1. Préambule
S'il y a un petit plaisir que j'ai c'est de mettre des shorts des que le temps le permet et, n'étant pas particulièrement sensible au froid des jambes, ça couvre les 3/4 de l'année. Pas des shorts de sports mais des shorts classiques, décontractés, jogging ou en tissus un peu stretch mais pas moulant. J'aime être à l'aise. Et surtout j'aime ne rien porter en dessous. Sensation de liberté et possibilité de me tripoter la queue et les boules des que je peux. Je me définis pas comme exhib, je suis pas du genre à m'exhiber en public sauf si le seul public présent n'attends que ça, dans les lieux de drague par exemple. Mais de façon générale je préfère rester discret.
Je suis pas un apollon mais du haut de mon mètre 85, mon allure virile mais pas macho et étant 0 lu tôt mince, je plais. On peut dire que je fais partie de la moyenne, peut être un peu au dessus si j'en crois certains compliments. Je suis plutôt passif, en général je préfère sucer et me faire baiser mais je ne suis jamais contre un bon cul si l'envie me prends sur le moment.
2. Un petit film
S'il y a un autre petit plaisir que j'ai c'est me faire un ciné en pleine journée dans mon cinéma préféré : les salles sont propres, généralement peu fréquentées, les fauteuils sont doubles (avec l'accoudoir qui se relève et les écrans sont assez bas et éloignés du premier rang ce qui permet de s'allonger et mater un film depuis le premier rang comme si j'étais dans mon salon. Le pied.
En général j'attends que la lumière s'éteigne pour retirer mes chausses et m'installer confortablement. Ce jour là j'ai pris la séance de 14h pour voir un de ces films de super héros qui fleurissent en nombre depuis quelques années. Horaire idéal car a part quelques rares étudiants les salles sont souvent presque vides, surtout que le film était déjà en salle depuis presque un mois. J'entre donc, juste au début des pubs et constate qu'il n'y a que 5 personnes. Le premier rang est vide évidemment. Parfait, je m'installe.
Les pubs s'enchaînent, les trailers aussi puis l'écran devient noir. Je vais enfin pouvoir me libérer de mes pompes, allonger mes jambes, foutre une main dans mon short et plonger l'autre dans mon pop corn. Ma joie fut de courte durée car c'est le moment que choisi un gars pour venir s'asseoir juste à côté de moi, rapidement, et, bien sûr, sur l'autre fauteuil de mon siège double.
J'ai bien pensé à me déplacer d'un cran mais j'étais bien au milieu et je n'aime pas être décalé par rapport au centre de l'écran. Et puis a mieux regarder le type qui est venu gâcher mon plaisir, ce n'est finalement pas déplaisant. Un mec qui doit avoir 25 ans, une barbe courte un peu négligée, en short comme moi, et un débardeur qui ne cache rien d'un corps fin mais muscle sec et dessiné. Il a les cheveux bruns et courts, typé méditerranéen avec un cou veiné et épais et des bras longs, zébrés de veines larges terminés par des mains qui ressemblent à de vraies pelles. OK, je vais ravaler ma frustration et me satisfaire de ce mec magnifique. Je ne vais pas mâcher mes mots : ce mec pue le cul.
Il a sans doute vu que je le dévisageais car j'étais limite à baver devant lui bien que j'essaie de rester discret (on ne sait jamais sur qui l'on tombe et je n'aurai pas été de taille à affronter un malade avec ces mains et ces muscles. ..). Ça n'a pas l'air de le déranger et il me lance même un petit sourire gentil. Et terriblement charmant.
Les lumières s'éteignent. Je retire quand même mes shoes et monte mes pieds sur le siège les talons sous les fesses. Le film commence et après quelques secondes j'oublie déjà un peu mon voisin, emporté dans ce que je vois à l'écran. Après quelques minutes je fous ma main dans mon short par réflexe et me tripote mollement la bite. Je finis vite mon pop corn. Et je jette un oeil à mon voisin sexy. Putain, lui aussi à foutu la main dans son short. Et il me regarde en coin le con. Je ne rêve pas, il me mate !
