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Domination par Stéphane
mon futur mari
Départ de mes hommes pour trois jours et Jona ....
Vendredi, 5h00 du matin, mon réveil sonne, je me lève et m'habille pour aller les conduire à l'aéroport. Je vais les trouver dans la chambre et je vois Felipe à cheval sur la queue de mon homme et celui-ci occupé à le défoncer. J'arrive au moment où Stéphane est sur le point de féconder le cul de Felipe et Felipe de jouir sur le torse de mon mec.
Moi : Quand vous aurez repris vos esprits, il est 5H15, vous devez être à l'aéroport dans 40 minutes trajet compris !
Stéphane : Oui. On passe sous la douche et on est prêt.
Je descends pour me faire un café mais il coule déjà. Je suppose que Rose est déjà au travail, bref je me sers une tasse histoire de me réveiller tout de même, mon homme est le premier à arriver en vêtements décontractés avec ses bijoux. Il m'embrasse mais je suis un peu froid avec lui.
Stéphane : Ça te dérange que j'ai baisé Felipe ce matin ?
Moi : Un peu, mais je m'y ferais.
Stéphane : Je te signale que tu me refuses ton cul jusque lundi soir. Je te promets que je serais sage là-bas et que je garderais tout mon jus pour toi lundi soir.
Moi : Je me réjouis de voir. Bon tu as fait un sac pour les trois jours ?
Stéphane : Oui hier soir et Felipe aussi, on se boit un café et on y va.
Ils boivent leur café et nous prenons ma voiture direction Bierset ou le jet nous attend. Devant la grille je sonne à l'interphone et nous annonce. On me demande de patienter et on m'informe que je vais devoir suivre une camionnette jaune à 30 à l'heure avec mes feux clignotants. En effet la camionnette arrive, la grille s'ouvre et je la suis. Elle me fait traverser tout l'aéroport, d'ailleurs, je dois me stopper un instant car des passagers d'un vol Jetair embarquent. Une fois arrivé devant le jet l'hôtesse est au pied de celui-ci. Nous descendons et Ils donnent leurs bagages à un manoeuvre. Ils m'embrassent tous les deux.
Stéphane : Je te sonne pour dire que nous somme biens arrivés.
Moi : Ok.
Je remonte dans ma voiture et avec la camionnette nous-nous écartons. Le jet est déjà en train de bouger. C'est rapide, je ne suis pas encore sorti de l'aéroport que je le vois décoller. Je rentre à la maison et je déjeune, Rose est déjà à l'ouvrage. Je prends mon sac de travail et vais au bureau. Ma journée démarre par deux rendez-vous avec deux clients pour leur collection de prêt à porter, Sylvain m'assiste et je lui demande de faire un recrutement de modèles pour les prendre en photo à l'étage du dessus et d'aménager celui-ci en conséquence. Qu'il commande ce qu'il veut et que cela nous soit facturé. Louis m'a donné l'autorisation d'occuper l'étage du dessus moyennant une légère augmentation du loyer 150 € de plus. Je parle de mes prix aux deux clients et, sans aucun problème connaissant mon professionnalisme, ils signent leurs contrats. Il est déjà pratiquement midi que mon mobile sonne. C'est Stéphane.
Stéphane : Voilà chou, nous sommes bien arrivés. Bisous.
Et il raccroche, je n'ai même pas eu le temps de lui répondre, le goujat. Il me le payera. Bref, je quitte mon bureau à midi et vais au sport faire l'exercice que Marc m'a donné à faire avec le petit Plug. Je dois dire qu'au départ, c'est difficile mais au bout de 15 minutes, on s'y fait. Je courre mon heure de tapis, je fais quelques étirements et passe sous la douche. Au bar je me commande un sandwich à emporter et je retourne au bureau. Claudia m'informe que mon rendez-vous de l'après-midi est déjà là, en avance, et m'informe que Sylvain voudrait me voir au deuxième. Je demande à Claudia de faire patienter le client et monte voir Sylvain. Il n'a pas perdu de temps et commence à aménager l'étage en studio de grandeur voulue pour des Shooting photos.
