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Domination par Stéphane
mon futur mari
Mon prévis, Louis, projet de création de ma société et nouveau compte en banque
Vendredi 6h45. Le réveil sonne. Je suis déjà réveillé et mon homme lui dort toujours en étant planté en moi. Il bande toujours. Comment fait-il ? Il bouge un peu et je tente de me dégager mais il me tient par le bassin.
Stéphane : Non, reste encore un peu.
Moi : Il faut se lever, le fils de Francis va arriver.
Stéphane : Rose va s'occuper de lui ne te tracasse pas.
Moi : J'ai aussi envie d'aller pisser, chou.
Stéphane : Moi aussi. Qui y va le premier ?
Moi : Comme tu veux mon homme.
Stéphane : J'ai une idée tu vas y aller pour moi.
Moi : Quoi ?
Je n'ai pas le temps de réagir que tout en me tenant le bassin il me remplit le cul.
Stéphane : Putain c'est bon, mon petit cul soumis à moi.
Moi : Oui maître.
Une fois qu'il a fini, je me lève en vitesse et en serrant les fesses, je vais à la toilette me vider mais je bande donc je décide de me vider sous l'eau de la douche. Ça m'a fait un bien fou de pouvoir me vider mais je bande toujours. Mon homme entre dans la douche et le voit.
Stéphane : Erection du matin, je suppose.
Moi : Oui.
Il passe dans mon dos et commence à me branler. Je gémis de plaisir. Il sait vraiment y faire avec moi. Il bande aussi et naturellement je recule sur lui et m'empale sur sa queue. A force de le faire reculer il est dos contre le mur de la douche et je fais des mouvements de bassin sur sa bite. Il râle de plaisir.
Stéphane : Oui, vas-y, empales toi sur la queue de ton maître, baises toi dessus, tu es une bonne chienne à son maître. Dis-moi que tu es une chienne !
Moi : Oui maître, je suis votre chienne.
Je ne tiens plus et je jouis 7 à 8 saccades de sperme sur la vitre de la porte de la douche. Je sens qu'il va jouir mais j'ai envie qu'il vienne sur ma bouche. Je me retire et me mets à genoux face à sa queue
Moi : Donnez-moi votre semence, Maître.
Et je tire la langue pour lui montrer.
Stéphane : Oui esclave, tu vas avoir la semence de ton maître. Ahhh.
Et il jouit sur ma langue et ensuite enfonce sa queue pour que je prenne le reste et que je l'avale. Je lui nettoie sa queue et me relève. Il me prend et m'embrasse avec sa langue, il va chercher le reste de sperme qui se trouve dans ma bouche et l'avale.
Stéphane : Tu m'as vidé. Ton cul et ta bouche, je ne te le dirais jamais assez, sont fait pour moi ! J'adore te faire l'amour et te baiser comme un esclave !
Moi : Merci mon homme, mon maître, mon cul et ma bouche seront toujours à toi.
Nous finissons de nous rincer et nous apprêtons pour la journée qui s'annonce longue et difficile pour moi. Il est 7H25 et nous descendons à la salle à manger ou le fils de Francis, Louis plus exactement, est à table avec une tasse de café.
Stéphane : Bonjour Louis. Je présente Pat mon futur époux.
Louis : Enchanté.
Moi : Moi de même.
Louis : Avant toute chose je voudrais voir le contrat de travail de Pat.
Moi : Je vais le chercher.
Je vais dans le bureau et prend mon contrat de travail qui se trouve dans mon porte document. Je reviens avec et le donne à Louis, Rose ma servi une tasse de café et je m'installe pour déjeuner.
Louis : Ton contrat de travail est correct, il y a une clause de confidentialité qui sera rompue à la fin du contrat. Le système de primes avec l'appartement de fonction, est ce que c'est en ordre ?
Moi : Il m'a versé toutes les dernières primes sauf les trois prochains contrats qui ont été signés et donc en principe je dois recevoir les primes. Pour l'appartement de fonction en principe j'ai trois mois pour le quitter s'il y a rupture de contrat. Mais pour le cas qui nous occupe, je déménage dimanche.
Louis : Donc je dois veiller au paiement de ces trois primes et de la restitution de l'appartement. Y avait-il eu un état des lieux de l'appartement ?
Moi : Oui il se trouve à mon appartement dans le coffret électrique avec les photos prises mais depuis que je suis dans cet appartement, je l'ai bien entretenu et il est en bien meilleur état qu'auparavant.
Louis : Ok, alors dès que tu as déménagé, tu reprends des photos et tu me les transmets avec les clefs. Je prendrais rendez-vous avec ton patron pour l'état des lieux comme ça il ne pourra pas contester.
Moi : Ok, c'est toi l'avocat.
Stéphane : Louis est dorénavant ton avocat attitré, c'est lui qui va gérer tes biens et tes finances ainsi que l'aspect juridique de ta future société. Hier j'ai consulté tes comptes en banque. Tu m'avais caché les 600000 € sur ton compte épargne et les 11000 € sur ton compte courant suite aux dernières primes que tu as reçu de ton patron.
Moi : Comment as-tu eu accès à mon home Bank ?
Stéphane : Simple. Ta carte de banque est sur mon bureau depuis deux jours et ton code secret est dans un fichier code secret qui est sur le bureau de ton ordinateur portable. La calculette est sur mon bureau aussi.
Moi : Les 600000 € me serviront pour la société.
Louis : Non, pas du tout. Nous allons placer les 600000 € sur un compte financier. C'est tout de même 24204000 anciens francs Belges. Comme nous l'avons fait pour une grosse partie de la fortune de Stéphane, nous te trouverons un crédit ainsi qu'à Stéphane pour la création de la société. Tu verras tu comprendras rapidement comment on va faire fructifier ton argent tout en te faisant payer moins d'impôt. Et c'est la société qui payera le crédit qui sera aussi déductible d'impôt. Et en cas de faillite par exemple vous êtes tous les deux protégés et ne perdrez rien. Pour ta société, tu travailleras comme salarié et Stéphane lui, sera intéressé par les dividendes annuels, s'il y en a. Je conseille juste de travailler dans un premier temps avec le minimum de personnel mais on a le temps d'en reparler il me faudra juste une procuration sur ton compte en banque.
Moi : Pourquoi faire ?
Louis : Simplement pour transférer l'argent de ton compte épargne sur un compte de notre banque d'investissement, fermer ton compte épargne, transférer ton compte à vue dans la même banque que Stéphane et fermer ton compte actuel. Tu auras tout à y gagner.
Moi : Je veux bien mais toutes mes domiciliations ?
Louis : Nous les transférerons en même temps. Tu as une carte de crédit dans ta banque ?
Moi : Oui.
Louis : Alors nous la clôturerons et tu en auras une de ta nouvelle banque.
Stéphane : Pas besoin d'une nouvelle carte de crédit, je lui ai fait faire une sur mon compte.
Moi : Et si je veux te faire plaisir je paye comment ?
Stéphane : Avec ta carte de banque classique.
Moi : Et si on va à l'étranger et que je veux payer ?
Stéphane : Bon d'accord, Louis te fera une carte de crédit dans ma banque " soupir "
Moi : Et c'est quelle banque ?
Stéphane : La Lloyds naturellement.
Moi : Tu m'excuseras, je suis chez ING depuis tout petit moi.
Stéphane : Tu verras, ce n'est pas si différent que chez ING mis à part qu'ici on s'occupe de toi en permanence. Tu n'es pas seulement un numéro de client.