C'est bien la première fois que ça m'arrive ici et je sais pas trop comment réagir. Alors je le mate à min tour et pose tour à tour mes yeux sur sa belle gueule et sur son short. Il fait de même et je commence sérieusement à bander et à oublier le film. Il me bouffe littéralement les yeux et se mord la lèvre inférieure. Il baisse les yeux vers son short. Il sort sa main et moule avec ses deux mains la forme qui apparaît à l'intérieur. Impressionnant ! A vu de nez ça doit bien faire au moins 19cm et en épaisseur, ce type doit se sentir serré dans des capotes XL. Je crois que c'est un appel : la main toujours dans le short, je pose celle libre sur son engin et ma surprise est de taille, il ne bande pas encore complètement et affiche juste une mi - molle. Va falloir que je règle ça... ma main plonge dans son short et de lui-même il libère le monstre pour plus de maniabilité. Sa teub, éclairée par l'écran est magnifique, un gland énorme se dégage facilement du prépuce qui l'enserre et mes va et viens ont tôt fait de faire gonfler cette queue à son maximum.
Elle est à l'image du reste de son corps, d'une fermeté a toute épreuve et veinée, elle doit bien faire 20-21 cm et s'il mets des capotes c'est certainement sur mesure. C'est un monstre magnifique. De sa main droite il vient caresser l'arrière de ma tête. Je comprends et me penche. Je leche d'abord ses couilles et remonte lentement le long de sa hampe pour venir englouti avec délicatesse ce gland qui m'apparaît comme une gourmandise interdite. Je me sens comme un gars au régime depuis des mois à qui on offre de rompre celui-ci par un festin gastronomique aux proportions astronomiques : je déguste. Il a l'air d'apprécier vu sa respiration et les mouvements lents de son bassin sans compter les litres de mouille qu'il produit. Ce mec est une fontaine et ça ne coule pas uniquement, parfois en contractant sa queue ce sont de petits jets qui explosent sur ma langue.
J'essaie tant bien que mal de prendre ce tentacule géant au plus loin dans ma bouche et peu à peu je sens celle-ci se détendre et s'adapter. Parfois il bloque ma tête et me baise la bouche. Ses mouvements sont parfait, il sait exploiter à fond ce que je peux lui offrir : s'il est aussi doué avec ma bouche que dans un cul ça promet et je me sens déjà m'ouvrir pour lui . Ses yeux se plongent dans les miens des que je regarde vers lui et il mord sa lèvre pour me signifier a quel point il apprécie. Je me sens comme un tube de plaisir, prêt à le recevoir entièrement en moi, dans ma bouche, ma gorgé et mon cul. Je veux être le réceptacle de son désir et de sa semence, lui appartenir. Sa respiration se fait plus forte, sa bite est plus dure que jamais et je sens, quand la corolle de son gland bute contre mes lèvres, qu'il gonflé encore, prêt à libérer son jus.
Il bloque ma tête entre ses mains énormes et pousse un petit gémissement couvert par une scène d'action. Dans d'ultimes contractions, il explose dans ma bouche et se déverse littéralement. Je ne compte pas les jets mais il semble ne pas s'arrêter. Je déborde un peu alors que j'avale tout au fur et à mesure. Ce mec est incroyable...
Je nettoie bien ce membre qui semble ne pas vouloir perdre sa taille impressionnante et fini, à regret, par le laisser pour me rasseoir. Il se penche vers moi et m'embrasse puis me dit à l'oreille " merci. On va pouvoir regarder le film maintenant mais on parle après ". Clairement on va parler oui... et j'espère pas que...
3. Nathan
Le film se passe donc, et c'est sans difficulté que je rentre de nouveau dans l'histoire. Pas vraiment compliqué avec ces films, les scénarios n'étant jamais très recherché. Mais c'est du pur divertissement et, pour le coup cette séance m'avait parfaitement diverti, et, évidemment je ne parle pas que du film. Pendant le reste du film mon voisin m'avait montré quelques marques d'attention, preuve qu'il voyait en moi plus qu'un vulgaire vide couilles et ça me plaisait.
Place au générique. Mon jeune voisin se tourna vers moi :
Lui : t'es encore mieux a la lumière
Moi : la lumière n'est pas encore allumée
Lui : je sais mais je t'ai vu avant le film. J'étais deux rangs derrière toi et j'ai pas pu m'empêcher
Moi : ah ça explique donc que tu aies accouru comme ça juste avant le début du film
Lui : oui je voulais te laisser le moins de chances possibles de t'esquiver
Moi : avec un mec sexy comme toi j'aurai été bien con de m'esquiver.