Sylvain : Ah te voilà. Ecoutes, j'ai eu une idée. Il me faudrait un fond vert pour pouvoir y incruster un décor numérique et un ordinateur assez puissant pour gérer de la 3D. Je sais où je peux en avoir mais ça coute cher.
Moi : Combien ?
Sylvain : Dans les 10000 €.
Je prends mon mobile et sonne à Louis pour lui demander si c'est toujours dans le budget de la création de la société et si c'est faisable. Il me dit qu'il n'y a pas de problème car on est bien en dessous de ce qu'il avait budgété pour le démarrage, je le salue et raccroche.
Moi : Ok Sylvain, fonces ! Il faut que ce soit opérationnel pour mardi soir au plus tard.
Sylvain : Ca va être chaud mais je fais mon possible. Je file chez le fabriquant, il se trouve à Herstal.
Moi : Ok mais fait vite, j'ai besoin de toi pour mon dernier rendez-vous à 16H30.
Je redescends d'un étage et vais chercher le client dans le salon d'attente. Je le fait rentrer dans mon bureau et nous commençons à discuter. Il vient pour faire une publicité dans les abris bus pour sa marque de montre Belge ICE ......... pour ne pas la citer pour leur nouveau modèle. Là, je le stoppe car il faut que je vois directement le planning de la société JCD Decaux et voir quand il y a une plage disponible car chez eux, on ne s'y prend pas à la dernière minute. Une fois les renseignements pris il y a de la place pour le mois de Mai et Juin. Le client est ravi et me demande les deux emplacements pour y ajouter alors un modèle femmes à celui unisexe. Il ne me demande rien d'autre et quand je lui parle du prix, il me dit qu'il s'en fout, que c'est la deuxième fois qu'il travaille avec moi et la première avec ma société et qu'il sait que le rendu que je donnerais à ses produits lui rapportera beaucoup. Il signe, je lui offre une coupe de champagne qu'il décline parce qu'il conduit et qu'il a de la route à faire. Je lui dis que je lui envoie à la semaine les projets par email, ça évitera qu'il revienne et qu'il choisit parmi les projets celui qu'il préfère. Une bonne poignée de main et l'affaire est conclue. J'ai une demi-heure avant le prochain client, j'en profite pour manger mon sandwich. Ce client-ci revient pour une campagne de pub que je lui avais déjà fait pour son magasin de matelas bien connue à Liège. Il voulait juste un rafraichissement de cette campagne, plus une campagne radio. Je repris son dossier sur mon ordinateur. J'ai bien fait de repartir avec mon fichier clients et merde à mon ancien patron, qu'il crève. Je lui remontre la campagne en question, il me dit les modifications qu'il veut et quand je lui annonce le prix, il sort son carnet de chèques et le rempli au montant voulu. Je suis sur le cul un instant, je lui fais signer le contrat et ajoute dessus que c'est payé. Je lui indique qu'il recevra la facture dans une dizaine de jour car nous ne sommes pas encore tout à fait au point à ce niveau-là. L'inauguration ne se faisant que le week-end prochain. Il le sait et sera de la partie samedi. Il me salue et s'en va. Claudia entre dans mon bureau pour prendre ma tablette afin de mettre l'agenda à jour et voit le chèque.
Claudia : Toujours aussi rapide Monsieur ..............., il a encore payé sans même voir ce que vous alliez faire.
Moi : Oui je dois dire qu'il m'a surpris.
Claudia : Il faisait déjà ça avec notre ancien patron. Votre dernier rendez-vous est là.
Moi : Juste un instant, je range mon dossier et met de l'ordre. Sylvain est revenu ?
Claudia : A l' instant, il arrive.
Moi : Alors faites entrer le client s'il vous plaît.