Moi : Ok je vous laisse faire, j'apprendrai sur le tas.
Louis : Ne te tracasse pas on sera là pour t'épauler, bon il est pratiquement 8h00. Tu as rendez-vous avec ton patron à quelle heure ?
Moi : 8h30 on se met en route.
Louis : On va prendre ta voiture si tu le veux bien, tu me ramèneras en fin de journée, j'habite à coté et je suis venu à pieds.
Moi : Pas de souci.
Et nous partons avec Louis direction mon boulot. Stéphane lui apparemment commence plus tard. Sur le trajet Louis m'explique qu'il va lire le C4 en tant que mon avocat et s'il y a des erreurs ou des clauses qui ne lui plaisent pas il les fera supprimer. Il me demande de garder le silence tant que faire se peut. Nous arrivons au bureau avant mon patron et je salue la secrétaire.
La secrétaire : Monsieur est avec vous ?
Louis : Je suis le fondé de pouvoir et l'avocat de Pat, Maître Vappars.
La secrétaire : Très bien maître, le patron n'est pas encore là, je vous sers du café dans votre bureau ?
Moi : Oui merci, j'en profiterais pour finir de vider puisque je ne vais plus faire partie de la maison.
La secrétaire : Il vous l'a annoncé ?
Moi : Oui hier dans un restaurant.
Nous rentrons dans mon bureau et elle vient avec deux tasses de café.
Louis : Tu as déjà vidé ton bureau ?
Moi : Oui je me doutais de ce qu'il allait se passer. Je ne suis pas con non plus donc j'ai déjà repris mes précautions et j'ai fait le ménage. Je ne veux pas que mon patron puisse profiter de mon travail après mon départ.
Louis : Tu n'as rien détruit ?
Moi : Non. J'ai juste supprimé mes données personnelles ainsi que mon fichier client que j'ai sauvé sur une clef USB. J'ai repris mes projets de publicité futurs pour mes clients. Ca fait six ans que je bosse ici et j'ai décuplé la clientèle alors que mon patron n'a gardé qu'une dizaine de clients. J'en ai apporté plus de deux cent cinquante, il est normal qu'il ne puisse pas en profiter après mon départ. Tu sais je connais mes clients sur le bout des doigts. Je connais leurs enfants, leurs épouses, leurs collaborateurs et j'en passe. J'ai une relation de confiance avec eux, lui pas. Ce n'est que des numéros et rien de plus.
Louis : Je te demande ça car n'oublie pas que tu as été rémunéré pour ton travail. Il serait normal qu'il garde ton fichier clients.
Moi : Il a mon fichier client, qu'il ressorte toutes les factures qu'il leur a fait sur six ans et il l'aura. De toute façon, il l'a puisqu'il a envoyé un courrier à presque tous. Mais mon fichier personnel il ne l'aura pas, à toi de me défendre de ce côté-là.
Sur ce fait, je vois passer mon patron et le comptable. C'est lui qui s'occupe des papiers du personnel. Il frappe à ma porte.
Le Patron : Bonjour messieurs, je vous attends dans mon bureau.
Nous nous levons et allons dans son bureau. Il est assis et le comptable se tient à côté de lui.
Moi : Je vous présente maître Vappars, mon avocat.
Louis : Je représente Pat en tant qu'avocat et fondé de pouvoir.
Mon patron : Bien. Comme vous le savez Pat, je vous ai convoqué aujourd'hui pour signifier votre préavis à compter de ce jour avec effet immédiat. Votre changement de comportement ne correspond pas à la politique de la maison.
Louis : Qu'entendez-vous par comportement ne correspondant pas à la politique de la maison ?
Mon patron : Maître, votre client est homosexuel et l'a caché pendant des années alors qu'il sait que la politique de la maison ne le tolère pas.
Louis : Pourriez-vous me donner un règlement de travail qui le stipule ?
Mon patron : Non et c'est pourquoi je licencie votre client pour motif économique.
Louis : Je vous signale, monsieur, que pendant une période de six mois vous ne pourrez plus engager personne et si vous le faite vous devrez d'abord consulter la disponibilité de mon client.
Mon patron : J'en suis conscient, mon comptable a fait préparer les papiers.
Le comptable : Voici les documents Pat, tu n'as plus qu'à signer là !
Louis : Vous permettez je voudrais jeter un coup d'oeil sur les documents.
Mon patron : Faites, je vous en prie.
Louis lit les documents et se stoppe sur trois points.
Louis : Alors, la cause de non concurrence, vous devez la supprimer car si mon client trouve une autre place ailleurs et que l'un de vos clients vient le trouver, il ne pourra pas s'en occuper ce qui lui compliquerait la vie pour la recherche d'un emploi. Si vous laissez cette clause je vous fais un procès ! Autre chose, dans vos documents il n'est spécifié nulle part le règlement des primes des trois derniers contrats conclu par mon client ! Ensuite il ne fait aucune mention des indemnités de départ de mon client. J'exige que celle-ci soit notifiée ! Pour finir, le délai pour quitter l'appartement de fonction.
Mon patron : Pour ce qui est de l'appartement de fonction, Pat à jusqu'à la fin mars pour le quitter.
Moi : Il sera libre dans dix jours.
Louis : Dès que celui-ci sera libre, je prendrais contact avec vous ou un de vos collaborateurs afin de faire un état des lieux précis devant huissier de justice. Ca évitera tout problème par la suite.
Mon patron : Ok pour moi pour l'appartement, pour le reste, j'ai fait mettre la clause de non concurrence car je n'ai pas accès aux données du fichier client de Pat. Par conséquent je ne puis atteindre toute la clientèle pour les prévenir que celui-ci ne fait plus partie de la maison.
Louis : Vous avez accès à tout le fichier client de mon client puisque c'est votre service comptabilité qui fait toutes les factures. Vous avez donc vous avez toutes les coordonnées de vos clients. Pour ce qui est du fichier personnel client, c'est un fichier confidentiel entre mon client et les vôtres. Que mon client l'ait créé sur son lieu de travail ou pas ne change rien !
Mon patron : Bon, admettons, je retire cette clause. Pour les trois dernières primes vous devrez attendre que les clients aient payé leurs factures. Je verserais sur le compte que vous m'indiquerez maître, comme cela il n'y aura pas de problème.
Louis : Je veillerai au suivi.
Mon patron : Pour ce qui est indemnité de départ, il s'agit d'un préavis classique donc pour moi les indemnités seront calculées au secrétariat social qui vous fera parvenir la dernière fiche de salaire.
Louis : Je vous demanderais de bien relire le contrat de travail que vous avez signé avec mon client.
Mon patron : Je ne l'ai pas sous la main.
Louis : Moi si ! Celui-ci stipule une prime de départ de 7500 € par année d'ancienneté accomplie. Mon client entre dans sa septième année puisque vous l'aviez engagé en Janvier 2007. Donc mon client a droit à une prime de 45000€ à verser immédiatement sur son compte et je veux que celle-ci apparaisse dans les documents.
Mon patron : Oui mais ça ne va pas. Comment voulez-vous que je paye une somme pareille, plus le préavis.
Louis : Monsieur ? Lorsque vous signez un contrat, vous êtes conscient des conséquences qui y sont liées donc vous n'avez pas le choix !
Mon patron se retourne vers le comptable.
Mon patron : Faites les modifications et qu'on en finisse.
