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Retournement de situation
Lui qui faisait tout pour me fuir ! Maintenant, il voulait que je l'appelle. J'ai hésité. Un sms ça veut tout dire ... et rien à la fois. Mais j'ai appelé le lendemain
L : Salut Arthur
A : Salut. J'ai cru que tu me rappellerais pas.
L : Qu'est-ce que tu veux ?
A : Te voir.
Je n'en revenais pas ! En plus de m'appeler, il voulait maintenant me voir.
L : Viens chez moi si tu veux, mes parents sont partis en vacances sans moi et je me fais chier.
A : Je serai là demain.
Il a raccroché subitement. Il semblait nerveux. Evidemment, je n'ai pas arrêté d'y penser. Qu'est-ce que ce petit con pouvait venir faire chez moi et qu'avait-il en tête. Je me faisais des tonnes de films pour rien et je n'avais, dans le même temps, qu'une hâte : le revoir. Son beau petit cul et son corps d'athlète me manquait. Et mon côté dominateur, rangé depuis trois mois au placard, commençais à vouloir retourner à la fac.
Il est arrivé le lendemain matin, alors que j'étais à peine prêt, et sans même me prévenir.
L : Déjà ! En plus d'être docile, t'es ponctuel !
A : Il faut que je te parle sérieusement.
L : Tu me fais peur ! Allez rentre !
Il est entré rapidement, a posé son sac par terre, s'est mis à genou et a commencé à me déboutonner mon pantalon. Sous le choc vis-à-vis de ce nouvel entrain que je ne lui connaissais pas, je suis reculé.
L : Putain Arthur qu'est-ce qui te prend ?!
A : J'ai menti ! Quand tu m'as embrassé et que je t'ai dis que ça me faisait rien, j'ai menti. Quand je t'ai sucé, j'ai aimé ça. Quand tu me domines, j'aime ça. J'aime quand tu me fais du mal. Je suis pas gay pour autant, mais j'aime me faire traiter comme une merde par un mec. Je veux être à toi et que tu continues ce que tu m'as fait, sans limite. Mais par contre, je veux pas que ça se sache.
J'étais sur le cul. Ce gros macho primaire était en fait un bon gros soumis ! J'ai eu la trique direct ! Toutes mes envies lubriques et salasses sont remontées à la surface.
L : Wow ! Ca, je ne m'y attendais pas. Putain, regarde comme ça m'a fait triquer.
A : Tu veux que je te fasse du bien ?
L : Ouais ... mais je veux que tu te mettes à poil et que tu mettes le collier du chien !
A : Oui maître.
"Maître" ... j'en ai eu des frissons. Il n'avait plus aucune résistance, même si je me méfiais encore. Il a obéis sans hésiter et m'a carrément tendu la laisse du chien après avoir mis le collier et s'être mis à quatre pattes.
A : Emmène-moi. Fait moi tout ce que tu veux. Je suis prêt.
Je l'ai emmené dans ma chambre, me suis mis à poil et l'ai fait monter sur le lit comme une grosse chienne. Je lui ai ordonné de me sucer. Il s'est exécuté en s'appliquant. Il était bien meilleur qu'avant. Sûrement parce qu'il ne résistait plus, mais je sentais que quelqu'un d'autre était passé par là. Il me gobait la queue entièrement en me massant les boules. Il me regardait dans les yeux. Il en voulait et j'avais les couilles archi pleines après un été où je pouvais presque pas me palucher. Il me faisait de bons va et viens, entrecoupés de tentatives de gorges profondes. J'étais en pleine extase, mieux que dans les pornos que j'avais regardé pendant les trois derniers mois et même mieux que les vidéos de son initiation. Moi je m'amusais à le doigter un peu. Il était toujours imberbe et bien propre. Il avait fait les choses bien. Il couinait un peu de plaisir quand je faisais rentrer mon majeur, ce qui faisait monter la sauce plus vite. Mais il savait faire durer le plaisir. D'ailleurs, il m'a sucé pendant 15min avant que je le bloque en gorge profonde pour tout lui cracher à l'intérieur.
J'étais refait. Je l'ai poussé du lit et me suis étalé pour souffler un peu. J'avais envie de me rebranler tellement c'était bon, mais j'étais un peu à sec. Et il était l'heure de manger.
Je suis descendu avec ma chienne. Je me suis fait un bon repas et me suis permis de lui donner la pâtée du chien. Il a un peu rechigné mais s'est résolu à manger ... comme un chien, en me regardant avec un sourire coquin.
On a passer l'après-midi à se faire du bien, il m'a sucé au bord de la piscine, je l'ai branlé, mais c'est ce soir là qui a été le plus intéressant.
Après le dîner, j'ai eu envie de tester de nouvelles choses, celles que je n'avait jamais faites jusque là.
L : Arthur, va dans la chambre et mets-toi à quatre pattes sur le lit et attend moi sagement.