Le dernier rendez-vous se passe assez rapidement et avec l'aide de Sylvain, le client signe et nous fait savoir que les vêtements de sa collection arriveront fin de semaine prochaine pour faire son catalogue client. Il signe le contrat et nous quitte. Il viendra vendredi pour l'inauguration. Il est 17h30 et je ferme le bureau, au retour je passe au carrefour et me prend une lasagne traiteur. Je suis fatigué et je n'ai pas envie d'aller manger seul. Une fois à la maison je me mets à l'aise et j'ai envie de me mettre un peu dans le jacuzzi. Je me sers un verre de vin blanc et me détend un peu, ensuite je mange en prenant mes cachets et regarde un peu la TV. Comme je suis fatigué, je décide de monter me coucher et je prends un dossier que je voudrais revoir mais une fois au lit, évidemment je sombre. Mon téléphone sonne c'est Stéphane.
Moi : Oui mon coeur.
Stéphane : Toi tu dormais déjà.
Moi : Oui, enfin, je suis au lit avec un dossier, ça va vous deux ?
Stéphane : Demain soir, si tu te sens en forme, sors, va boire un verre.
Moi : Ok mon coeur.
Stéphane : Je suis avec ta mère. Felipe discute avec son père, ça a l'aire d'aller. Ta mère avait déjà préparé le terrain.
Moi : Je m'en étais douté.
Stéphane : Tu me manques.
Moi : Toi aussi.
Stéphane : Ta mère te dit bonsoir, elle va rentrer, elle est fatiguée. Il faut dire qu'il y a beaucoup de monde ce soir. Je me suis fait draguer deux fois mais j'ai résisté. Je garde mon jus pour toi.
Moi : Arrêtes, tu me fais bander.
Stéphane : Alors branles-toi, petite salope !
Je commence à me branler, il me parle au téléphone, me traitant de salope, qu'il est mon maître ! Même à distance, il veut m'entendre jouir au téléphone. Au bout de trois minutes, je jouis sur mon ventre.
Moi : Ahhr
Stéphane : Bonne chienne, bois ton jus !
Moi : Oui maître !
Stéphane : Tu es vraiment une salope ! Je te laisse Felipe arrive. Je t'aime.
Moi : Moi aussi bisous.
Le samedi le réveil sonne, je m'apprête, déjeune dans un silence complet. Je dis juste à Rose un petit bonjour, elle me sert et s'éclipse. Je me rends au garage et la journée se passe bien mais il fait calme, je vends une voiture. Je rentre et vais faire quelques longueurs dans la piscine avec le petit Plug, ensuite Rose me sert un apéritif dans le bureau, je mange et prend mes cachets. Elle m'a préparé une salade liégeoise avec une saucisse. Je passe la soirée devant la TV mais je m'ennuie. Je monte me changer et me mets en cuir class. Je prends ma voiture et vais au bar de Marc. Alors que j'entre il m'intercepte.
Marc : Que viens-tu faire ici ?
Moi : Je m'ennuie tout seul, je suis venu boire un verre mais je ne resterais pas trop tard.
Marc : Stéphane est au courant ?
Moi : Oui, c'est même lui qui me pousser à sortir.
Marc : Ok, monte au coin VIP, il y a déjà mon petit Jona. Je te fais monter du champagne.
Moi : Merci, je te payerais en sortant.
Marc : Ok.
Je monte et retrouve Jona, il y a aussi quelques autres mecs et Sylvain avec mes potes. On discute un peu lorsque Jona me rejoint avec une coupe de Champagne. Il en a une en main aussi.
Jona : Je me suis permis de prendre une coupe pour moi. Marc me fait te dire que la première bouteille est pour lui.
Moi : Ok. Viens Jona, je te présente.
Je le présente au reste du groupe et nous discutons ensemble tout en buvant. Quelques mecs viennent me draguer ainsi que le petit. Je les dégage pour ma part et je protège le petit.
Moi : Jona, peux-tu demander à Marc de nous envoyer un serveur ? C'est ma tournée et pour nous deux une autre bouteille de champagne.
Il s'éloigne pour aller trouver Marc, je le suis du regard.
Sylvain : Il est craquant Jona, je m'en ferais bien un casse-croute.
Moi : Pas touche, il a déjà deux mecs à savoir les deux patrons plus Felipe. Alors si tu veux toujours pouvoir boire ton verre ici, restes sage ! Il y a d'autres mecs ici qui devraient te contenter.
Sylvain : C'est pour ça que tu es protecteur avec ?