Le comptable sort et mon patron décide d'aller fumer une cigarette. Sur ce temps Louis et moi retournons dans mon bureau et ramassons mes dernières affaires pour les mettre dans ma voiture. Lorsque nous revenons, le comptable est de retour avec les modifications. Une fois dans le bureau Louis relit et ça lui paraît correct. Il signe pour moi, ce qui choque mon patron.
Mon patron : Vous pourriez me dire pourquoi vous signez à la place de Pat ?
Louis : Je suis l'avocat de Pat et son fondé de pouvoir donc je me permets de signer pour lui car si il y a un problème par la suite, c'est sur moi qu'il pourra se retourner. En cas de problème avec votre société, c'est avec notre cabinet d'avocat que vous aurez à faire ! Notre cabinet est le plus gros de Belgique pour tout ce qui est gestion financière de clients fortunés !
Mon patron : Bon et bien si tout est en ordre, mon comptable fait le versement de la prime et pour le reste c'est le secrétariat social. Vous m'enverrez le numéro de compte pour le paiement des trois dernières primes. Maintenant pourriez-vous nous laisser seul avec Pat quelques instants ?
Le comptable et Louis sortent et attendent dans le couloir.
Mon ex patron : Je ne suis pas content de la tournure des choses, je tenais à vous le dire. Qu'aviez-vous besoin de prendre un avocat alors que cela aurait pu se passer en douceur ?
Moi : En douceur pour vous, vous voulez dire ! Vous m'auriez arnaqué sur toute la longueur si je ne l'avais pas avec moi. Mon futur mari a bien fait de le faire venir.
Mon ex patron : Ah oui, ce petit vendeur de voitures. Je vais m'occuper de lui et lorsque tout sera en ordre vous concernant, je ferai en sorte que vous ne trouviez jamais de place dans ce métier. Je vais faire votre réputation.
Là, je sors de mes gongs, je fonce dessus et l'attrape par le col de chemise et le plaque au mur.
Moi : Faites bien attention à ce que vous faites et ce que vous dites car le petit garagiste et moi vous aurons à l'oeil. Faites aussi attention à vos miches car le petit garagiste, comme vous dites, a beaucoup de contacts et d'influence dans les milieux financiers.
Mon ex patron : Lâchez moi, je n'ai pas peur de deux pédés.
Et vlan ! Mon poing part tout seul et je lui fous une baigne magistrale. Il en tombe par terre l'oeil en sang et à moitié sonné.
Moi : Ça, c'est de la part des pédés et pour le reste, je vais vous ruinez. Ce n'est pas une menace mais une promesse.
Je lui crache dessus.
Mon ex patron : Dehors ! Sortez ou j'appelle la sécurité.
Moi : Faites ce que vous voulez ! Pour moi vous n'êtes qu'une merde.
Et je sors en claquant la porte.
Louis : Ça va ?
Moi : Oui, je viens de lui coller une bonne droite. Je crève de mal ma main. On s'en va.
La secrétaire : Je crois que je vais lui porter de la glace.
Moi : Attendez un moment. Voici ma carte de visite. S'il vous vire, je vous engage dans ma future société.
La secrétaire : Merci au revoir.
Nous prenons l'ascenseur en descendons. Lorsque nous sommes au rez-de chaussée, le gardien est là avec un collègue.
Le gardien : Il parait que je dois vous escorter jusqu'à la sortie.
Moi : Si le coeur vous en dit ... Il m'a viré et je lui ai collé une bonne droite.
Le gardien : J'ai toujours dit que ce type était un con. Courage pour la suite et j'espère vous revoir un jour.
Nous montons dans la voiture, ma main est gonflée.
Louis : Tu t'es arrangé.
Moi : Oui mais ça fait un bien fou. Je vais m'arrêter dans une pharmacie.
Sur la route pour aller au cabinet d'avocat, je m'arrête chez mon pharmacien pour lui montrer ma main.
Le pharmacien : Dans un premier temps de la glace, ensuite tu mettras cette bande apaisante et demain en principe il n'y aura plus rien. Mais, dis-moi, tu n'es pas un bagarreur que je sache. Qu'est ce qui s'est passé ?
Moi : Mon patron m'a viré et je lui ai mis une bonne droite. Sur le moment ça m'a fait du bien mais maintenant je déguste. Merci. Qu'est-ce que je vous dois ?
Le pharmacien : Rien du tout c'est pour moi. Pour les services que tu m'as rendu le mois dernier avec ton affiche que tu m'as faite. J'ai réussi à liquider mon stock de produit pour bébé alors ....
Moi : Un grand merci et au revoir.
Je monte dans la voiture.
Moi : Louis, à ton bureau il y a de la glace à tout hasard ?
Louis : Oui.
Je reprends la route et arrive au cabinet de Louis ou son père m'accueille et vois ma main.
Francis : Qu'est ce qui s'est passé Louis ?
Louis : Pat a mis une droite à son ex patron. Heureusement après avoir signé tous les papiers.
Francis : Nathalie, de la glace dans un seau et une serviette dans mon bureau s'il vous plait. Nathalie est notre secrétaire elle sera toujours aux petits soins pour toi Pat. Mais tu n'aurais pas dû en coller une à ton patron.
Moi : Il nous a manqué de respect à Stéphane et à moi et j'ai vu rouge. Ce n'est pas dans mes habitudes.
Francis : Entre dans mon bureau avec Louis, j'arrive.
J'entre dans le bureau et Nathalie entre avec la glace. J'enfile la serviette autour de ma main et la met dans le seau.
Moi : Putain...... ça fait mal.
Louis : Je veux bien le croire, faut juste espérer qu'il ne porte pas plainte contre toi. Le reste j'en fais mon affaire. Lundi nous irons à ta banque vérifier que les quarante-cinq mille euros sont sur ton compte et ensuite je ferais les démarches pour t'ouvrir les comptes en banque souhaités à la Lloyds.
Francis entre dans la pièce alors que nous parlons.
Francis : Pour les comptes à la Lloyds, c'est déjà en cours. J'ai reçu des instructions de Stéphane et dès lundi tout sera opérationnel. Tiens Pat, signes-moi ces trois papiers.
Moi : C'est quoi ?
Francis : Le premier c'est un document comme quoi Louis devient ton avocat et ton fondé de pouvoir. Comme tu peux le voir, il est daté d'hier sinon Louis ne pouvait pas te défendre aujourd'hui. Donc tu dates à la date de hier, tu marques lu et approuvé et tu signes. Le deuxième c'est pour lui donner procuration à la Lloyds et le troisième est une procuration pour ING.
Moi : Ok.
Et je signe.
Francis : A tu des épargnes pension, assurances vie et autres assurances ?
Moi : Oui tout est chez ING, mon assurance pour l'incendie de l'appartement qu'il va falloir résilier, mon assurance vie est chez ERGO via mon courtier .......... Et mon Epargne pension aussi, ma familiale est chez ING et mon assurance voiture est chez mon courtier ainsi que ma juridique.
Francis : Ok, on connait ton courtier, on va prendre contact avec lui. Pour ING tu signeras un papier après-midi. Nathalie va le rédiger. Il faudra à l'avenir, pour quoi que ce soit, passer par nous ou ton courtier. Bien entendu tu pourras avoir un contact direct à la Lloyds. Bon ce n'est pas tout ça mais il est midi trente et nous avons rendez-vous avec ton futur mari pour un lunch. Je t'emmène.
Moi : Juste une minute que je mette le pansement que mon pharmacien m'a donné.
Francis : Fallait encore bien ça. Tu aurais dû t'abstenir.