Lui : haha c'est gentil. Moi c'est Nathan au fait.
Moi : Arnaud.
Lui : ravi
Moi : le plaisir est pour moi
Comme toujours dans ces films le générique cache une petite scène voire deux. Et elle démarra à ce moment là. Une fois le générique complètement terminé il me demanda d'attendre avec lui que tout le monde soit sorti. Il aimait partir quand tout le monde était sorti. Ça ne me dérangeait pas.
Nous nous sommes donc dirigés ensemble vers la sortie.
J'espère qu'on pourra se revoir lui dis - je.
Alors, en me poussant contre le mur bétonné de la cage d'escalier, il me dit qu'il y comptait bien et m'embrassa à pleine bouche. Ses mains jouaient sur mon corps et je sentais sa queue puissante déjà bien raide dans son short contre la mienne puis, à mon oreille me dit : mais pour le moment je n'en ai pas encore fini avec toi. Avec une douceur ferme il m'appuya sur les épaules et je ne mis pas plus d'une seconde à comprendre ce qu'il voulait. Ma bouche se réhabitua très vite à son calibre et l englouti de nouveau du mieux que je pouvais.
Après quelques minutes de ce délectable moment et mètre abreuvé de sa mouille qui sortait encore a flot comme d'une fontaine après s'être perdu dans le désert, il me remonta, me plaqua ventre au mur et releva la jambe de mon short jusqu'à ce qu'elle révèle ma raie. Je senti alors son Chibre glisser doucement entre mes fesses, son gland butant directement contre mon trou, comme si nos corps étaient faits pour se trouver et s'emboîter. Je le sentais glissant et humide, mouillant complètement ma fente. Il appuyait doucement allant et venant jamais je ne m'étais ouvert aussi facilement. Il ne forçait pas et à chaque va et viens il entrait un peu plus en moi.
Je ne ressentais que du plaisir et ne pouvais retenir mes gémissement. Bientôt je sentais son bas ventre collé à mon cul, une main passée entre mes jambes me le confirma : il était complètement planté en moi et je découvrais alors que mon intuition ne m'avais pas trompée : il sait parfaitement se servir de sa queue.
Il honorait mon cul de la même façon que je vénérai sa bite, se noyant et dansant en moi de même que je dansais autour de son membre. Alternant les va et viens doux et les coups de reins, tournant le bassin pour mieux explorer les moindres recoins de mon intérieur nous gémissions ensemble et le monde autour de nous n'existait plus. Je l'entendais parfois me murmurer des compliments sur mon cul, à quel point il était bien en moi.
J'avais perdu la notion du temps et de l'espace. Il sorti de moi puis me retourna. Me soulevant par les cuisses et me plaquant au mur alors que j'enroulais mes jambes autour de lui il se planta en moi et m'embrassa tout en tapant au fond de moi, me remplissant complètement de sa chair raide. Je sentais que ses gémissement se faisaient plus puissants plus rapprochés. Les miens aussi...
Il me mit au sol levant mes jambes et me pilonna avec une tendresse sauvage avant de finir dans un râle. Je sentais parfaitement ses contractions écarter un peu plus mon trouver déjà bien ouvert et sentais qu'il se déversait en moi. Je ne savais pas si c'était juste une impression mais celle-ci me laissait penser qu'il y en avait autant que ce que j'avais avalé plus tôt. Il était un peu essoufflé mais, toujours planté en moi il libéra ma queue raide de mon short et me dit : je vais pas te laisser comme ça, avant de se pencher pour engloutir à son tour ma queue. Il était d'une souplesse incroyable et sa bouche d'une douceur inimaginable, jouant de sa langue et ses lèvres, variant subtilement les pressions et contractant sa queue encore raide en moi pour me stimuler d'autant plus.
C'en était trop de plaisir, je ne tarda pas à jouir avec l'impression que tout les fluides de mon corps cherchaient à s'échapper et lui remplir la bouche. J'étais littéralement avalé, en lui et lui en moi. Il ne laissa pas une goutte et m'embrassa encore avant que nous n'entendons la porte du cinéma s'ouvrir. Rapidement nous sautons sur nos jambes et tentions de nous rassembler en nous dirigeant vers la sortie.
Nous sommes restés à discuter encore un peu puis il me donna sa carte et me fit promettre de le rappeler.
Areno
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