Moi : Ah euh non pas du tout.
Je rougis sans m'en rendre compte.
Sylvain : Avoues que tu as un faible pour lui ?
Moi : Tu vois du sexe partout.
Le serveur vient avec la nouvelle bouteille de champagne, prend la commande et revient avec celle-ci quelques minutes après. Le petit Jona se colle de nouveau à moi et ce pendant une bonne heure. Ensuite, il s'excuse et me signale qu'il va à la toilette. Je le suis du regard et regarde ma montre. Je m'inquiète et vais voir dans les WC. Je regarde Marc et lui fait signe de venir. J'entre et je vois le gamin plaqué au sol par deux mecs, le pantalon à ses pieds, les bras coincés et une main sur sa bouche pour l'empêcher de crier. Ils sont en train de le violer. J'attrape le premier qui est au-dessus de lui et lui bourre un coup de poing dans la gueule. Alors que l'autre veut s'interposer, c'est Marc qui l'étale d'un coup. Le premier veut en découdre avec moi mais il n'a pas le temps. Je lui balance un coup de pied dans les couilles. J'ai tellement frappé fort qu'il en perd connaissance et tombe la tête en premier sur le rebord d'un urinoir. Il est en sang. Marc relève Jona et le rhabille.
Marc : Prends-le avec toi et montez au VIP, je me charge de ces deux cons. J'appelle les flics.
Il faut que je supporte Jona car il tremble de peur. Nous remontons et nous nous installons près de Sylvain dans une banquette.
Moi : Ca va Jona, tu vas mieux ?
Il me tombe dans les bras et fond en larmes.
Jona : J'ai eu peur, tellement peur. Ils m'ont sauté dessus une fois que je suis sorti des toilettes. J'étais en train de remettre ma ceinture. Tu es arrivé juste à temps. En plus, ils n'avaient pas de capote.
Je pose sa tête sur mes jambes et lui caresse les cheveux, il gémit un peu et s'assoupi. Tant mieux, ça veut dire qu'il se tranquillise. Sylvain me remet du champagne dans mon verre. Du coin de l'oeil, je vois les flics embarquer les deux mecs dont le premier a une bande autour de la tête. Je peux vous dire qu'en bas, l'ambiance est retombée d'un coup en voyant la police. Sauf trois cons qui les ont dragués croyant avoir à faire à un spectacle. Cela dit, ils étaient très beau les flics. J'ai même vu un des trois flics donner son numéro de portable à un des trois mecs.
Moi : Sylvain, tu peux me rendre un service ?
Sylvain : Oui.
Moi : Va trouver le mec que je te montre du doigt " oui je sais c'est impoli " et demande lui de monter un instant.
Il me quitte alors que Marc et son mec, en fait, il s'appelle Sven, arrive.
Sven : Comment va-t-il ?
Moi : Je crois qu'il s'en remettra.
Marc : Je vais lui faire prendre des cours de self défense, ta main ça va ?
Moi : Si tu avais un peu de glace... Tu les as fait embarquer pour quel motif ?
Marc : Détention de drogue, j'ai même dit que je les avais surpris en pleine vente et que c'est pour ça que je leur ai cassé la gueule. Tu sais, un sachet c'est vite glissé dans une poche.
Moi : Tu as bien fait.
Marc : Si le gamin t'ennuie, tu me le dit.
Moi : Non pas du tout, tu peux me le laisser, je le ramènerai chez lui. Je suppose que vu l'heure à laquelle vous aller fermer, vous ne le sauterez plus ce soir.
Marc : Non. Sven et moi l'avons dosé en début de soirée. Maintenant qu'on sait qu'il est clean et nous aussi, plus besoin de capote avec.
Moi : Alors tu seras content d'apprendre que Felipe est clean aussi. Nous avons refait tous les trois le test et ils sont négatifs.
Marc : Alors si tu veux t'amuser avec.
Moi : Non. J'aime Stéphane et Felipe, je n'ai pas besoin d'un autre mec dans ma vie.