Moi : Il nous a menacé Stéphane et moi en disant qu'il allait s'arranger pour que Stéphane perde son job et moi faire en sorte que je n'arrive plus à percer dans le métier. De plus il nous a traités de pédés. Stéphane aurait été à ma place, tu étais bon pour lui apporter des oranges à la prison de Lantin.
Francis : Pas faux, tu le connais bien sur ce point-là.
Moi : Voilà je suis prêt.
Nous prenons la voiture de Francis. Tiens, une BMW comme par hasard ! Louis monte à l'avant avec son père et moi à l'arrière. Le trajet pour le restaurant est assez court. On aurait pu y aller à pied. Stéphane nous attend sur le devant.
Stéphane : Ah vous voilà enfin ! Vous êtes en retard.
Francis : On avait des papiers urgents à faire signer à Pat.
Louis : Et pour son patron, je me suis occupé que les papiers de licenciement de Pat soient correctement remplis et que toutes les conditions soient respectées par son ex employeur.
Stéphane : Alors, ça s'est bien passé mon coeur ?
Moi : Oui enfin presque. Il a essayé de m'arnaquer mais Louis était là.
Stéphane : Et ta main, c'est quoi ?
Moi : Je t'expliquerais à l'intérieur, il fait froid et j'ai laissé ma veste dans le bureau de Francis.
Nous rentrons dans le restaurant et on nous conduit dans un salon privé. Un serveur vient avec une bouteille de champagne ainsi que des amuses bouches. Nous prenons un apéritif.
Stéphane : Et alors cette main ?
Moi : Eh bien c'est simple, mon ex patron nous a menacés, pour toi de te faire perdre ton job et moi de me détruire dans le métier. Il nous traité de pédés. J'ai vu rouge et lui ai collé une droite mais comme je n'ai pas l'habitude de me battre voilà le résultat. Je lui ai dit que nous le détruirions et le ruinerions.
Stéphane : Tu n'aurais pas dû lui mettre une droite. S'il porte plainte ou qu'il en parle à la clientèle.
Moi : Aucun risque pour la clientèle, ils savent qu'il est homophobe et beaucoup le prennent pour un con.
Stéphane : Ouais enfin passons, Francis tu as pris des renseignements sur lui ?
Francis : Oui. La situation de son entreprise est saine, il n'a pas de crédit sauf un crédit de caisse bien entamé et avec ce qu'il doit payer à Pat, il devrait faire une demande de rallongement de son crédit de caisse ou un crédit pont le temps qu'il vende son appartement. Je me suis déjà arrangé avec sa banque pour qu'elle lui rallonge son crédit de caisse pour qu'il puisse payer Pat, ensuite sa banque lui coupera les vivres. Elle lui réclamera de clôturer son crédit de caisse. Pour ce faire j'ai dû promettre à sa banque que tu ferais l'investissement prévu pour la compagnie de jet privé.
Stéphane : Très bien et niveau de mes finances, comment se porteront-elles après ces deux investissements, je veux dire la compagnie de jet et la société de Pat.
Francis : Pour la société de Pat, cela te coutera 50.000 € de mise de départ et 65.000 € pour Pat que nous financerons complètement par deux crédits bien distincts. Donc de ce côté-là ça ne te coûtera rien puisque c'est la société qui remboursera les deux crédits. A Pat de la faire tourner assez que pour pouvoir tout payer mais nous allons lui faire un bon bisness plan. Pour ce qui est de la compagnie de jet privé, là, cela va te coûter 175.000 € que je prendrais sur ton compte financier ce qui le fera redescendre à 9.589.000 € donc tu as encore de quoi vivre longtemps. Ton compte privé lui est à ce jour à 1.653.689,91 € après paiement de la voiture de Pat mais tu devrais recevoir les dividendes des sociétés dans lesquelles tu es actionnaire plus le boni de tes comptes en banque annuels.
Tout en discutant on nous sert le repas une salade de volaille fumée suivi d'une selle d'agneau accompagnée d'une jardinière de légumes et de gratin dauphinois. Le tout arrosé de vin blanc et rouge. Heureusement il y a de l'eau à table, le serveur qui nous sert est d'une discrétion exemplaire et il nous a fait la découpe de la selle d'agneau devant nous, impeccable.
Moi : J'ai une question à poser.
Stéphane : On t'écoute.
Moi : Bon je change de banque et pour la société, les comptes seront à la Lloyds aussi je suppose ?
Francis : Non. La Lloyds est une banque de placement. Pour ta société, tes comptes seront à la Delta Lloyds mais avant de faire quoi que ce soit, je pense qu'il faut que tu sois sorti de ta période de préavis. De toute façon nous avons le temps.
Moi : Non, je n'ai pas de période de préavis à prester puisque mon ex patron ne veut pas que je le preste. Par contre, si je retravaille directement il faudra mettre la moitié de mon préavis de côté pour les contributions futures.
Francis : Oui, tu as raison sur ton préavis et pour les contributions comme je te l'ai déjà dit, nous sommes là pour que tu en paye le moins possible. De toute façon il nous faut au moins quinze jours pour la création de la société et de ses statuts ainsi que pour transférer tes comptes en banque et les clôturer. Ce que je te demande, c'est qu'à partir de lundi, tu ne touches plus à tes comptes.
Moi : Et comment je vis moi ?
Stéphane : Tu as tes nouvelles cartes de banque, si je ne m'abuse ?
Moi : Oui juste, mais je ne peux pas vivre à ton crochet en permanence. J'aimerais aussi participer.
Stéphane : Tu sais ce que j'en pense !
Moi : Oui mais.
Stéphane : Il n'y a pas de mais qui compte !
Moi : Oui.
Stéphane : Oui qui ?
Moi : Oui mon homme.
Francis : Ne vous énervez pas. Bon on va retourner au bureau, Nathalie a du faire le nécessaire. Ensuite Pat, tu vas aller avec Louis visiter deux bâtiments qui m'appartiennent et si un des deux te convient on te le garde pour ta société. Ils sont à proximité de nos bureaux et ont te fera un prix pour le loyer.
Moi : Ok je vous suis.
Stéphane : Mon coeur tu peux payer, j'ai laissé mon portefeuille au garage.
Moi : Oui mais avec quelle carte ?
Stéphane : La carte de débit. La carte de crédit, c'est pour les achats autres que les restaurants. Garçon, l'addition. Moi je m'en vais, je suis déjà en retard. J'avais prévenu mon patron que j'avais une réunion d'affaire.
Mon homme me fait un bisou sur le front devant tout le monde et quitte la pièce. Le serveur présente l'addition que je paye avec la carte de banque et nous retournons au bureau. Nathalie nous attend avec des documents qu'elle donne à Louis. Dans le bureau, Francis me donne les papiers.
Louis : Voilà, ceci c'est pour la procuration ING, dessous tu trouveras trois fois deux feuilles à dater et signer, c'est pour l'ouverture des comptes Lloyds. Ensuite, celui-ci, c'est pour la demande d'une carte de crédit ainsi qu'une carte de débit.
Francis : Nous allons transférer dans un premier temps tes 600000 € sur ton nouveau compte courant avec le reste de ton compte courant ING, ensuite, nous t'ouvrirons un compte gestion finance et y transfèrerons 475000 €. Le restant pour le compte courant en attendant ton premier salaire et surtout histoire de satisfaire tout le monde et ne vexer personne. Si tu comprends ce que je veux dire.
Moi : Oui, j'ai bien reçu le message.
Nathalie : Vous avez le courtier de monsieur ligne deux.
