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Domination par Stéphane
mon futur mari
Jona et son scooter fin de soirée dans son appartement.
Vendredi, comme d'habitude, le réveil sonne et je me lève mais je suis uniquement avec Felipe dans le lit où est mon homme. Je cherche après et le retrouve dormant dans le divan de son bureau, la TV allumée sur la chaine info. Il s'est endormi là.
Moi : Chou, réveilles-toi.
Stéphane : Mmmhhh, quelle heure est-il ?
Moi : 7H00, viens, je vais te doucher, ça te fera du bien.
Je lui donne un coup de main, il est courbaturé d'avoir dormi dans le divan. Il passe à la toilette et vient me rejoindre dans la douche. Je le lave et le masse en même temps. Il a une érection matinale, je me mets à genoux et commence à le sucer, il prend ma tête dans ses mains et commence à me limer la bouche bien profonde mais il a envie de plus. Il me colle au carrelage, écarte mes jambes avec ses pieds et me pénètre avec vigueur ce qui me fait pousser un cri de douleur sur le moment. 27 cm, j'ai beau les prendre souvent avec lui mais à froid comme ça, c'est toujours un peu douloureux. Il est plaqué contre moi.
Stéphane : Cambres-toi pour bien me sentir en toi, tu la sens ce matin ma queue ?
Moi : Oui vas-y, c'est bon, prends-moi, fais-moi l'amour, mon cul est à toi.
Il m'a limé pendant dix minutes avant de me remplir le cul de sa semence.
Stéphane : Te voilà fécondé ma petite femme, ma petite reine, nettoies ma queue.
Je me remis à genoux et lui nettoya la queue et sur le temps que je me rinçais il sorti. Felipe prit sa place. Lui, sans plus de ménagement me fit me pencher en avant et me baisa sans que je n'ai eu le temps de réagir. Il me tenait le bassin fermement et me domina le cul tout en me branlant. Je jouis rapidement et mes contractions eurent raison de lui et il me remplit lui aussi.
Felipe : T'es vraiment une salope, accro à la bite aussi frérot.
Moi : Pas plus que toi.
Je me rince une nouvelle fois et surtout me nettoie le cul. Une fois sorti de la douche je pris mon plus beau costume, fis mes soins du visage et mis mes bijoux dont la boucle d'oreille avec mon signe du zodiaque, la bague qui va avec et le collier, même si celui-ci sera caché par ma chemise et ma cravate. Je déjeune et vais au bureau. La matinée est consacrée au travail mais l'après-midi, elle, est réservée à l'inauguration avec les clients, champagne et traiteur. Tous les clients qui avaient dit qu'ils viendraient ce vendredi sont venus. Beaucoup avec des cadeaux, d'autres désireux de visiter. Sylvain et Felipe leur ont fait faire le tour du propriétaire et Claudia, elle, prenait les rendez-vous directement sur ma tablette. A 17H00 Stéphane arrive en voiture avec Jona sur son nouveau scooter. Il lui a acheté un BMW C600, nouveau modèle. Il faut le permis moto pour ce modèle. Le petit porte une combinaison en cuir et tissu Richa et un nouveau casque. Je les intercepte à l'entrée alors que je raccompagne une cliente.
Moi : Il a le permis moto ?
Stéphane : Oui. Comme il bavait sur ce modèle alors que moi j'étais parti sur plus petit, je lui ai dit qu'il n'avait pas le permis pour ça. Il m'a sorti son permis et m'a fait des yeux implorants, j'ai cédé.
Moi : Comme il est sage et que je lui ai promis qu'on le gâterait en fonction de ça, ce n'est pas trop grave. Montez tous les deux dans mon bureau j'arrive de suite.
Il monte et je les suis deux minutes après avec trois coupes de champagne et des amuses bouches.
Dans mon bureau, je dépose le plateau et je me retourne sur Jona.
Moi : Alors content de ton cadeau Jona ?
Jona : Oui maître très content.