Marc : A voir comme tu as couru rapidement pour le petit dans les WC et ton regard sur lui, il finira dans ton lit ce soir ou alors c'est que j'ai perdu mon don car pour Stéphane et toi, dès le premier regard j'ai compris que vous étiez fait l'un pour l'autre. J'étais là avec Sven dans un autre coin le soir de votre rencontre. Nous étions exceptionnellement de repos pour un repas de famille, nous étions de sortie. Tu peux le sauter sans capote ainsi que Felipe et Stéphane mais attention à ne pas lui casser le cul. Dis-lui bien qu'avec les autres partenaires, c'est capote obligatoire.
Moi : Ok, mais je doute qu'il finisse dans mon lit.
Marc : Je te fais ramener du champagne ?
Moi : Non je vais finir celle-ci et je vais rentrer.
Il me laisse avec le gamin sur mes genoux et le regardant bien, il est vrai qu'il est craquant. Je relève mon regard pour voir ou en est Sylvain, il discute avec le mec. Mon portable sonne c'est mon mec. Aie !
Moi : Oui chou.
Stéphane : Tu es où ?
Moi : Tu m'as dit de sortir, je suis dans le bar de Marc avec Sylvain et j'ai Jona sur mes genoux.
Stéphane : Quoi ?
Moi : Je te rassure, sa tête est posée sur mes genoux et il dort.
Stéphane : Qu'est-ce qu'il fait sur tes genoux ?
Quel jaloux.
Moi : Attends, t'énerve pas, je t'explique.
Je lui raconte pour Jona, le viol et la bagarre alors que Marc m'apporte un drap avec des glaçons dedans, ça fait du bien.
Stéphane : A t'entendre, tu as un faible pour lui !
Moi : Il ne me laisse plus aussi indifférent, c'est vrai mais tu es l'homme que j'aime.
Stéphane : Tu as envie de le sauter ?
Moi : Je ne dirais pas non, en plus il est clean et j'ai le consentement de Marc et Sven. D'ailleurs Marc veut bien que tu le sautes aussi du moment que tu ne l'abîmes pas. Tu m'autorises à le sauter ?
Stéphane : Tu fais ce que tu veux de ta queue mais ton cul est à moi. Compris ?
Moi : Oui mon amour et merci pour l'autorisation.
Stéphane : Retiens bien que ton cul est à moi !!! C'est tout ce que je te demande au niveau fidélité. Ensuite, si j'ai envie de prêter ton beau petit cul à quelqu'un, c'est en ma présence sauf avec Felipe, tiens-toi le pour dit !!!!!
Moi : Mais qu'est-ce que tu es jaloux, sinon où en es-tu avec Felipe ?
Stéphane : Ça va. Ils ont eu tous les deux une conversation franche, le père de Felipe accepte qu'il vienne vivre en Belgique et qu'il travaille avec nous. Ta mère va vider petit à petit l'appartement de Felipe et nous fera parvenir le tout par DHL. Le problème c'est le restaurant, le père de Felipe voudrait bien arrêter, mais ce n'est pas évident. Il lui faudrait un bon cuisinier qu'il pourrait former ainsi qu'un responsable de salle.
Moi : Ça doit se trouver normalement.
Stéphane : Oui. Felipe lui a déjà renseigné deux ou trois personnes qui pourraient faire l'affaire mais ce qui me tracasse, c'est que le père de Felipe veut lui céder le restaurant mais qu'il n'en veut pas.
Moi : J'ai une idée. Achète le restaurant. Tu le laisse en gérance à son père, son père n'aura qu'à bloquer l'argent sur un compte. Si ensuite Felipe veut le reprendre, il sera toujours temps que le père te rende ton argent. Sinon on le mettra en vente.
Stéphane : C'est une idée tordue mais pourquoi pas. Si ça peut te faire plaisir.
Moi : C'est à Felipe qu'il faut penser.
Stéphane : Ok j'en parle avec ta mère. Je te laisse t'amuser et sois sage avec ton cul !!
Moi : Je te le promets, je t'aime bisous.