Francis : Merci Nathalie.
Francis prend mon courtier en assurance, lui explique la situation et le but précis des manoeuvres. Ils conviennent d'un rendez-vous et mon courtier amènera tout mon dossier d'assurance comme ça ils seront sur la même longueur d'onde.
Francis : Louis va demander un papier à Nathalie pour te donner procuration sur les assurances existant au Nom de Pat chez ING. Bon je pense que pour aujourd'hui on a fait le tour de tous ce que nous avions à faire. Il me faudrait ton numéro de portable, une adresse email et une copie de ta carte d'identité.
Je lui donne ma carte d'identité qu'il met dans un scan pc et il me la rend. Je lui note mon numéro de portable sur un post-it et mon adresse email.
Francis : Question, tu as un casier judiciaire vierge, je suppose ?
Moi : Mis à part quelques PV pour excès de vitesse, rien.
Francis : Ok, ah oui j'oubliais, je ferais pour toi la demande de changement de domicile à la police de liège lundi et ferai également faire une attestation de cohabitation avec Stéphane. Il a décidé que vous vous marieriez en juin de cette année.
Moi : Pardon, j'ai bien entendu ?
Francis : Oui, il me faudrait savoir la date le plus rapidement possible ainsi que les noms des témoins pour faire la demande à la commune et faire également le contrat de mariage. Il y a un problème ?
En effet mon visage est devenu blanc et blême.
Moi : Ben euh je suis pris de court, on n'en a pas encore discuté ensemble. Je n'étais au courant de rien. Pour mon témoin, je sais déjà que ce sera mon meilleur ami Sylvain. Il ne refusera pas. Mais on n'a pas de salle, pas de liste d'invité et on doit organiser ça avec tout le reste. On est fin Janvier. Ça ne fait que moins de cinq mois pour tout faire.
Francis : Parles-en avec Stéphane sans tarder et tu le laisses gérer le reste, après tout c'est son idée.
Moi : Oui, enfin je vais lui en parler ce soir.
Louis revient avec le papier que je signe.
Moi : Voilà je vais finir par attraper la crampe de l'écrivain avec tout ce que j'ai signé aujourd'hui. " rire "
Francis : Je te rassure, c'est terminé. Louis va te montrer les deux bâtiments.
Moi : Ok je te suis, Louis.
Louis : Pa, on va prendre la voiture de Pat, je lui montre les deux bâtiments ensuite il me ramène chez moi. Je reviens pour le rendez-vous de 18h00.
Francis : Pas de problème. Demandes juste à Nathalie qu'elle te transfère les appels au cas où un de tes clients veut te joindre. Tu n'avais pas d'autre rendez-vous aujourd'hui ?
Louis : Non, juste ceux de ce matin que tu as reçu à ma place mais on en parlera quand je reviendrais.
Francis : Ok.
Louis : On y va Pat ?
Moi : Je te suis.
Nous prenons ma voiture et Louis me guide jusqu'au premier bâtiment. Une espèce de grand hangar avec un tout petit parking et trois bureaux.
Louis : Qu'en penses-tu ?
Moi : L'autre bâtiment est pareil ?
Louis : Non.
Moi : On va aller voir l'autre et ensuite je te dirais ce que j'en pense.
Louis : Ok.
Nous reprenons la route et le second bâtiment est à 10 minutes de la maison à vue de nez. C'est un bâtiment vitré sur deux étages dans un espace boisé avec un parking sécurisé par gardiennage. En fait, ce sont trois bâtiments côte à côte, dont deux occupés par des entreprises. Chacun des bâtiments dispose de dix places de parking. Au rez-de-chaussée, il y a un accueil et une salle de réunion ainsi qu'un petit bureau qui pourrait convenir pour la photocopieuse et éventuellement un coin cuisine-café. Il y a aussi un coin que l'on pourrait aménager en salon d'attente. Il y a un petit ascenseur que nous prenons pour passer au premier étage. Il est divisé en quatre bureaux qu'il faut aménager, je dirais un pour moi, un pour faire des photos de projets. Un pour la planche à dessin et le dernier pourrait servir de tireuse de projet grandeur nature. Nous montons au deuxième étage et de nouveau quatre bureaux identiques au premier étage
Louis : Et celui-ci te convient ?
Moi : Oui parfaitement. Mais je ne sais pas à quoi va pouvoir me servir le deuxième étage.
Louis : Commence avec le premier et si ton activité augmente, tu pourras peut être engager du personnel de plus. Comment faisait-il ton ex patron ?
Moi : Il sous traitait beaucoup une fois le projet finalisé mais je peux faire une grosse partie moi-même avec un collaborateur et une secrétaire. Cela diminuera les coûts sur le moyen terme car il y aura l'amortissement du matériel et les frais engendrés par le personnel mais on ne paye pas de cotisation pour le premier employé et la moitié pour le second. Il ne faut pas que je me trompe avec le personnel.
Louis : La secrétaire de ton ex patron à l'air pas mal.
Moi : Oui c'est une très bonne secrétaire, un peu curieuse mais elle connait, comme moi, la clientèle par coeur.
Louis : Et pour le collaborateur ?
Moi : Sylvain mon meilleur ami, il travaille dans la publicité aussi dans une boite concurrente au Luxembourg. Je sais qu'il est mal payé, en plus il doit se taper le trajet tous les jours. Il est dessinateur et photographe il a de l'expérience. Il devrait convenir.
Louis : Alors tu prends celui-ci ?
Moi : Oui, mais il faut voir le prix du loyer.
Louis : En principe le loyer pour le bâtiment est de 3500 € par mois charges comprises, mais je pense que dans un premier temps si mon père est d'accord on partira sur 2000 €.
Moi : 2000 € pour le démarrage ça me paraît plus que correct car tu vois, on ne va pas démarrer sur les chapeaux de roue au début. Il faut le temps que la clientèle nous revienne même si je suis certain de récupérer 70 % de celle-ci dès le début. Je vais envoyer à ma clientèle un courrier leur annonçant la création de ma future société et ensuite je les inviterai à un cocktail d'inauguration.
Louis : Ca me paraît être une bonne idée.
Moi : Ce qui serait bien c'est que mon installation se fasse vite.
Louis : Pourquoi ?
Moi : On va démarrer bientôt les campagnes de publicité de l'été et une publicité, ça ne se crée pas en un jour. Beaucoup de mes clients vont prendre contact. Si je ne réponds pas rapidement, ils iront voir ailleurs.
Louis : Bon, écoutes, dans le courant de la semaine prochaine, ta société sera crée avec un capital à utiliser pour le matériel et pour le démarrage. Ce que je voudrais bien que tu me fasses le plus vite possible, c'est une liste pièce par pièce du matériel que tu as besoin. Moi de mon côté, je vais faire en sorte de les obtenir dans les plus brefs délais et de les payer via le compte société dont j'aurais procuration. Je te laisse la clef du bâtiment dès à présent et je vais prévenir le gardien que c'est loué. On fera le bail lundi en bonne et due forme. Tu pourras revenir avec Stéphane ce soir ou à un autre moment du week-end. Il y a un code pour la barrière que voici et un code d'alarme ici que je te donne. Ne te trompes pas sinon Sécuritas débarque. Je ne saurais pas les contacter avant lundi pour dire que c'est loué. S'ils parlent par le parlophone ici, le code est cristal et tu donnes ton identité.