Stéphane : N'oublies pas toutes les consignes de sécurité que je t'ai expliqué. Gants de sécurité, casque et tenue adéquate. Tu en à quatre et deux casques ainsi que trois paires de bottes dans mon coffre de voiture.
Jona : Oui maître.
Moi : Tu l'as gardé avec toi tout l'après-midi ?
Stéphane : Marc lui a donné son après-midi. Ce soir, comme Rose a pris sa soirée, nous irons manger ensemble tous les trois. Felipe apparemment lui va manger avec Sylvain et son copain Damien. Si j'ai bien compris, il est flic.
Moi : Exactement, mais il faudra que le gamin se change et qu'on ne rentre pas trop tard. Je suis tout de même fatigué par la semaine mouvementée qu'on vient d'avoir et surtout que demain, j'ai encore une journée d'inauguration, plus la soirée et la nuit au bar. Je serais content d'être dimanche pour me reposer.
Stéphane : Ok on fait comme ça. On peut avoir notre coupe ?
Moi : Euh oui.
Jona : Mes maîtres, m'autorisez vous une chose ?
Stéphane : Oui je t'autorise.
Il vient entre nous deux et nous mets un bisou plein d'amour.
Jona : Merci pour tout ce que vous faites pour moi, je vous aime maîtres.
Je lui caresse la tête avec mes mains et il se colle dans nos bras. Il finira par nous avoir à l'usure au niveau sentimental. D'ailleurs, je vois dans le regard de mon homme un regard d'un père envers son fils, ça ne trompe pas.
Moi : Bon j'ai encore quelques clients en bas, on va les rejoindre. Jona, tiens-toi tranquille près de Stéphane ok ?
Jona : Bien sûr maître.
Je termine avec les clients, le traiteur plie boutique jusqu'au lendemain. Je laisse Sylvain, Felipe et Claudia fermer.
Nous prenons le chemin du club, Jona est devant et ouvre la route. Nous trouvons tous les deux une place pour garer nos voitures et j'aide mon homme avec les paquets.
Moi : Il est déjà assuré le petit ?
Stéphane : Oui, j'ai une carte provisoire. Mon assureur nous l'a faxé au garage moto. Je signerais le contrat demain matin à mon garage.
Nous entrons dans l'appartement du petit, il l'a bien décoré et aménagé. Il range ses nouvelles tenues et il se change. Quand il revient il est hyper sexy, un appel au viol avec les vêtements achetés chez Christian.
Moi : Tu es très joli Jona.
Jona : Merci maître.
Stéphane : Dans le restaurant où je t'emmène Jona, je te présenterais comme le fils de la famille comme ça tu es prévenu. D'ailleurs quand on te le demande en notre présence, tu te présenteras comme ça. Sinon tu es Jona.
Jona : Bien maître.
Nous sortons et allons au restaurant avec ma voiture. Le gamin est tout étonné qu'on lui ouvre la porte de la voiture. A l'intérieur du restaurant il y a pas mal de monde que nous connaissons. Clients, collègues et amis aussi. Effectivement, Stéphane présente Jona comme notre fils et je me rends compte que le petit apprécie cette situation. A mon avis, sa vie de famille du moins avec ses parents ne devait pas être rose. Une fois à table, une bouteille de champagne nous est servie et l'on nous donne les cartes, pour Jona une sans prix.
Jona : Petite question. C'est normal qu'il n'y ait pas de prix ?
Moi : Pour toi oui fiston.
Il rougit.
Stéphane : Tu choisis ce que tu veux fiston.
Il rougit de nouveau.
Nous passons notre commande. Deux entrées, une froide et une chaude pour chacun, un plat principal et un dessert. A table, nous avons parlé de choses et d'autres Stéphane et moi. Le petit nous a écouté avec attention mais il a dévoré ses plats à une vitesse pas possible alors que nous mangions plus doucement. Stéphane paye et nous partons pour ramener Jona chez lui. Une fois arrivé :
Jona : Maîtres, voulez-vous venir boire un dernier verre à l'appartement ?