Stéphane : Bisous mon petit démon d'amour. Je t'aime
Je raccroche et veut me servir une coupe mais la bouteille est vide, si j'avais su. Silvain arrive avec le mec que je lui ai demandé de ramener. Il est pas mal, je comprends le flic. Tiens on me ramène du champagne, je me retourne et regarde le comptoir, je vois Sven me faire signe qu'elle est pour lui. Si ça continue j'aurais bu toute la soirée pour pas un bal ou presque. Sylvain me présente André, le mec du bas.
Moi : Enchanté André.
André : Tu as demandé à me parler ?
Moi : Oui. Le flic de tout à l'heure, il t'a refilé son numéro ?
André : Tu l'as vu ? Pourtant il a fait attention car il était de service. Je dois le rejoindre dans une heure pour finir la soirée et je prends Sylvain avec. Je lui ai envoyé un SMS il est d'accord.
Moi : Tu vois sylvain, tu ne finiras pas la soirée seul.
Sylvain : A mon avis toi non plus, à voir Jona toujours sur tes genoux.
André : J'ai bien remarqué le cinéma tout à l'heure. C'est ton mec et c'est toi qui as cassé la gueule aux deux mecs.
Moi : Précisions, le gamin est maqué avec les patrons, effectivement j'ai cassé la gueule à l'un des deux et le patron à l'autre. La version officielle puisque tu vas sortir avec le flic, c'est deux dealers ok ?
André : Tracasses, de tout façon il se doute déjà qu'il y a eu autre chose.
Il me tend son portable et me montre un SMS.
SMS : Ces deux cons nous ont avoué avoir voulu violer un jeune mec dans les WC et un grand connard musclé en cuir est venu leur casser la gueule. Pour la drogue, ils ont dit que c'était pour leur consommation personnelle. Ils sont à l'hôpital pour faire constater leurs blessures mais ils ne porteront pas plainte si on les laisse filer.
Moi : C'est le dernier SMS ?
André : Oui, je l'ai reçu avant de monter.
Moi : Alors tu peux lui renvoyer que le grand connard en cuir lui demande de les laisser filer et surtout de leur dire de ne jamais remettre les pieds ici. Et surtout que je ne les croise plus sur mon chemin.
André envoie le SMS et une minute plus tard il reçoit la réponse. Il me la montre.
SMS : Ok mais si c'est possible, je voudrais bien voir le mec en question ce soir. Est-ce possible ?
Moi : Tu peux lui répondre que oui.
Il lui répond.
Moi : Il a fini à quelle heure ?
André : Deux heures du matin.
Je regarde ma montre, il est une heure et demi, on a une demi-heure. Je décide de réveiller Jona en douceur.
Moi : Ecoutes André, je suis garé juste en face et je sais où se trouve le commissariat. Je vous y rejoins avec le gamin.
André : Ok.
Jona : J'ai dormi combien de temps ?
Moi : Une heure environ.
Jona : Je suis désolé, mais après ce qui s'est passé........ , je me sentais en sécurité.
Moi : Ne sois pas désolé, on va partir. J'ai un rendez-vous avec un flic et ensuite je te ramène chez toi.
Jona : Je n'ai pas envie de dormir seul, je vais allez dormir chez Marc.
Moi : Ils vont avoir fini très tard mais si tu veux tu peux venir à la maison.
Il me plonge dans les bras et se remet à pleurer. Ils sont chiants à pleurer pour un rien à leur âge. Euh non tout compte fait je ferais bien de me taire, je fais pareil du haut de mes 38 ans. Je lui attrape la tête et l'embrasse. Il se laisse faire, j'entre ma langue et commence à lui fouiller la bouche. Il frémit. Bon, ce soir il passe à la casserole. Je me retire, lui sers une coupe et fini la bouteille. Nous buvons notre verre ensuite je me lève remet ma veste en cuir et lui demande où-il a mis sa veste. Il la prend et elle lui va très bien. En fait, elle lui moule le corps. Il passe devant moi pour descendre et je lui fous une claque au cul ce qui lui fait pousser un petit cri. Je vais au bar pour payer ce que je dois, Sven me fait la note et je paye en liquide avec ma pince à billets.
Marc : Tu ramènes le gamin ?
Moi : Je le prends avec moi pour la nuit, il ne veut pas dormir seul et je peux le comprendre.