Moi : Ok mais je ne viendrais pas aujourd'hui. A mon avis, ce sera plutôt demain. Tu auras la liste de ce dont j'ai besoin lundi. Pour le petit matériel de bureau je sais où aller, je demanderais qu'il t'envoie la facture dès que la société sera créée. Je regarderais les références des produits qu'il me faudra sur internet. Ce soir je téléphone à la secrétaire et à Sylvain pour les débaucher. Pour bien faire il faudrait que l'on inaugure pour la mi-février.
Louis : Ok on fera le maximum. Bon tu peux me déposer chez moi sinon je vais être en retard à mon rendez-vous.
Je regarde ma montre il est déjà 17h00.
Moi : Oui on file, Stéphane doit m'attendre à la maison.
Je reprends le volant et je dépose rapidement Louis chez lui.
Louis : On se voit lundi à 18h00 à mon bureau. Si tu as ta liste tu peux me l'envoyer par email. Voici ma carte de visite.
Moi : Ok bonne soirée.
Louis : Egalement.
Je rentre à la maison et Rose me voit.
Rose : Bonsoir, il est dans le bureau, il vous attend.
Moi : Merci Rose.
Je monte au bureau.
Stéphane : Et quoi ?
Moi : Ils m'ont fait signer un tas de papiers, création de comptes, clôture et procurations diverses, ensuite Louis m'a fait visiter deux bâtiments et j'en ai trouvé un qui me convient. On va faire le maximum pour inaugurer mi-février. Lundi je vais envoyer un courrier à tous mes clients pour les prévenir de la création de la société, d'ailleurs il faut lui trouver un nom et ensuite on les invitera à l'inauguration.
Stéphane : Ça a l'air de te réjouir.
Moi : Oui c'est excitant, c'est un nouveau challenge, mais excuse-moi une minute, il faut que je téléphone à deux personnes car tu t'imagines que je ne peux travailler seul et j'ai deux personnes en vue pour travailler avec moi.
Stéphane : Vas-y.
Je prends mon portable et téléphone d'abord à la secrétaire qui m'annonce qu'elle est d'accord de travailler pour moi aux mêmes conditions car elle sait qu'elle va être licenciée. De plus elle m'annonce que mon ex patron à passé son après-midi à téléphoner à gauche et à droite pour nous faire du tort entre autre au patron de Stéphane. Je raccroche avec elle en lui disant que je la tiens au courant de l'avancement du projet.
Moi : Mon ex patron a téléphoné au tient.
Stéphane : Oui je sais et celui-ci m'a convoqué dans son bureau pour me dire qu'il l'avait envoyé balader. J'ai ordre de le mettre dehors s'il vient au garage et je ne m'en priverais pas !
Je téléphone à Sylvain pour lui demander s'il serait d'accord de travailler pour moi. Il me demande un délai de réflexion que je lui laisse mais je lui demande de ne pas trainer car s'il refuse il faut que je trouve quelqu'un d'autre. Tant que j'y suis, je lui demande discrètement s'il veut bien être mon témoin de mariage et il accepte avec joie. Je lui souhaite une bonne soirée et lui dit que je voudrais bien le voir à la semaine.
Moi : Voilà, je crois que j'ai trouvé mes futurs collaborateurs mais, dis-moi, j'aimerais avoir une explication.
Stéphane : Tu voudrais avoir une explication sur quoi ?
Moi : Tu m'as dit que l'on se marierait l'année prochaine, or, pour Francis, ça se fera en juin de cette année. Tu aurais pu me prévenir !
Stéphane : Je voulais t'en faire la surprise.
Moi : Je l'ai eue au cabinet de Francis ! Il m'a d'ailleurs demandé la date choisie, qu'il puisse faire le nécessaire à la commune.
Stéphane : On va regarder ensemble mais avant tout, un apéritif. On en a besoin.
Moi : Ok mais avant, je voudrais prendre une douche.
Stéphane prend l'interphone et demande à Rose une bouteille de champagne et quelque amuses bouche, on a quelque chose à fêter. Rose ne met que deux minutes à nous monter l'apéritif. A mon avis elle se doutait qu'elle devrait nous en préparer un. Je nous sers deux coupes et mon homme et moi trinquons.
Stéphane : Regardons pour la date. Que penses-tu du samedi trente juin ?
Moi : Oui, pour moi c'est ok et pour la salle tu as une idée ?
Stéphane : Oui le château de ............. Tu verras le traiteur est impeccable. C'est là que nous faisons notre fête annuelle pour les concessionnaires de la marque. C'est grand et luxueux, je prendrais rendez-vous demain matin.
Moi : Faut voir si le château est encore libre à cette date-là.
Stéphane : Ca ne devrait pas poser de problème. Pour les costumes, Christian s'en occupera et pour les alliances nous irons lundi chez mon ami bijoutier. La commune, Francis s'en occupe et je vais m'arranger pour avoir une limousine pour nous conduire. Je veux que ce soit un mariage parfait et que tu sois heureux.
Moi : Mais je suis heureux. Comme témoins de mariage, tu as déjà trouvé ?
Stéphane : Oui. Christian et mon patron et toi ?
Moi : Sylvain mon meilleur ami et je pensais à Felipe mais je ne sais pas si c'est une bonne idée.
Stéphane : Si. C'est une bonne idée et en plus il sera invité de toute façon. Comme voyage de noce tu as envie d'aller où ?
Moi : Bof je ne sais pas trop, je te laisse décider.
Stéphane : Que dirais tu des Seychelles, je connais un hôtel sur place qui est super, c'est un client qui m'a montré les photos.
Moi : Ok, faudra faire une liste d'invités et des invitations mais avant que je n'oublie, il faut que je téléphone à ma mère en urgence.
Stéphane : Pourquoi ?
Moi : Je dois lui dire que je me suis fait viré histoire qu'elle ne téléphone pas au bureau par erreur.
Stéphane : Vas-y.
Je prends mon portable.
Moi : Allô maman ?
Ma mère : Oui, tu vas bien ?
Moi : Oui parfaitement. Maman je te sonne pour te signaler que je me suis fait viré aujourd'hui.
Ma mère : Quoi ? Mais pourquoi ?
Moi : Ce serait trop long à t'expliquer par téléphone, je te raconterai en détail lundi soir. Tu arrives à quelle heure ?
Ma mère : 19H30.
Moi : Ok. Je serai à l'aéroport et si ce n'est pas moi, ce sera Stéphane car j'ai une journée chargée lundi et j'ai un rendez-vous à 18h00 chez mon avocat.
Ma mère : Tu as pris un avocat ?
Moi : Oui un avocat d'affaire, je vais créer ma propre société de publicité.
Ma mère : Tu as raison, il y a déjà longtemps que tu aurais dû le faire.
Moi : Maman. J'ai une autre nouvelle à t'annoncer. Stéphane et moi nous marions en juin de cette année.
Ma mère : Félicitations mais je dois t'avouer que le Père de Felipe et moi envisageons de faire pareil, ça ne te gêne pas ?
Moi : Du moment que tu es heureuse. Est-ce que Felipe est près de toi car à entendre le bruit autour de toi, tu es au restaurant.
Ma mère : Oui, tu veux que je te le passe ?
Moi : Oui je veux bien.
Ma mère : Avant de te le passer je dois te dire une chose, il a rompu avec Michel car ça ne collait plus entre eux. Enfin ils ont décidé de faire une pause donc il n'a pas trop le moral alors ménage le un peu.
Moi : Ok.
Felipe : Allô Pat, tu vas bien ?