Stéphane : Pourquoi pas Jona, c'est une bonne idée.
Nous montons, le petit nous sert, pour moi un verre de vin blanc, il connaît mes goûts et à Stéphane une bière. Nous sommes dans le divan.
Jona : Puis-je me rendre aux toilette maître ?
Moi : Tu es chez toi ici Jona, donc tu fais ce que tu veux.
Jona : Merci maître.
Il va aux toilettes, enfin, on suppose.
Moi : Ici il faut qu'il ait tout de même un peu de liberté sinon il vit comme dans une prison.
Stéphane : Je suis d'accord.
Jona revient. Il porte juste un boxer ouvert sur l'arrière Ausseibum rose. Il veut qu'on le viole ou quoi ?
Stéphane : Tu pourrais mettre quelque chose de plus couvert Jona.
Jona : C'est pour vous plaire maître.
Pour nous plaire, il nous plait. On bande tous les deux à mort. Il le sait.
Moi : Tu as envie qu'on te fasse l'amour petite salope.
Jona : Oui maître j'ai envie de vous.
Je me lève et l'attrape par la tête et lui roule une pelle. Il gémit tout de suite, il est en manque. Il me déshabille rapidement et je sens mon homme derrière moi.
Stéphane : Et après ça tu me diras encore que tu n'as pas un faible pour lui.
Je me retire de la bouche de Jona.
Moi : Tu craques aussi pour lui, ne dis pas le contraire.
Stéphane : Jona, déshabilles-moi !
Jona : Oui maître.
Une fois à poil.
Stéphane : Suces-nous !
Jona : Oui maître.
Il se met à genoux et commence à nous sucer avec avidité, nous prenant le plus profond qu'il peut. Vu qu'il a mangé et qu'il ne tient pas à être malade, il tient les jambes de Stéphane avec ses mains pour ne pas qu'il ait trop loin. Mon homme comprend et ne dit rien. J'en ai marre qu'il me pompe, je me retire et vais dans sa chambre, mon homme le vois, le relève et le porte dans ses bras jusqu'au lit. Il le jette dessus. Je le mets à quatre pattes et veux lui lécher le trou mais je m'aperçois qu'il a mis du gel. Son cul est préparé.
Moi : Tu t'es préparé ?
Jona : Oui maître,
Moi : Tu n'es qu'une petite pute et les putes ça se prend d'un coup !
Et je rentre direct au fond de son cul. Il crie.
Jona : Ça fait mal maître.
Moi : C'est pour t'apprendre que je n'aime pas ce genre de comportement.
Et je lui donne une fessée bien sentie. Il crie de nouveau.
Jona : Je ne le ferais plus maître.
Moi : Il y a intérêt ou je t'emmène te faire ramoner le cul par tout ce qui passera sur une aire d'autoroute, compris ?
Je le lime un bon moment et passe le relais à mon homme que Jona suçais difficilement. Je prends sa place et mon homme le bourrine. Il encaisse bien et je vois ses yeux qui partent dans tous les sens. Il est au paradis. Il a difficile à me sucer car Stéphane n'y va pas de main morte avec son cul. Jona bande comme un âne et j'ai bien envie de le satisfaire. Je stoppe mon homme et lui demande de retirer son boxer. Je me couche sur le ventre et me met un peu de salive sur le cul.
Moi : Jona, je t'offre mon cul, tu as été sage ces derniers jours et tu as droit à une récompense.
Il plonge sa bouche contre ma rondelle et me lèche le trou, mon homme le laisse faire et viens près de moi pour me coller un bisou.
Stéphane : Tu es aussi pute que lui tu sais, et si je ne m'abuse, ça s'appelle de l'inceste ce que nous faisons là.
Nous rigolons tous les deux mais la langue de Jona dans mon fondement, me tire un gémissement qui surprend mon homme.
Stéphane : C'est bon ?