Marc : Sois sage Jona et ne nous fait pas honte.
Marc et Sven l'embrassent tous les deux fougueusement, le gamin est aux anges.
Marc : Tu nous le ramène demain soir. Ça ira pour conduire ?
Moi : Ok. Pas de souci, je n'ai pas fait de mélanges, donc ça ira.
Avant de sortir, je prends Jona dans mon bras et le colle à moi. Il apprécie et pose sa tête au creux de celui-ci. Dehors je lui indique ma voiture et je vois ses yeux qui pétillent de monter dans une voiture pareille. Je me dirige vers le commissariat et arrivé sur place, je vois Sylvain et André sur le trottoir avec le flic. Je m'arrête et descend.
Moi : Jona, restes dans la voiture. Compris,
Jona : Ok.
Moi : Bonsoir.
André : Je te présente Damien, Damien je te présente Pat.
Damien : Enchanté.
Moi : De même.
Damien : Vous avez pris des risques ce soir, s'il avait porté plainte nous aurions dû revenir au bar vous chercher.
Moi : Ils ont une preuve que c'est moi qui leur ai cassé la gueule ? Il y a une caméra qui me montre ? Non ! Alors c'est leur parole contre la mienne et comme je n'ai rien à me reprocher par rapport à eux et leurs drogues ...
Damien : Il n'empêche qui nous ont affirmé qu'ils n'en n'avaient pas autant sur eux au moment de leur arrestation. D'ailleurs, la leur n'avait pas exactement la même couleur. Mais ce que je voulais vous dire, c'est de faire attention la prochaine fois car vous n'allez pas toujours tomber sur deux cons.
Moi : J'ai bien reçu le message mais je ne pouvais pas les laisser violer sans capote et sans préparation le gamin que voici.
Et j'ouvre la portière côté passager.
Damien : Oui en effet. Bonsoir... Jona, si j'ai bien compris.
Jona : Bonsoir monsieur.
Damien : Va falloir apprendre à te défendre et te muscler aussi car il est normal qu'un garçon comme toi et aussi mignon en plus, attire des cons dans leur genre.
Moi : On va bosser là-dessus avec ses mecs.
Damien : Je vous demande pardon ? J'ai bien entendu ses mecs ?
Moi : Oui, les patrons du bar.
Damien : Je fais comme si je n'avais rien entendu. Bon je vous laisse, j'ai deux salopes en attente et à satisfaire.
Moi : Il est vrai que vous n'êtes pas mal du tout non plus, surtout en uniforme.
Damien : Mon appart est grand, si tu veux te joindre à nous, je me ferai ton cul aussi. En plus, il a l'air hyper musclé.
Moi : Ah ça désolé, mon cul n'appartient qu'à mes deux mecs.
Damien : Je fais comme si je n'avais rien entendu aussi, bonne soirée.
Moi : Non, bonne nuit.
Je remonte en voiture et me dirige vers la maison. Une fois arrivé, nous descendons et entrons. Il ouvre grand les yeux dans l'entrée et surtout quand il voit le salon et la piscine avec son jacuzzi. Je mets un mot dans la cuisine pour Rose.
" Bonjour Rose, nous serons deux à déjeuner ce matin mais à mon avis pas avant 11H00. J'ai ramené un gamin qui s'est fait agressé dans la boite de nuit dans laquelle je me trouvais et il ne voulait pas dormir seul. Donc, en tout bien tout honneur, il dort avec moi, merci Pat "
Moi : Bon. Douche et au lit.
Nous montons dans la chambre et passons par le dressing room pour aller à la salle de bain.
Jona : Je n'ai jamais vu autant de vêtements de marque qu'ici. Il faut être très riche pour avoir autant de luxe dans sa vie.
Moi : Non, il faut seulement travailler beaucoup. Stéphane et moi avons un bon boulot bien rémunéré.