Moi : Oui parfaitement sauf que je me suis fait viré. Je t'expliquerai plus tard par email. Felipe je dois t'annoncer que Stéphane et moi, nous allons nous marier au mois de juin prochain, et j'aurais voulu savoir si tu voulais être mon témoin de mariage.
Felipe : Avec joie, en plus tu vas bientôt devenir mon demi-frère par alliance puisque les parents ont décidé de franchir le cap aussi.
Moi : Génial je suis content, ma mère vient de me dire pour Michel et toi.
Felipe : Oui on se donne un peu de temps pour réfléchir, votre passage dans notre maison a fait plus de dégâts que prévu. Michel est maintenant plus passif qu'actif et moi j'aime être passif avec lui. C'est devenu compliqué.
Moi : J'espère que cela s'arrangera pour vous.
Felipe : On verra, bon je te laisse on a du monde, bonne soirée et Bonsoir à Stéphane.
Moi : Autant de sa part, bisous.
Stéphane : Il a accepté ?
Moi : Oui mais avec Michel ils font une pause. On a fait du dégât dans leur couple. Ma mère compte se marier aussi avec le père de Felipe prochainement.
Stéphane : Je m'en doutais un peu. Bon on va prendre une douche et se mettre à l'aise pour ce soir mais je ne te toucherais pas ce soir, je me préserve pour demain soir.
Moi : Pourquoi ?
Stéphane : Christian vient demain soir et je lui dois toujours un cadeau. Tu te souviens ?
Moi : Oui.
Stéphane : Il a toujours rêvé que je le domine donc on va jouer avec et en plus il va m'amener un nouveau jouet pour toi. Comme tu aimes être ma chienne, enfin tu verras demain.
Moi : Ok, mais tu travailles demain.
Stéphane : Oui, jusque 16h30. C'est week-end portes ouverte. Je fais le samedi mais je suis tout seul, mes collègues font dimanche. Je te donnerais un coup de main pour le déménagement.
Moi : Je viendrais te donner un coup demain comme ça je ne reste pas ici sans rien faire.
Stéphane : Tout est replié à ton appartement ?
Moi : Oui et je suis bloqué pour tout le reste.
Stéphane : Et la liste du matériel pour Louis ?
Moi : Eh bien pour ça je voudrais bien avoir ton avis donc avant de rentrer on pourrait passer par là. Christian vient à quelle heure ?
Stéphane : Comme d'habitude, rendez-vous 19h30 soit chez moi soit au resto.
Moi : Ok ça ne te gêne pas que je vienne avec toi demain, je me rendrais utile, ne te tracasse pas.
Stéphane : Non, mais en période de journée portes ouverte, on porte une tenue de la marque.
Moi : Attends, je reviens.
Stéphane : Où vas-tu ?
Moi : Dans le dressing.
Je reviens avec les vêtements que l'on m'a donnés au garage.
Moi : Ca peut convenir comme tenue ?
Stéphane : D'où tiens-tu ça ?
Moi : Cadeau de ton patron au garage quand j'ai reçu ma voiture. J'ai aussi un parapluie dans le coffre.
Stéphane : Génial ! Avec une paire de chaussures noires, tu feras un parfait vendeur.
Moi : Je ne suis pas un vendeur mais si je peux être utile et donner éventuellement des renseignements. J'ai lu les quelques fiches techniques que j'ai vu au garage mais il faudrait pour bien faire que je lise les manuels de chaque véhicule exposé ou du moins les survoler.
Stéphane : Si tu ne sais pas, tu me demandes ou tu me renvoie le client. En principe le samedi il fait calme. C'est le dimanche qu'il y a plus de monde.
Moi : Pourquoi ?
Stéphane : En principe, le samedi, les clients font leurs courses dans les grandes surfaces. Le dimanche ils ont plus facile de venir.
Moi : Oui, effectivement c'est logique. Bon, je vais me doucher et me mettre à l'aise pour le soir.
Stéphane : Je fini ce que je fais et j'arrive.
Je prends ma douche et fait mes soins pour le visage et met une tenue légère pour le soir, mon homme arrive et passe sous la douche.
Stéphane : Je vais mettre une tenue comme toi.
Moi : Mhmmmmm
Stéphane : Tu as des envies ?
Moi : Je te dominerais bien ce soir.
Stéphane : Je voudrais bien me préserver pour demain soir.
Moi : Je t'interdirais de te toucher avec les menottes. J'ai envie de ton corps et de ton cul.
Stéphane : Si tu es sage alors, oui peut être que je te laisserais me dominer.
Je descends et Rose nous attend pour le repas.
Moi : On arrive Rose, que nous avez-vous préparé ?
Rose : Un cocktail de crevettes grises et ensuite, une petite marmite henry 4, il y a des fruits pour dessert.
Moi : Ok Rose vous pouvez rentrer chez vous, je finirai pour ce soir. Je ferai également la vaisselle. Par contre, demain je déjeune avec Stéphane, je vais travailler avec lui.
Rose : Ok, je m'en vais, vous êtes sûr que ça ira pour ce soir ?
Moi : Oui, demain soir nous recevons Christian pour la nuit.
Rose : Oui, monsieur m'en a parlé. Je ferais des amuses bouche froid et chaud et ensuite un assortiment de charcuteries. Il y a du champagne et des vins blancs en suffisance dans le frigo et pour les alcools j'ai fait le plein du bar. Les glaçons seront dans la chambre de congélation.
Moi : Vous avez pensé à tout.
Rose : Oui, un c'est mon boulot et deux, je ne suis pas là demain après midi et soir. Je vais chez ma soeur qui est souffrante. Mais je serais là pour le petit déjeuner dimanche matin.
Moi : Avec ce qu'a préparé Stéphane pour Christian demain, la nuit s'annonce longue donc, ne prévoyez rien avant à mon avis 11h00 du matin.
Rose : D'accord, bonne soirée et à demain.
Stéphane arrive dans une tenue noire en satin hyper moulante je peux voir ses abdominaux au travers le t-shirt et le creux de ses fesses à travers le pantalon. Il n'a pas mis de slip et je peux voir sa queue mouler dans le tissu.
Stéphane : Rose est partie ?
Moi : Oui je lui ai dit que je ferais bien. Installe-toi à table, j'arrive avec le vin et les entrées.
Nous mangeons l'entrée tout en discutant du garage et des modèles exposés. Mon homme m'explique chaque modèle ayant pris avec lui les fiches techniques dans son bureau. Je l'écoute attentivement pour retenir un maximum. Les principales caractéristiques des véhicules pour les motorisations, pour les options. Tous les modèles sont bien équipés de base mais sur certains il y a des packages que l'on peut ajouter. Je le stoppe un peu pour débarrasser l'entrée et venir avec les petites marmites henry 4 qui sont dans le four.
Stéphane : Parfais j'adore ce plat, à propos ta main ?
Moi : Ca va, elle a dégonflé et je n'ai presque plus mal. Demain il n'y devrait plus avoir de problème.
Stéphane : Bien, bon je reprends.
Tout en mangeant, il continue ses explications.
Stéphane : Voilà pour tous les modèles exposés dans le showroom, ça fait beaucoup à retenir en une fois. Tu crois que ça ira ?
Moi : Laisses-moi les fiches techniques, je les relirai demain matin. J'ai compris l'ensemble, ça ne me paraît pas compliqué et si j'ai un problème, je viens te trouver. Tu as fini de manger ?
Stéphane : Oui Rose s'est surpassée.
Moi : Bon je débarrasse et fait la vaisselle.
Stéphane : Tu veux un coup de main ?
