : Allo mon homme ? Où es-tu ?

Stéphane : Ca ne te regarde pas ou je suis. C'est quoi cette question ?

Moi : Et bien je me suis réveillé, tu n'étais pas auprès de moi. J'ai cherché après toi, tu n'étais pas là. Je me tracasse, donc je te sonne.

 Stéphane : Je suis de sortie avec des potes.

Moi : Et tu rentres quand ?

Stéphane : Quand j'en aurai envie un point c'est tout. Tu me fais chier avec tes questions.

Il raccroche. Je suis vexé au point que je lui envoie un texto " je croyais aimer l'homme parfait, cruelle désillusion et merci pour la galanterie dont tu fais usage ce soir. Je suis ton homme, pas de la merde ! Je rentre chez moi !!! ". Je suis hyper nerveux, je vais à la toilette et je n'ai qu'une seule envie : rentrer chez moi. Mais il est tard, je ne me vois pas faire le trajet. Je me remets au lit et me rendort tout de même.

Pattlg

Pat_203@hotmail.com

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