Le destin de Thomas

Mon nom c'est Thomas, mais presque tout le monde m'appelle Tom, je suis quand même beau bonhomme, cheveux noir, 155 livres, mais aucune fille ne me regardait. À l'âge de 18 ans, je suis entrée à l'université et c'est à cette période que j'ai découvert qui j'étais vraiment...
Voici mes histoires:

Chapitre 1: Fantasmes

Mes parents et moi avons d'emménager dans une nouvelle ville à plus de 300 km de mon ancienne ville. C'était mon premier jour d'université et j'étais très stressé, car je ne connais personne. Je me suis inscrit et la gentille dame m'a donné mon numéro de casse et le mot de passe du cadenas. Elle m'avertit qu'une autre personne et jumelé avec moi. J'arrive devant ma nouvelle casse, mais il n'y avait personne, en classent mes choses, un jeune homme au cheveu blond s'approche de moi et me dit avec une voix très masculine "Salut, je pense que nous sommes dans la même casse". Je le regarde, je suis sans voix, je ne suis pas capable de parler. Il me regarde et me dit "Ton chat t'a-tu mangé la langue?". Je lui répond que non et je m'excuse et lui dis que j'étais dans la lune, que j'ai terminé et que je lui laisse la place, je me détourne et je pars. J'entre dans les toilettes et je m'enferme dans une libre. Je ne comprenais pas ce qui venait de ce passer, c'était la première fois que cela m'arrivait, j'étais toute mêlé, je pense que je suis tombé sous le charme d'un homme... ça ne ce peut pas... je ne suis pas gay... je pense!?. J'ai remis en question toutes mes 18 dernières années, tous mes fantasmes de jeunesse, toutes les filles que j'ai aimées. J'ai décidé de retourné et de tous remettre dans mon sac à dos et ne plus y retourné, mais le destin m'a bien joué un tour.

Deux semaines passes et je n'avais pas revu le mec de ma casse, l'université est très grande, c'est presque comme une petite ville. Il n'y avait pas une journée que je n'avais pas pensé à cette personne avec de magnifiques yeux bleus au cheveu blond. Tous les soirs, j'allais voir des vidéos gays et je me masturbais en pensant à ceci: je suis dans ma chambre à regarder la télévision quand quelqu'un cogne à ma porte, j'ouvre la porte et je vois le gars de ma casse, il est là, devant moi, il est tellement beau, je lui dis d'entrer et il s'assit sur mon lit. Je m'approche et je m'assis sur lui, j'enlève sont chandail, il n'est pas musclé, mais à tellement de beaux seins, sais bouts sont plus brun que rose et cela m'excite. Je prends ma langue et je lui lèche les seins et je descends au nombril, je lui enlève sais pantalons et je vois qui est bien bandé. Je baisse sais bobets et je mets son pénis dans ma bouche, il prend ma tête et son pénis s'enfonce de plus en plus dans ma gorge. Il aime ça et moi aussi, je prends le temps d'enlever mes vêtements et je me retrouve nu devant lui. Il me regarde, se lève et se met à me sucer. Il fait des tours de langue sur mon gland et c'est tellement bon que je viens instantanément dans sa bouche, j'aurais aimé que sa dure plus longtemps, mais après tous, ce n'est que dans mon imagination.

Chapitre 2: Mon voisin

Voilà maintenant cinq semaines que nous sommes emménager dans notre nouvelle demeure, une grande maison avec trois étages. L'avantage de cette maison, mes parents dorment au 2e étage et moi j'ai le sous-sol à moi tout seul, loin des parents.

J'ai mon entrée indépendante et je peux inviter qui je veux. Je me suis fait de nouveaux amis et le garçon de ma casse s'effaçait de ma mémoire tranquillement. Un soir de septembre, j'entre dans ma maison et ma mère m'annonce qu'elle a invité les voisins pour souper. Elle me dit qu'ils ont trois enfants, deux gars et une fille. Un des garçons à mon âge et l'autre est trois ans plus vieux quand moi, tendis que la fille à 18 ans. Elle me demande d'allez prendre ma douche et de mettre des habits propres. Je me dépêche d'allez dans le sous-sol faire ce que ma mère m'avait demandé. J'entre dans ma salle de bain et je me déshabille, j'entre dans la douche et je commence à me laver. Une envie de me masturber arrive, je pense au gars de ma casse et voilà, je suis bandé. Il est avec moi dans la douche, je le vois de dos, avec c'est belle fesse un peut poilus. Je le prends par derrière et je le pénètre, je commence tranquillement, après quelques petits coups, je prends un rythme plus rapide. Malgré la douche qui coule, je l'entends soupirer et gémir... J'entends frapper à la porte, j'arrête tout et j'entends ma mère me dire que les voisins sont arrivés et de venir les rejoint. Je lui réponds que j'arrive et je finis de me masturber.

Je prends le temps de m'habiller et je monte trouver les invités dans le salon. Je fais la connaissance de la mère et de la fille, ma mère me dit que les garçons sont dans le garage pour regarder la voiture de collection de mon père. Je décide d'allez les trouver pour ne pas faire mon sauvage, j'ouvre la porte du garage et j'aperçois mon père avec le mari de la gentille dame et dans la voiture se trouvais les deux garçons. Mon père me demande si je veux allez faire un tour avec eux et j'accepte, même si la voiture peut accueillir cinq personnes, nous sommes très serrés en arrière quand nous sommes trois. En arrivant devant la fenêtre de l'auto, j'aperçois les deux garçons assis. J'ouvre la porte,salut les gars et m'assois. En m'attachant, je reconnais le gars juste à mes côtés, c'est le mec de ma casse. Il me regarde et me dit "Hey, tu es le gars avec moi dans la casse de l'université" je deviens rouge immédiatement, je lui réponds que c'est bien moi et je m'excuse encore pour la dernière fois. Il me dit que ce n'est pas grave et rie. Je suis content de le revoir finalement, il est encore plus beau je m'étais imaginé. Cheveux blonds, semi-longs, avec de belles dents blanches et de super de beaux yeux bleus. Durent la promenade, nous parlons de divers sujet et il me demande si j'ai une blonde, je lui réponds que non et je lui relance la question, il me répond qu'il est avec une fille depuis presque 2 ans et que leurs relations étaient presque parfaire. Désespoir, je ne sais plus quoi répondre, on dirait que mon coeur vient de fendre en deux.