Moi : Oui si tu veux.
Stéphane : Je lave et tu essuies.
Moi : Ok.
On se lève de table, mon homme se dirige vers la cuisine et rempli l'évier d'eau chaude. Moi j'arrive avec la vaisselle, je dépose celle-ci sur le côté, passe derrière mon homme et plaque mon bassin contre son cul.
Moi : Tu es bandant dans cette tenue.
Stéphane : Du calme mon ange, on va monter après et je serai à toi comme esclave.
Moi : Tout un programme mhmm.
Nous finissons la vaisselle, éteignons le tout, je prends une petite bouteille d'eau pour la nuit et nous montons. Stéphane se dirige vers la pièce spéciale, je lui colle au cul. Une fois entré dedans.
Stéphane : Vas-y mon homme, domines-moi.
Moi : Comment m'a tu appelé, esclave ?
Stéphane : Maître.
Moi : A genoux et fais-moi bander !
Mon homme commence à me lécher le paquet à travers le pantalon, j'attrape sa tête et la plaque dessus pour lui montrer que je bande. Mais je le rejette.
Moi : A poil !
Stéphane : Oui maître.
Je me déshabille aussi et enfile un harnais et mon Chaps, je mets aussi un Cockring, je prends un masque et un collier, mon homme est à poil et à genoux dans la même position que tout à l'heure. Je prends très peu du produit qu'il prend pour bander et je lui fais renifler un peu de Poppers. Je lui mets le masque sur les yeux et lui attache le collier au cou et y fixe la laisse.
Moi : A quatre pattes esclave et suis moi !
J'emmène mon homme jusqu' la table et l'attache à califourchon dessus, il ne peut plus bouger. Je passe devant lui et présente ma queue à sa bouche.
Moi : Ouvre la bouche et tire la langue !
Il s'exécute et j'entre dans sa bouche, il commence à me sucer avec beaucoup d'application. Il gémit, moi je lui caresse le dos et lui masse le début des fesses. Je me retire et passe derrière lui bouffer le cul. Il bande et je me permets de taper un petit coup sur sa queue.
Stéphane : Aie ça fait mal, arrêtes !
Et je lui fous une fessée magistrale.
Stéphane : Aie arrêtes !
Et une deuxième et une troisième
Stéphane : S'il vous plait maître, stop !
Moi : Mieux mais je n'ai pas aimé le stop !
Et je lui remets deux fessées, il en a les fesses rouges.
Stéphane : S'il vous plait maître.
J'arrête et vais prendre un gros bâillon, j'essaie de lui mettre mais il refuse. Je prends un fouet et lui mets trois coups sur le dos et les fesses. Il hurle et je peux voir une larme couler sous le masque.
Moi : Alors tu le prends le bâillon ?
Stéphane : Oui maître.
Il se laisse faire et je lui mets le bâillon, il bande déjà beaucoup moins. J'en profite et prend une cage de chasteté qui va l'empêcher de bander. Je lui installe difficilement car la grandeur de sa queue et le dispositif ne sont pas des plus compatibles. Par contre pour moi ça serait pile la taille à croire que ça m'était destiné. Je lui remets une petite fessée qui le fait crier dans le bâillon et je reprends de lui lécher le cul. Il gémit et recommence à bander mais l'appareil lui fait mal et il râle. Je prends un peu de gel et un petit plug que j'enfonce dans sa raie. Il entre difficilement car le cul de mon homme, même si il y a eu du passage ces derniers moments, reste serré. Je lui enlève le masque et il peut maintenant voir ce que je lui fais dans le miroir devant lui. Il gesticule un peu et pour le calmer je lui remets une fessée.
Moi : Du calme esclave je ne fais que commencer !
Je prends un plug plus gros avec gel et je le rentre à la place du précédent. Je fais ainsi de suite jusqu'à arriver à lui mettre le plus gros c'est-à-dire le mien. Je lui laisse et retourne vers sa bouche retire le bâillon et lui remet ma queue à sucer.
Moi : Tu aimes esclave ?
Il se retire.
Stéphane : Oui maître, juste la cage de chasteté me fait horriblement mal
Moi : Je vais te la retirer mais interdiction de te toucher ou de jouir. Retiens-toi ou tu auras du fouet !
Stéphane : Oui maître.
Je lui retire la cage de chasteté et je l'entends soupirer. Je retourne devant sa bouche et il tire la langue naturellement, il me suce avec application et quand je suis bien bandé je retourne derrière lui retirer le plug en douceur et lui plante ma queue d'un coup et à fond. Il hurle.
Moi : Ah non ! Un esclave ça souffre en silence !
Je lui replace le bâillon, je le bourre dans cette position facilement vingt minutes. Il s'abandonne à mes coups de butoirs, je jouis dans son cul de longs jets. Je bande toujours et j'ai toujours envie de lui. Je le détache et le mets sur le sling. Il me regarde dans les yeux avec une légère peur, je lui attache les pieds en hauteur et je me replante dans son fion. Je le bourre de nouveau, il gémit et essaie de se branler. Je lui mets une baffe, me retire et lui attache les mains. Je reprends ma place et je vois son cul bien ouvert. Je mets du gel sur ma main et commence à l'entrée en douceur dans son cul. Il me fait non de la tête mais il ne peut bouger. Je lui fais sniffer quelques fois du Poppers en lui tirant la tête en arrière pour avoir plus facile. Il plane complètement maintenant et je le fiste à nouveau. Ça rentre tout seul, il gémit de plaisir et je commence à donner des mouvements de va et vient au sling en se remuant. Je retire ma main et replante ma bite pendant dix minutes. Sentant que je vais jouir, je me retire, lui retire le bâillon et lui plante ma queue bien en fond de gorge en lui tenant la tête.
Moi : Avales !
Je jouis de 5 à 6 bons jets qu'il avale, tout en jouissant sans même s'être touché.
Moi : Nettoies la queue de ton maître !
Il me lèche la queue avec amour, je ramasse son sperme avec mes doigts et je lui fais sucer.
Moi : Tu sais que tu es aussi salope que moi, quand tu veux.
Stéphane : Oui maître.
Je le détache et nous passons sous la douche nous rincer.
Stéphane : Mais tu bandes toujours.
Moi : Oui mon coeur, j'ai pris un peu de ton produit.
Stéphane : Ah bon, je comprends pourquoi tu étais déchainé.
Moi : Ne me dis pas que tu n'as pas aimé.
Stéphane : J'ai adoré tu veux dire.
Il me tourne le dos, se penche un peu et s'empale sur ma queue.
Stéphane : Tu vois que j'aime, j'en redemande.
Il ne m'en faut pas plus pour lui en remettre un petit coup et de jouir une troisième fois mais ce coup-ci, rapidement. Nous restons pendant un moment dans la position sous la douche. Ensuite nous sortons et nous séchons. Je le fais se coucher sur le ventre dans le lit et lui passe la crème apaisante sur le dos, le cul et l'anus. Il est tout rouge, il gémit sous l'effet de mon massage. Je vais me laver les mains et remettre de l'ordre dans la pièce de jeux. Quand je reviens dans la chambre, il est couché sur le côté du lit, je viens derrière lui et l'embrasse dans le cou.
Moi : Je t'aime.
Stéphane : Moi aussi.
Je me mets sur le côté dans son dos, il se rapproche de moi.
Stéphane : Je veux sentir ta queue dans mon cul pour la nuit.
Je me rapproche, me plante en lui et nous dormons dans cette position.
Pattlg
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