Il se déshabille, il est craquant. Je fais de même et nous passons sous la douche. Je commence à le savonner, il apprécie et lorsque je passe mes mains sur son cul, il se cambre naturellement alors que je suis dans son dos ce qui fait que ma queue semi bandé touche sa raie. Je passe mes mains autour de sa bite, il bande et même s'il n'a que 20 ans, il a un bon 17 18*5. C'est pas mal. Il se retourne et m'embrasse, je le rince et à son tour entreprend de me laver. Il est doux avec ses mains et fait attention dans mon dos. Il se met à genoux pour me laver les jambes et l'entrejambe et au moment d'arriver à ma queue, il la prend en bouche et commence à me sucer. Il fait ça avec une douceur et tourne sa langue autour de mon gland pendant deux minutes avant de prendre ma queue en fond de gorge, ses lèvres touchent mon cockring en or. Il reste comme ça moins d'une minute et se retire pour reprendre son souffle. Je le félicite de sa performance et il m'explique que c'est Sven qui l'a initié et que Marc ensuite avec sa grosse queue lui a écarté la gorge. Il recommence à me sucer mais je le relève.
Moi : Tu vas me faire jouir trop vite.
Jona : Mais je veux ton jus.
Moi : Tu vas l'avoir mais je veux ton cul aussi et autrement.
Je me rince et nous sortons de la douche et nous séchons. Je l'attire dans le lit et le pousse dedans, je m'installe dedans sur le dos et je prends Jona, le mets sur moi la tête face à ma queue. Il a compris et me suce de nouveau. Sur ce temps-là, je m'occupe de sa rondelle, je le lèche et pousse ma langue dedans. Il a des frissons qui lui courent sur le corps, pour le calmer, je lui claque les fesses des deux mains ce qui le fait sursauter et je sens légèrement ses dents sur ma queue.
Moi : Une bonne salope, ça suce sans les dents !
Il se retire.
Jona : Je ne suis qu'une salope à tes yeux ?
Moi : Non, toi en plus, tu es fait pour l'amour.
Il se remet à téter mon gland et lorsque je le sens prêt à recevoir ma bite, je le couche sur le ventre et lui écarte les jambes. Il a la tête entre les deux coussins. Je crache une nouvelle fois sur sa rondelle et j'entre mon gland sans difficulté.
Jona : Oui vas-y, prends-moi.
Moi : Tu veux ma queue ?
Jona : Oui, baises-moi, je veux sentir ta queue en moi.
Je rentre un peu plus et commence à le limer avec amour. Il pousse de petits cris à chaque fois que je rentre à fond dans son cul, je tourne sa tête et en me couchant dessus lui roule un patin, il n'arrête pas de gémir.
Jona : Oh oui c'est bon, tu es le meilleur des trois. Plus sensuel, moins brutal.
Il va la boucler oui. Il va finir par me faire débander. Je décide de passer au stade supérieur et commence à le bourrer à fond et plus fort. Il crie de plus en plus, je lui fous ma main sur la bouche pour étouffer ses cris. Il aime et se cambre encore plus. Je le fait mettre à quatre pattes et lui enfonce la tête dans l'oreiller.
Moi : Mords-le ! Je ne veux pas t'entendre crier.
Et je le pilonne avec force tout en lui claquant les fesses, je dure un bon moment avant de le retourner, de prendre ses jambes sur mes épaules et de le replanter en douceur car je veux qu'il prenne du plaisir. Je le branle un peu tout en le baisant. Il ne m'a fallu que deux trois mouvements pour qu'il jouisse. Il envoie 6 à 7 jets qui lui tapissent le torse. Je ramasse son sperme avec mes doigts et lui mets en bouche. Il suce littéralement mes doigts avec avidité. Je reprends mes coups de butoirs mais il se contracte. C'est toujours difficile de continuer à se faire sodomisé quand on a joui. Je lui donne un claque sur les cuisses et le regarde dans les yeux. Il me laisse faire, au bout de cinq minutes, je suis sur le point de me finir. Je me retire et lui rentre la queue en bouche et lui fait boire mon sperme. Il n'en perd pas une goutte et me lave la queue. Je retombe dans le lit, je suis aux anges. Lui se lève et va à la toilette se nettoyer. Quand il revient, je le prends dans mes bras et lui fait de doux baiser. Il a dormi dans mes bras toute la nuit.
Pattlg
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