Il est monté sans un mot. Moi j'ai pris deux trois accessoires, du lubrifiant et des capotes avant de le rejoindre. J'avais profondément envie de l'enculer, mais pas qu'avec ma bite. Je voulais l'élargir et lui faire mal, comme il me l'a demandé.
J'ai d'abord commencé par lui lubrifier le trou, avec un bon massage anal avant de lui mettre deux doigt bien profond. Je le tiraillais entre la douleur et le plaisir. Il bandait dur déjà et moi aussi. Je faisais quelques va et viens en lui pour l'habituer et le faire languir.
L : Tu veux que je te fasses mal.
A : Oui Ludo. Punis moi pour tout le mal que j'ai pu te faire.
Il n'en a pas fallu plus pour que je lui enfonce le manche de la cuillère en bois direct. Il a hurlé un bon coup. J'ai recommencé plusieurs avant d'aller jouer avec sa prostate. Il était rouge de douleur et le diamètre de son trou avait un petit peu augmenté. J'ai joué deux ou trois minutes avant changer de "jouet". J'ai pris le concombre cette fois. Et même punition, un bon coup dans le fion ! Il a hurler plus fort cette fois. Et de plus en plus fort à mesure que je poussais loin en lui. Il m'a même supplié d'arrêter. Je lui ai quand même limer le cul pendant 5 bonnes et longues minutes pendant lesquelles j'ai cru que j'allais cracher tellement ça m'excitait ! Il pleurait de douleur mais s'accrochais bien. Trop bien même. Heureusement je j'avais une lampe de poche. Elle voulait même faire connaissance avec lui avant de l'enculer sauvagement.
A : Oh non Ludo stp pas ça ! Ca fait trop mal je vais pas y arriver !
L : Chut t'inquiète pas ça va aller.
Je me suis posté à l'entrée de son trou déjà large, avant de mettre au contact de la peau rougi le métal bien froid qui l'a fait frémir. J'ai poussé doucement cette fois, mais en forçant quand même le passage. Il se tordait de douleur mais ça rentrait. J'ai arrêté le supplice à la moitié. J'ai retiré l'engin et il s'est effondré de douleur. Il avait un trou énorme !
L : Wow j'ai fait de la place pour deux ou trois teub là ! Si tu voyais le chantier.
Il pleurait comme un môme et moi je jubilait. Toutes mes craintes et regrets s'étaient envolés. Je m'apprêtais maintenant à enculer un mec pour la première fois de ma vie. Ca allait être facile vu l'entrée que j'avais faite. Je l'ai pénétré d'un seul, sans préliminaires ! J'allais lui baiser le cul, sans sentiments ni émotions ! Juste pour me vider les couilles.
J'ai commencé par quelques va et viens, histoire de prendre tranquillement mes marques, avant d'accélérer crescendo le tempo. Je faisait durer le plaisir. Mais je n'avais pas l'expérience d'Arthur, ni l'envie de lui procurer du plaisir. Je suis alors devenu plus brutal et me suis mis à lui pilonner le cul. Je lui mettais de violent à-coups. Le must, c'est qu'il m'encourageais en se traîntant lui-même de chienne, se salope et de mauvais garçon qu'il fallait bien punir.
Je l'ai bourriné comme ça pendant 10min avant d'exploser et de m'effondrer sur lui. Je l'ai enlacé, embrassé et caressé avant de me rendre compte qu'il ne mérite pas d'affection et de le jeter par terre.
L : Tu vas dormir sur le tapis. T'auras peut-être une couverture si tu pignes pas trop.
Il s'est endormi sans un mot, même s'il avait probablement mal.
Il est resté trois jours à la maison. J'en avait fait un camp de redressement. Il a pris cher comme jamais. Il m'a d'ailleurs confié que son goût pour la soumission lui venait de son oncle qui lui faisait tout plein de choses obscènes. Il avait aimé ça et avait remis ça avec un homme pendant son stage, son patron pour être précis, histoire de se faire du fric facile. Puis il a eu envie de revenir à ce qu'il aimait le plus, moi et ma violence.
A la rentrée, nous avons retrouvé notre appart'. La différence, cette fois, c'est que j'avais ma chambre et qu'il jouait la soumise et venait me lécher la bite pour me réveiller le matin, pour avoir sa pâtée. Sortir de cet appart', on reprenait une vie normale. Par contre, plus personne ne me faisait chier. Même pas ses potes. Plus de harcèlement, plus d'insultes ni de bousculades. On avait tous les deux retrouvé notre niveau initial.
On a joué à ce jeu pendant 4 ans, jusqu'à la fin de nos études. Puis nous nous sommes perdus de vus pendant 5 ans, durant lesquels j'ai eu un petit copain que j'ai aimé et avec qui j'ai une relation assez placide. Mais la banalité nous a rattrapé lui et moi et nous nous sommes retrouvés comme au bon vieux temps. Son cul s'en souvient encore !
Fin
PtitGayCurieux
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