Moi : Sa langue est divine mon amour.
Stéphane : Salope. Jona, encules-le comme il t'a enculé! Il est aussi pute que toi !
Jona : Oui maître.
Il me pénètre d'un coup et je dois dire que comme il m'a préparé et qu'il n'est pas trop large je n'ai pas mal. Il commence à vouloir me défoncer, il aime être actif aussi et je dois dire que pour sa deuxième fois il s'y prend très bien. Il a dû mater un porno ou il a pris exemple sur nous. Mon homme se place derrière lui en lui remet sa queue dans le cul. Jona accuse le coup et moi aussi car j'ai l'impression de prendre la queue de mon homme. Jona trouve le rythme et me baise tout en se faisant baiser par mon mec. Il ne tarde pas à me remplir le cul de son jus qui est abondant. Sous l'effet de ses contractions, mon homme lui remplit le sien. Il n'y a que moi qui n'ai pas joui. Ils se retirent tous les deux, je me retourne et Jona vient s'empaler sur ma queue. Il sent qu'il est large et se contracte pour resserrer son anus et ça marche. Il doit faire les exercices spéciaux de Marc. Il ne lui aura fallu que cinq minutes pour me faire jouir dans son cul. Il aura reçu la semence de mon homme plus la mienne, il est bien dosé. Il se penche vers moi et me roule un patin.
Jona : Merci pour ce moment, je t'aime.
Il prend une claque sur le cul par mon homme.
Jona : Je vous aime mes maîtres.
Stéphane : Mieux fiston, nettoies nos queue.
Comme une petite pute bien docile, il se retire de ma bite et me suce vite fait pour me nettoyer. Ensuite il fait pareil à mon homme qui n'a pas trop débandé. Je passe par la toilette et me nettoie le cul, je me rhabille et Stéphane aussi et nous laissons le petit dans son lit.
Stéphane : N'oublie pas que demain tu dois aller donner un coup demain à Sven, pour préparer la soirée Jona.
Jona : Oui je n'ai pas oublié maître.
Moi : Penses à changer ton lit demain, il va puer le sperme froid ou va te nettoyer.
Nous lui faisons un bisou sur le front et nous partons. Dans la voiture :
Stéphane : Comme tu es chaude, si on s'arrêtait sur une aire d'autoroute ?
Moi : Non chou, je suis vidé. Je voudrais me coucher.
Stéphane : C'est un ordre !
Je me stationne sur une aire d'autoroute fréquentée et alors que je me dirige vers les WC, mon homme sort de la voiture.
Stéphane : Reviens, je rigolais.
Je reviens dans la voiture.
Stéphane : Tu l'aurais fait ?
Moi : Oui tu m'as donné un ordre, j'aime quand tu me domines comme ça.
Stéphane : Je te promets que demain, je te dominerai le soir.
Moi : C'est déjà prévu, Felipe et moi serons en mode esclave de notre maître. Toi, je te demande juste de me laisser quelques libertés. J'aimerais que tu me sautes sous la caméra de la cave mais j'aurais une cagoule pour ne pas qu'on me reconnaisse. Sven m'a dit que ce coin du bar ne fonctionnait plus je voudrais le relancer pour lui.
Stéphane : Demain soir je t'offrirai en spectacle, c'est un de mes phantasme. On rentre ?
Moi : euh oui.
Je reprends la route et sur le chemin.
Moi : Ce qui serait bien c'est que Felipe soit mis à la même enseigne que moi demain soir, mais il n'y a qu'un banc.
Stéphane : Rappelles-le moi demain et je téléphonerai à Sven pour trouver une solution. Je vais lui expliquer ton envie.
Nous rentrons et nous nous couchons direct. Mon homme me pommade le dos, il est passé deux heures du matin, moi qui voulais me coucher tôt ! Je récupèrerai dimanche et lundi, de toute façon je dois juste aller à l'hôpital pour mes soins lundi. J'ai pris ma journée.
Pattlg
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